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International

Israël bombarde au Liban un organisme financier lié au Hezbollah

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Plus de 50 localités du sud du Liban ont été bombardées dimanche, selon l'agence de presse Ani, qui a fait état de "14 frappes successives" en l'espace de 15 minutes contre le village de Khiam. (© KEYSTONE/EPA/STR)

L'armée israélienne a mené dimanche soir des frappes aériennes au Liban contre des bureaux d'une société financière qu'elle accuse de financer le Hezbollah. Elle a également pilonné des positions du mouvement pro-iranien à travers le pays.

L'agence de presse libanaise Ani a rapporté quatre frappes israéliennes contre des "filiales d'Al-Qard al-Hassan" dans la banlieue sud de Beyrouth et une visant le même groupe dans l'est du Liban, après des appels israéliens à la population à évacuer les abords des bureaux de cet organisme, sous sanctions américaines.

La société financière Al-Qard al-Hassan "est impliquée dans le financement des opérations terroristes du Hezbollah", a déclaré sur X un porte-parole de l'armée israélienne. A Saïda, dans le sud, un correspondant de l'AFP a vu des personnes s'enfuir à la hâte des environs d'un site de cet organisme.

"Pression" sur la Finul

La Force de paix de l'ONU au Liban (Finul) a pour sa part accusé l'armée d'avoir "délibérément" détruit une "tour d'observation" des Casques bleus dans le sud du Liban, dernier d'une série d'incidents contre ses positions qui ont valu à Israël une volée de critiques internationales. La Finul a assuré qu'elle maintiendrait "toutes ses positions" malgré la "pression exercée sur la mission".

Plus tôt, l'armée avait annoncé avoir visé un "centre de commandement" du Hezbollah près de la capitale et mené des frappes aériennes sur des dizaines de localités dans le sud du Liban.

Plus de 50 localités ont été bombardées dimanche dans cette région frontalière d'Israël, selon l'Ani, qui a également rapporté que l'armée israélienne y "dynamitait" des maisons dans des villages. L'armée libanaise, qui ne prend pas part au conflit, a annoncé la mort de trois soldats dans une frappe israélienne dans le sud.

Israël "détruit" le Hezbollah

Visitant des troupes dans le nord d'Israël, le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, a assuré que l'armée "détruit" le Hezbollah, "dans tous les villages le long de la frontière". Israël dit vouloir y neutraliser le mouvement islamiste pour permettre le retour chez eux de quelque 60'000 habitants du nord d'Israël, déplacés par ses tirs de roquettes incessants.

Le Hezbollah a de son côté revendiqué des tirs de roquettes dans le nord d'Israël visant notamment trois bases militaires près de Haïfa et Safed, ainsi que contre des troupes israéliennes dans le sud du Liban.

Au moins 1470 personnes ont été tuées au Liban depuis le 23 septembre, d'après un décompte de l'AFP. A la mi-octobre, l'ONU recensait près de 700'000 déplacés.

Menace de Netanyahu

Samedi, M. Netanyahu, avait accusé le mouvement chiite libanais d'avoir tenté de l'assassiner après un tir de drone qui a visé, en son absence, sa résidence privée à Césarée. Le Hezbollah n'a pas revendiqué ce tir, mais la mission iranienne à l'ONU a affirmé qu'il était derrière l'attaque.

Le Hezbollah "a fait une grave erreur", a averti le Premier ministre, des accusations qui amplifient les craintes d'une escalade au Moyen-Orient, alors qu'Israël a menacé de riposter à une attaque de missiles lancée le 1er octobre par l'Iran, son ennemi juré.

Drone intercepté

Parallèlement, l'armée israélienne intensifie son offensive dans la bande de Gaza contre le Hamas, dont elle a tué mercredi le chef, Yahya Sinouar. Elle a annoncé dimanche y mener des opérations dans "le nord, le centre et le sud" du territoire. Elle a aussi annoncé dimanche soir avoir intercepté dans l'espace aérien syrien un drone s'approchant "depuis l'est".

Samedi, une frappe israélienne avait tué au moins 73 personnes à Beit Lahia (nord), selon les secours, un bilan contesté par Israël. Dimanche, des familles pleuraient leurs proches tués dans cette frappe à l'hôpital Kamal Adwan, l'un des principaux du secteur.

Israël a affirmé avoir visé une "cible" du Hamas et assuré que le bilan des autorités de Gaza "ne correspondait pas" aux informations en sa possession.

