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Suisse Romande

Vaud lance une étude sur l'accueil de jour des enfants

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Vaud lance une vaste étude sur l'accueil de jour des enfants afin de mieux connaître les représentations que les parents se font de cette prestation parascolaire (photo symbolique). (© Keystone/DOMINIC FAVRE)

La Fondation pour l'accueil de jour des enfants (FAJE), en collaboration avec Statistique Vaud et l'Institut gfs.bern, lance une étude auprès des parents vaudois afin de connaître leur perception des modes de garde existant dans le canton. Quelque 5000 ménages seront ciblés. Les résultats seront connus en mars 2023.

"Nous comptons sur la mobilisation et la participation des parents pour cette étude, dont les résultats nous permettront d'orienter notre stratégie 2025-2030 et de définir des actions concrètes. Nous devons comprendre la réalité vécue par les parents, ce qui les satisfait dans le système actuel et ce qui devrait évoluer dans les formes d’offres d'accueil", explique Gérald Cretegny, président du Conseil de la FAJE, cité mardi dans un communiqué.

Depuis 15 ans, la Fondation, en charge du subventionnement de l'accueil de jour, "½uvre sur l'ensemble du canton pour le déploiement d'une offre suffisante, de qualité, mais également financièrement accessible pour les parents". L'une de ses responsabilités est d'évaluer les besoins quantitatifs en places d'accueil mais aussi de s'intéresser aux modalités de garde elles-mêmes, indique-t-elle.

L'étude lancée vise "une approche qualitative sur le type d'offres existantes et leur plus ou moins grande adéquation aux attentes et perceptions des parents". Quelque 5000 ménages ayant au moins un enfant de moins de treize ans, domiciliés dans le canton de Vaud, seront interrogés après avoir été sélectionnés aléatoirement dans le registre des habitants.

Ceux-ci recevront un courrier explicatif et pourront remplir un questionnaire en ligne. Ce dernier a été traduit en quatre langues afin de permettre à tous les parents retenus de répondre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Actualité

VIDEO - Un projet pilote en Valais pour soulager les urgences

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Un projet pilote dans le Valais central pour soulager les urgences (archives).

Des équipes mobiles d’urgence sociale (EMUS) seront mises sur pied, cet automne, via un projet pilote dans le Valais central. Le détail avec Benjamin Smadja et Elsa Duperray.

Les personnes en situation d’urgence sociale pourront être prises en charge par une équipe spécifique, intégrant des professionnels des domaines social et sanitaire.

Afin d’accompagner les victimes de violences domestiques, les personnes rencontrant des difficultés de santé non vitales (chute à domicile, alcoolisation aiguë, etc.) ou encore les personnes sans solution de logement, un projet pilote sera lancé cet automne dans la région Sion-Sierre et dans les vallées latérales.

Il doit notamment permettre de soulager les intervenants "feux bleus", comme les patrouilles de police et les ambulances, ainsi que les urgences hospitalières. "Et ce tout en garantissant une prise en charge adaptée pour les personnes en situation de détresse sociale", précise le Département de la santé, des affaires sociales et de la culture dans un communiqué, ce mardi.

Sur les week-ends

Les équipes EMUS seront pilotées et activées par la centrale 144. L’Organisation cantonale valaisanne des secours (OCVS) régule déjà les appels d’urgence sanitaire et sera à même de déterminer les besoins précis d’un patient pour activer la meilleure prise en charge possible, pour ce dernier. Ce projet assurera une intervention de 19h00 à 07h00 durant les nuits de vendredi, samedi et dimanche, ainsi que les jours fériés.

Les équipes EMUS collaboreront avec le réseau sociosanitaire existant en Valais. Les binômes, composés d’un intervenant social et d’un intervenant sanitaire, pourront ainsi orienter les personnes rencontrées vers les institutions compétentes, mais aussi soutenir ces dernières dans la gestion de situations complexes. Ces équipes pourront également jouer un rôle préventif, afin d’identifier des problématiques sociales récurrentes en Valais.

L'expérience vaudoise

Afin d’assurer l’efficacité de ce projet, le canton du Valais peut compter sur l’expérience d’Unisanté, qui gère depuis plusieurs années une équipe mobile d’urgence sociale, dans le canton de Vaud.

Un bilan de ce projet pilote sera effectué après deux ans d’activité, afin de déterminer l’efficacité du dispositif et son éventuelle extension au reste du canton.

