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Suisse

Migros confirme la suppression de 150 postes

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Migros a confirmé la suppression de 150 postes à plein temps au sein de sa filiale Supermarché, basée au siège de la Fédération des coopératives Migros à Zurich. (archives) (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Migros a confirmé mardi la suppression de 150 postes à plein temps au sein de sa filiale Supermarché, basée au siège de la Fédération des coopératives Migros (FCM) à Zurich, dans le cadre de sa restructuration. Celle-ci doit être mise en oeuvre d'ici au 1er juillet.

Migros a précisé à l'agence AWP qu'environ 100 autres employés seraient transférés à l'intérieur du groupe. "Tous les secteurs de la filiale Supermarché sont touchés, mais c'est la communication et le marketing qui perdront le plus de postes en valeur absolue. Le personnel des autres filiales n'est pas concerné par cette mesuré", a ajouté son porte-parole.

Les collaborateurs concernés par les suppressions de postes "bénéficieront de prestations individuelles qui dépendront notamment de leur ancienneté et de leur âge. Ils seront en outre soutenus dans leur recherche de nouveaux postes à l'intérieur et à l'extérieur de Migros par les ressources humaines ainsi que par des partenaires externes spécialisés", souligne le géant orange.

Il informe qu'actuellement environ 1400 postes sont à pourvoir au sein de l'entreprise, bien que ce soient souvent d'autres profils qui soient recherchés. Les employés ont été informés des suppressions d'emplois mardi matin.

Le poids lourd de la distribution avait indiqué vendredi dernier à AWP que le chiffre des 150 emplois passant à la trappe, relayé par le site d'information Inside Paradeplatz, était "assez exact" et qu'ils concernaient bien sa filiale Supermarché.

Mi-mai, l'entreprise a conclu un plan social avec des partenaires sociaux internes et externes en vue des licenciements. Elle avait annoncé la vente de plusieurs de ses filiales début février, ce qui devrait conduire à quelque 1500 suppressions d'emplois au total. Le détaillant cherche de nouveaux propriétaires pour sa filiale de voyages Hotelplan, sa filiale de cosmétiques et d'hygiène Mibelle ainsi que pour les deux marchés spécialisés Melectronics et SportX.

Changements dans les magasins

La vente de Melectronics entraînera également des changements dans une cinquantaine de grands supermarchés de Migros, fait également savoir le groupe. "Sur ces sites, les surfaces de vente intégrées de Melectronics seront réduites à un assortiment de base d'articles électroniques."

Le service de livraison de repas FoodNow, lancé en 2020 et actif dans quelques villes de Suisse alémanique, sera abandonné dès la fin mai. De même, le Nutri-Score sera progressivement retiré des produits Migros, son coût étant trop élevé, selon le groupe.

Migros fait par ailleurs part d'un changement à la tête des produits frais. Sandra Stöckli a décidé de quitter la direction fin juin et le groupe fin août. Les deux directions Fraîcheur et Food seront désormais réunies en une seule direction "dans le but de simplifier encore les procédures". Miriam Richter, responsable du secteur Food et Approvisionnement depuis mars, dirigera la nouvelle direction Fraîcheur et Food, ajoute Migros.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Suisse

Les perspectives restent robustes pour l'économie suisse

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Ce sont en particulier les indicateurs de l'industrie manufacturière, de divers services et de la construction qui ont progressé. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Les perspectives pour l'économie suisse s'améliorent, selon le baromètre du KOF qui a progressé au mois de mars. L'industrie notamment retrouve des couleurs.

Le baromètre conjoncturel a progressé de 1,3 point à 103,9 points, après 102,6 points révisé le mois précédent, écrit vendredi le centre d'études conjoncturelles (KOF) de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ), dans son compte-rendu mensuel. Depuis le début de l'année, il reste donc au-dessus de la moyenne à moyen terme.

L'indicateur a crevé le plafond du couloir des anticipations. Les économistes sondés par AWP prévoyaient qu'il s'établirait entre 101,9 et 103,0 points.

Ce sont en particulier les indicateurs de l'industrie manufacturière, de divers services et de la construction qui ont progressé. Pour le premier secteur, la situation générale des affaires, les carnets de commandes et la production sont plus favorables.

La tendance est négative dans l'industrie du bois, du verre, de la pierre et des métaux, ainsi que dans l'industrie des équipements électriques, mais l'horizon se dégage dans les secteurs du papier et de l'imprimerie, de la construction automobile et mécanique, ainsi que dans la chimie et la pharma.

