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L'extension du certificat Covid plutôt bien accueillie

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L'extension du certificat Covid concerne aussi bien les restaurants que les musées, les zoos, ou les concerts. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Restaurants, musées, zoos, concerts: les Suisses sont confrontés depuis lundi à l'extension du certificat Covid, une mesure plutôt bien accueillies par la clientèle. Les autorités privilégient pour leur part une certaine souplesse.

Comme à Lausanne ou à Genève, le recours au certificat Covid a été relativement rare dans les cafés et restaurants, le soleil incitant les clients à profiter des terrasses. A l'intérieur, la mesure semblait plutôt bien acceptée, même si certains consommateurs ont dû être refoulés.

"Nous avons dû refuser l'entrée à trois-quatre habitués qui n'avaient pas le certificat. Ils sont repartis en faisant la tête. C'est malheureux, mais nous n'avons pas le choix", raconte une serveuse d'un tea-room du centre-ville de Lausanne. La scène s'est reproduite dans d'autres établissements, a constaté Keystone-ATS.

La Société des cafetiers, restaurateurs et hôteliers de Genève (SCRHG) a reçu de nombreux appels de responsables d'établissements publics demandant des conseils et des explications, a fait savoir son président Laurent Terlinchamp. Beaucoup de questions tournaient autour de l'application à télécharger pour pouvoir contrôler les certificats.

"Accompagner" les établissements

Du côté des autorités, il s'agit avant tout "d'accompagner" les établissements et, si nécessaire, de leur demander de corriger leur pratique, explique Jean-Christophe Sauterel, responsable de la communication à l'Etat-major cantonal de conduite (EMCC). Une sanction n'interviendra que pour ceux qui persistent à ne pas se plier aux nouvelles règles. Le nombre d'établissements à contrôler - 238 la semaine dernière - n'a pas été revu à la hausse.

Dans le canton de Neuchâtel, le Service de la consommation et des affaires vétérinaires (SCAV) n'a pas procédé lundi à des contrôles. Les premiers auront lieu mardi. "C'est toujours délicat les premiers jours car certaines informations méritent d'être précisées", a déclaré à Keystone-ATS Pierre-François Gobat, chef du SCAV.

A Genève, la bonne application du certificat dans les restaurants et cafés sera vérifiée principalement par l'OCIRT (Office cantonal de l'inspection et des relations de travail). La police interviendra aussi de temps en temps et continuera de contrôler les activités du monde de la nuit, comme les discothèques. L'administration laissera un petit temps d'adaptation aux restaurateurs avant de sévir.

Dans le Jura, la police cantonale a effectué une dizaine de contrôles lundi, mais n'a pas augmenté le nombre d'inspections, souligne le commandant Damien Rérat. Elle va privilégier la prévention durant les premiers jours, avant d'ensuite distribuer des amendes et procéder à des dénonciations.

En Valais, ce sont les polices municipales qui sont responsables des contrôles. Cette première semaine, d'entente avec la police cantonale, nous avons prévu une phase d'information", explique le chef du service sécuritaire de la ville de Monthey Glenn Martignier. Les agents ont ainsi pour mission de passer dans tous les commerces et restaurants.

La plupart d'entre eux sont bien informés mais "ont besoin d'être rassurés", ajoute-t-il. Après cette première journée, Glenn Martignier souligne ne pas avoir eu connaissance de cas problématiques avec des clients qui auraient refusé d'obtempérer.

Une certaine souplesse

L'approche est similaire en Suisse alémanique, où le Département de la santé de Bâle-Ville n'a pas encore débuté les inspections. Il souhaite donner aux établissements quelques jours pour s'habituer à la nouvelle situation. La police vérifie quant à elle la nouvelle pratique des certificats Covid dans le cadre de ses activités habituelles de contrôle.

Dans le canton d'Argovie, les autorités veulent effectuer des inspections "avec le sens de la mesure". Des contrôles de routine et aléatoires sont effectués, ainsi que des contrôles suite à des signalements de tiers. Selon l'expérience de la police cantonale, la population a bien coopéré jusqu'à présent.

A Zurich, la police municipale a informé le public que des contrôles aléatoires, ainsi que des contrôles sur signalement seraient effectués.

Obligatoire en intérieur

Dès ce lundi, le certificat devient obligatoire pour tous les événements qui ont lieu en intérieur. Cela concerne aussi les salles de fitness, les piscines ou les mariages dans les lieux publics. A l'extérieur, il est demandé pour les manifestations de plus de 1000 personnes. Les terrasses des restaurants et des bars restent elles libres d'accès.

