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Culture

Otages de l'EI en Syrie: Nemmouche qu'il n'était pas le "geôlier"

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Le photographe Edouard Elias (gauche) et le journaliste Didier François (au centre)), tous deux anciens otages, assistent à l'ouverture du procès de cinq hommes, dont Mehdi Nemmouche, pour avoir retenu des otages occidentaux en Syrie en 2013 et 2014. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

L'audience vient de débuter lundi quand Mehdi Nemmouche annonce "une déclaration préalable": "Je n'ai jamais été le geôlier des otages occidentaux ni d'aucun autre" en Syrie, lance-t-il à l'ouverture de son procès devant la cour d'assises spéciale de Paris.

Mehdi Nemmouche, 39 ans, sweat noir, cheveux bruns coiffés au gel, rasé de près, est accusé d'avoir été le geôlier des quatre journalistes français, Nicolas Hénin, Didier François, Edouard Elias et Pierre Torres, détenus pendant près d'un an par le groupe jihadiste Etat islamique en Syrie en 2013.

Ils ont pris place dans la salle d'audience sur les bancs des parties civiles face au box, à une dizaine de mètres de celui qu'ils ont "formellement" reconnu comme l'un de leurs geôliers en Syrie.

Le président Laurent Raviot demande aux accusés (trois présents, deux présumés morts en Syrie) de décliner leur identité.

"Nemmouche Mehdi, de père inconnu", répond-il debout au micro derrière la vitre, visiblement à l'aise, débit de voix précipité et gestes amples.

"Et je vais faire une déclaration préalable", annonce-t-il sans laisser le choix à la cour. "Je n'ai jamais été le geôlier des otages occidentaux".

"On verra ça plus tard", répond le président.

"Je n'ai jamais été le geôlier des otages occidentaux ni d'aucun autre. Et je n'ai jamais rencontré ces personnes en Syrie", poursuit-il, assurant n'avoir été qu'un "soldat sur le front" pour différents groupes jihadistes "contre les forces de Bachar al-Assad".

"La première fois que j'ai vu Nicolas Hénin, c'était devant la cour d'assises de Bruxelles", ajoute l'accusé.

Mehdi Nemmouche a été condamné à la perpétuité en 2019 pour l'attaque au musée juif de la capitale belge. Premier d'une longue série de jihadistes de l'EI à rentrer de Syrie pour commettre un attentat, Mehdi Nemmouche y avait abattu quatre personnes le 24 mai 2014.

Quand il est arrêté quelques jours plus tard à Marseille, sa photo est publiée dans la presse.

"Réparer"

Cela fait tout juste un mois que les journalistes sont rentrés en France et Nicolas Hénin appelle directement la DGSI pour dire qu'il pense avoir reconnu l'un des geôliers.

En voyant d'autres images, en entendant sa voix, les otages sont ensuite sûrs à "100%" : Mehdi Nemmouche est "Abou Omar", l'un de leurs geôliers "bavard", "pervers", "sadique" qui leur chantait Aznavour, menaçait de les égorger ou torturait des détenus syriens toute la nuit.

Ils avaient été enlevés en juin 2013, comme 25 journalistes et humanitaires occidentaux au total, souvent détenus ensemble.

Les Français avaient été libérés au bout de 10 mois, après des mois de supplice, entre violences physiques et psychologiques, privations de nourriture et simulacres d'exécutions.

D'autres comme le journaliste américain James Foley et l'humanitaire britannique David Haines avaient été exécutés dans des mises en scène macabres, à genoux, mains liées derrière le dos, en tenues oranges rappelant celles des prisonniers de Guantanamo.

"Je suis coupable, coupable d'avoir intégré un groupe terroriste, l'Etat islamique, coupable d'avoir côtoyé des personnes qui ont commis des crimes", déclare en s'excusant de sa voix emplie de "stress" le voisin de box de Mehdi Nemmouche, Abdelmalek Tanem, 35 ans, crâne rasé, grosse barbe fournie.

"Mais je suis innocent du fait d'être un geôlier. Je n'ai tué personne. Je n'ai jamais menacé la France et je ne voulais même pas revenir sur le sol européen", ajoute-t-il.

