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Culture

Trump annonce qu'il débattra avec Harris le 4 septembre

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Un débat télévisé entre les candidats Donald Trump et Kamala Harris devrait avoir lieu le 4 septembre prochain (Photo montage). (© KEYSTONE/AP)

Le républicain Donald Trump a déclaré vendredi qu'il avait convenu avec Fox News de débattre le 4 septembre avec la vice-présidente et candidate à l'investiture du parti démocrate pour l'élection présidentielle américaine, Kamala Harris.

"J'ai convenu avec Fox News de débattre avec Kamala Harris le mercredi 4 septembre", a écrit M. Trump sur sa plateforme Truth Social. Il n'était pas clair dans l'immédiat si Mme Harris a accepté le débat.

Un deuxième débat télévisé Trump-Biden était prévu le 10 septembre sur la chaîne ABC. Le porte-parole de Donald Trump, Steven Cheung, avait jugé la semaine dernière qu'il était "inapproprié" de programmer son maintien, avec Kamala Harris remplaçant Joe Biden, avant que Mme Harris ne soit officiellement désignée candidate démocrate.

Dans son message, M. Trump a donné des détails sur le lieu du débat et sur les modérateurs, précisant qu'il se déroulerait devant un auditoire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

Culture

La 5e édition de Lausanne Méditerranées est consacrée à la Sicile

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La Sicile sera à l'honneur durant deux semaines à Lausanne (archives). (© Keystone/EPA ANSA/GIOVANNI FRANCO)

La 5e édition de Lausanne Méditerranées met à l'honneur la Sicile. Dès jeudi prochain et jusqu'au 6 octobre, quelque 30 propositions attendent le public, soit des spectacles, des concerts, des contes pour enfants, des projections de films, des ateliers musicaux, de céramique ou de cuisine, des soirées festives, une exposition, des conférences ou encore des témoignages.

Après le Maghreb, la Grèce, l'Albanie et le Liban, Lausanne Méditerranées prend la direction de la Sicile et met en lumière les richesses de la plus grande île méditerranéenne à travers une vaste programmation culturelle, indique la Ville. La programmation a été conçue en partenariat avec des Lausannoises et Lausannois d'origine sicilienne, précise-t-elle. Elle s'adresse à tous les publics.

Parmi les nouveautés de cette 5e édition: une collaboration avec la manifestation Lire à Lausanne et les Bibliothèques de la Ville pour découvrir la Sicile à travers des romans classiques, des oeuvres contemporaines, des essais, de la poésie ou des livres de voyage.

Deux soirées littéraires se tiendront à Pyxis, Maison de la culture et de l'exploration numérique, avec la participation de l’écrivain Nino Rizzo qui reviendra sur son vécu au sein d'une famille mafieuse, et de l'auteur Joseph Incardona qui évoquera ses souvenirs d'enfance passée dans la banlieue genevoise avec sa famille immigrée de Sicile

Initiée par la Ville de Lausanne en collaboration avec de nombreuses institutions culturelles, associations ainsi que la Fondation pour l'animation socioculturelle lausannoise et les centres socioculturels, Lausanne Méditerranées explore les richesses de l'espace méditerranéen et les liens multiples qui nous y rattachent, rappellent les autorités lausannoises dans leur communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Cinéma & Séries TV

Lætitia Dosch signe un drôle et touchant "procès du chien"

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© BANDE À PART FILMS - ATELIER DE PRODUCTION - RTS RADIO TÉLÉVISION SUISSE - SRG SSR - FRANCE 2 CINÉMA

Lætitia Dosch, réalisatrice, actrice et co-scénariste, nous livre une œuvre singulière avec "Le Procès du Chien". Tourné à Lausanne, le film notre rapport aux animaux et à la place des femmes, tout en offrant une comédie touchante et intelligente. Elle était mon invitée.

Le film suit Avril, une avocate spécialisée dans les causes désespérées qui voit débarquer dans son bureau un maitre chien. L'animal a mordu une femme, et cette dernière porte plainte. "L'avocate va arriver à prouver que le chien n'est pas une chose", explique Lætitia Dosche. "Et le juge va dire, si c'est pas une chose, ça se trouve c'est un individu. Donc il a possiblement une responsabilité dans ses actes, donc il faut faire le procès du chien."

Un casting de choix

Aux côtés de Lætitia Dosch et François Damiens, on retrouve Jean-Pascal Zaddy et Anne Dorval. François Damiens, dans le rôle d'un maître de chien malvoyant, a dû "tenir ça pendant 30 jours de tournage en jouant", raconte la réalisatrice. Jean-Pascal Zaddy, "hyper sexy en vrai", apporte une touche de charme et de sensibilité à son personnage. Anne Dorval, quant à elle, incarne une avocate d'extrême droite, un rôle caricatural mais dangereux.