"Mourir de faim"

Avant cette frappe, la Défense civile avait fait état de "plus de 400 morts" dans le nord de Gaza depuis le début de l'offensive lancée par l'armée israélienne le 6 octobre dans le secteur de Jabalia.

Les Palestiniens vivent des "horreurs indescriptibles" dans la zone, a dénoncé samedi la cheffe intérimaire de l'ONU pour l'aide humanitaire, Joyce Msuya. "Nous sommes pris au piège, sans nourriture, eau et médicaments, et risquons de mourir de faim au milieu des décombres et destructions", témoigne pour l'AFP à Beit Lahia Ahmad Saleh, un Palestinien de 36 ans.

Le Hamas, au pouvoir depuis 2007 à Gaza, a affirmé qu'il continuerait à se battre malgré la mort de son chef, Yahya Sinouar, considéré comme le cerveau de l'attaque sans précédent contre Israël du 7 octobre 2023 ayant déclenché la guerre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Culture

Une guitare de Jeff Beck vendue plus de 1 million de livres

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Mort en 2023, Jeff Beck était considéré comme l'un des meilleurs guitaristes, capable de passer d'un style à l'autre: rock, hard rock, blues, jazz (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

Une vente aux enchères à Londres de guitares et autres équipements de musique du guitariste britannique de légende Jeff Beck a récolté plus de 8,7 millions de livres. Plus de 1,06 million a été dépensé pour la seule fameuse guitare "Oxblood" Gibson Les Paul 1954.

Cette guitare apparaissait sur la couverture de l'album solo "Blow by blow" (1975) et avait été utilisée dans de nombreux concerts par Jeff Beck, décédé au début 2023. Son prix était estimé entre 350'000 et 500'000 livres sterling (entre 390'000 et 560'000 francs), selon la maison d'enchères Christie's organisatrice de la vente.

Parmi les pièces phares figurait également une guitare Fender électrique 1990, principal instrument utilisé par Jeff Beck entre 1999 et 2014, achetée pour un million de livres, pour une estimation entre 20'000 et 30'000 livres.

Cette vente "rend hommage à l'héritage d'un génie, d'une vraie légende du rock, révérée dans le monde entier", s'est réjouie Amelia Walker, experte des collections privées et emblématiques de Christie's à Londres, citée dans un communiqué.

130 objets de Jeff Beck

"Je suis tellement heureuse que les guitares de Jeff ont été si populaires parmi ses fans et ses amis", a pour sa part réagi Sandra Beck, la veuve du musicien, citée dans le même communiqué.

Au total, la vente comptait plus de 130 objets, dont des guitares et des amplificateurs, utilisés par Jeff Beck "tout au long de sa carrière qui s'est étalée sur près de six décennies", selon Christie's.

Né en juin en 1944 dans la banlieue de Londres et mort en 2023, Jeff Beck était considéré comme l'un des meilleurs guitaristes, capable de passer d'un style à l'autre: rock, hard rock, blues, jazz. Il est devenu célèbre après avoir rejoint le groupe de rock The Yardbirds en 1965, où il a joué avec Jimmy Page. Le duo a taillé sa légende avec les albums et morceaux "Shapes of Things" et "Over Under Sideways Down".

La dernière tournée de Jeff Beck remonte à 2022. Le musicien a remporté huit Grammy awards en récompense de sa virtuosité et de son sens de l'innovation à la guitare électrique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Grâce par Trump d'assaillants du Capitole condamnée par les juges

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Une des juges s'est réjouie que soient préservés des milliers de vidéos, retranscriptions de procès, verdicts et commentaires judiciaires, autant de données "immuables qui constituent la vérité" (archives). (© KEYSTONE/EPA FBI/FBI HANDOUT)

Trois juges ont condamné mercredi la grâce accordée par le président américain Donald Trump aux personnes jugées coupables pour l'assaut du Capitole, siège du Congrès, le 6 janvier 2021. "Aucune grâce ne peut changer la vérité tragique", a lancé l'une d'elles.

La décision prise lundi soir par le président Trump "ne peut pas effacer le sang, les excréments, la terreur que la foule a laissés derrière elle" ni "ne peut réparer la brèche dans la tradition sacrée américaine de transition pacifique du pouvoir", a ajouté dans un commentaire d'ordonnance d'abandon de poursuites contre un émeutier, la juge fédérale de la capitale des Etats-Unis, Tanya Chutkan.

A peine investi lundi, M. Trump a signé à la Maison-Blanche un décret graciant quelque 1270 personnes, qu'il a qualifiées d'"otages", reconnues coupables pour l'assaut du Capitole lors de la certification il y a quatre ans de la victoire de Joe Biden. S'y ajoutent 14 membres des mouvements d'extrême droite Oath Keepers et Proud Boys, dont la peine a été commuée en période de prison déjà purgée.

