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Suisse

Plus d'une personne sur cinq a déjà réservé ses vacances en 2026

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Les destinations urbaines sont les plus prisées pour les vacances 2026, devant les sites balnéaires. (archive) (© KEYSTONE/AP/JOAN MATEU)

La population suisse se montre prévoyante lorsqu'il s'agit de réserver ses vacances. Plus d'une personne sur cinq a en effet déjà réservé pour 2026.

Plutôt que de longues vacances, les personnes interrogées privilégient plusieurs voyages: en moyenne, 2,16 voyages à l'étranger sont prévus par personne, après 1,86 voyage en 2025, selon les données compilés par l'agence de voyage DERTOUR. Une part de 15% prévoit même d'effectuer plus de quatre voyages au cours de l'année.

Pour les vacances, ce sont les séjours en ville qui remportent le plus de succès, suivis par les vacances balnéaires. Les vacances actives arrivent en troisième position.

En matière de budget alloué aux vacances, de fortes disparités apparaissent entre les générations, les plus jeunes souhaitant dépenser plus que l'année précédente.

Ainsi, les personnes nées entre 1994 et 2010, soit la génération Z, et celles de la génération Y (1980-1993) sont respectivement 41% et 38% à souhaiter dépenser plus pour leurs vacances que lors de l'année précédente. Pour la génération X (1965-1979), elles ne sont plus que 25% et pour les baby-boomers (1946-1964) plus que 24%.

Concernant les vacances en hiver, 46% des sondés privilégient la Suisse, que ce soit pour le ski ou le bien-être. 20% sont attirés par le soleil et 12% souhaitent passer l'hiver à l'étranger, par exemple en Scandinavie.

Les données sont basées sur les réponses d'un millier de personnes interrogées entre le 25 novembre et le 4 décembre 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Le Parlement met sous toit le projet de flexibilisation de l'armée

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Le projet vise d'une part à assurer les effectifs de l'armée et d'autre part à répondre au besoin de conciliation entre service militaire et vie professionnelle et privée des astreints (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

L'armée suisse sera plus flexible pour répondre aux besoins des militaires. Les Chambres fédérales ont accepté mercredi la proposition de conciliation sur le projet de modification de la loi sur l'armée.

Le projet vise d'une part à assurer les effectifs de l'armée et d'autre part à répondre au besoin de conciliation entre service militaire et vie professionnelle et privée des astreints.

Le Conseil fédéral prévoyait que les écoles de recrues puissent être plus courtes que 18 semaines en fonction des besoins de l'instruction des différentes armes. Les jours restants devaient être accomplis de manière plus flexible selon les besoins de l'armée et des militaires.

Au final, la durée totale de l'instruction reste inchangée. Les Chambres ont précisé qu'une durée plus courte ou plus longue est possible pour les fonctions qui nécessitent une instruction particulière.

Effectifs

Une disposition transitoire doit permettre à l'armée de dépasser l'effectif réel durant cinq ans au plus. Cela afin de lui permettre de répondre aux exigences liées au niveau de la menace actuelle ou de prévenir les fortes variations de l'effectif réel dues à la fluctuation du nombre de personnes astreintes par classes d'âge.

L'armée doit disposer d'un effectif réglementaire d'au moins 100'000 militaires astreints et d'un effectif réel suffisant pour garantir en tout temps l'effectif réglementaire.

Dans son projet, le Conseil fédéral demandait à pouvoir convoquer, sans demander l'approbation de l'Assemblée fédérale, au maximum 18 militaires armés pour des engagements d'une durée supérieure à trois semaines, contre 10 actuellement pour la même durée.

La Chambre des cantons souhaitait d'abord enlever la limite du nombre de militaires, avant de proposer un seuil à 50 militaires. La Chambre du peuple voulait en rester à 18.

En conférence de conciliation, la limite a été fixée à 36 militaires. Le Conseil des Etats a accepté la proposition sans opposition, le National par 138 voix contre 2 et 37 abstentions.

Affaires compensatoires

Les conditions, les limites et le contrôle des affaires compensatoires liées aux acquisitions d'armement à l'étranger devront être inscrits dans la loi. Le seuil financier et le montant à partir desquels des engagements liés aux affaires compensatoires sont mis en œuvre pour les acquisitions d'armement seront en outre définis.

