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Moscou promet une "réponse" à de nouvelles frappes ukrainiennes

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Alors que la Russie prépare une réponse aux tirs de missiles américains ATACMS contre son territoire, elle a visé l'Ukraine avec de nombreux drones dans la nuit de lundi à mardi. Cette attaque n'a pas fait de victimes, mais a endommagé des "infrastructures essentielles", selon Kiev (archives). (© KEYSTONE/EPA/SERGEY KOZLOV)

La Russie a promis mardi une "réponse" à deux nouvelles frappes ukrainiennes réalisées à l'aide de missiles américains ATACMS contre son territoire ces derniers jours, après la menace la semaine dernière du président Vladimir Poutine de frapper des pays occidentaux.

Ces attaques, que Kiev n'a pas commentées, se produisent en pleine nouvelle escalade des tensions entre le Kremlin et les pays occidentaux, après bientôt trois ans de guerre en Ukraine.

Dans ce contexte très tendu, les ambassadeurs de l'Otan ont réaffirmé mardi leur soutien à Kiev en dénonçant le tir russe la semaine dernière d'un missile balistique de portée intermédiaire comme une tentative vaine d'"intimidation".

Plusieurs missiles ont "atteint leurs cibles"

Selon le ministère russe de la Défense, les forces ukrainiennes ont frappé des "installations" dans la région russe frontalière de Koursk partiellement occupée par l'armée ukrainienne depuis août. Elles ont eu lieu le 23 novembre près du village de Lotarevka, à 37 kilomètres au nord-ouest de la ville de Koursk, et le 25 novembre contre l'aérodrome de Koursk-Vostochny, d'après cette même source.

Il a reconnu, fait rare, que plusieurs missiles avaient "atteint leurs cibles" et fait état de deux militaires russes blessés et d'un radar endommagé dans ces tirs.

Selon lui, trois missiles ATACMS, d'une portée de 300 km, sur les cinq tirés ont été abattus par la défense antiaérienne russe lors de l'attaque du 23 novembre et sept projectiles sur huit tirés lors de celle du 25 novembre.

"Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie surveille la situation et prépare une réponse", a-t-il indiqué dans un communiqué, accompagnant son message de clichés semblant montrer des débris de missiles, dont l'authenticité ne peut être confirmée de façon indépendante.

Missile balistique

L'Ukraine a commencé à utiliser en Russie des missiles longue portée ATACMS le 19 novembre, ainsi que des Storm Shadow de fabrication britannique deux jours plus tard, après avoir obtenu le feu vert des alliés occidentaux, une réplique au déploiement de forces nord-coréennes du côté de la Russie.

Le Kremlin, qui présentait cela comme une ligne rouge, a répliqué en tirant le 21 novembre un missile balistique de portée intermédiaire (jusqu'à 5500 km), sur une usine militaire de la ville de Dnipro, dans le centre-est de l'Ukraine.

Ce missile, présenté par Vladimir Poutine comme un modèle hypersonique expérimental, baptisé Orechnik et jusque-là inconnu, est conçu pour porter des têtes nucléaires, ce qui n'était pas le cas lors de cette attaque.

Jeudi, le président russe avait prévenu que le conflit en Ukraine avait pris un "caractère mondial" et menacé les Occidentaux de frapper des "installations militaires des pays qui autorisent l'utilisation de leurs armes contre nos installations".

Contrer les missiles "Orechnik"

L'Ukraine a demandé à ses alliés occidentaux de lui fournir de nouveaux systèmes de défense antiaérienne de dernière génération, alors que Moscou a assuré que ces missiles, baptisés "Orechnik" ("Noisetier" en russe), sont impossibles à intercepter.

Les Ukrainiens ont identifié certains des nouveaux systèmes qui leur permettraient toutefois de les contrer, a indiqué un diplomate de l'Otan, à l'issue de cette réunion.

Le Kremlin, via son porte-parole Dmitri Peskov, avait lui balayé la portée de la réunion, en estimant qu'il était "peu probable que des décisions importantes soient prises au niveau des ambassadeurs".

Diplomate britannique expulsé

Dans le même temps, Moscou a annoncé mardi expulser un diplomate britannique accusé d'espionnage, ce que Londres a vivement rejeté, et sanctionner une dizaine de ministres du gouvernement de Keir Starmer.

