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Le soutien aux énergies renouvelables devrait se poursuivre

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Une solution transitoire pour continuer à soutenir les énergies renouvelables devrait voir le jour (image symbolique). (© KEYSTONE/LEANDRE DUGGAN)

Les énergies renouvelables devraient être soutenues sans interruption. Le National a approuvé mercredi par 187 voix contre 3 une solution transitoire pour toutes les technologies dès 2023 et jusqu'au bouclement de la révision de la loi sur l'énergie.

Les installations éoliennes, photovoltaïques, de biogaz ou de géothermie et la petite hydraulique bénéficient d'un soutien jusqu'à fin 2022. Une révision de la loi sur l'énergie doit prendre le relais. Mais est elle encore en cours d'élaboration.

Le projet sur la table entend combler les lacunes entre ces deux échéances. "Il est compatible avec la révision à venir et l'anticipe plutôt que de prolonger le système actuel", a expliqué Roger Nordmann (PS/VD) au nom de la commission.

Le système de rétribution de l'injection sera ainsi remplacé par des contributions d'investissement pour tous les types d'installation. Un soutien supplémentaire pour la production d'électricité par la biomasse ou les grandes installations hydroélectriques est aussi prévu.

Production indigène augmentée

"C'est un grand pas pour les énergies renouvelables", a salué Bastien Girod (Verts/ZH), dont l'initiative parlementaire est à l'origine du projet. "Nous pourrons augmenter la production d'électricité indigène issue de ces énergies de 11 térawatts-heure (TWh) par an d'ici dix ans. C'est trois fois plus que la production de la centrale nucléaire de Mühleberg." Plus de trois quarts de cette hausse proviendrait du photovoltaïque.

Tous les partis l'ont rejoint pour saluer un projet central pour assurer un soutien continu aux énergies vertes et une sécurité de l'approvisionnement. Plusieurs orateurs du camp bourgeois ont notamment souligné l'importance du texte suite à l'abandon de l'accord-cadre.

"L'accord sur l'électricité est ainsi reporté aux calendes grecques", a critiqué Jacques Bourgeois (PLR/FR). Or cet accord est nécessaire à la sécurité de planification, a complété Isabelle Chevalley (PVL/VD).

Seule la ministre de l'environnement s'est opposée au projet. "Il s'agit d'une longue solution transitoire, valable jusqu'à fin 2030", a rappelé Simonetta Sommaruga, critiquant les incertitudes créées pour les investisseurs. "Ils ne sauront pas combien de temps elle sera en vigueur et devront s'adapter à une nouvelle règlementation dans quelques années quand la révision de la loi sera prête."

Contribution à 60%

Si l'utilité du projet n'a pas été remise en question, la hauteur des différentes contributions a fait l'objet de longues discussions. Les députés de centre-droit ont plaidé pour qu'elles se montent à 60% au maximum pour les nouvelles centrales hydrauliques d'une puissance minimale de 1 MW et les agrandissements atteignant une capacité de 300 kW. Pour les rénovations de même taille, la contribution devrait se monter à 40% des coûts.

La gauche et le PVL auraient quant à eux voulu limiter toutes les contributions à 40%. Seules les nouvelles installations soumises à l'étude de l'impact sur l'environnement, ainsi que les agrandissements ou rénovations notables de centrales hydroélectriques atteignant une capacité minimale de 1 MW devraient être soutenues, aux yeux du camp rose-vert.

"Les petites installations hydrauliques contribuent peu, mais elles peuvent avoir un impact important sur la biodiversité", a pointé Ursula Schneider Schüttel (PS/FR). La gauche aurait encore voulu maintenir l'allocation des ressources à 0,1 ct./kWh pour les grandes installations, et non la doubler. Pas question non plus, selon elle, de prolonger les primes de marché jusqu'à 2030.