Le Conseil fédéral a explicité que les affaires compensatoires consiste en la collaboration industrielle avec des établissements de recherche et des entreprises du domaine technique de la sécurité et de la défense en Suisse. Le National a plié en début de semaine face au Conseil des Etats et a finalement accepté d'inscrire que des secteurs industriels civils peuvent également entrer en ligne de compte pour des affaires compensatoires.

Cybermenaces

L'armée doit également s'adapter à l'omniprésence des cybermenaces. Le Conseil fédéral veut élargir le droit à la réquisition en ajoutant aux biens mobiliers et immobiliers également les forces naturelles maîtrisables (électricité, données, fréquences radios), les biens immatériels, les prestations professionnelles et les prestations de service. Ces restrictions devront être indemnisées de manière appropriée.

Les capteurs et les installations militaires de télécommunication devront être protégés dans l'espace électromagnétique. Ceci est nécessaire pour que l'armée et d'autres services fédéraux puissent rechercher en temps utile les informations dont ils ont besoin pour remplir leur mission.

Le Conseil fédéral veut également poursuivre la numérisation de l'armée. L'échange de données avec les militaires doit être adapté aux possibilités les plus récentes. Des plateformes d'informations numériques seront créées. A long terme, les échanges et la correspondance entre les militaires et l'armée seront entièrement numérisés.

D'autres modifications concernent le développement de la promotion militaire de la paix, l'instruction et le perfectionnement dans le système de santé militaire et la recherche et développement dans le domaine du matériel de l'armée.

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Suisse

Swisscom abandonne définitivement la 3G

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Après Sunrise, Swisscom a tiré la prise de son réseau mobile 3G. Salt a pour sa part confirmé vouloir le maintenir jusqu'à fin 2026 au moins (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'opérateur Swisscom va, comme précédemment annoncé, tirer la prise à la technologie 3G pour la téléphonie mobile d'ici la fin de l'année. Cette technologie, développée il y a plus de 20 ans, est devenue totalement obsolète.

Quelque 180'000 clients privés et entreprises utilisent encore la 3G, depuis remplacée par la 4G et la 5G qui permettent de transmettre des volumes de données bien plus importants, a précisé mercredi à AWP un porte-parole de Swisscom.

Le concurrent Sunrise avait déjà déconnecté son réseau 3G fin août. Salt a pour sa part confirmé encore maintenir la 3G d'ici au moins fin 2026, a indiqué une porte-parole du numéro trois helvétique du secteur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Consensus du KOF: ralentissement attendu de la croissance en 2026

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Les perspectives du commerce extérieur s'améliorent également légèrement, les experts sondés par le KOF anticipant pour 2026 un ralentissement moins marqué de la dynamique des exportations par rapport à 2025 (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Zurich (awp) - Pour l'année à venir, les économistes interrogés dans le cadre du consensus établi par le KOF prévoient un ralentissement de la croissance économique en Suisse. Les prévisions d'inflation ont été légèrement revues à la baisse.

Les treize participants à l'enquête du KOF anticipent une progression du produit intérieur brut (PIB) réel corrigé des événements sportifs de 1,3% en 2025 et de 1,0% en 2026, indique le Centre de recherches conjoncturelles de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) dans un communiqué paru mercredi. Lors du précédent sondage, publié en septembre, la croissance du PIB était estimée à 1,1% pour l'année en cours et à 1,3% pour l'année prochaine.

Concernant les perspectives à long terme, les experts tablent sur une croissance du PIB réel de 1,5% à l'horizon 2030.

S'agissant des investissements réels, un recul de 0,5% pour les équipements est attendu, ainsi qu'une faible progression de 0,2% dans la construction. En revanche, les économistes interrogés font preuve d'un certain optimisme pour 2026, avec des taux de croissance attendus de 1,1% pour les équipements et de 1,6% pour la construction.

Les perspectives du commerce extérieur s'améliorent également légèrement: par rapport à l'enquête précédente, les experts anticipent pour 2026 un ralentissement moins marqué de la dynamique des exportations par rapport à 2025.