Du côté de la demande, celle des consommateurs a évolué positivement, quand celle venant de l'étranger n'a pas bougé.

Il y a deux jours, le KOF soulignait que l'économie suisse se retrouvait "prise en étau entre les tensions commerciales et les mesures de relance budgétaire" et que "le niveau d'incertitude est actuellement inhabituellement élevé". Ce climat "pèse sur les projets d'investissement des entreprises et des ménages suisses".

L'institut prévoit ainsi pour 2025 une augmentation du produit intérieur brut (PIB) de 1,2%, contre 1,3% antérieurement et de 1,4% (+1,5%) corrigé des variations saisonnières, "sous réserve que le conflit commercial mondial ne se détériore pas". En revanche, "une extension du conflit commercial entraînerait des risques de baisse considérables pour l'économie suisse".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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La guerre commerciale pousse l'or vers de nouveaux sommets

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L'or a continué sa marche en avant grâce à la demande importante émanant des banques centrales et à celle liée aux fonds indiciels cotés (ETF). Le métal jaune est en passe de réaliser sa quatrième hausse hebdomadaire consécutive et sa plus forte progression mensuelle depuis mars 2024. (© KEYSTONE/AP/Mike Groll)

Le cours de l'or a atteint vendredi un nouveau pic historique, dopé par le durcissement des fronts dans la guerre commerciale lancée par le président américain Donald Trump. L'once de métal jaune s'est hissée à un niveau record de 3086,04 dollars.

Vers 10h, le prix avait quelque peu fléchi à 3072,34 dollars, ce qui représente une augmentation de 1,6% sur une semaine. Depuis le début de l'année, le cours de l'or a bondi de 17%. L'envolée sur un an est de 36,5%.

Cette nouvelle poussée intervient dans un contexte d'aversion au risque, alors que les tensions commerciales atteignent leurs acmé avant l'entrée en vigueur annoncée la semaine prochaine de nouveaux tarifs douaniers, affirme TradingEconomics. Donald Trump a annoncé des taxes supplémentaires de 25% sur les voitures et les pièces détachées produites à l'étranger, créant un risque de représailles de la part de l'Union européenne et du Canada. Un conflit commercial aurait des retombées économiques mondiales.

L'or a continué sa marche en avant grâce à la demande importante émanant des banques centrales et à celle liée aux fonds indiciels cotés (ETF), précise TradingEconomics dans son commentaire. Le métal jaune est en passe de réaliser sa quatrième hausse hebdomadaire consécutive et sa plus forte progression mensuelle depuis mars 2024.

Réflexe pavlovien des investisseurs

Chez Bank of America (BoA), on n'exclut pas une envolée de l'once d'or vers les 3500 dollars dans un horizon de deux ans. Le géant bancaire a d'ailleurs largement relevé ses prévisions moyennes de cours pour cette année et la suivante, les fixant respectivement à 3063 dollars (2750 dollars jusqu'ici) et 3350 dollars (2625 dollars).

Les banques centrales détiennent actuellement 10% de leurs réserves en or et pourraient porter cette proportion à 30% pour doper leur portefeuille d'investissement, note BoA. Le secteur de l'assurance en Chine peut placer 1% de ses actifs dans le métal jaune. L'établissement américain évoque également la forte demande en ETF.

L'or figure en bonne place dans l'allocation d'actifs recommandée par UBS comme une couverture face aux soubresauts des marchés financiers. Le géant bancaire zurichois anticipe de nouvelles hausses, mais limitées. Le cours pour une once devrait ainsi s'étoffer autour de 3200 dollars cette année, selon l'établissement.

Swissquote, par la plume de son analyste Ipek Ozkardeskaya, remarque que l'or s'envole vers des "territoires inexplorés". Les conditions actuelles de surachat ne font pas le poids face à l'agressivité ambiante. "Les investisseurs achètent de l'or à chaque fois qu'ils entendent le mot 'tarif douanier'", résume la spécialiste de la banque en ligne glandoise.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Watches and Wonders: les horlogers se réinventent pour survivre

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Les crises cycliques dans l'horlogerie requièrent une résilience à tout épreuve. Actuellement, c'est la Chine qui pose problème avec une demande qui a subi l'an dernier une contraction de 25,8%, plus prononcée qu'en période de pandémie. (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Le salon de l'horlogerie Watches and Wonders, qui se déroule dès mardi à Palexpo, réunit 60 marques de montres cette année, dont une large majorité n'est pas épargnée par le repli persistant des ventes en Chine, le franc fort ou l'incertitude régnant aux Etats-Unis.