Ce regain de tensions intervient aussi au moment où les Européens et Kiev redoutent un arrêt du soutien militaire américain à l'Ukraine avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, et la conclusion d'un accord au détriment de l'Ukraine.

L'intensification des attaques russes apparaît comme une tentative de Moscou de renforcer sa position avant d'éventuelles négociations. La Russie a aussi reçu le renfort de milliers de soldats nord-coréens qui devraient, selon Washington, combattre "bientôt" les forces ukrainiennes.

Mardi, la Russie a revendiqué la prise d'un nouveau village, cette fois de la région de Kharkiv (nord-est).

Attaque record en Ukraine

L'Ukraine a dit mardi avoir été visée dans la nuit de lundi à mardi par une attaque record de 188 drones russes, qui ont endommagé des immeubles résidentiels et des "infrastructures essentielles", sans faire de victimes, selon l'armée de l'air ukrainienne.

A l'aube mardi, la défense aérienne a réussi à abattre 76 drones dans 17 régions ukrainiennes et 95 autres appareils sont probablement tombés du fait du brouillage électronique par l'armée ukrainienne, selon l'armée de l'air.

A Kiev, les journalistes de l'AFP ont entendu des explosions pendant l'alerte aérienne qui a duré plus de cinq heures.

En outre, le parquet ukrainien a accusé mardi les forces russes d'avoir exécuté cinq soldats ukrainiens qui s'étaient rendus dans la région de Donetsk.

Deux personnes ont été tuées dans une attaque sur une station-service, a également annoncé Volodymyr Zelensky dans son allocution quotidienne.

Enfin, en zone sous contrôle russe, au moins quatre personnes ont été tuées et 17 autres blessées mardi à Nova Kakhovka, dans la partie occupée de la région méridionale de Kherson, ont annoncé les autorités installées par la Russie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Utah: le manifestant blessé lors d'une marche anti-Trump est mort

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Le manifestant tué participait à Salt Lake City à une marche de protestation contre la politique de Donald Trump. (© KEYSTONE/AP/Amanda Barrett)

Un manifestant est mort après avoir été blessé par balle, visiblement par erreur, samedi lors de l'une des marches de protestation contre le président américain Donald Trump dans l'Utah. La journée avait été marquée par le meurtre d'une élue dans le Minnesota.

C'est dans une manifestation anti-Trump organisée à Salt Lake City que la victime de 39 ans défilait quand, selon un communiqué de la police locale diffusé dimanche, un homme de 24 ans s'est présenté et a "brandi" un fusil de type AR-15, une arme semi-automatique, puis "a couru vers la foule".

Cela a conduit quelqu'un chargé de la sécurisation de la manifestation, qui cherchait visiblement à désarmer l'homme au fusil, "à tirer trois balles, dont l'une a touché fatalement" le manifestant. "Nos enquêteurs pensent qu'il était un passant innocent", écrit la police.

L'homme de 24 ans, lui, a été arrêté et inculpé pour meurtre, a précisé la police dans son communiqué sur le réseau social X. Il n'a pas tiré un seul coup, a précisé le chef de la police.

La personne qui a tiré les trois coups de feu n'a pas été inquiétée par la police et coopère avec les enquêteurs, a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Crash du Boeing 787 d'Air India: deuxième boîte noire retrouvée

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La première boîte avait été retrouvée au lendemain du crash (archives) (© KEYSTONE/AP/Ajit Solanki)

La deuxième boîte noire du Boeing 787 d'Air India qui s'est écrasé jeudi à Ahmedabad, dans le nord-ouest de l'Inde, a été retrouvée dimanche, ont annoncé les autorités indiennes. La première avait été récupérée vendredi.

"La boîte noire (Cockpit voice recorder", qui enregistre les discussions dans le cockpit a été trouvée, a annoncé dans un communiqué Dr P. K. Mishra, le principal sécrétaire du Premier ministre indien Narendra Modi, dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Au moins cinq morts au Vietnam liées au typhon Wutip

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Le typhon s'est manifesté tant en mer que sur terre. (© KEYSTONE/EPA/XINHUA / Yang Guanyu)

Les intempéries causées par le typhon Wutip, qui se sont abattues samedi sur le centre du Vietnam, ont fait au moins cinq morts et deux disparus, selon un premier bilan du gouvernement.