Le dernier accusé présent, le Syrien Kais Al Abdallah, 41 ans, chemise à carreaux bleus et blancs, est soupçonné d'avoir facilité la séquestration de Nicolas Hénin et Pierre Torres. Il jure lui aussi "n'avoir rien à voir" avec ce qu'on lui reproche.

Les ex-otages espèrent des réponses, voire un "moment de justice", comme dit Nicolas Hénin à la presse. "Un procès, c'est vraiment un moment où on vient réparer un crime" même si "on ne peut pas réparer physiquement", "faire revenir des morts".

"Donc un procès, ça ne peut que produire des symboles. Et ces symboles, ils doivent être d'autant plus beaux, d'autant plus gros, d'autant plus forts que le crime a été monstrueux".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Culture

Le producteur de cinéma bâlois Arthur Cohn est décédé

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Arthur Cohn est décédé à l'âge de 98 ans (photo d'archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Le producteur de cinéma bâlois et lauréat de plusieurs Oscars Arthur Cohn est décédé vendredi à l'âge de 98 ans. C'est ce qu'a annoncé sa famille dans un avis de décès transmis à l'agence de presse Keystone-ATS.

Arthur Cohn a reçu six Oscars pour ses productions cinématographiques. Il a également reçu une étoile sur le Walk of Fame d'Hollywood, trois doctorats honoris causa, dont celui de l'Université de Bâle, et la plus haute distinction française, le Commandeur de l'Ordre des Arts et des Lettres. En 2019, le producteur de cinéma a été récompensé à Berlin pour l'ensemble de son ½uvre.

Arthur Cohn a passé ses années de jeunesse et d'études à Bâle. Il a ensuite travaillé plusieurs années comme journaliste, notamment pour l'émission de radio "Echo der Zeit" de la SRF, avant de se lancer progressivement dans le cinéma.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le groupe NZZ veut monter au capital d'APG-SGA

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APG-SGA est un spécialiste de l'affichage publicitaire en extérieur (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

L'actionnariat du spécialiste de la publicité en extérieur APG-SGA s'apprête à changer fortement. Le groupe de médias NZZ a l'intention de renforcer sa participation à 45%, contre 25% actuellement.

Le groupe NZZ a l'intention de racheter des titres aux investisseurs historiques du groupe genevois, le français JCDecaux et la société de participation Pargesa, précisent vendredi les deux entreprises en voie de rapprochement.

La transaction n'est pas encore réalisée puisque NZZ demande préalablement l'introduction d'une clause d'"opting up" sélective dans les statuts de l'entreprise, qui lui épargnerait de lancer une offre de reprise complète sur APG-SGA tant que le seuil des 49% des droits de vote ne serait pas dépassé. Actuellement, la limite est fixée à 33%.

Cette proposition et la montée au capital de NZZ est soutenue par les administrateurs indépendants du géant de l'affichage, qui estiment que le groupe de médias zurichois, bien implanté en Suisse et jouissant d'une bonne réputation ainsi que d'une marque forte, est un "partenaire idéal" pour APG-SGA. Dans un contexte de désengagement des grands actionnaires JCDecaux et Pargesa, la transaction aura un effet stabilisateur, affirment ces administrateurs. NZZ s'est par ailleurs engagé à maintenir une politique de distribution de "dividende favorable".

Feu vert de la Commission des OPA

Au sujet de la clause d'opting up, la solution proposée ne va pas au-delà de ce qui est nécessaire, précise le communiqué. Dans une prise de position distincte, la Commission des OPA estime que le dispositif prévu par APG-SGA est "valable et déploie ses effets au regard du droit".

Les actionnaires du groupe genevois auront cependant le dernier mot. Ils se réuniront en assemblée générale extraordinaire le 23 janvier. L'introduction de la clause d'opting up nécessitera une "majorité de la minorité", excluant donc les votes de la NZZ, de JCDecaux et de Pargesa.

NZZ souhaite racheter les actions à un prix unitaire de 220 francs, bien davantage que les 205 francs du cours de clôture de jeudi. La société zurichoise est engagée dans APG-SGA depuis juin 2024, date à laquelle elle avait déjà racheté un paquet de titres à Pargesa et JCDecaux, à hauteur de 25% du capital-actions.

Le président s'en va

"Les hypothèses qui ont motivé l'acquisition initiale de la participation se sont confirmées. APG-SGA se développe bien et nous voyons un potentiel de croissance supplémentaire sur les marchés de la publicité numérique", indique Isabelle Welton, présidente du groupe NZZ, citée dans un autre communiqué.