Les rassemblements politiques, les groupes d'entraide, les funérailles et autres services religieux échappent aussi à l'obligation jusqu'à 50 personnes. Les répétitions musicales ou théâtrales et les entrainements sportifs de moins de 30 personnes sont également autorisés sans certificat.

Les personnes qui ne respectent pas ces mesures pourront être amendées. Un client sans certificat devra débourser 100 francs. Les établissements ou organisateurs fautifs seront punis d'une amende pouvant aller jusqu'à 10'000 francs, voire d'une fermeture.

L'extension annoncée mercredi dernier semble déjà avoir un impact sur la vaccination. Comparé aux sept jours précédents, le rythme des injections s'est accéléré de 20% sur la semaine du 6 au 12 septembre, selon des chiffres de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

La Corée du Nord menace d'ouvrir le feu à la frontière avec le sud

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La Corée du Nord menace son voisin du Sud, qu'il accuse d'avoir largué des tracts anti-régime (archives). (© KEYSTONE/AP/Ahn Young-joon)

La Corée du Nord, qui a accusé Séoul d'avoir envoyé à Pyongyang des drones sans pilote transportant des tracts de propagande, a menacé dimanche d'ouvrir le feu à la frontière avec la Corée du Sud.

"L'état-major général" de l'armée populaire "a émis le 12 octobre un ordre d'opération préliminaire aux unités d'artillerie combinées le long de la frontière (...) pour qu'elles se préparent pleinement à ouvrir le feu", selon l'agence de presse officielle KCNA, citant le communiqué du ministère nord-coréen de la Défense.

L'ordre prévoyait que "huit brigades d'artillerie entièrement armées, avec tous leurs effectifs de guerre, soient prêtes à ouvrir le feu" jusqu'à dimanche 20H00 (13H00 suisses).

Selon KCNA, d'autres unités ont reçu l'ordre "d'intensifier la surveillance en état d'alerte totale", tandis que "les postes d'observation anti-aérienne ont été renforcés" à Pyongyang.

Tracts anti-régime

La Corée du Nord avait accusé vendredi son voisin du Sud d'avait envoyer des drones transportant des tracts de propagande dans l'espace aérien de Pyongyang le 3 octobre, puis de nouveau mercredi et jeudi de la semaine dernière.

Les drones auraient largué de la propagande anti-régime, et les tracts étaient remplis de "rumeurs incendiaires et de détritus", selon KCNA.

Faire voler des drones dans l'espace aérien de Pyongyang "pourrait être considéré comme une attaque militaire", a déclaré le ministère nord-coréen des Affaires étrangères, selon KCNA, ajoutant qu'il s'agissait "d'une grave provocation intolérable et impardonnable".

Le ministre sud-coréen de la Défense, Kim Yong-hyun, avait d'abord nié les accusations de Pyongyang, mais l'état-major interarmées a ensuite modifié sa position, déclarant dans un communiqué qu'il "ne peut pas confirmer si les allégations nord-coréennes sont vraies ou non".

Samedi, l'influente soeur du dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a menacé Séoul d'un "horrible désastre" si des drones franchissaient à nouveau la frontière.

Les relations entre les deux voisins sont au plus bas depuis des années, le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un ayant désigné cette année la Corée du Sud comme "le principal ennemi" de son pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

"L'ONU du vin" appelle au développement durable de la vigne

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L'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), dont la Suisse est membre, s'inquiète aussi des effets du changement climatique (image symbolique). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), sorte d'"ONU du vin" qui réunit les experts de la filière, a appelé à un "développement durable" de la vigne, dimanche, à l'issue d'une réunion ministérielle en France.

"Les effets du changement climatique amplifient" les défis auxquels la vigne doit faire face, ont souligné 37 membres, sur 50, participant à la réunion au siège de l'OIV à Dijon (est).

Les signataires encouragent les "réservoirs de biodiversité, tels que les cépages et tout l'écosystème qui les entoure, en limitant l'érosion des sols, en capturant le carbone (...) et en réduisant les déchets", ajoute la déclaration ministérielle, la première dans l'histoire de l'organisation qui célèbre cette année son centenaire.

L'OIV s'est fixée pour "objectifs" de "soutenir l'innovation, les pratiques culturales et oenologiques ambitieuses, résilientes et durables (...) ainsi que la biodiversité telle que la conservation et l'utilisation de la diversité dans la vigne, l'exploitation de nouvelles variétés de vigne et la gestion efficace de l'eau".