Le véritable héros du film est peut-être Cody, le chien. "Je n'ai jamais vu un chien avec autant de spectre émotionnel", s'enthousiasme Lætitia Dosch. Cody, un bâtard à douze races, a été adopté par des dresseurs après avoir grandi dans les rues. "Il comprend quand on dit 'coupé'", ajoute-t-elle, soulignant l'incroyable capacité de l'animal à jouer.

Réfléchir sur notre rapport aux animaux

"Le Procès du Chien" pose des questions essentielles sur notre rapport au vivant. "Est-ce qu'on projette beaucoup de choses sur ces animaux, ou en même temps ils ont une conscience?", s'interroge Lætitia Dosch. Le film explore également les hiérarchies entre les animaux domestiques, les animaux liminaires et les animaux sauvages, et comment ces distinctions influencent notre traitement des différentes espèces.

Au-delà de la question animale, "Le Procès du Chien" aborde également des thèmes écologiques et féministes. "Je trouve ça hallucinant quand j'y pense qu'on ne représente que 0,99% des êtres vivants sur cette Terre, moins d'un pour cent", s'émerveille Lætitia Dosch. Elle souligne également les parallèles entre les femmes et les chiens dans son film, explorant comment les femmes, comme les animaux, sont souvent mises de côté et doivent lutter pour trouver leur voix.

Tourné en Suisse Romande

Le film est tourné à Lausanne, une ville que Lætitia Dosch adore. "On l'a un peu filmé comme un petit New York", dit-elle. Elle décrit Lausanne comme un endroit cosmopolite, où "les gens sont habillés chic et ils ont des chaussures de montagne". Cette ville, avec ses quartiers comme le Flon et la Riponne, offre un cadre unique et charmant au film.

"Le Procès du Chien" est un film qui fait rire, réfléchir et sans doute verser une larme, tout ça en 1h20!

Avec IA

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Culture

Mécontent, Musk qualifie le gouvernement australien de "fasciste"

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Elon Musk, le patron de X, a vivement critiqué le gouvernement australien. (© KEYSTONE/AP Invision/JORDAN STRAUSS)

Le milliardaire Elon Musk, patron du réseau social X, a qualifié jeudi soir le gouvernement australien de "fasciste", mécontent d'un projet de loi destiné à sanctionner les plateformes qui ne luttent pas contre la désinformation.

"Fascistes", a écrit en un seul mot sur Elon Musk sur X, commentant une publication sur le projet de loi présenté jeudi par le gouvernement australien.

Le texte prévoit notamment d'infliger aux géants de la technologie des amendes pouvant aller jusqu'à 5% de leur chiffre d'affaires annuel en cas de non-respect de leurs obligations en la matière.

En avril, Elon Musk avait annoncé que X ferait appel d'une injonction, émise par la justice australienne et demandée par le régulateur australien eSafety, de retirer de la plateforme tous les contenus liés à l'agression d'un évêque d'une église assyrienne dans la banlieue de Sydney.

Julie Inman Grant, commissaire d'eSafety et ancienne employée de Twitter, ancien nom de X, a déclaré que le rachat du réseau par Elon Musk coïncidait avec une augmentation de la "toxicité et de la haine" sur la plateforme.

La justice australienne a finalement décidé de lever l'injonction en mai, une décision que Elon Musk a célébrée comme une victoire de la liberté d'expression.

Le milliardaire s'est également récemment heurté à la justice au Brésil, où le juge de la Cour suprême du Brésil Alexandre de Moraes a ordonné début septembre "la suspension immédiate" de X sur tout le territoire en l'absence de représentant légal du réseau dans le pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Culture

Festival de Zurich: la Suédoise Alicia Vikander reçoit un Oeil d'or

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L'actrice suédoise Alicia Vikander sera honorée lors du prochain Zurich Film Festival (archives). (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

L'actrice suédoise oscarisée Alicia Vikander se verra décerner un Oeil d'or lors du 20e Festival du film de Zurich (ZFF). Le prix rend hommage à sa performance d'actrice exceptionnelle et à sa polyvalence, a fait savoir le ZFF jeudi.

Alicia Vikander, connue pour des films comme Ex Machina, The Danish Girl et Tomb Raider, recevra personnellement la distinction le 8 octobre, ajoute le ZFF dans un communiqué. La première suisse de son nouveau film The Assessment, réalisé par Fleur Fortuné, sera projetée en même temps.