Dans le sillage de ses changements, le président de APG-SGA Daniel Hofer annonce son départ, après 15 ans au service de la société dont 11 ans à son poste actuel. Le conseil d'administration proposera en remplacement lors de l'assemblée générale ordinaire du 23 avril la candidature du patron du groupe NZZ Felix Graf. La vice-présidence est promise à l'administratrice Maya Bundt.

Xavier Le Clef, qui représente Pargesa à l'organe de surveillance, ne briguera pas de nouveau mandat. Corine Blesi, directrice générale de NZZ Connect et membre de la direction élargie de la NZZ, sera proposée comme nouvelle administratrice.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Genève

Un livre sonore remet au goût du jour le patrimoine musical romand

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Elles veulent préserver la mémoire musicale suisse. Deux chanteuses du groupe Suisse Chérie, et jeunes mamans, publient “Mes premières chansons suisses”, un livre sonore illustré destiné aux tout-petits. On y retrouve des airs emblématiques comme Le Vieux Chalet, Le Ranz des Vaches mais aussi Tout Simplement. 

Ces chansons ont sûrement bercé votre enfance, et berceront peut-être aussi celle de votre progéniture. “Mes premières chansons suisses”, c’est son nom, a été imaginé par Pauline et Natacha, deux chanteuses du groupe Suisse Chérie. Ces jeunes mamans veulent transmettre l’héritage musical suisse. Pauline est l'une des deux artistes:

Pauline du groupe Suisse Chérie

Dans ce livre sonore figurent des airs emblématiques comme Le Ranz des vaches, Sentiers valaisans ou encore Tout simplement : des titres venus de plusieurs cantons romands.
Natacha est l’une des deux artistes à l'origine du projet:

Natacha du groupe Suisse Chérie

Le livre, qui coûte 15 francs,  a également été offert à 80 crèches genevoises pour faire vivre ces chansons dans le quotidien des tout-petits. Vous pouvez le retrouver sur le site www.suissecherie.com ou en librairie chez Librerit et Nouvelles Pages à Carouge ainsi qu'à l'Alchimiste à Lancy. 

 

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International

"Scorpions" fêtent leur 60 ans avec un album live

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Le groupe Scorpions à la WiZink Center arena à Madrid en Espagne le 16 juillet 2024 (EPA/Mariscal)

Avec un concert spectaculaire dans un stade de Hanovre, le groupe de hard rock allemand "Scorpions" a célébré en juillet ses 60 ans. Les musiciens, dirigés par le chanteur Klaus Meine, présentent désormais cet événement sous le titre "Coming Home Live" en double vinyle et double CD.

L'enregistrement rassemble des ballades comme "Still Loving You", des tubes comme "Rock You Like A Hurricane" et des succès mondiaux tels que "Wind of Change". Le chanteur Klaus Meine a dit à l’agence de presse allemande DPA que l'impact mondial de l’hymne de la paix avec son intro sifflée le remplissait non seulement de joie, mais aussi d’humilité. "L'espoir qu'avec la chute du Rideau de fer, un monde de paix durable verrait le jour ne s'est malheureusement pas réalisé. Mais le désir d'une coexistence pacifique est plus fort que jamais - et unit les gens à travers le monde."

Dans "Coming Home Live", les musiciens naviguent avec plaisir à travers 60 ans d’histoire du groupe. Le guitariste Rudolf Schenker se présente, comme à son habitude, comme un moteur et une source d’énergie. Le cofondateur du groupe façonne avec le guitariste Matthias Jabs le son typique des "Scorpions". Le batteur Mikkey Dee et le bassiste Paweł Maciwoda assurent le groove en arrière-plan. Et bien sûr, il y a la voix charismatique de Klaus Meine.

Une "famille Rock'n'Roll"

En 60 ans, il y a eu des défis, raconte le chanteur. "En 1981, quand les Scorpions ont connu leurs premiers succès mondiaux, j'ai dû subir deux opérations des cordes vocales." Comme la guérison était incertaine, il avait conseillé au groupe de chercher un nouveau chanteur. "Mais Rudolf a décidé d’attendre. Cela a été pour moi la preuve que nous sommes vraiment une famille du Rock'n'Roll - et cela, jusqu'à aujourd'hui. Je n'oublierai jamais cela."

