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Culture

Soupçon de cyberfraude en Roumanie: recomptage de la présidentielle

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Calin Georgescu est arrivé en tête du premier tour de la présidentielle, mais un recomptage a été décidé. (© KEYSTONE/EPA/ROBERT GHEMENT)

Recomptage des bulletins, demande de "mesures d'urgence" visant TikTok: les autorités roumaines se lancent dans une offensive tous azimuts après le résultat choc d'un confidentiel candidat d'extrême droite au premier tour de la présidentielle dimanche.

La Cour constitutionnelle a ordonné "à l'unanimité" de procéder à un nouveau dépouillement, après avoir été saisie d'une demande par un autre candidat.

Cristian Terhes, député européen d'extrême droite arrivé en neuvième position lors du scrutin, accuse un des partis d'avoir continué à faire campagne en ligne après le délai autorisé.

Il estime que cela a pu favoriser Elena Lasconi, la maire centriste d'une petite ville arrivée en deuxième position, juste devant le premier ministre Marcel Ciolacu, qui s'est retrouvé écarté de la course alors qu'il faisait figure de favori.

La juridiction doit se réunir de nouveau vendredi à 14h00 (13h00 suisses).

Elle a en revanche rejeté un autre recours, reçu "tardivement", qui dénonçait le financement opaque de la campagne de Calin Georgescu, arrivé contre toute attente en tête du premier tour.

Cet ancien haut fonctionnaire, admirateur du président russe Vladimir Poutine et opposé à l'aide à l'Ukraine, s'est spectaculairement hissé au second tour après une campagne sur TikTok devenue virale.

TikTok dément

Après plusieurs jours de suspicions, les autorités ont ouvertement mis en cause jeudi la plateforme, propriété du géant chinois ByteDance.

M. Georgescu a bénéficié d'un "traitement préférentiel" de la part de cette application très populaire en Roumanie, a affirmé le Conseil suprême de la défense nationale après une réunion consacrée aux cyberrisques dans les élections.

Sans le nommer, le communiqué de la présidence évoque "l'exposition massive" dont il a bénéficié, et appelle à des mesures immédiates, sans préciser lesquelles.

La veille, TikTok avait dénoncé des allégations "erronées et trompeuses". Et jeudi encore, le géant chinois dément "catégoriquement avoir traité différemment" le candidat d'extrême droite.

La Commission européenne a d'ores et déjà été saisie par l'autorité de régulation des médias d'une demande "d'investigation formelle sur le rôle" du réseau social.

Dans le cadre du règlement sur les services numériques (DDA), TikTok a "l'obligation d'évaluer et d'atténuer les risques systémiques liés aux processus électoraux", rappelle Bruxelles.

Si la Commission "soupçonne une infraction, elle peut donc ouvrir une procédure pour vérifier le respect" des engagements pris par la plateforme.

Enfin, la Roumanie dit avoir constaté des "cyberattaques" visant à "influencer la régularité du processus électoral" en cours, notant "un intérêt croissant" de la part de la Russie (...) dans le contexte actuel de sécurité régionale".

"Manoeuvres" anti-démocratiques

Selon la législation, l'élection peut être annulée en cas de découverte de "fraudes de nature à altérer les résultats ou l'ordre d'arrivée des candidats".

"C'est une situation sans précédent" depuis la chute du communisme et la transition démocratique en 1989, a commenté un ancien juge auprès de la Cour, Augustin Zegrean, sur la chaîne roumaine Digi24. "Les choses risquent de tourner très mal", redoute-t-il, alors que le calendrier électoral est très serré.

Les Roumains retournent en effet aux urnes ce dimanche pour élire le Parlement, avant le second tour de la présidentielle le 8 décembre, si tout va bien.

Les résultats du 24 novembre ont provoqué une onde de choc dans ce pays d'Europe orientale de 19 millions d'habitants.

Voisin de l'Ukraine, membre de l'UE et de l'Otan, la Roumanie avait jusqu'ici résisté aux positions nationalistes, se démarquant notamment de la Hongrie ou de la Slovaquie.

Mme Lasconi, celle qui pourrait avoir le plus à perdre dans le recomptage tant l'écart qui la sépare de M. Ciolacu est faible (quelque 2700 bulletins), a dénoncé l'annonce de la Cour constitutionnelle (CCR).

"Elle joue avec la sécurité nationale!", s'est-elle insurgée dans un communiqué. "Ce que la CCR essaie maintenant de faire est absolument terrible dans un pays démocratique".