"La force hydraulique est quasiment épuisée", a relevé Christophe Clivaz (Verts/VS). "Le soutien devrait se concentrer à sécuriser l'approvisionnement en hiver, au stockage et à l'assainissement écologique des installations existantes."

"L'hydraulique couvre 56% de nos besoins actuels", a contré Jacques Bourgeois. Elle est importante pour stabiliser le réseau, notamment en hiver. La droite a eu gain de cause sur toute la ligne.

Mise aux enchères

L'UDC a quant à elle tenté de réduire la contribution pour les nouvelles éoliennes de 60% à 30% des coûts d'investissement, comme pour le photovoltaïque. Le parti conservateur a aussi tenté de restreindre les bénéficiaires de la rétribution unique aux installations photovoltaïques qui produisent de l'électricité en hiver. Il n'a toutefois fait beaucoup d'émules en dehors de ses rangs.

L'octroi de la rétribution unique aux grandes installations photovoltaïques sera en outre mise aux enchères, au grand dam de l'UDC et du Centre qui auraient voulu biffer la disposition. Pour Stefan Müller-Altermatt (Centre/SO), cela ne fait aucun sens d'introduire une mise aux enchères pour seulement une technologie.

"La mise aux enchères permet de baisser les coûts en faisant jouer la concurrence", lui a opposé Roger Nordmann. De plus, c'est une possibilité et non une obligation. Des appels d'offre pourraient être issus seulement pour certaines catégories, comme les parois antibruit ou les parkings.

Le PLR aurait de son côté souhaité limiter l'aide aux installations de biomasse existantes. Sans succès. Les députés ont décidé que les coûts exploitation devraient aussi être soutenus.

Répercussion sur le client

Les gestionnaires de réseaux pourront de leur côté répercuter entièrement leurs coûts de revient sur les consommateurs captifs. La disposition est passée de justesse, par 99 voix contre 91 et trois abstentions. L'UDC, le Centre et le PVL voulaient majoritairement en rester au droit en vigueur.

Les instruments d’encouragement continueront d’être financés grâce au supplément perçu sur le réseau. Son montant restera inchangé à 2,3 centimes/kWh.

Le dossier passe au Conseil des Etats.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Culture

Les Urbaines accueillent plus de 7000 visiteurs en 3 jours

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L' Espace Arlaud à Lausanne, un lieu habituel des Urbaines, où plusieurs projections de vidéos ont eu lieu cette année. (© KEYSTONE/DOMINIC FAVRE)

Plus de 7000 personnes ont participé durant trois jours ce week-end dans l'agglomération lausannoise à la 27e édition du festival Les Urbaines. Cette fréquentation élevée confirme l'enthousiasme des publics à expérimenter des formes artistiques questionnant les hégémonies esthétiques et politiques, et la nécessité de les rendre visibles et accessibles, écrivent les organisateurs dimanche.

Durant trois jours, les visiteurs et visiteuses ont pu naviguer entre les habituels lieux partenaires du festival que sont l'Arsenic, le Théâtre Sévelin 36, l'Espace Amaretto, l'Espace Arlaud, le Bourg et le Temple de Chavannes. Ils ont aussi pu parcourir plusieurs lieux inédits, généralement inoccupés ou pas encore ouverts au public, comme l'ancien cinéma Eldorado à Chauderon où se visite l'exposition jusqu'au 10 décembre, et le futur Jumeaux Jazz Club au Flon.

Dans son communiqué, le festival précise que l'année 2023 marque le départ d'Ysaline Rochat, la codirection du festival, après 11 années d'implication au sein de la structure d'abord en tant qu'administratrice et programmatrice, puis comme codirectrice dès 2017. Yasemin Imre, curatrice et chercheuse basée à Genève, a été choisie par le Conseil de Fondation pour reprendre la codirection aux côtés de Samuel Antoine, et commencera son activité de codirectrice le 15 janvier 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Le message fort du Servette FC

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Chris Bedia ouvre le score pour le Servette FC, (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

A défaut de réussir le grand huit, le Servette FC a délivré un message fort : oui, il est bien un candidat légitime au titre.