Alors que certains experts soutiennent que seules les plus importantes ou très spécifiques survivront, les professionnels entendent démontrer leurs capacités de réinvention.

"Sur le long terme, seules quinze à 20 marques vont continuer à croître en Suisse, avec en parallèle des marques de niche qui font jusqu'à 4 millions de francs de recettes sur des petits marchés et peuvent parfaitement vivre ainsi", déclare à l'agence AWP le spécialiste en horlogerie Olivier Müller.

"Par contre, l'horloger qui aujourd'hui est à entre 40 et 80 millions de chiffre d'affaires, je ne le vois pas survivre. Il y a trop de marques", ajoute-t-il, en lamentant un accès au marché devenu "trop facile".

Sur les 26 milliards de recettes engrangées par l'industrie horlogère du pays en 2024, "cinq des plus grands noms - Rolex, Cartier, Omega, Audemars Piguet et Patek Philippe - en font la moitié, et quinze autres les trois quarts". Cela laisse certes plus de 6 milliards pour les centaines d'autres horlogers, mais une large majorité d'entre eux "ne passent pas le cap des dix ans", affirme-t-il.

Le stratégiste horloger Grégory Pons, qui suit le secteur depuis plus de 20 ans, abonde sur le fait qu'on assiste à une polarisation entre le haut et l'entrée de gamme et que "le milieu de gamme est voué à disparaître", ce qui explique selon lui, pourquoi les marques cherchent à monter en gamme.

Pourtant, l'horlogerie suisse n'a, au contraire, "pas assez de nouvelles marques", celles-ci représentant à ses yeux "l'espoir d'une refondation de l'horlogerie ". "On le constate même sur le milieu de gamme, de nouveaux noms trouvent des consommateurs. Ce sont les marques plus anciennes qui ont du mal, faute de renouvellement", dit-il.

Effet boomerang aux Etats-Unis?

Les crises cycliques dans l'horlogerie requièrent une résilience à tout épreuve. Actuellement, c'est la Chine qui pose problème avec une demande qui a subi l'an dernier une contraction de 25,8%, plus prononcée qu'en période de pandémie.

"Très porteur durant deux décennies, le marché chinois est désormais plus mature et n'a plus la même frénésie de consommation des produits de luxe. Je suis à peu près certain qu'il ne reviendra plus jamais à ses niveaux d'avant la pandémie", relève M. Müller.

"La Chine reste très problématique", confirme Jean-Philippe Bertschy de Vontobel, qui ne voit pas non plus de reprise se profiler. Et l'analyste estime également que les Etats-Unis, plus gros marché d'exportation en 2024, doivent être considérés "avec prudence".

"Les marchés financiers, qui y sont très corrélés au luxe, ont été exceptionnels en fin d'année dernière avec l'élection de Trump mais on pourrait assister à un retour de boomerang". En ce qui concerne la menace de tarifs douaniers brandie par le président américain, l'inquiétude n'est pas la même selon les marques et leur valeur sociale ("brand equity"), selon lui. Ainsi, des noms comme Hermès ou Rolex ne sont pas trop inquiets, alors que d'autres produits et catégories de prix se verront plus affectés, tel Tissot chez Swatch.

Pour M. Müller, le marché américain présente encore un potentiel de croissance de 20-30% pour les dix prochaines années. Mais "tout y est tellement imprévisible qu'il n'est pas impensable que les montres de luxe puissent être également touchées, si la Bourse continuait par exemple à dégringoler".

Encore plus pessimiste, M. Pons assure "ne pas avoir beaucoup de doute" sur la mise en place de tarifs douaniers pour les montres, le but du président américain Donald Trump étant selon lui de déprécier le dollar afin de réduire la dette nationale. "On pourrait dès lors assister à un effondrement du marché", prédit-il.

Au Japon, troisième débouché, le yen qui était très bas ces trois dernières années, s'est repris fin 2024 ce qui a signifié une décélération "assez massive" des recettes des grands groupes horlogers, note M. Bertschy qui prône, pour ce marché également, la vigilance.

Ces thématiques, dans un secteur ultrasensible aux aléas géopolitiques, alimenteront sans aucun doute les discussions durant Watches and Wonders, qui après quatre jours dédiés uniquement aux professionnels, sera accessible au grand public dès samedi. Les observateurs du secteur qualifient le salon de "lieu d'échanges, de circulation d'idées où on parle aussi des problèmes concrètement, bien que plutôt en entre-soi".

