Rejoignez-nous

Environnement

Les délégués de Révolte agricole remettent une pétition à Berne

Publié

,

le

Les Valaisans Charlène Taramarcaz et Clément Gay faisaient partie de la délégation qui a présenté la pétition au directeur de l'Office fédéral de l'agriculture Christian Hofer. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Plusieurs délégués romands et alémaniques du groupe intercantonal Révolte agricole suisse ont remis lundi une pétition munie de 2000 signatures à l'Office fédéral de l'agriculture (OFAG). Le texte demande entre autres un allégement des normes dans le domaine paysan.

"On espère avoir été entendus et écoutés. On attend maintenant un retour sur nos revendications d'ici un mois", a indiqué à Keystone-ATS Charlène Taramarcaz, présidente du comité Action agricole Valais.

La pétition demande des conditions cadre qui permettent aux familles d'agriculteurs de vivre de leur travail. Elle exige que les prix au producteur soient augmentés de 5 à 10% cette année afin d'atteindre "un revenu comparable et décent".

Ses demandes comprennent une diminution des charges administratives et une simplification des contrôles dans l'agriculture. Les signataires réclament également plus de stabilité pour la politique agricole, avec l'abandon "des politiques agricoles à court terme" et un horizon de planification à 16 ans. Ils demandent aussi l'abandon de l'extension des zones réservées à la biodiversité.

Les agriculteurs ont également pu rencontrer les représentants du monde agricole aux Chambres fédérales.

Les membres de Révolte agricole ont récolté les signatures au cours des divers rassemblements qui ont eu lieu ces dernières semaines, notamment dans les cantons de Fribourg, Vaud, Neuchâtel, du Jura et du Valais. Le groupe prévoit encore une action avant que le travail estival ne prenne la priorité sur la mobilisation, précise Charlène Taramarcaz.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Environnement

Lausanne: le pressoir public fait son retour

Publié

le

La ferme de Cery accueille un pressoir public où transformer pommes, poires et coings (photo prétexte). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le pressoir public fait son retour à Lausanne. Dès jeudi et jusqu'au 31 octobre, les habitants de la capitale vaudoise et des environs pourront transformer pommes, poires et coings à la ferme de Cery. Les quantités acceptées vont de 20 à 500 kilos.

Qu'il provienne de vergers privés ou collectifs, chaque lot sera traité individuellement pour garantir la personnalisation des jus, écrit la Ville mercredi dans un communiqué. Les jus seront conditionnés à choix, en sachets de 3 litres ou en "bag-in-box" de 5 litres et 10 litres, assurant une conservation optimale par pasteurisation pouvant aller jusqu’à une année.

Depuis le lancement du projet en 2020, près de 6000 kilos de fruits sont transformés en jus chaque saison par les équipes de la coopérative L’autre temps, composées de personnes en réinsertion professionnelle, précise le communiqué. Cette offre est ouverte à toutes et tous, y compris aux personnes résidant hors de Lausanne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Environnement

Lancement d'une initiative pour sauver l’agriculture des OGM

Publié

le

Un comité lancé mardi l'initiative pour des aliments sans OGM (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le génie génétique doit être encadré par des règles strictes. L'association pour des aliments sans OGM, Bio Suisse et l’Alliance suisse pour une agriculture sans génie génétique ont lancé mardi leur initiative pour la protection des aliments.

Le comité veut ancrer la liberté de choix des consommateurs et la protection de l'humain, de l'animal et de l'environnement contre les risques liés au génie génétique. Les organismes ainsi produits devraient être clairement identifiés, demande l’initiative.

Les dispositions transitoires de l'initiative stipulent que le moratoire contre les OGM doit être maintenu jusqu'à ce que ces exigences soient réalisées.

Actuellement, la culture d'OGM n'est autorisée en Suisse qu'à des fins de recherche. Le moratoire sur l'utilisation de ces organismes dans l'agriculture est en vigueur depuis l'acceptation d'une initiative populaire en 2005. D'une durée de quatre ans, il a été déjà prolongé quatre fois et court jusqu'en 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Environnement

Expo et portes ouvertes pour les 50 ans du Centre de Lullier

Publié

le

Pour son 50e anniversaire, le Centre de formation professionnelle nature et environnement de Lullier (GE) ouvrira ses portes les 21 et 22 septembre (archives). (© KEYSTONE/YANNICK BAILLY)

Dès lundi, des portraits d'élèves du Centre de formation professionnelle nature et environnement de Lullier (GE) seront exposés sur la Plaine de Plainpalais. Pour son 50e anniversaire, l'école ouvrira aussi ses portes les 21 et 22 septembre.

Bertrand Carlier a suivi les apprentis du Centre de Lullier pendant un an. Chaque photographie raconte, au fil des saisons, l'histoire des élèves, leur engagement envers la nature et leur apprentissage des métiers de l'horticulture, de l'environnement et de l'art. L'exposition "Lullier: le savoir.vert" sera visible jusqu'au 30 septembre.

Toujours dans le cadre de cet anniversaire, 1500 tournesols seront distribués mercredi en Ville de Genève. Le Centre de Lullier a ouvert ses portes en 1974, prenant le relais de l'Ecole d'horticulture de Châtelaine fondée en 1887.

Le public pourra aussi découvrir le site les 21 et 22 septembre. Au programme: visites des jardins, des serres, des espaces de production et de recherche scientifique, rencontres avec des enseignants et des étudiants, démonstrations pratiques, ateliers, grimpe dans les arbres, conférences, exposition sur l'histoire de l'école, stands et restauration.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Environnement

Vaud veut réguler l'entier de la meute du Mont Tendre

Publié

le

Vaud demande de réguler l'entier de la meute du Mont Tendre (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MAXIME SCHMID)

Pour la première fois, le canton de Vaud souhaite éliminer une meute entière de loups. Une demande d'autorisation a été envoyée mi-août à Berne pour abattre les sept individus de la meute du Mont Tendre.

L'Office fédéral de l'environnement (OFEV) n'a pas encore donné sa réponse, indique vendredi le Département vaudois de l'environnement, confirmant à Keystone-ATS une information du Temps. Il s'agit d'une demande de régulation dite "proactive", prévue par le nouveau cadre légal fédéral.

Vaud justifie sa demande par "le nombre de prédations particulièrement important" de cette meute, et ce malgré les actions de régulation partielle menées jusqu'ici.

Cette meute, coupable des trois quarts des attaques dans le Jura vaudois, est jugée "problématique" contrairement aux autres présentes sur le territoire vaudois. Cela fait deux ans de suite que les attaques de cette meute s'intensifient. Celle-ci s'est aussi distinguée "en se rendant à plusieurs reprises proche des habitations depuis 2023".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Environnement

Le loup pourra être tué préventivement de septembre à janvier

Publié

le

La période de régulation du loup débute trois mois plus tôt qu'en 2023 (archives). (© KEYSTONE/DPA/CHRISTIAN CHARISIUS)

Les loups pourront être tués de manière préventive du 1er septembre au 31 janvier. L'Office fédéral de l'environnement a ouvert vendredi la deuxième période de régulation. Cinq cantons ont déjà déposé des demandes.

La période de régulation commence cette année trois mois plus tôt que l'année dernière. Les cantons ne disposent pas encore de toutes les données sur le nombre de louveteaux nés en 2024 et des demandes supplémentaires sont attendues, indique l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture