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Culture

Vers une défaite historique de l'ANC

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L'ANC (ici des supporters du parti) pourrait perdre sa majorité absolue au Parlement sud-africain. (© KEYSTONE/EPA/KIM LUDBROOK)

L'ANC au pouvoir en Afrique du Sud se dirige vers un revers historique aux élections législatives. Les résultats partiels aux deux tiers du dépouillement vendredi laissent clairement présager que le parti perdra sa majorité absolue au Parlement après 30 ans de règne.

En début d'après-midi, le Congrès national africain (ANC) recueillait moins de 42% des voix, selon la commission électorale (IEC), restant sous la barre cruciale des 50% avec 66% des votes comptabilisés. Le parti avait remporté 57% des suffrages exprimés aux dernières législatives, en 2019.

Le premier parti d'opposition (Alliance démocratique, DA, centre libéral) cumule pour l'instant 22,6% des voix. Le tout récent parti populiste Umkhonto We Sizwe (MK) du sulfureux ex-président Jacob Zuma, fait une percée à 12%, tandis que les radicaux de gauche des Combattants pour la liberté économique (EFF) stagnent à 9,5%.

La participation s'établit actuellement à 58,5%, en baisse par rapport aux 66% enregistrés au précédent scrutin. Les résultats définitifs ne sont pas attendus avant samedi au plus tôt.

A l'issue du scrutin, le plus disputé de l'histoire de la démocratie née dans le pays avec l'élection de Nelson Mandela en 1994, 400 députés seront élus. Ils désigneront le prochain président.

Chômage endémique

Depuis le début du dépouillement mercredi soir à la fermeture des bureaux de vote, les résultats partiels ont reflété les prévisions des experts et enquêtes d'opinion des dernières semaines, qui accordaient entre 40% et 47% des intentions de vote à l'ANC.

La désillusion des 62 millions de Sud-Africains, nourrie par un chômage endémique, une pauvreté croissante et une criminalité record, semble avoir vaincu la loyauté tenace envers le parti qui a libéré le pays du régime de ségrégation raciale.

Pour nombre d'électeurs, le parti qui a longtemps incarné le rêve d'une nation ayant accès à l'éducation, au logement et aux services de base, n'a pas tenu ses promesses.

Le quotidien est empoisonné par des coupures récurrentes d'eau et d'électricité. Et les scandales de corruption à répétition impliquant de hauts dignitaires du parti ont abîmé la confiance.

Pays zoulou aux mains de Zuma

Le parti historique, qui détient actuellement 230 sièges de députés (57,5%), devrait toutefois rester la plus grande formation politique à l'Assemblée nationale. Affaibli, il devra se résoudre à former des alliances et tenir des négociations sur la composition d'un gouvernement de coalition.

Experts et observateurs ont encore du mal à prédire quelle pourrait être la formule.

L'ANC devra choisir entre faire des concessions avec les exigences libérales de la DA, qui a promis de "Sauver l'Afrique du Sud" à coup de privatisations et dérégulations. Ou s'il se risque à un rapprochement avec l'EFF et ses revendications incendiaires comme la redistribution des terres aux noirs et la nationalisation de secteurs économiques clefs.

Le parti devra aussi déterminer s'il est prêt à passer un pacte avec le MK, dirigé par l'ancien pilier de l'ANC Jacob Zuma. Mais le fossé entre le président Cyril Ramaphosa et Jacob Zuma, ennemis politiques de longue date, sera difficile à combler, anticipent les spécialistes.

Le MK, qui tire son nom de l'ancien bras armé de l'ANC pendant la lutte contre le régime blanc, est en passe de mettre la main sur la province zouloue (Est), fief traditionnel du parti au pouvoir et province essentielle rassemblant plus de 20% de l'électorat. Il y est en tête avec plus de 44% des voix contre moins de 19% pour l'ANC.

Le parti semble avoir tiré profit du fervent soutien populaire dont jouit encore Jacob Zuma, 82 ans, ex-président (2009-2018) lui-même originaire du pays zoulou, malgré son exclusion du scrutin pour cause d'inéligibilité.

Une victoire franche du petit parti dans la région porterait quoiqu'il en soit un autre coup à Ramaphosa, 71 ans, qui compte sur un second mandat, mais dont le maintien pourrait être compromis en cas de résultats désastreux de son parti.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Culture

Pas de contre-projet à l'initiative SSR, dit une commission

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Une commission du Conseil des Etats ne veut pas de contre-projet à l'initiative sur la SSR (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Une SSR forte est importante pour la démocratie et le journalisme, estime la commission des télécommunications du Conseil des Etats. Elle refuse largement le contre-projet à l'initiative sur la SSR "200 francs, ça suffit", proposé par son homologue du National.

La redevance, fixée à 335 francs par an, doit passer à 200 francs par an, réclame l'initiative populaire de l'UDC, de l'Union suisse des arts et métiers et des Jeunes PLR. Le texte demande aussi d'exonérer toutes les entreprises. Le Conseil fédéral propose lui de faire passer la redevance à 300 francs d'ici 2029.

"La diversité médiatique et une SSR quadrilingue forte sont importantes pour une démocratie vivante et un journalisme de service public de qualité, en particulier dans les régions linguistiques périphériques", lit-on dans un communiqué des services du Parlement mardi.

La commission des Etats a donc décidé, par 10 voix contre 2, de refuser un contre-projet indirect de sa commission soeur. Celle-ci réclamait notamment une exonération de la redevance pour les entreprises suisses.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Otages de l'EI en Syrie: Nemmouche qu'il n'était pas le "geôlier"

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Le photographe Edouard Elias (gauche) et le journaliste Didier François (au centre)), tous deux anciens otages, assistent à l'ouverture du procès de cinq hommes, dont Mehdi Nemmouche, pour avoir retenu des otages occidentaux en Syrie en 2013 et 2014. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

L'audience vient de débuter lundi quand Mehdi Nemmouche annonce "une déclaration préalable": "Je n'ai jamais été le geôlier des otages occidentaux ni d'aucun autre" en Syrie, lance-t-il à l'ouverture de son procès devant la cour d'assises spéciale de Paris.

Mehdi Nemmouche, 39 ans, sweat noir, cheveux bruns coiffés au gel, rasé de près, est accusé d'avoir été le geôlier des quatre journalistes français, Nicolas Hénin, Didier François, Edouard Elias et Pierre Torres, détenus pendant près d'un an par le groupe jihadiste Etat islamique en Syrie en 2013.

Ils ont pris place dans la salle d'audience sur les bancs des parties civiles face au box, à une dizaine de mètres de celui qu'ils ont "formellement" reconnu comme l'un de leurs geôliers en Syrie.

Le président Laurent Raviot demande aux accusés (trois présents, deux présumés morts en Syrie) de décliner leur identité.

"Nemmouche Mehdi, de père inconnu", répond-il debout au micro derrière la vitre, visiblement à l'aise, débit de voix précipité et gestes amples.

"Et je vais faire une déclaration préalable", annonce-t-il sans laisser le choix à la cour. "Je n'ai jamais été le geôlier des otages occidentaux".

"On verra ça plus tard", répond le président.

"Je n'ai jamais été le geôlier des otages occidentaux ni d'aucun autre. Et je n'ai jamais rencontré ces personnes en Syrie", poursuit-il, assurant n'avoir été qu'un "soldat sur le front" pour différents groupes jihadistes "contre les forces de Bachar al-Assad".

"La première fois que j'ai vu Nicolas Hénin, c'était devant la cour d'assises de Bruxelles", ajoute l'accusé.

Mehdi Nemmouche a été condamné à la perpétuité en 2019 pour l'attaque au musée juif de la capitale belge. Premier d'une longue série de jihadistes de l'EI à rentrer de Syrie pour commettre un attentat, Mehdi Nemmouche y avait abattu quatre personnes le 24 mai 2014.

Quand il est arrêté quelques jours plus tard à Marseille, sa photo est publiée dans la presse.

"Réparer"

Cela fait tout juste un mois que les journalistes sont rentrés en France et Nicolas Hénin appelle directement la DGSI pour dire qu'il pense avoir reconnu l'un des geôliers.

En voyant d'autres images, en entendant sa voix, les otages sont ensuite sûrs à "100%" : Mehdi Nemmouche est "Abou Omar", l'un de leurs geôliers "bavard", "pervers", "sadique" qui leur chantait Aznavour, menaçait de les égorger ou torturait des détenus syriens toute la nuit.

Ils avaient été enlevés en juin 2013, comme 25 journalistes et humanitaires occidentaux au total, souvent détenus ensemble.

Les Français avaient été libérés au bout de 10 mois, après des mois de supplice, entre violences physiques et psychologiques, privations de nourriture et simulacres d'exécutions.

D'autres comme le journaliste américain James Foley et l'humanitaire britannique David Haines avaient été exécutés dans des mises en scène macabres, à genoux, mains liées derrière le dos, en tenues oranges rappelant celles des prisonniers de Guantanamo.

"Je suis coupable, coupable d'avoir intégré un groupe terroriste, l'Etat islamique, coupable d'avoir côtoyé des personnes qui ont commis des crimes", déclare en s'excusant de sa voix emplie de "stress" le voisin de box de Mehdi Nemmouche, Abdelmalek Tanem, 35 ans, crâne rasé, grosse barbe fournie.

"Mais je suis innocent du fait d'être un geôlier. Je n'ai tué personne. Je n'ai jamais menacé la France et je ne voulais même pas revenir sur le sol européen", ajoute-t-il.

Le dernier accusé présent, le Syrien Kais Al Abdallah, 41 ans, chemise à carreaux bleus et blancs, est soupçonné d'avoir facilité la séquestration de Nicolas Hénin et Pierre Torres. Il jure lui aussi "n'avoir rien à voir" avec ce qu'on lui reproche.

Les ex-otages espèrent des réponses, voire un "moment de justice", comme dit Nicolas Hénin à la presse. "Un procès, c'est vraiment un moment où on vient réparer un crime" même si "on ne peut pas réparer physiquement", "faire revenir des morts".

"Donc un procès, ça ne peut que produire des symboles. Et ces symboles, ils doivent être d'autant plus beaux, d'autant plus gros, d'autant plus forts que le crime a été monstrueux".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Jean Tinguely, 100 ans: Fribourg rend hommage à l’artiste

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Le couple d'artistes Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely à Zurich en 1980. (© Keystone/STR)

L'artiste fribourgeois Jean Tinguely aurait 100 ans cette année. Fribourg et Bâle en particulier organisent toute une série d'événements.

Cent ans après sa naissance, Jean Tinguely continue d’inspirer et de dynamiser la scène culturelle fribourgeoise, suisse et internationale, peut-on lire dans un communiqué du canton de Fribourg lundi. Ce dernier et la Ville de Fribourg s’unissent pour marquer cet anniversaire par une grande fête populaire, dans l’esprit de Tinguely, le dimanche 15 juin.

Parallèlement, le Musée d’art et d’histoire ainsi que l’Espace Jean Tinguely – Niki de Saint Phalle proposeront une double exposition. Un programme riche en activités et animations ponctuera le calendrier culturel fribourgeois, avec notamment une étape du Tour de Romandie dédiée à l’artiste du mouvement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Patent Ochsner à nouveau numéro un en Suisse avec son dixième album

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Le groupe Patent Ochsner a gagné le prix de la meilleure performance live aux Swiss Music Awards à Zurich en mai 2024. (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Depuis dimanche dernier, le groupe bernois Patent Ochsner se trouve en tête du hit-parade suisse des albums. "Tag & Nacht " est ainsi le dixième album numéro un du groupe bernois.

Cette première place est récompensée par le "Number 1 Award ", a annoncé GfK Entertainment, qui a lancé ce prix en collaboration avec l'association professionnelle des labels de musique en Suisse, l'Ifpi. Il est décerné aux artistes suisses qui se placent en première position du hit-parade musical hebdomadaire.

L'album "Tag & Nacht" est sorti fin janvier. Le groupe avait déjà joué certaines de ses chansons en live auparavant.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Cinéma & Séries TV

Bafta: "Conclave” et “The Brutalist” grands gagnants

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Brady Corbet et la scénariste Mona Fastvold sur le tapis rouge des Bafta (© KEYSTONE/AP/Joel C Ryan)

Le thriller papal "Conclave", du réalisateur austro-suisse Edward Berger, et le monumental "The Brutalist" ont dominé dimanche les Bafta, les récompenses britanniques du cinéma. Ils ont remporté chacun quatre trophées, tandis qu'"Emilia Perez" en a récolté deux, à quinze jours des Oscars.

Film sur les jeux de pouvoirs et les trahisons lors de l'élection d'un pape, "Conclave", qui faisait la course en tête avec 12 nominations, a confirmé son statut de favori. Le thriller papal fait jeu égal avec "The Brutalist", épopée de trois heures sur un architecte survivant de la Shoah incarné par Adrien Brody, qui était nommé dans neuf catégories.

"Conclave" a notamment été sacré meilleur film, tandis que "The Brutalist" s'est imposé dans les catégories meilleur réalisateur pour Brady Corbet, et meilleur acteur pour Adrien Brody qui incarne un architecte survivant de la Shoah.

Né en Allemagne, mais de nationalité suisse et autrichienne, Edward Berger avait déjà été le grand vainqueur à Londres il y a deux ans avec son adaptation d'"A l'Ouest, rien de nouveau".

Face à Demi Moore donnée favorite, l'Américaine Mikey Madison, 25 ans, a créé la surprise en remportant la récompense de meilleure actrice pour son rôle de stripteaseuse dans "Anora", thriller new-yorkais du réalisateur Sean Baker.

Deux trophées pour "Emilia Perez"

Fresque musicale sur la transition de genre d'un narcotrafiquant mexicain, "Emilia Perez" du Français Jacques Audiard, tourné en espagnol, est reparti avec deux trophées, dont celui de meilleur film en langue non anglaise. Ainsi que celui de meilleure actrice dans un second rôle pour Zoe Saldana, qui y interprète une avocate, Rita.

L'actrice a dédié son prix à son neveu trans, qui est "la raison pour laquelle elle a signé pour ce film au départ", ajoutant qu'elle "soutiendrait toujours la communauté LGBTQ". Le film était nommé dans 11 catégories aux Baftas et a été récompensé à Cannes et aux Golden Globes.

Mais la découverte fin janvier d'anciens tweets racistes et islamophobes de l'actrice Karla Sofía Gascón a fait exploser en vol la campagne de cette comédie musicale et relancé la course quelques jours avant cette cérémonie de remise des prix à Londres.

Présent lors de la cérémonie dimanche soir, à la différence de son actrice controversée, Jacques Audiard a remercié "tous les talents" du film en nommant les actrices Zoe Saldana, Selena Gomez et Karla Sofia Gascon.

Nommé 13 fois aux Oscars, "Emilia Perez" a également été épinglé pour sa représentation du Mexique jugée caricaturale et pour avoir eu recours à l'intelligence artificielle pour améliorer la voix de son actrice - comme "The Brutalist".

Brochette de stars

Le palmarès des Bafta, qui peuvent donner le ton des Oscars organisés dans deux semaines à Los Angeles, est particulièrement scruté. Timothée Chalamet et sa compagne Kylie Jenner, Cynthia Erivo, Adrien Brody et Ralph Fiennes étaient parmi les stars présentes lors de cette soirée au Royal Festival Hall.

La cérémonie s'est tenue cette année en l'absence du prince William, président d'honneur des Bafta, et de son épouse Kate.

"Institution britannique"

Les dernières aventures de Wallace et Gromit, "la palme de la vengeance", ont obtenu deux prix, dont celui de meilleur film d'animation. "C'est exceptionnel" de voir à quel point ces personnages sont aimés aujourd'hui, "ils sont devenus une institution britannique", s'est réjoui leur créateur, Nick Park.

"Dune: deuxième partie" de Denis Villeneuve remporte également deux trophées, dont celui des meilleurs effets visuels. Nommée à cinq reprises, la fable gore et féministe "The Substance", de la Française Coralie Fargeat, ne récolte qu'une récompense, dans la catégorie "maquillage et coiffure".

Succès inattendu déjà primé à Sundance, "Kneecap", docu-fiction sur un insolent trio de rap nord-irlandais nommé dans six catégories, a été sacré dans la catégorie du meilleur premier film britannique.

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