"Coming Home Live" est donc une rétrospective à travers le catalogue de titres du groupe, et aussi un document de l’histoire de la musique allemande. Les "Scorpions" ont vendu plus de 120 millions de disques et ont donné plus de 5000 concerts à travers le monde. Cependant, il a fallu plus de temps en Allemagne, par rapport aux États-Unis, pour obtenir une reconnaissance de masse.

"Les artistes sont souvent jugés plus sévèrement dans leur propre pays, alors qu'ils sont célébrés à l'étranger", explique Klaus Meine. Il trouve "presque incroyable" d’avoir joué devant des dizaines de milliers de fans à Los Angeles ou à Rio de Janeiro, pour ensuite revenir à la vie "normale" à Hanovre. Mais surtout pendant l'année de leur anniversaire, le groupe est considéré comme une légende dans les médias allemands. "Vivre cela dans son propre pays, c'est vraiment très agréable", conclut Klaus Meine.

"Coming Home Live" des Scorpions vient de sortir chez Universal/Vertigo début décembre.

Avec Keystone-ATS

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Culture

La SSR diffusera à nouveau ses programmes radio en FM

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Les automobilistes devraient à nouveau pouvoir écouter les programmes de la RTS en FM (image d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La SSR prend acte de la décision des Chambres fédérales de ne pas désactiver la diffusion des canaux FM à la fin 2026. Elle entend à nouveau diffuser ses programmes radio en FM. Aucune date n'est encore prévue pour ce retour.

L'entreprise avait arrêté la diffusion FM à la fin de l'an dernier pour passer au DAB+, en vertu d'un accord conclu "il y a plus de dix ans" avec la branche et la Confédération. Une décision qui lui a coûté de nombreux auditeurs.

Selon des chiffres publiés en juillet par Mediapulse, la RTS a perdu près d'un quart de ses auditeurs, soit plus de 130'000 personnes, entre le premier semestre 2024 et le premier semestre de cette année.

La SSR assure avoir "pris les devants pour se montrer solidaire avec les radios privées, qui dépendent des recettes publicitaires, et leur ouvrir la voie". Un renoncement total à la diffusion FM "n'aurait eu de sens que si l'ensemble de la branche en avait fait de même fin 2026", écrit-elle dans un communiqué.

"Un mandat"

Mais, "puisque certaines radios privées y ont pour l'instant renoncé, la SSR ne peut pas se permettre de continuer à se priver de cette technologie de diffusion et à perdre, par conséquent, de nombreux auditeurs", ajoute-t-elle.

Pour le diffuseur national, "le contexte politique a changé" après la décision du Parlement. Le Conseil des Etats a soutenu mardi de justesse, par 21 voix contre 18 et 5 abstentions, une motion du National demandant au Conseil fédéral de renoncer à la désactivation prévue.

Le monde politique et une partie de la population attendent le maintien de la FM. "La SSR considère cette décision comme un mandat et va donc procéder aux clarifications nécessaires pour permettre le retour de ses programmes sur la bande FM", assure-t-elle.

Nouvelle date attendue

Le diffuseur national ne donne pas de date pour un retour à la diffusion FM. Celui-ci "aura lieu au moment le plus opportun aux plans légal, technique et économique". La SSR attend que la Confédération annonce les nouvelles conditions-cadres et celles-ci serviront de base pour sa planification.

Mardi, la radio-télévision alémanique SRF indiquait sur son site qu'un retour de ses chaînes sur la FM serait possible au plus tôt à partir de 2027.

La motion acceptée par les Chambres demande au Conseil fédéral de prolonger les concessions FM actuelles ou de lancer un nouvel appel d'offres pour l'attribution des concessions FM à partir du 1er janvier 2027. Le délai pour la désactivation devrait être repoussé au moins jusqu'à fin 2031 et fixé en concertation avec les radios privées.

Malgré tout, la SSR n'entend pas renoncer à la diffusion sur les canaux numériques ou le DAB+. "La transformation numérique est inéluctable dans le domaine de la diffusion radio également", écrit-elle, en précisant qu'actuellement neuf minutes d'écoute de radio sur dix le sont via un vecteur numérique.

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