InfoKids à Genève

L'application InfoKids est destinée aux parents dont les enfants nécessitent une consultation médicale au Service d'Accueil et Urgences Pédiatriques (SAUP) des HUG. InfoKids offre les services suivants : Conseils sur l'attitude à adopter face aux symptômes présentés par l'enfant

Avec ATS

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Suisse Romande

Lausanne: dépistage gratuit de la rétinopathie diabétique

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L'Hôpital ophtalmique Jules Gonin organise lundi dans ses locaux près de la gare de Lausanne un dépistage des maladies visuelles provoquées par le diabète (archives). (© KEYSTONE/DOMINIC FAVRE)

L’Hôpital ophtalmique Jules-Gonin organise lundi une journée de dépistage gratuit de la rétinopathie diabétique ainsi que des autres maladies visuelles. L’événement, sur inscription, se déroule dans ses locaux Medbase de la gare de Lausanne.

L'objectif de cette journée est de sensibiliser le grand public et en particulier les personnes atteintes de diabète à l'importance d'un dépistage précoce de la rétinopathie diabétique et d'autres maladies visuelles. En plus des examens de dépistage, les visiteurs recevront des informations sur le diabète et ses risques grâce à la collaboration du Réseau Santé Région Lausanne et de Diabète Vaud, écrit l'hôpital mardi dans un communiqué.

Fait souvent ignoré, le diabète peut être une menace pour la vision. Chez les diabétiques, la variation du taux de sucre dans le sang de façon chronique entraîne une altération des vaisseaux de la rétine, membrane qui tapisse le fond de l'½il: la rétinopathie diabétique.

En l'absence de traitement, cette maladie peut mener à une diminution importante de la vision, voire à une perte complète de la vue. Le diabète peut également attaquer le cristallin et causer une cataracte précoce.

L'événement du 5 juin se déroule de 08h00 à 17h30. L'inscription est nécessaire. Le 15 novembre prochain, une autre journée de dépistage identique sera organisée dans le Centre ophtalmique Jules-Gonin à l'Espace Santé Rennaz.

https://events.ophtalmique.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Esclandre au Grand Conseil vaudois: séance arrêtée

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La séance de mardi au Grand Conseil a été arrêtée après des attaques d'une députée de la gauche radicale contre un collègue de droite (photo d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les débats ont dérapé mardi devant le Grand Conseil vaudois. Une députée de la gauche radicale a accusé un collègue de droite de harcèlement sexuel. La séance a dû être arrêtée prématurément.

Les discussions, déjà tendues, portaient sur les anciens zadistes du Mormont. C'est alors qu'Elodie Lopez (Ensemble à Gauche - POP) a pris la parole pour critiquer son adversaire de droite, l'accusant de n'être lui-même pas exemplaire. Elle a évoqué des comportements inadéquats, avec des insinuations de "harcèlement sexuel".

Le principal intéressé a immédiatement réagi, parlant de "scandale", "diffamation" et "atteinte" à sa dignité. Il a exigé des excuses, sans quoi il porterait plainte pénale.

Tout aussi outrés, plusieurs de ses collègues de droite ont dénoncé une "attaque infondée" et exigé, eux aussi, des excuses de la part d'une députée qui a "dépassé la ligne rouge".

Elodie Lopez a ensuite repris la parole pour tenter d'expliquer sa position sur l'irréprochabilité des élus. Elle ne s'est toutefois pas excusée, sans pour autant réitérer ses accusations.

Séance suspendue puis arrêtée

L'incident a semé le trouble au sein du parlement et la séance a été suspendue. Les présidents de groupe et les membres du Bureau du Grand Conseil se sont entretenus durant près d'une heure.

A leur retour, la présidente du Grand Conseil Séverine Evéquoz a expliqué que rien ne pouvait être entrepris "pour l'heure" dans le cadre du Grand Conseil. Elle a invité les deux protagonistes de l'affaire à "dialoguer".

Le député pris à partie a rétorqué qu'il ne pouvait pas se satisfaire de cette situation, répétant qu'il exigeait des excuses immédiates. Dans la foulée, la plupart des députés de droite ont quitté la salle. Séverine Evéquoz n'a alors eu d'autre choix que de lever la séance.

Accusation "grave"

"C'est une accusation faite en public qui est grave et que l'on ne peut pas accepter de la sorte. Il aurait fallu l'étayer et apporter des preuves. Et il y a surtout d'autres voies pour le faire", a réagi à chaud le chef de groupe PLR Nicolas Suter, interrogé par Keystone-ATS.

"Si les propos d'Elodie Lopez ont dépassé sa pensée, si c'est un dérapage verbal, alors elle aurait dû publiquement rétracter ses propos et s'excuser", a-t-il ajouté.