Depuis lors, des procureurs par intérim à Washington abandonnent par dizaines les poursuites contre les accusés encore en instance de jugement, ce que des policiers et des élus ont qualifié de "trahison".

"Impunité" dénoncée

Deux autres juges fédérales de Washington, qui avaient présidé des procès d'assaillants du Congrès, ont également dû valider mercredi l'abandon de poursuites, tout en condamnant vivement ces grâces.

La juge Beryl Howell a ainsi balayé toute base factuelle à l'abandon des poursuites, contestant ce que le président Trump a jugé être une "grave injustice nationale infligée au peuple américain". La magistrate a dénoncé une "impunité", une "perspective dangereuse" que des "comportements contraires à la loi se reproduisent à l'avenir" et une "atteinte à l'Etat de droit".

Enfin, sa consoeur Colleen Kollar-Kotelly a aussi estimé qu'effacer une procédure judiciaire et gracier les assaillants "ne changera pas la vérité de ce qui s'est passé le 6 janvier 2021".

Elle s'est réjouie que "soient préservés pour l'avenir des milliers de vidéos, retranscriptions de procès, verdicts et commentaires judiciaires". Ce sont autant de données "immuables qui constituent la vérité", a-t-elle conclu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les enquêteurs recommandent d'inculper le président sud-coréen Yoon

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Yoon Suk-yeol est accusé d'avoir fait vaciller la jeune démocratie sud-coréenne en déclarant par surprise la loi martiale le 3 décembre, dans un coup de force qui a ravivé le douloureux souvenir de la dictature militaire (archives). (© KEYSTONE/EPA/Kim Hong-Ji / POOL)

Les enquêteurs ont recommandé jeudi que le président sud-coréen Yoon Suk-yeol, suspendu de ses fonctions, soit inculpé pour rébellion et abus de pouvoir. Ils ont remis leurs conclusions au parquet sur sa tentative ratée d'imposer la loi martiale.

Au terme de 51 jours d'enquête sur ce coup de force, le bureau d'enquête sur la corruption (CIO), l'agence anticorruption, qui centralise les investigations criminelles sur M. Yoon, demande "d'engager des poursuites contre le président en exercice, Yoon Suk-yeol, dans le cadre d'allégations portant notamment sur la conduite d'une rébellion".

Le parquet a désormais onze jours pour décider de lancer ou non des poursuites demandées. La rébellion est un crime passible de la peine de mort.

Le 3 décembre, le dirigeant conservateur a sidéré la Corée du Sud en imposant soudainement la loi martiale et en envoyant l'armée au Parlement pour tenter de le museler. Il a fait marche arrière quelques heures plus tard, à la suite d'un vote des députés réunis en urgence et sous la pression de manifestants.

Placé en détention

Onze jours plus tard, M. Yoon s'est vu confisquer le pouvoir par le Parlement, qui a adopté une motion de destitution contre lui, désormais examinée par la cour constitutionnelle.

Après avoir résisté à une première descente sur mandat des autorités, M. Yoon a été arrêté et placé en détention le 15 janvier. C'est un fait sans précédent pour un chef de l'Etat sud-coréen titulaire, qu'il reste officiellement jusqu'à la décision de la cour constitutionnelle.

Dans les conclusions de son enquête, le CIO a indiqué que M. Yoon avait "abusé de son autorité obligeant les policiers de l'unité de garde de l'Assemblée nationale et les forces de la loi martiale à accomplir des tâches qui dépassaient leurs obligations".

Dans la nuit du 3 décembre, M. Yoon aurait ordonné à l'armée de prendre d'assaut le Parlement et d'empêcher les députés de voter une résolution demandant la levée de la loi martiale. Selon les enquêteurs sud-coréens, M. Yoon a également "entravé l'exercice du droit des législateurs à exiger la levée de la loi martiale".

Se "battre jusqu'au bout"

M. Yoon, lui, dément avoir ordonné à l'armée de "faire sortir" les députés du Parlement pour les empêcher de voter contre la loi martiale.

Son équipe juridique tente de défendre l'idée, selon laquelle, la déclaration de la loi martiale était nécessaire face à une fraude électorale, l'opposition ayant remporté haut la main le scrutin législatif d'avril 2024, avec à la clef une majorité écrasante au Parlement.

En détention provisoire, M. Yoon ne reconnaît pas la légalité de l'enquête criminelle. Il a promis de se "battre jusqu'au bout", haranguant ses soutiens par le biais de lettres transmises via ses avocats.

De son côté, la cour constitutionnelle doit décider d'ici à la mi-juin si elle confirme la destitution du dirigeant conservateur ou si elle le rétablit dans ses fonctions. En cas de destitution, une nouvelle élection présidentielle devra être organisée dans les 60 jours.

La crise qui se prolonge a poussé la banque centrale à abaisser lundi ses prévisions de croissance économique pour 2025, à 1,6%-1,7%. Au quatrième trimestre 2024 déjà, la croissance du PIB de la quatrième économie d'Asie a ralenti à 0,1%, son taux le plus faible de l'année.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump envoie 1500 militaires de plus à la frontière avec le Mexique

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Près de 4000 soldats américains de la garde nationale ont été envoyés pour être déployés le long de la frontière avec le Mexique (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/LUIS TORRES)

Les Etats-Unis vont déployer "1500 militaires supplémentaires à la frontière" avec le Mexique pour lutter contre l'immigration illégale, a annoncé mercredi la Maison-Blanche. Le président américain Donald Trump avait décrété mardi l'état d'urgence à cette frontière.

Il avait fait de ce sujet un de ses thèmes de prédilection pendant sa campagne électorale. L'envoi de 1500 militaires de plus dans cette zone portera leur nombre autour de 4000.

"Le président Trump a signé un décret pour envoyer 1500 soldats supplémentaires à la frontière sud des Etats-Unis", a déclaré la porte-parole de la Maison-Blanche Karoline Leavitt.

"Ces renforts seront mobilisés pour mettre en place des barrières et pour d'autres missions à la frontière. Les premières opérations devraient commencer dans les 24 à 48 heures à venir", a fait savoir un haut responsable militaire sous le couvert de l'anonymat.

Moyens aériens

D'autres moyens de surveillance et de renseignement, notamment aériens, pourraient aussi être utilisés, a ajouté le responsable. L'armée américaine sera aussi mobilisée pour expulser des migrants par voie aérienne, a fait savoir le ministre de la défense Robert Salesses.

"Le ministère fournira des moyens de transport aérien militaires pour aider les vols d'expulsion menés par le DHS [le ministère de la sécurité intérieure, ndlr] de plus de 5000 étrangers en situation irrégulière des secteurs de San Diego, en Californie, et d'El Paso, au Texas", a informé le ministre dans un communiqué.

Donald Trump a aussi signé lundi un décret remettant en cause le droit du sol, pourtant garanti par la constitution.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Soutien "inébranlable" des Etats-Unis envers les Philippines

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Des confrontations régulières entre des bateaux chinois et philippins en mer de Chine suscitent des inquiétudes quant à la possibilité qu'elles entraînent les Etats-Unis dans un conflit armé avec la Chine (archives). (© KEYSTONE/AP NTF-WPS/AARON FAVILA)

Les Etats-Unis restent engagés dans la défense des Philippines en vertu d'un traité mutuel, a fait savoir mercredi le nouveau secrétaire d'Etat américain Marco Rubio. Les tensions entre Manilles et Pékin en mer de Chine méridionale s'enveniment depuis quelque temps.

Lors d'un appel avec son homologue philippin Enrique Manalo, M. Rubio a "souligné l'engagement inébranlable des Etats-Unis envers les Philippines dans le cadre de notre traité de défense mutuelle", a indiqué la porte-parole du département d'Etat, Tammy Bruce, dans un communiqué.

Le nouveau chef de la diplomatie américaine prône une ligne dure vis-à-vis de la Chine. Il a dénoncé les "actions dangereuses et déstabilisantes en mer de Chine méridionale" de Pékin, selon le communiqué.

"Le secrétaire Rubio a fait savoir que le comportement de la Chine compromettait la paix et la stabilité régionales et n'était pas conforme au droit international", selon la même source.

Avertissement voilé

M. Rubio a téléphoné à son homologue philippin après avoir adressé la veille un avertissement voilé à Pékin sur la mer de Chine méridionale lors d'une réunion quadripartite avec ses homologues de l'Inde, du Japon et de l'Australie.

La Chine revendique la majeure partie de cette voie navigable stratégique, malgré une décision internationale statuant que cette revendication n'a aucun fondement juridique.

Des confrontations régulières entre bateaux chinois et philippins ont suscité des inquiétudes quant à la possibilité qu'elles entraînent les Etats-Unis, allié historique de Manille en matière de sécurité, dans un conflit armé avec la Chine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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