Inflation moins importante que prévu

Comparées à l'enquête précédente, les prévisions d'inflation ont de nouveau été revues à la baisse pour les trois horizons de projection. Pour 2025, le taux d'inflation attendu s'établit désormais en moyenne à 0,2% (septembre: 0,3%), pour 2026 à 0,4% (septembre: 0,6%), et à 0,9% sur un horizon de cinq ans (septembre: 1,0%).

Les perspectives du marché du travail restent inchangées, avec des taux de chômage moyens attendus de 2,9% en 2025 et 3,1% en 2026.

Stabilité du franc

Selon le consensus du KOF, le taux de change du franc face à l'euro devrait rester globalement stable au cours des prochains mois, avec des valeurs prévues de 0,93 CHF/EUR à trois mois et 0,92 CHF/EUR à douze mois.

Les experts tablent également sur une évolution stable du franc face au dollar américain, avec des valeurs moyennes de 0,79 CHF/USD à trois mois et 0,78 CHF/USD à douze mois.

Les prévisions à court terme concernant la Bourse suisse se sont nettement améliorées par rapport à la dernière enquête. Les économistes s'attendent à un Swiss Performance Index (SPI) d'environ 17'742 points dans trois mois, soit un niveau proche de la valeur actuelle. À douze mois, l'indice est attendu à 18'250 points, ce qui suggère une appréciation du SPI à moyen terme.

L'enquête du KOF s'est déroulée du 28 novembre au 10 décembre 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Finances fédérales: le Conseil des Etats valide des coupes dans l'asile et la formation

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La ministre des finances Karin Keller-Sutter a obtenu gain de cause sur les mesures concernant l'asile dans le programme d'économie 2027. Les débats au Conseil des Etats se poursuivent dans l'après-midi. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

La Confédération doit économiser pour faire face à la hausse des dépenses. Le Conseil des Etats est entré en matière mercredi sur le programme d'allègement 2027 du Conseil fédéral. Il a déjà avalisé des coupes dans l'asile et la formation.

Le Conseil fédéral propose un paquet d'économies composé de 57 mesures. Celles-ci sont indispensables pour accélérer la hausse des ressources de l'armée et financer la contribution de la Confédération à l'AVS tout en respectant le frein à l'endettement, estime le gouvernement.

La ministre des finances Karin Keller-Sutter propose d'épargner 2,4 milliards de francs en 2027, puis environ 3 milliards en 2028 et en 2029, notamment dans la politique climatique, le transport de voyageurs, l'asile, la coopération internationale ou la recherche.

Le camp bourgeois a défendu unanimement la nécessité du programme. Sans cela, des coupes supplémentaires seront inévitables dans des domaines comme l'agriculture, l'éducation ou la culture dans le budget 2027, a dit pour la commission Jakob Stark (UDC/TG).

La gauche a dénoncé un exercice "inutile" et "violent". Les comptes de la Confédération sont systématiquement meilleurs que prévu. Ce programme matraque les faibles et épargne les forts, a lancé le sénateur Baptiste Hunri (PS/NE), sans succès. La Chambre est entrée en matière par 34 voix contre 10.

Forfaits pour l'asile raccourcis

Des premières décisions sont déjà tombées mercredi matin. Dans le domaine de l'asile, la durée d’indemnisation des forfaits fiscaux en faveur des cantons sera fixée à 5 ans pour l’ensemble des personnes relevant du domaine de l’asile, contre 7 actuellement. A travers ces forfaits, la Confédération assume notamment les coûts de l’aide sociale, de l’hébergement et de l’encadrement incombant aux cantons.

Conformément aux souhaits du Conseil fédéral, les économies se monteront à 243 millions en 2027, 388 millions de francs en 2028 et plus de 435 millions en 2029. La gauche a dénoncé un simple report de charges sur les cantons, qui vivent pourtant des situations très différentes en matière d'asile et de marché du travail. Par 28 voix contre 14, elle a échoué.

Taxes d'études vers une hausse

Les taxes d'études des universités et des hautes écoles ont également fait débat. Le Conseil fédéral demande là de réduire la part fédérale de leur taux de financement, pour une baisse de 120 millions de francs par an. Ce qui pourrait bien conduire les dix universités et les neuf hautes écoles du pays à augmenter leurs taxes d'étudiants pour compenser.