"L'industrie horlogère a toujours su se réinventer, redémarrer. Tout l'enjeu est de rester innovant et de ne pas s'endormir sur ses lauriers. Il faut garder une dynamique", préconise M. Müller.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Ballon de foot, biscuits militaires et livres pour Martin Pfister

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La conseillère fédérale sortante Viola Amherd a remis au nouveau conseiller fédéral Martin Pfister une série de cadeaux de bienvenue. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le nouveau conseiller fédéral Martin Pfister s'est vu remettre symboliquement vendredi les clés du DDPS des mains de sa prédécesseure Viola Amherd. Il a également reçu un "cadeau de bienvenue" de chaque unité du département.

Le Zougois a dit se réjouir de reprendre le Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS), qui effectue "des tâches très importantes". Il a remercié Viola Amherd pour son travail. La Valaisanne s'est montrée émue.

Elle a donné dix cadeaux à son successeur: un bocal dans lequel mettre son téléphone portable pendant des réunions confidentielles de la part du Service de renseignement de la Confédération, un cadenas de l'Office fédéral de la cybersécurité et un boîtier d'alarme de l'Office fédéral de la protection de la population. De même qu'un petit chien-robot d'armasuisse, une carte de Berne et de ses environs de la part de Swisstopo et de la littérature du Secrétariat d'Etat à la politique de sécurité.

Martin Pfister a encore reçu le ballon officiel de l'Euro féminin 2025 en Suisse de l'Office fédéral des sports, une carte à glisser dans le porte-monnaie pour empêcher le scan de ses cartes de crédit du Commandement Cyber ainsi que des biscuits et des chocolats de l'armée. C'est toujours bien d'avoir ces derniers sur son bureau, a noté Mme Amherd avec un sourire.

A titre personnel, la conseillère fédérale sortante a offert à son successeur un roman policier de l'autrice norvégienne Anne Holt "Ein notwendiger Tod" ("Une mort nécessaire"). Selon elle, le livre, "passionnant", aborde beaucoup de thèmes actuels.

"Servir et disparaître"

A son tour, Martin Pfister a offert à sa prédecesseure une bouteille de kirsch de Zoug et un livre de l'auteur tessinois Plinio Martini "Nicht Anfang und nicht Ende" ("Pas le début et pas la fin"). La vie continue, a-t-il commenté. Il lui a encore donné un bocal de salade de fruits, les différentes couleurs symbolisant les diverses opinions politiques en Suisse.

Viola Amherd a dit partir "avec le coeur léger car je vais avoir un agenda léger". Elle ne compte pas s'immiscer à l'avenir dans les débats politiques, rappelant le slogan "servir et disparaître". Avec un rire, elle a encore dit qu'elle ne laissait pas de "squelette dans les placards".

Mais beaucoup de connaissances et de savoir-faire restent dans le département, a répondu Martin Pfister. Dès lundi, il commencera à travailler avec le personnel actuel. Il informera dans les semaines et mois à venir sur de nouvelles nominations.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

L'antisémitisme en forte hausse en Suisse romande, selon la CICAD

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La CICAD mentionne le cas d'un homme juif portant une kippa ayant été physiquement agressé dans un supermarché lausannois l'année dernière (image prétexte). (© KEYSTONE/DPA/HANNES P ALBERT)

L'antisémitisme a augmenté de près de 90% en Suisse romande l'année dernière, selon la CICAD. L'organisation s'inquiète d'une hausse "sans précédent" observée dans tout le pays.

Au total, 1789 incidents ont été signalés en 2024, indique la Coordination intercommunautaire contre l'antisémitisme et la diffamation (CICAD) vendredi dans un communiqué. La hausse est de 89,5% par rapport à 2023.

L'organisation recense 42 agressions physiques, dont certaines dans des écoles, devenues les "nouveaux foyers de haine". Elle observe également une explosion de cas d'antisémitisme en ligne, surtout sur les réseaux sociaux.

Une forte hausse d'actes antisémites a également été observée dans le reste de la Suisse. La Fondation contre le racisme et l'antisémitisme et la Fédération suisse des communautés israélites ont recensé 221 incidents en Suisse alémanique, aux Grisons et au Tessin en 2024. L'année a été marquée par l'attaque au couteau contre un homme juif orthodoxe à Zurich.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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