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Actualité

Plateforme 10: pétition pour le retrait d'un déclassement salarial

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Les agents d'accueil et de surveillance des trois nouveaux musées formant le quartier des arts lausannois ont rétrogradé d'une classe dans la grille des salaires de l'Etat de Vaud, passant de 5 à 4. Ils demandent l'annulation de cette décision (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Une partie du personnel de Plateforme 10, le pôle muséal de Lausanne, et le Syndicat vaudois des services publics (SSP Vaud) ont remis mercredi une pétition munie de plus de 1500 signatures à la conseillère d'Etat vaudoise en charge de la culture Nuria Gorrite. Ils demandent le retrait du déclassement salarial des agents d'accueil et de surveillance du site ainsi que le rétablissement rétroactif des droits au salaire.

Les agents d'accueil et de surveillance des trois nouveaux musées formant le quartier des arts lausannois ont en effet été rétrogradés d'une classe dans la grille des salaires de l'Etat de Vaud, passant de 5 à 4. Ce changement s'applique aux nouveaux contrats uniquement, qu'ils soient à durée déterminée (CDD) ou indéterminée (CDI). Le nouveau régime est appliqué depuis mars dernier.

"Depuis plusieurs mois, le personnel de Plateforme 10, soutenu par le SSP Vaud, interpelle la conseillère d'Etat Nuria Gorrite et la direction de Plateforme 10 pour exiger une annulation de cette décision invraisemblable et jamais vue dans le canton", écrit le syndicat dans un communiqué. Sans succès à ce jour.

"Aucune solution visant à garantir le salaire acquis ni aucune proposition de rencontre avec une délégation du personnel n'a été faite par la cheffe du Département de la culture, des infrastructures et des ressources humaines (DCIRH)", regrette le syndicat.

"Si ces mesures inacceptables devaient être maintenues malgré notre mobilisation, une nouvelle assemblée générale du personnel décidera des mesures à prendre pour défendre ses revendications plus que légitimes", avertit le SSP. Selon lui, la pétition a été signée par des visiteurs de Plateforme 10 et différents soutiens.

Clarifications du canton

Le département a réagi en soirée en rappelant que les demandes relatives à la rémunération des salariés de la Plateforme 10 devaient être adressées au directeur général de la Fondation Plateforme 10. C'est ce dernier qui définit le cahier des charges des employés. Le Service du personnel de l'Etat détermine sur cette base le niveau des classes salariales des postes.

Le canton rappelle également qu'il en va du principe d'équité au regard des autres musées cantonaux. Le Service du personnel de l'Etat procède régulièrement à des réévaluations des cahiers des charges transmises par les autorités d’engagement.

Trois musées réunis

Plateforme 10 est une fondation de droit public et ses collaborateurs sont soumis à la loi sur le personnel de l'Etat de Vaud.

Lorsque la fondation a été créée le 1er janvier 2020, trois musées avec des régimes différents ont été réunis (MCBA, mudac et Elysée) et il a fallu définir des règles communes. Plateforme 10 compte environ 50 agents d'accueil et de sécurité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Sport

Le dernier acte d'une saison magnifique pour le NUC

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Une saison 2023/2024 exceptionnelle pour le NUC. (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Un titre de plus pour le NUC ! Victorieuse 3-1 de Guin lors de l’Acte III de la finale des play-off, les Neuchâteloises remportent pour la cinquième année de suite le Championnat de Suisse.

Malgré la perte du premier set, le NUC a transformé sa première balle de match pour s’imposer sur le score de 22-25 25-17 25-11 25-22 et couronner une saison magnifique. On rappellera que le NUC a disputé la finale de la CEV Cup. La formation dirigée par Lauren Bertolacci a exercé une domination presque écrasante sur le plan national.

La coach australienne ne va toutefois pas savourer très longtemps ce nouveau sacre dans la mesure où le prochain départ de ses étrangères vers d’autres cieux plus lucratifs l’oblige à reconstruire une équipe. Les Américaines Tessa Grubbs, Maddie Haynes et Jasmine Gross ne seront plus là la saison prochaine. Au même titre d'ailleurs que Chiara Petitat, Sarah Trösch et Tabea Dalliard.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La Cour suprême examine l'interdiction de l'avortement dans l'Idaho

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L'Idaho est l'un des Etats les plus sévères en matière d'interruption volontaire de grossesse (archives). (© KEYSTONE/AP/Darin Oswald)

Une Cour suprême divisée s'est penchée mercredi sur l'interdiction quasi-totale de l'avortement par l'Etat de l'Idaho, dans le nord-ouest des Etats-Unis. Elle doit déterminer si elle entre en conflit avec une législation fédérale sur les urgences médicales.

C'est cette même institution dominée par les conservateurs qui a pulvérisé, en juin 2022, la garantie fédérale du droit à l'avortement, cassant une jurisprudence de plusieurs décennies.

La dernière affaire est particulièrement suivie car elle pourrait avoir un impact sur des hôpitaux à travers le pays. L'avortement est aussi l'un des thèmes au coeur de la campagne pour la présidentielle du 5 novembre.

L'Idaho est l'un des Etats les plus sévères en matière d'interruption volontaire de grossesse (IVG): l'avortement y est interdit sauf rares exceptions, comme en cas d'inceste ou de danger de mort imminent pour la femme enceinte.