La "durabilité" de la vigne et du vin s'entend également en matière "économique et sociale", a expliqué en conférence de presse le directeur général de l'OIV, le Néo-Zélandais John Barker, soulignant notamment le besoin du secteur de s'adapter à la baisse de la consommation du vin.

Bientôt la Chine

Créée le 29 novembre 1924 par huit pays (Espagne, France, Grèce, Hongrie, Italie, Luxembourg, Portugal, Tunisie), l'OIV rassemble aujourd'hui 50 États, couvrant 88% de la production mondiale de vin, avec l'absence notoire des États-Unis, qui ont claqué la porte en 2001, après l'échec de leur candidat à sa présidence. La Suisse en est membre.

Le Chine deviendra en novembre le 51e État membre.

L'organisation n'est pas politique mais réunit des experts techniques et scientifiques qui échangent leurs informations sur la filière et tentent d'harmoniser les normes au niveau international.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Giorgio Armani évoque un départ dans "deux à trois ans"

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Le styliste italien Giorgio Armani a toujours refusé des offres de reprise, défendant son indépendance (archives). (© KEYSTONE/EPA/DANIEL DAL ZENNARO)

Dans un entretien au Corriere della Sera dimanche, le styliste italien Giorgio Armani affirme vouloir quitter la scène dans les deux ou trois prochaines années. "Je me donne encore deux ou trois ans à la tête de l'entreprise. Pas plus", a indiqué le nonagénaire.

M. Armani n'a par contre pas évoqué le futur de sa marque à succès, qu'il dirige depuis près de 50 ans, ni le nom d'un successeur. Il rêve d'un avenir où il n'a plus à prendre de décision, confie-t-il.

Interrogé sur un possible passage de témoin à son bras droit actuel, Leo Dell'Orco, Giorgio Armani a vaguement répondu qu'il avait déjà échafaudé une structure claire que ceux qui prendront sa suite seront invités à mettre en place. Il a encore indiqué au quotidien italien avoir été approché dernièrement par de potentiels investisseurs externes, qui se montrent "un peu plus insistants". "Mais actuellement, je ne vois aucune opportunité", ajoute-t-il.

L'industrie de la mode est dominée depuis un certain temps par des conglomérats actifs dans le luxe. Giorgio Armani a toujours refusé des offres de reprise, défendant son indépendance.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / dpa

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International

ISS: retour des astronautes reporté à cause de la météo en Floride

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Les quatre membres de l'équipage de l'ISS (de gauche à droite) Alexander Grebenkin, Michael Barratt, Matthew Dominick et Jeanette Epps devront encore attendre pour quitter la station spatiale (archives). (© KEYSTONE/AP/John Raoux)

Le retour de quatre membres de l'équipage de la Station spatiale internationale (ISS) a une nouvelle fois été reporté en raison de mauvaises conditions météorologiques en Floride.

Les quatre astronautes auraient déjà dû entamer leur voyage vers la Terre lundi dernier à bord du Crew Dragon, développé par SpaceX.

Pour cette seconde tentative de retour sur Terre, la capsule des astronautes de la Nasa Matthew Dominick, Michael Barratt et Jeanette Epps, ainsi que de l'astronaute russe Alexander Grebenkin, aurait dû quitter la station spatiale dimanche matin.

En raison de prévisions météorologiques défavorables, l'amerrissage de la capsule spatiale prévu lundi au large des côtes de l'État américain de Floride n'est toutefois pas possible à l'heure actuelle, selon la Nasa.

Lundi, les équipes de la Nasa et de la société spatiale d'Elon Musk ont prévu de discuter de la prochaine date de retour possible.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / dpa

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International

Israël intensifie ses frappes aériennes dans le sud du Liban

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Selon l'armée israélienne, un de ses chars tentant d'évacuer des soldats blessés sous les tirs a percuté un poste de la Finul (archives). (© KEYSTONE/EPA/STR)

L'armée israélienne mène dimanche des combats rapprochés avec le Hezbollah dans le sud du Liban, où elle a annoncé pour la première fois la capture d'un combattant ennemi, et intensifie ses frappes aériennes contre la formation pro-iranienne dans le pays voisin.

Le mouvement libanais a dit combattre en fin d'après-midi "à l'arme automatique" et avec des "roquettes" des soldats israéliens dans au moins quatre villages frontaliers d'Israël, l'armée israélienne faisant elle état de "combats face à face" et de "soldats blessés" dans ses rangs.

Le Hezbollah a diffusé un ancien enregistrement sonore de son chef, Hassan Nasrallah, assassiné le 27 septembre dans une frappe israélienne près de Beyrouth, où il galvanise des combattants en manoeuvre.