"L'extrémisme se combat dans les urnes, pas par des manoeuvres en coulisse", a ajouté la candidate de 52 ans, rappelant que la Cour avait déjà interféré dans le processus électoral.

Elle avait exclu en octobre du scrutin de la présidentielle une élue d'extrême droite, Diana Sosoaca, au motif que ses déclarations étaient contraires aux "valeurs démocratiques", une décision qui avait provoqué un tollé dans le pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Culture

Parthénon: partenariat en vue entre le British Museum et Athènes

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La Grèce réclame depuis des décennies le retour des précieuses frises détachées du Parthénon. (archives) (© KEYSTONE/AP/MATT DUNHAM)

Le British Museum à Londres s'est montré ouvert mardi à un "partenariat sur le long terme" avec Athènes sur les frises du Parthénon dont le gouvernement grec réclame le retour, laissant entrevoir une solution à une querelle historique.

L'annonce du musée londonien, où sont exposés ces vestiges antiques depuis plus de deux siècles, est intervenue le jour d'une visite du Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis à Londres, où il a rencontré son homologue britannique Keir Starmer.

"Des discussions avec la Grèce pour un 'Partenariat Parthénon' sont en cours et constructives", a indiqué un porte-parole du musée dans un communiqué.

Un prêt est la solution qui apparait privilégiée. Chaque année quelque 1400 objets font l'objet de prêts à long terme du musée à des institutions partenaires.

"Partage"

"Nous pensons que ce type de partenariat à long terme permettrait de trouver un juste équilibre entre le partage de nos plus beaux objets avec des publics du monde entier et le maintien de l'intégrité de l'incroyable collection que nous conservons au musée", a ajouté le British Museum.

Une source gouvernementale grecque avait indiqué, après la rencontre entre les deux Premiers ministres, que Londres ne "ferait pas obstacle" à un retour des frises du Parthénon en Grèce si un accord était trouvé entre Athènes et le British Museum.

Avant sa visite au Royaume-Uni, Kyriakos Mitsotakis, ardent partisan d'un retour de ces trésors archéologiques vieux de quelque 2500 ans, s'était dit "fermement convaincu" que les marbres du Parthénon reviendraient à Athènes.

Selon lui, la question n'est pas de savoir "si" elles retrouveront leur ville d'origine mais "quand".

Toutefois, a-t-il répété ces derniers jours, le règlement éventuel de cette question épineuse, qui empoisonne les relations bilatérales de longue date, concerne le gouvernement grec et le musée britannique.

Les deux Premiers ministres n'ont pas indiqué s'ils avaient abordé ce long contentieux mardi.

Downing Street avait affirmé en amont de l'entretien que les frises du Parthénon ne figuraient "pas à l'agenda" de Keir Starmer. Et les services du Premier ministre britannique ont indiqué que les discussions avaient été consacrées à l'immigration, au soutien à l'Ukraine et à un cessez-le-feu à Gaza.

Le gouvernement britannique a indiqué qu'il n'avait pas l'intention de "modifier la loi pour permettre" un retour des frises à Athènes: une loi britannique de 1963 empêche le musée d'effectuer des restitutions.

Mais interrogé sur un éventuel prêt des marbres du Parthénon, un porte-parole de Downing Street a indiqué que "ces décisions reviennent entièrement au British Museum".

La Grèce est déterminée à retrouver son patrimoine. Un retour à Athènes de ce trésor antique exposé dans l'un des plus grands musées du monde depuis 1816 constituerait pour le dirigeant conservateur une victoire politique incontestable.

Rencontres privées

Dans cette optique, Kyriakos Mitsotakis a mené avec son chef de la diplomatie, George Gerapetritis, des "rencontres privées" avec des responsables du British Museum, dont son dirigeant George Osborne, à "deux ou trois reprises" cette année, selon la télévision britannique Sky News.

Le gouvernement travailliste de Keir Starmer semble plus enclin à écouter la demande grecque que son prédécesseur, le conservateur Rishi Sunak.

Ce dernier avait infligé un camouflet diplomatique à M. Mitsotakis en annulant à la dernière minute une rencontre prévue il y a un an, durant laquelle le dirigeant grec comptait aborder la question.

"Pillage" ou "acquises légalement"

Les autorités grecques, qui réclament depuis des décennies le retour de ces précieuses frises détachées du Parthénon, soutiennent qu'elles ont été l'objet d'un "pillage" orchestré en 1802 par Lord Elgin, ambassadeur britannique auprès de l'Empire ottoman.

Mais Londres affirme que les sculptures ont été "acquises légalement" par Lord Elgin, qui les a revendues au British Museum.

Au Royaume-Uni, où selon un sondage YouGov de 2023, une majorité de Britanniques se montrent favorables à une restitution, les opposants craignent un effet domino qui verrait les revendications de plusieurs pays s'accumuler.

Au sommet de l'Acropole, le Parthénon est un temple construit au Ve siècle avant JC en hommage à la déesse Athéna.

Le nouveau musée de l'Acropole, inauguré en 2009, a réservé un espace pour accueillir les frises du Parthénon à l'étage où sont reconstitués les quatre côtés du temple. Les frises exposées à Londres ont été remplacées par des moulages.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Lausanne: règlement assoupli pour les musiciens de rue

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Lausanne assouplit les conditions d'exercice des musiciens de rue (photo dîllustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Il sera plus facile pour les musiciens et chanteurs de rue de se produire dans les rues de Lausanne. La Municipalité a décidé d’abroger dès le 1er janvier 2025 des prescriptions datant de 1981.

La révision vise à simplifier les conditions d’exercice pour les artistes de rue, en permettant des performances sur tout le territoire lausannois, avec des autorisations valables 90 jours, a annoncé la Ville de Lausanne. Les taxes d’occupation du domaine public sont supprimées, mais l’émolument (taxe) d’autorisation est maintenu.

Les dispositions concernant les artistes ambulants sont désormais couvertes par le Règlement général de police. Le Service de l’économie mettra à jour les directives et publiera les informations sur son site internet.

"Les musiciens de rue enrichissent l’animation des rues lausannoises, pour autant que leur présence reste harmonieuse et non répétitive. Réduire les taxes qui leur sont appliquées est une mesure logique pour valoriser leur contribution et renforcer l’attractivité de notre espace public", commente Pierre-Antoine Hildbrand, municipal en charge de l'économie, cité dans le communiqué.

L'activité reste soumise à contrôle. Quant à l'idée de faire passer des auditions aux musiciens comme demandé dans un postulat déposé au Conseil communal, elle n'a pas été retenue, a précisé M. Hildbrand.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Harvey Weinstein hospitalisé à New York après des "tests alarmants"

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Harvey Weinstein avait comparu devant un tribunal de Manhattan en octobre pour des audiences de procédure, pâle et visiblement diminué (archives). (© KEYSTONE/AP Pool Getty Images/SPENCER PLATT)

Le producteur roi déchu d'Hollywood Harvey Weinstein, en prison pour viol et souffrant notamment d'une leucémie, a été hospitalisé après des "tests sanguins alarmants", selon son avocat. L'homme de 72 ans est incarcéré à la prison de Rikers Island, à New York.

L'ancien maître du cinéma américain, qui devra être rejugé à New York en 2025 pour viol et agression sexuelle, a été hospitalisé à la suite d'un "résultat alarmant de tests sanguins qui a nécessité des soins médicaux immédiats", a indiqué lundi dans un courriel à l'AFP l'avocat. Il restera à l'hôpital "jusqu'à ce que son état se stabilise".

Incarcéré dans des "conditions déplorables et inhumaines", l'ancien producteur, dont des médias avaient affirmé à la fin octobre qu'il était atteint d'un cancer de la moelle osseuse, "est privé de soins, ce qui constitue non seulement une faute médicale, mais aussi une violation de ses droits constitutionnels", a tonné l'avocat.

Dans le même courriel un porte-parole de M. Weinstein rappelle que son client "souffre de nombreuses maladies, dont une leucémie" et "manque de soins médicaux" qui s'apparentent à du "mauvais traitement constitutif d'une punition cruelle et hors du commun".

En chaise roulante

M. Weinstein avait déjà été hospitalisé d'urgence en septembre pour une "opération au coeur", avant d'être réincarcéré. Il avait ensuite comparu devant un tribunal de Manhattan pour des audiences de procédure, la dernière fois à la fin octobre sur une chaise roulante, pâle et visiblement diminué.

L'ancien patron des studios Miramax doit être rejugé en 2025 à New York après la retentissante annulation en avril dernier par une cour d'appel de sa condamnation en 2020 à 23 ans de prison pour le viol d'une actrice, Jessica Mann, et l'agression sexuelle d'une assistante de production, Mimi Haleyi.

Un nouveau procès devait s'ouvrir le 12 novembre, mais, entretemps, le parquet de Manhattan l'avait inculpé pour une autre agression sexuelle présumée dans un hôtel de Manhattan, au printemps 2006, une accusation pour laquelle il a plaidé non coupable et réclamé un procès séparé.