Le ministère vietnamien de l'Agriculture a déclaré samedi soir que trois personnes avaient été tuées dans la province de Quang Tri et que deux autres avaient été tuées, ainsi que deux portées disparues, dans la province de Quang Binh.

Plus de 70'000 hectares de terres cultivées ont été inondés, selon le ministère.

Le typhon Wutip a touché terre dans le sud de la Chine samedi avec des rafales de vent atteignant 128 km/h. Il a été rétrogradé en tempête tropicale, après être descendu le long du golfe du Tonkin.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Chasse à l'homme aux Etats-Unis après le meurtre d'une élue

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Melissa Hortman et son mari ont été abattus dans leur maison à Champlin, dans le Minnesota. (© KEYSTONE/AP/Bruce Kluckhohn)

Des centaines de policiers américains recherchaient samedi le suspect du meurtre d'une élue locale du Minnesota, tuée chez elle. Il s'agit d'un "acte délibéré de violence politique", selon les mots de Tim Walz, gouverneur de cet Etat du nord des Etats-Unis.

Un autre élu local et sa femme, également visés dans la nuit, ont été gravement blessés. La mort de Melissa Hortman intervient dans un contexte déjà particulièrement tendu aux Etats-Unis, entre déploiement de soldats à Los Angeles pour réprimer les manifestations, parade militaire à Washington et rassemblements anti-Trump à travers le pays.

La police a identifié samedi après-midi Vance Boelter, "un homme blanc de 57 ans" comme le suspect principal, recherché par des "centaines" d'agents dans la banlieue nord de Minneapolis. Il doit être considéré comme "armé et dangereux", a affirmé le patron du bureau d'enquête du Minnesota, demandant aux habitants d'aider la police à le retrouver, tout en restant prudents.

"Il a été vu pour la dernière fois ce matin avec un chapeau de cow-boy clair", a-t-il ajouté, photographie à l'appui.

"Terrible" attaque

Le président américain Donald Trump a rapidement dénoncé une "terrible" attaque, sa ministre de la justice insistant sur le fait que "cette horrible violence politique ne sera pas tolérée".

Le suspect, qui avait fui à pied après un échange de tirs avec la police, a, selon les autorités, laissé dans sa voiture des tracts portant le nom des manifestations anti-Trump, "No Kings", ainsi qu'un manifeste comportant une liste de nombreux élus, dont Melissa Hortman et John Hoffman.

Ces deux démocrates ont été la cible de tirs à leur domicile respectif situés dans la banlieue nord de Minneapolis, au beau milieu de la nuit de vendredi à samedi, selon la police.

Vers deux heures du matin, le tireur a d'abord visé le sénateur local John Hoffman et sa femme, habitant la localité de Champlin. Tous deux, "touchés par de nombreux tirs", ont été opérés à l'hôpital et "nous sommes raisonnablement optimistes sur le fait qu'ils vont survivre à cette tentative d'assassinat", a déclaré le gouverneur démocrate Tim Walz.

Ensuite, vers 03h30, en allant vérifier, par précaution, le domicile de Melissa Hortman, à quelques kilomètres de là, la police est tombée sur l'assaillant, qui a "immédiatement tiré sur eux", a déclaré le patron du bureau d'enquête du Minnesota. "L'individu a réussi à s'échapper durant cet échange de tirs", laissant sa voiture sur place.

La sécurité a été renforcée pour des élus présents sur la liste du suspect, selon la police du congrès à Washington. Il est néanmoins trop tôt pour identifier le mobile du crime, a déclaré samedi après-midi l'enquêteur. Une manifestation anti-Trump prévue à proximité a été annulée par les organisateurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'ex-président français Sarkozy exclu de la Légion d'honneur

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Outre celle des écoutes, Nicolas Sarkozy est mis en cause dans plusieurs affaires judiciaires. Il a notamment comparu au début 2025 pour des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007 (archives). (© KEYSTONE/AP/THIBAULT CAMUS)

L'ex-président français Nicolas Sarkozy s'est vu retirer la Légion d'honneur, la plus haute distinction française, à la suite de sa condamnation à un an de prison ferme pour corruption, selon un arrêté publié dimanche. Il est aussi exclu de l'ordre national du Mérite.