Au Wankdorf devant 31'500 spectateurs, les Grenat, qui restaient sur une série de sept victoires de rang, ont tenu les Young Boys (1-1) en échec. Ce choc au sommet entre deux équipes qui seront en lice en février prochain sur la scène européenne, n’a peut-être pas débouché sur le match de l’année. Mais avec des Genevois qui ont longtemps regardé l’adversaire les yeux dans les yeux avant de céder sur le plan physique en fin de rencontre, il aura finalement tenu bien des promesses.

Ce nul est un "bon" résultat pour les Grenat qui ont été les leaders virtuels de la Super League pendant une cinquantaine de minutes. Ils reviennent comme les Young Boys à un petit point du FC Zurich. Avec St. Gall quatrième à 3 points du FCZ, la lutte pour le titre promet énormément.

Jérémy Frick déterminant

Il y a eu, pour la troisième fois en huit jours, une première relance bien compliquée pour Anthony Racioppi ne donnait pas le bon ton au Bernois. Elle offrait à la 6e minute un assist en or à Miroslav Stevanovic sans que ce dernier puisse le convertir. Mais deux minutes plus tard, le Bosnien cadrait cette fois pour une très balle parade de Racioppi. Seulement, Chris Bedia était plus prompt qu’Aurèle Amenda sur le renvoi du gardien pour ouvrir le score.

La huitième réussite en championnat de l’Ivoirien obligeait les Bernois à se découvrir un peu trop vite sans doute à leur goût. Si l’on excepte un premier arrêt de grande classe de Jérémy Frick sur une tête de Silvère Ganvoula, les Genevois ont vécu une première mi-temps plutôt paisible. Leur avantage à la pause n’avait rien d’usurpé.

Il ne devait toutefois pas tenir plus d’un quart d’heure à la pause. A la 59e, Meschack Elia trouvait Ganvoula qui, cette fois, prenait le meilleur sur Yoan Severin pour ne laisser aucune chance à Frick. A 1-1, le match tournait résolument en faveur des Bernois. Seulement, les Bernois tombaient sur un Frick des grands soirs décisif devant Nsame (70e, 77e et 91e) et Philip Ugrinic (74e). Comme si le capitaine a su profiter de la blessure de Joël Mall pour rappeler qui est le "patron".

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Léonard Gianadda, mécène valaisan est décédé (VIDEO)

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Leonard Gianadda le 15 juin 2018 a la Fondation Pierre Gianadda a Martigny. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Léonard Gianadda est décédé dimanche matin à l'âge de 88 ans. Il laisse à Martigny (VS) une fondation à la renommée internationale qui a exposé les oeuvres d'illustres artistes comme Picasso, Van Gogh ou Rodin. La disparition de ce "grand homme", "figure marquante", a provoqué de nombreuses réactions.

En 2018, Léonard Gianadda avait annoncé publiquement se battre contre un cancer. "Commençons déjà par demain, par après-demain, allons jusqu'à la fin de l'année", confiait-il alors à Keystone-ATS. La suite "ce ne sera pas facile, ça c'est certain".

Même atteint dans sa santé, le mécène reste très actif, continuant notamment à concrétiser des expositions. Avec dernièrement Caillebotte ou encore Turner.

"Enorme héritage"

"Le Valais perd un grand homme!", a réagi le canton saluant la mémoire et l'oeuvre de Léonard Gianaddasur le réseau social X. Le mécène a inscrit "sa trajectoire au cœur des arts et laisse à sa ville, à son canton et à son pays un énorme héritage avec notamment la création de la Fondation Gianadda", inaugurée en 1978, en l'honneur de son frère décédé Pierre.

Depuis, le succès de la fondation ne se dément pas. Klee, Picasso, Hodler, Rodin, Giacometti, Modigliani, Chagall, Gauguin, Van Gogh et bien d'autres ont fait honneur aux cimaises de la fondation. "Cela s'est fait petit à petit", expliquait Léonard Gianadda en 2018. "Je n'ai évidemment jamais imaginé avoir un jour un tableau de Van Gogh ou de Cézanne, or on en a eu cent".

Il n'imaginait pas non plus que les concerts de musique classique organisés y auraient autant de succès. "Tu as fait de ta Fondation Gianadda à Martigny un haut lieu de Culture avec la peinture bien sûr, mais aussi la musique que tu adorais", a écrit dimanche sur X, le directeur artistique de l'Orchestre de chambre de Lausanne (OCL) Renaud Capuçon. "Merci d’avoir été si inspirant! Tu vas me manquer", ajoute encore le violoniste qui s'était produit dans la fondation.

Des giratoires habillés

"C'était une figure marquante qui a façonné Martigny et nous a fascinés", a réagi auprès de Keystone-ATS la présidente de la ville Anne-Laure Couchepin. "Léonard Gianadda était une personnalité extraordinaire, un visionnaire, un leader. Il a fait beaucoup pour notre ville" ajoute-t-elle. C'est que l'empreinte du mécène est à chaque coin de rue de Martigny, qui ne compte aucun feu de signalisation, mais des giratoires que celui-ci n'a jamais cessé d'habiller.

"J’apprends avec émotion le décès de Léonard Gianadda", écrit sur X Alain Berset, président de la Confédération et chef du Département fédéral de l’intérieur. "Photographe, mécène, collectionneur, passionné d’art, il aura beaucoup oeuvré à la promotion de la culture. Avec mes condoléances à sa famille et à ses proches".

"Il a tant fait pour la culture, mais aussi pour la solidarité", a abondé Mathias Reynard, conseiller d'Etat en charge de la culture sur Facebook. "Nous avions pris l’habitude de nous retrouver régulièrement pour refaire le monde et échanger sur la culture valaisanne, à laquelle il a tant apporté et qui a mis du temps à le reconnaître. [...] Il va beaucoup nous manquer".

Nombreuses distinctions

Petit-fils d'immigré italien, Léonard Gianadda est né le 23 août 1935 à Martigny. Après une maturité classique en 1955, il décroche un diplôme d'ingénieur civil à l'Ecole politique fédérale de Lausanne (EPFL) en 1960.

Parallèlement à ses études, Léonard Gianadda travaille comme journaliste. "Une étape incroyable dans ma vie", déclare-t-il en 2020, alors que la presse suisse salue son engagement d'alors en le faisant membre d'honneur de l'Association de la presse valaisanne et d'Impressum.

Le travail et les prouesses de Léonard Gianadda ont été moult fois récompensés. Il a notamment reçu les titres de chevalier de l'Ordre national du Mérite de la République française, de chevalier puis d'officier de la Légion d'honneur, d'officier des arts et des lettres, et obtenu en 1996 le prix de l'Etat du Valais puis en 2019 le Prix Europa Nostra.

En 2001, il devient membre de l'Académie des beaux-arts. Dimanche, le secrétaire perpétuel Laurent Petitgirard, les membres et correspondants de l’Académie des beaux-arts, ont fait part de leur "grande tristesse" à l'annonce de la nouvelle.

Obsèques jeudi

Début novembre, le conseil municipal de la Ville de Sion avait encore organisé une soirée en l'honneur de Léonard Gianadda "en signe de gratitude pour l'indéfectible soutien apporté aux institutions culturelles et sociales sédunoises".

L'événement s'était alors déroulé dans l'aula de l'Hôpital de Sion, où le mécène était soigné après avoir été gravement blessé à la jambe lors d'un accident de voiture à la sortie d'une représentation du Cirque Knie avec Christian Constantin.