La prochaine audience de procédure aura lieu le 29 janvier pour fixer normalement une date de procès pour l'ensemble des poursuites.

Même si sa condamnation new-yorkaise a été annulée, Harvey Weinstein reste incarcéré, car il a été condamné en 2023 à 16 ans de prison par un tribunal de Los Angeles pour d'autres cas de viol et agressions sexuelles.

Les révélations en 2017 sur cet ancien faiseur de rois à Hollywood avaient déclenché l'onde de choc planétaire #Metoo et libéré la parole de victimes. Plus de 80 femmes l'ont accusé de harcèlement, d'agression sexuelle ou de viol.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Patrouille Suisse: les sénateurs rejettent le maintien des F-5

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La Patrouille suisse a soufflé en août ses 60 bougies (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

La Patrouille Suisse ne doit pas être maintenue dans sa forme actuelle. Les sénateurs ont refusé lundi par 25 voix contre 19 une motion de Werner Salzmann (UDC/BE) en ce sens.

Toute la commission a de la sympathie pour la Patrouille Suisse. Cependant, les coûts supplémentaires liés au maintien de l'avion de combat F-5 Tiger, utilisé pour la Patrouille Suisse, ne se justifient pas au vu de l'état des finances fédérales et de la situation sécuritaire mondiale, a indiqué Andrea Gmür-Schönenberger (C/LU) pour la commission.

Werner Salzmann s'est désolé que la Patrouille Suisse soit sacrifiée sur l'autel des économies. Elle est importante pour l'image et la capacité de défense de la Suisse. Il a aussi rappelé que les Etats-Unis utilisent des F-5 comme représentations de cibles à des fins d'entraînement. L'utilisation d'un nombre minimum de F-5 n'est donc pas un luxe, a-t-il souligné, en vain.

Le Département fédéral de la défense veut mettre un terme à l'exploitation des F-5 Tiger fin 2027. Il examine la possibilité de poursuivre la Patrouille Suisse avec un autre type d'avion.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Des documents aux enchères qui éclairent sur la fin des Beatles

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Les documents aux enchères mettent en lumière les nombreuses batailles judiciaires qui ont pesé sur la vie du groupe légendaire (archives). (© KEYSTONE/STR)

Oubliés dans un placard depuis les années 1970, des documents juridiques qui apportent un nouvel éclairage sur la fin des Beatles seront vendus la semaine prochaine par la maison de vente britannique Dawsons.

Estimés à 5000 livres (6000 euros), ils seront mis en vente le 12 décembre. Parmi eux, des copies des procès-verbaux des réunions d'un conseiller des Beatles, des assignations en justice et une copie de l'acte de partenariat original du groupe datant de 1967.

Alors que les divergences créatives, la pression de la célébrité et la femme de John Lennon, Yoko Ono, ont été blâmées pour la rupture des "Fab Four", ces documents mettent en lumière les nombreuses batailles judiciaires qui ont également pesé sur la vie du groupe.

Parmi elles, celle lancée par Paul McCartney contre la décision des autres membres d'engager Allen Klein comme manager, après la mort de Brian Epstein. S'ensuivra une bataille devant la Haute Cour de Londres, lancée par McCartney contre le groupe, et qui révéla la mauvaise gestion de Klein.

Arrangements complexes

"Il serait presque impossible d'exagérer la complexité des divers arrangements juridiques conclus par MM. Lennon, McCartney, Harrison et Starkey (Ringo Starr)", peut-on lire sur l'un des documents.

La question des redevances musicales et cinématographiques ainsi que l'incapacité de Klein à produire des comptes annuels pour l'administration fiscale sont au coeur des questions qui ont déchiré le groupe.

"Même si John, Paul, George et Ringo en avaient assez d'être les Beatles et voulaient enregistrer et se produire en tant qu'artistes individuels, cela a dû être une période difficile pour chacun d'entre eux", commente Denise Kelly, responsable du département divertissement et culture populaire de Dawson.

La rupture a été annoncée en 1970 par Paul McCartney mais le processus légal de séparation n'a été finalisé qu'en 1974.

Du document officialisant leur séparation à leur premier contrat d'enregistrement, les ventes aux enchères autour des Beatles se sont multipliées ces dernières années.

L'intérêt ne se dément pas. Jeudi, une lettre écrite en 1971 par John Lennon à son compatriote Eric Clapton sera mise en vente par Christie's. Elle témoigne de son envie de tourner la page des Beatles pour créer un nouveau groupe avec Clapton.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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