L'armée a elle annoncé avoir capturé un combattant de cette formation dans un tunnel dans le sud du Liban, une première depuis qu'elle y a lancé une offensive terrestre le 30 septembre.

Après avoir affaibli le Hamas palestinien à Gaza, Israël a déplacé le front de la guerre au Liban, disant vouloir permettre le retour dans le nord d'Israël de quelque 60'000 habitants, déplacés par les tirs de roquettes menés depuis un an par le Hezbollah en soutien au Hamas.

Israël ne permettra pas au Hezbollah de retourner dans les zones frontalières, même après le retrait de ses soldats, a affirmé dimanche son ministre de la Défense, Yoav Gallant.

"Comme un séisme"

Selon l'agence de presse officielle libanaise ANI, l'aviation israélienne a aussi intensifié depuis minuit ses frappes aériennes et tirs à l'arme lourde sur des villages du sud, après avoir frappé samedi soir un marché de la ville de Nabatiyeh.

"Tout a été détruit (...) comme si un séisme avait ravagé le marché", témoignait dans la matinée pour l'AFP au milieu des décombres fumants un habitant, Tareq Sadaq.

Nabatiyeh figure parmi les localités de la région dont l'armée israélienne appelle régulièrement les habitants à évacuer vers le nord.

La Croix-Rouge libanaise a fait état de plusieurs secouristes blessés dimanche dans une frappe dans le secteur, et l'armée libanaise de trois soldats blessés par des "frappes israéliennes sur deux véhicules militaires".

Plus de 1.200 personnes ont été tuées au Liban depuis qu'Israël y a lancé le 23 septembre des bombardements massifs contre le Hezbollah dans ses bastions du sud et de l'est, et de la banlieue sud de Beyrouth, selon un décompte de l'AFP basé sur des chiffres officiels.

L'ONU a recensé près de 700'000 déplacés.

"Violations choquantes"

La force de paix de l'ONU au Liban, Finul, a pour sa part demandé dimanche "des explications" à Israël, dénonçant de nouvelles manoeuvres la visant, après avoir dénoncé vendredi des tirs israéliens "répétés" sur ses positions dans le sud du Liban, qui ont levé un tollé diplomatique.

Parmi ces "violations choquantes", elle a cité l'entrée "en force" dans la matinée de deux chars israéliens dans une de ses positions, avant des tirs ayant "provoqué une fumée" qui a déclenché "des irritations cutanées et réactions gastro-intestinales chez 15 Casques bleus".

L'armée israélienne a ensuite indiqué qu'un de ses chars "qui tentait d'évacuer des soldats blessés" sous des tirs ennemis a reculé "et percuté un poste de la Finul".

Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, avait auparavant exhorté l'ONU à retirer "tout de suite" la Finul des zones de combats, défiant les critiques internationales.

Son homologue italienne, Giorgia Meloni, dont le pays fournit le plus d'effectifs à la Finul, lui a répété dimanche qu'"attaquer" cette force était "inacceptable".

Système antimissiles américain

La guerre au Liban et celle de Gaza, déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien le 7 octobre 2023 sur le sol israélien, se doublent d'une escalade entre l'Iran et Israël, dont les dirigeants menacent de riposter à une attaque iranienne de missiles le 1er octobre.

Le Pentagone a annoncé dimanche le déploiement en Israël d'un système américain de défense antimissiles à haute altitude THAAD "pour aider à renforcer les défenses aériennes" de l'allié israélien contre Téhéran.

L'Iran est "totalement prêt à faire face à une situation de guerre", a averti dimanche son chef de la diplomatie, Abbas Araghchi.

"Plus d'espoir"à Jabalia

Dans la bande de Gaza dévastée et assiégée, l'armée israélienne poursuit l' offensive qu'elle a relancée dans le nord, où elle accuse le Hamas de chercher à reconstituer ses forces.

"Il y a énormément de morts et des personnes encore sous les décombres", témoigne pour l'AFP Mouhammad Abou Halima, 40 ans, dans la ville de Jabalia pilonnée et encerclée. "Depuis plus d'une semaine, il n'y a plus d'espoir, plus d'eau et plus de moyens de subsistance".

L'armée a indiqué dimanche avoir éliminé des "dizaines" de combattants dans le secteur, où plus de 400'000 personnes sont prises en étau, selon l'ONU.

L'attaque du Hamas le 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1206 personnes en Israël, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des chiffres officiels israéliens et incluant les otages morts ou tués en captivité à Gaza.

Au moins 42'227 Palestiniens ont été tués, majoritairement des civils, dans l'offensive de représailles israélienne à Gaza, selon les données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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