"Je garderai en mémoire nos souvenirs inoubliables et notre relation particulière et amicale", a fait savoir celui-ci sur Facebook, exprimant aussi "ses condoléances les plus sincères à la famille et aux proches de Léonard Gianadda".

Différents hommages lui seront rendus à Martigny, a fait savoir la présidente de la ville du Coude du Rhône. Les obsèques sont prévues jeudi.

Avec Keystone-ATS

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Suisse

7000 visiteurs à la Bourse aux armes de Lausanne

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Quelque 7000 visiteurs ont parcouru les près de 100 stands de cette 29e Bourse aux armes internationale de Lausanne. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Plus de 7000 personnes ont visité durant trois jours la 29e Bourse internationale aux armes de Lausanne qui s'est terminée dimanche dans le chef-lieu vaudois. Les organisateurs ont de quoi être satisfaits. Les exposants ont également enregistré de bonnes affaires, une majorité de visiteurs étant venus avec une optique d’achat.

L'affluence par rapport à l'an dernier a augmenté de 3%, ont indiqué les organisateurs dimanche dans un communiqué. Quant aux exposants, ils étaient 95 à participer avec des marchandises de qualité, précisent les organisateurs.

Apparemment, les visiteurs étaient également venus pour faire leurs achats, montrant un indéniable attrait pour les armes modernes. Le Bureau des Armes des polices cantonales vaudoise, valaisanne et neuchâteloise a d’ailleurs délivré plusieurs centaines de permis d’achat d’armes, écrivent encore les organisateurs dans leur communiqué. Ceux-ci annoncent d'ores et déjà une 30e édition l'an prochain, du 29 novembre au 1er décembre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

UBS: Iqbal Khan vaut gagner massivement de nouveaux fonds clientèle

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UBS annonce la couleur dans la gestion de fortune. (© KEYSTONE/AP/Ennio Leanza)

UBS s'est fixé d'ambitieux objectifs de croissance. Iqbal Khan, le directeur Gestion de fortune globale, veut rattraper les principaux fournisseurs aux Etats-Unis en y investissant massivement ces trois prochaines années, a-t-il déclaré à la NZZ am Sonntag.

Du côté de la clientèle, on s'attend à ce que la banque aux trois clés constitue un contrepoids à l'oligopole des banques américaines. "Nous avons la chance unique d'être une banque entièrement globale basée en Suisse", a relevé M. Khan. L'objectif est d'acquérir chaque année 150 milliards de dollars de nouveaux fonds clientèle.

Quant à la crainte que la taille d'UBS puisse devenir un risque, M. Khan souligne qu'au contraire, une présence globale constitue un avantage, gage de plus de stabilité et de prévisibilité des affaires.

M. Khan entend susciter la confiance des anciens collaborateurs de Credit Suisse qui sont passés à UBS "avec transparence et présence". Les employés veulent de la clarté, ce qui leur permet de faire face aux difficultés. Cela vaut pour tous, et la différence entre CS et UBS n'a pas d'importance, selon le dirigeant.

Ce qui est décisif, a-t-il ajouté, c'est que l'intégration soit juste, transparente et basée sur des critères de méritocratie. Tout le monde doit comprendre que, pour chaque position, c'est la personne la plus capable et la plus adéquate qui a été choisie.

Khan rejette les critiques sur Greensill

M. Khan a par ailleurs rejeté les critiques selon lesquelles il serait coresponsable de la faillite des fonds Greensill parce qu'il faisait partie, jusqu'en 2019, de la direction de Credit Suisse. "Je n'ai jamais rencontré M. Greensill et n'ai jamais eu de discussion avec lui", a-t-il affirmé. Par ailleurs, aucune enquête interne ou externe par la Finma n'a montré de manquement de sa part.

Agé de 47 ans, M. Khan fait partie des papables qui pourraient, le moment venu, succéder au directeur général (CEO) Sergio Ermotti. Il est prématuré de parler de cela, a-t-il relevé, précisant que la collaboration avec M. Ermotti était "super".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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