En dehors de ce cadre, toute personne pratiquant un avortement risque jusqu'à cinq ans de prison.

L'administration du président démocrate Joe Biden a demandé à la justice de bloquer cette législation, arguant qu'elle viole une loi fédérale sur les urgences médicales puisqu'elle ne prévoit pas d'exception en cas de "danger grave pour la santé" de la femme enceinte.

"Situation impossible"

Mercredi, les trois juges progressistes de la Cour, Elena Kagan, Ketanji Brown Jackson et Sonia Sotomayor, ont pressé de questions le représentant de l'Etat de l'Idaho, en le recadrant parfois sèchement et en prenant pour exemple des cas éprouvants de femmes dont la santé serait menacée mais pas forcément la vie.

Chez les juges conservateurs, certains se sont montrés sceptiques sur les arguments du gouvernement.

"Comment pouvez-vous imposer des restrictions à ce que l'Idaho peut criminaliser, simplement parce que des hôpitaux dans l'Idaho ont choisi d'accepter" des fonds fédéraux? a ainsi demandé l'un d'eux, Samuel Alito.

Le même magistrat s'est par ailleurs interrogé sur l'usage de l'expression "enfant non né" dans la législation fédérale, laissant entendre que cela signifiait que "l'hôpital doit essayer d'éliminer toute menace immédiate pour l'enfant", et que par conséquent "pratiquer un avortement est contraire à ce devoir".

D'autres juges conservateurs, comme Amy Coney Barrett, ont toutefois laissé entrevoir des doutes, cette dernière se disant même "choquée" par une partie de l'argumentaire du représentant de l'Idaho, Josh Turner.

Elizabeth Prelogar, la représentante de l'Etat fédéral, a affirmé qu'"aujourd'hui, les médecins et les femmes dans l'Idaho se trouvent dans une situation impossible".

"Si une femme arrive aux urgences et que sa santé est gravement menacée, mais qu'elle n'est pas encore en danger de mort, alors les médecins doivent soit retarder le traitement et laisser son état se détériorer, soit la transporter par avion hors de l'Etat pour qu'elle puisse recevoir les soins d'urgence dont elle a besoin", a-t-elle lancé.

Manifestations

La loi fédérale, baptisée EMTALA, exige des hôpitaux affiliés à l'assurance maladie gouvernementale Medicare de fournir des soins d'urgence aux personnes le nécessitant. Pour l'Idaho, état rural et conservateur, ces soins n'incluent pas nécessairement l'avortement, ce que conteste le gouvernement fédéral.

Un juge fédéral à Boise, la capitale de l'Idaho, avait émis une injonction préliminaire en août 2022 qui suspendait en partie la loi de cet Etat, estimant qu'elle mettait les médecins dans une position délicate.

Mais en janvier, la Cour suprême des Etats-Unis a accepté de la remettre temporairement en place en attendant d'examiner une demande d'appel contre la mesure.

Mercredi, devant la Cour suprême à Washington, quelques centaines de manifestants pro-IVG brandissaient des pancartes proclamant "L'avortement sauve des vies". Une dizaine de militants anti-avortement leur ont un temps fait face.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Mobilité

Le terminal de l'Euroairport de Bâle-Mulhouse évacué

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En mars déjà, l'aéroport de Bâle-Mulhouse avait dû être évacué à plusieurs reprises, en raison de fausses alertes à la bombe (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le terminal des passagers de l'Euroairport de Bâle-Mulhouse a été évacué mercredi soir. La mesure a été prise pour des raisons de sécurité, a indiqué l'aéroport sur son site Internet.

Le terminal a été fermé. L'ordre d'évacuation a été donné vers 19h15, a indiqué une porte-parole de l'aéroport à Keystone-ATS. Les passagers doivent s'attendre à des retards. La porte-parole n'a pas donné d'autres informations.

L'aéroport a déjà été évacué quatre fois depuis le début de l'année. Selon les autorités françaises, il s'agissait chaque fois de fausses alertes à la bombe.

En octobre 2023, quatre fausses menaces ont été émises contre l'Euroairport en l'espace de sept jours. En France, pays dans lequel se trouve l'aéroport, des centaines de menaces de ce type ont été proférées l'an dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

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Le Swiss Loto est un jeu de loterie classique proposé en Suisse depuis 1970. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 5, 29, 32, 36, 37 et 38. Le numéro chance était le 2, le rePLAY le 11 et le Joker le 684789.

Lors du prochain tirage samedi, 14,3 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le Premier ministre espagnol dit réfléchir à une démission

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Pedro Sanchez devrait annoncer sa décision lundi (archives). (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a annoncé mercredi, dans une lettre publiée sur X, "réfléchir" à une éventuelle démission. Cela après l'annonce de l'ouverture d'une enquête contre son épouse pour trafic d'influence et corruption.

"J'ai besoin de m'arrêter et de réfléchir" afin de décider "si je dois continuer à être à la tête du gouvernement ou si je dois renoncer à cet honneur", a-t-il écrit, en indiquant qu'il annoncerait sa décision lundi devant la presse et suspendait ses activités d'ici là.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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