"Nous sommes très heureux qu'Alicia Vikander revienne au ZFF à l'occasion de son 20e anniversaire, après nous avoir déjà rendu visite en 2017. J'ai été très heureux de la rencontrer en 2023 au Karlovy Vary International Film Festival. A cette occasion, je lui ai parlé de notre anniversaire et lui ai dit à quel point nous serions heureux de l'accueillir à nouveau à Zurich", a déclaré le directeur artistique du festival, Christian Jungen.

D'autres invités de marque comme Richard Gere et Jude Law seront présents au Festival du film de Zurich. Ce dernier sera également récompensé par un Oeil d'or, a déjà fait savoir le ZFF. Le thriller politique The Order, avec Jude Law dans le rôle principal, ouvrira le festival cette année. Le ZFF se déroulera du 3 au 13 octobre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Genève/Lausanne: manifestation des journalistes romands de Tamedia

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Les journalistes des titres romands de Tamedia ont débrayé pendant une heure jeudi en fin de matinée, à Genève et à Lausanne. L'enseigne de la Tribune de Genève a été brièvement modifiée. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le personnel des titres romands de Tamedia a débrayé pendant une heure jeudi en fin de matinée à Genève et à Lausanne. Une centaine de personnes - journalistes, syndicalistes et élus - se sont réunies devant les locaux de la Tribune de Genève et de 24 heures.

Ce débrayage intervient deux semaines après l'annonce de la restructuration du premier éditeur de Suisse, qui prévoit de supprimer 90 postes dans ses rédactions et 200 autres emplois en fermant ses imprimeries de Bussigny et Zurich.

Les titres romands, comme la Tribune de Genève, 24 heures ou le Matin Dimanche, seront particulièrement touchés. Selon les estimations du personnel, un poste sur quatre, voire sur trois passera à la trappe.

Ce plan massif de restructuration signe la mort à petit feu de la Tribune de Genève, qui a déjà perdu environ un tiers de ses forces en dix ans, a affirmé jeudi son représentant du personnel Rocco Zacheo.

Pour son homologue de 24 heures, Erwan Le Bec, il ne s'agit pas d'une nouvelle "charrette" de Tamedia, "mais d'une destruction pure et simple des rédactions". Devant "l'ampleur" de cette annonce, "la première chose à faire serait de tout arrêter et de se mettre autour d'une table pour discuter", a-t-il dit.

Interrogé par Keystone-ATS, il a expliqué que des questions avaient été adressées à la direction de Tamedia, notamment pour savoir quels étaient "les projets précis" du groupe et combien de personnes seraient licenciées.

Ces questions sont, pour l'instant, restées sans réponse alors qu'une période de consultation va démarrer. Les détails de la restructuration seront ainsi divulgués par étapes, la semaine prochaine puis dans la première semaine d'octobre.

Bouleversement "inédit"

Durant ce débrayage d'une heure, une banderole noire a été déployée sur la façade de la Tribune de Genève, avec l'inscription "Sans nous, qui parlera de vous ?". L'enseigne a aussi été brièvement modifiée en "Tribune de Zurich".

Les manifestants ont aussi brandi de nombreux panneaux, où l'on pouvait notamment lire "Tamedia condamne vos médias" ou encore "L'info romande saignée à blanc."

Les débrayages de Genève et Lausanne ont réuni des journalistes et syndicalistes. Des collaborateurs de l'imprimerie de Bussigny, condamnée à la fermeture, étaient aussi présents.

Des élus se sont aussi déplacés, à l'image de la conseillère d'Etat vaudoise Isabelle Moret. Dans son discours, elle a rappelé que le gouvernement vaudois avait rencontré la direction de Tamedia pour lui faire part de sa "très grande inquiétude pour l'avenir des médias en Suisse romande".

La ministre de l'économie a mis en garde face à "ce bouleversement inédit" pour la presse romande. "Nous voulons des médias qui puissent faire correctement leur travail", a-t-elle souligné.

"Plan de marginalisation"

Le Conseil d'Etat genevois a aussi eu l'occasion de rencontrer la directrice générale de Tamedia Jessica Peppel-Schulz. Celle-ci a notamment assuré que la Tribune de Genève continuera d'exister, tant sous format papier que digital, même si Tamedia a dit miser davantage sur la marque 24 heures pour sa croissance numérique.

Pas de quoi rassurer les rédactions romandes de Tamedia. Dans leur communiqué diffusé jeudi, elles parlent d'un "plan de marginalisation" de la Tribune de Genève.

A Lausanne, la préoccupation n'est pas moindre: "la stratégie annoncée de développement de 24 heures apparaît peu crédible vu les coupes envisagées." Les moyens du Matin Dimanche sont également "fortement menacés", poursuit le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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