Il devient ainsi le deuxième chef de l'Etat français privé de cette distinction après le maréchal Pétain, à qui la Légion d'honneur avait été retirée après sa condamnation en août 1945 pour haute trahison et intelligence avec l'ennemi.

Cette décision était attendue depuis que la condamnation de Nicolas Sarkozy a été rendue définitive par le rejet d'un pourvoi par la cour de cassation en décembre.

Nicolas Sarkozy a "pris acte" dimanche de son exclusion de la Légion d'honneur et rappelle que la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) doit encore se prononcer sur son recours dans l'affaire des écoutes, a indiqué son avocat Patrice Spinosi dans une déclaration transmise à l'AFP.

Cour européenne des droits de l'homme

"Nicolas Sarkozy prend acte de la décision prise par le Grand Chancelier. Il n'a jamais fait de cette question une affaire personnelle", a affirmé Patrice Spinosi, soulignant que si l'ancien chef de l'Etat "a fait valoir des arguments juridiques, c'était au nom de la fonction même de président de la République".

"La condamnation de la France (par la CEDH) impliquera la révision de la condamnation pénale prononcée à l'encontre (de Nicolas Sarkozy) en même temps que l'exclusion de l'ordre de la Légion d'Honneur, l'une n'étant que la conséquence de l'autre", a assuré Patrice Spinosi.

Dans l'affaire des écoutes, l'ex-chef de l'Etat (2007-2012) a été reconnu coupable d'avoir, en 2014, tenté de corrompre un magistrat de la cour de cassation, Gilbert Azibert, dans l'espoir d'obtenir des informations confidentielles et avec l'aide de son avocat Me Thierry Herzog. Tous trois ont été condamnés, en première instance et en appel, à la même peine de trois ans de prison, dont un ferme.

D'autres affaires en cours

Avec le rejet de son ultime recours en France, Nicolas Sarkozy était sous le coup d'une exclusion de la Légion d'honneur qui est automatique quand un récipiendaire est définitivement condamné pour un crime ou écope d'une peine d'emprisonnement égale ou supérieure à un an ferme.

Dans ces cas, le retrait est "de droit", avait souligné en mars le Grand chancelier de la Légion d'honneur, le général François Lecointre, qui a signé l'arrêté privant Nicolas Sarkozy des deux titres dont il était grand-croix, grade le plus élevé.

En vertu de l'arrêté signé du 5 juin, les deux coprévenus de Nicolas Sarkozy, Gilbert Azibert et Thierry Herzog, sont, eux aussi, exclus de la Légion d'honneur et de l'ordre national du Mérite.

Outre celle des écoutes, Nicolas Sarkozy est mis en cause dans plusieurs affaires judiciaires. Il a notamment comparu au début 2025 pour des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Le jugement dans ce dossier sera rendu fin septembre.

Lien avec Pétain indigne

Davantage que le retrait de sa décoration, c'est le lien avec le maréchal Pétain qui est commenté dans les milieux politiques. "Ce lien avec le maréchal Pétain est indigne", s'est emportée la porte-parole du gouvernement Sophie Primas (LR), prenant "acte" elle aussi de cette décision "automatique qui fait partie du code de la Légion d'Honneur".

"Le président Sarkozy a été là pour la France à des moments extrêmement compliqués", a-t-elle déclaré, se disant "un peu réservée non pas sur la règle, mais sur ce qu'elle entraîne comme comparaison".

"C'est une règle, mais c'est aussi une honte", a déploré sur franceinfo le nouveau secrétaire général de LR, Othman Nasrou, proche de Bruno Retailleau, apportant son "soutien et son respect" à l'ex-président.

A gauche, le député écologiste Benjamin Lucas s'est félicité de la décision, appelant sur X à ce que "la République prive de ses privilèges et de son influence institutionnelle celui qui a déshonoré sa fonction et trahi le serment sacré qui lie le peuple à ses élus, celui de la probité".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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