Le fait que la majeure partie de la députation PLR et UDC quitte l'hémicycle en signe de protestation n'a pas été concerté entre les chefs de groupe pendant l'interruption de séances, selon lui. "C'est plus un mouvement de foule et de solidarité de la part de la droite", a-t-il indiqué. "C'est triste et ce n'est pas une bonne image que nous donnons aujourd'hui du Grand Conseil", a-t-il reconnu.

Nouvelle affaire

La semaine dernière déjà, la gauche radicale et la droite s'étaient accrochées au sujet de Mathide Marendaz, qui s'était affichée sur les réseaux sociaux avec le slogan anti-policier ACAB ("All cops are bastards", soit "tous les flics sont des bâtards" - ou "des salauds").

La députée, elle aussi issue du groupe Ensemble à gauche - POP, s'était ensuite excusée. Une plainte a toutefois été déposée à son encontre par l'Association professionnelle des gendarmes vaudois (APGV).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Une personne blessée à l'arme blanche à Bellerive à Lausanne

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La police de Lausanne a dû intervenir samedi soir près du Luna Park à Lausanne à la suite d'une altercation qui s'est terminée par un blessé à l'arme blanche (photo symbolique). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

Une personne a été blessée à l'arme blanche samedi soir tard vers le parking relais de Bellerive à Lausanne, à proximité du Luna Park, a indiqué mardi la police dans un communiqué. Les faits se sont produits à la suite d'une altercation, précise-t-elle.

La bagarre a eu lieu aux alentours de 23h30 et la victime a été transportée en ambulance à l'hôpital, ajoute la police lausannoise, sans donner d'autres détails sur son état de santé. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'agression et la police lance un appel à témoins.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Vaud doit mieux combattre les violences domestiques

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Des députées ont pris la parole mardi devant le Grand Conseil, suite aux deux féminicides commis la semaine dernière à Lausanne et Vevey (photo d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les deux féminicides commis la semaine dernière dans le canton de Vaud, à Vevey et Lausanne, ont fait réagir mardi le Grand Conseil. Des députées ont demandé un renforcement des mesures pour protéger les victimes de violences.

Prenant la parole au nom du groupe parlementaire féminin (Intergroupe F), Valérie Induni (PS) a transmis un message de "solidarité" aux proches des victimes. Et plus généralement à toutes celles qui vivent dans la peur "lorsque le danger guette chez soi".

Ces "tragédies" doivent pousser le Canton à continuer de "chercher des moyens de combattre" ces violences, a-t-elle souligné. Elle a notamment mentionné la nécessité de prévoir davantage d'hébergements pour les victimes de violences domestiques, de renforcer les mesures d'éloignement des conjoints violents, d'améliorer la saisie d'armes ou encore d'accentuer les campagnes de prévention.

Un féminicide constitue "un fait de société, pas un acte isolé", a-t-elle dit en conclusion de son intervention, accueillie par les applaudissements du Grand Conseil.

Dans une déclaration personnelle, la députée Joëlle Minacci (Ensemble à gauche - POP) est aussi revenue sur ces deux drames. "La lutte contre les violences sexistes, sexuelles et domestiques doit être prioritaire", a-t-elle déclaré.

Si le Canton de Vaud "avance" sur cette question, il doit encore "accélérer son action", a-t-elle insisté. Elle a aussi estimé qu'il y avait encore "un important travail à faire dans le relais médiatique" de ces affaires.

Pour mémoire, deux femmes ont été poignardées par leur compagnon la semaine dernière, l'une à Lausanne mardi et l'autre vendredi à Vevey. Les victimes avaient 23 et 37 ans.

Nouvelle étude

Sur la même thématique, la conseillère d'Etat Christelle Luisier a annoncé mardi que les autorités cantonales avaient mandaté l'Université de Lausanne pour mener une étude sur le suivi des violences domestiques en terres vaudoises. Elle doit démarrer cet été pour un rapport attendu en 2024.

Cette étude fait suite notamment à un postulat de Muriel Thalmann (PS), qui regrettait l'absence de statistiques au niveau pénal, la faute à des outils informatiques inadaptés. Deux projets informatiques sont toutefois en cours sur le plan fédéral, ce qui permettrait de combler cette lacune en matière de statistiques.

Dans l'attente de ces nouveaux systèmes informatiques, Muriel Thalmann a décidé de retirer son postulat. Celui-ci s'est transformé en un voeu adressé au Conseil d'Etat pour qu'il initie une nouvelle étude, chose faite désormais.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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