Une partie de la droite était prête à suivre le gouvernement, arguant que les taxes en Suisse restent relativement basses. La gauche ne voulait rien changer à la situation actuelle, craignant pour le budget des hautes écoles et des familles. Finalement, une majorité s'est dégagée pour couper la poire en deux: la coupe a été fixée à 60 millions par an.

Les débats se poursuivront dès 15h. La Chambre des cantons devrait au global revoir les économies du Conseil fédéral à la baisse. Contrairement à ce dernier, la droite ne veut par exemple pas augmenter l'impôt sur les retraits en capital des 2e et 3e piliers, une des rares mesures qui agit sur les recettes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Il faut interner et traiter l'assassin schizophrène de Bâle

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L'accusé schizophrène âgé de 33 ans est arrivé mercredi matin à la Cour pénale de Bâle-Ville, où il comparaît pour l'assassinat d'une septuagénaire en août 2024 dans le même quartier où il avait assassiné deux personnes dix ans plus tôt. (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Une expertise recommande l'internement et une thérapie pour l'assassin schizophrène jugé par la justice bâloise. Le récidiviste est accusé d'avoir tué une septuagénaire en août 2024 lors d'une sortie. Il avait déjà fait deux victimes dans le même quartier en 2014.

"J'étais déjà extrêmement dangereux avant la première mesure pénale" a déclaré l'homme âgé de 33 ans mercredi matin à la Cour pénale de Bâle-Ville. Et d'ajouter qu'il avait besoin d'une "mesure fermée".

Le prévenu a répondu aux questions sur des évènements factuels sans lien direct avec le crime qui lui est reproché. Il s'est montré beaucoup plus évasif sur son état actuel et n'a pas répondu aux questions sur les causes et les préparatifs de son acte.

Interrogé sur le fait que l'une des victimes de 2014 et celle de 2024 avaient en commun une ancienne dispute avec le père de l'accusé, le trentenaire a répondu: "ça me dépasse".

Internement avec thérapie recommandée

Selon l'expertise psychiatrique, l'accusé souffre d'un vécu hallucinatoire délirant dans le cadre d'une schizophrénie paranoïde. "On ne peut pas le traiter de manière curative", a souligné le psychiatre chargé de l'expertise. L'administration de médicaments n'apportera "probablement aucune amélioration", mais il faut tout de même le traiter, notamment avec une thérapie par électrochocs.

L'expert recommande un internement assorti d'une thérapie stationnaire afin de maintenir un équilibre mental fragile et empêcher d'autres actes violents. "C'est inhabituel, mais un internement peut aussi se dérouler dans une clinique", a observé le président du tribunal.

Irresponsable à cause de sa maladie

"L'accusé vit dans deux mondes: le monde réel et une réalité parallèle délirante", décrit le psychiatre. Des éléments issus de mondes fantastiques tissent cette dernière. Le prévenu a des hallucinations optiques, reçoit des instructions de créatures provenant de cet univers et a parfois peur d'elles, explique l'expert.

Lors des crimes commis en 2014 et en 2024, le prévenu a agi dans le cadre de sa réalité parallèle. Sa capacité de discernement avait disparu. "La culpabilité incombe à la maladie, pas à l'accusé lui-même ni à ses proches", soutient l'expert.

Composantes autistes

De plus, il existe un décalage entre la connaissance théorique que le trentenaire a des manifestations de sa maladie et sa capacité réduite à admettre sa maladie. En outre, des composantes autistes de la maladie l'amènent à se fermer dans ce domaine. Comprendre exactement ce qui motive ses actes reste donc quasiment impossible, selon le psychiatre.

L'homicide au couteau survenu l'an dernier avait fait couler beaucoup d'encre en raison de la sortie de permission dont bénéficiait l'homme placé dans le secteur fermé d'une clinique. En juin dernier, le rapport externe d'un psychiatre médico-légal et d'un juriste a conclu que le crime de 2024 aurait difficilement pu être évité. Ils ont constaté que la signification de l'immeuble où le patient avait déjà tué deux personnes en 2014, n'a pas été prise en compte suffisamment dans son traitement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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