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Première réunion du nouveau comité de pilotage pour la patinoire

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La fin du GSHC aux Vernets se rapproche lentement mais surement

Le projet de nouvelle patinoire a connu une petite avancée la semaine dernière avec une réunion du Comité de pilotage (CoPil) du projet.

Forcé de repartir de zéro suite à la nouvelle répartition des département, le CoPil a émis le préavis de ne se concentrer que sur l'emplacement de Trèfle-Blanc. En résumé, sous réserve d'un total renversement de situation venant du Conseil d'Etat, tout autre projet (emplacement de la voirie, parking des Vernets etc.) serait laissé tomber. Les explications du Conseil d'Etat à la tête du Département de la cohésion sociale Thierry Apothéloz.

Thierry ApothélozConseiller d'Etat

 

Le dernier projet en date est celui proposé par Olivier Plan, un projet 100% privé. Pour autant, le CoPil n'a pas encore retenu de modèle économique qui sera proposé au gouvernement genevois

Thierry ApothélozConseiller d'Etat

 

"Il y aura un appel d'offres"

Cette première réunion du CoPil constitue donc une avancée dans ce dossier tortueux. Une avancée qui permet de formaliser: même si le projet d'Olivier Plan est actuellement le seul publiquement connu, un appel d'offres aura lieu pour cette nouvelle patinoire.

Thierry ApothélozConseiller d'Etat

Affaire à suivre...

 

 

Propos recueillis par Marie Prieur

Texte web: Sébastien Telley

International

Novak Djokovic critique les "incohérences" du système antidopage

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Novak Djokovic estime que le système antidopage n'est pas équitable. (© KEYSTONE/EPA/NOUSHAD THEKKAYIL)

Novak Djokovic a exhorté lundi les instances du tennis mondial à revoir le système antidopage. Il mentionne des "incohérences" dans le traitement des grandes stars Jannik Sinner et Iga Swiatek.

"La majorité des joueurs à qui j'ai parlé dans les vestiaires, pas seulement ces derniers jours, mais aussi ces derniers mois, ne sont pas satisfaits de la façon dont tout ce processus a été géré", a déclaré Novak Djokovic lundi à Doha, où il reprenait la compétition trois semaines après son abandon en demi-finale de l'Open d'Australie.

L'Agence mondiale antidopage (AMA) a annoncé samedi avoir conclu un accord avec le numéro 1 mondial Jannik Sinner après un contrôle en mars 2024 révélant des traces de clostebol, un anabolisant. Cet accord prévoit une suspension de trois mois pour l'Italien de 23 ans, triple lauréat en Grand Chelem, qui risquait une suspension de deux ans et pourra reprendre la compétition avant Roland-Garros fin mai.

L'AMA avait également décidé, il y a quelques semaines, de ne pas faire appel de la suspension d'un mois infligée à la numéro 2 mondiale Iga Swiatek à la suite d'un contrôle positif à la trimétazidine, un médicament cardiaque interdit.

"Favoritisme"

"La majorité des joueurs ne trouvent pas cela juste. La majorité des joueurs ont l'impression qu'il y a du favoritisme. Il semble que vous puissiez presque influencer le résultat si vous êtes un joueur de haut niveau, si vous avez accès aux meilleurs avocats", a ajouté le numéro 7 mondial.

"Il y a tellement d'incohérences entre les cas", a jugé le vainqueur de 24 titres en Grand Chelem. "Le moment est venu de nous pencher sérieusement sur le système" antidopage, a-t-il insisté en joignant sa voix aux critiques émises par plusieurs joueurs à la suite de l'annonce de l'accord entre l'AMA et Sinner.

L'Association des joueurs de tennis professionnels (PTPA), un syndicat de joueurs cofondé par le Serbe en 2021, avait déjà dénoncé sur X un "biais inacceptable" dans les décisions des autorités antidopage.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'opposant vénézuélien Edmundo Gonzalez en larmes à l'ONU à Genève

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Le principal opposant vénézuélien Edmundo Gonzalez n'a pu cacher son émotion devant des diplomates et des ONG réunies à l'ONU à Genève à la veille d'un sommet de dissidents. (© KEYSTONE/AP/Salvatore Di Nolfi)

L'opposant vénézuélien Edmundo Gonzalez n'a pu retenir ses larmes à l'ONU à Genève. Sans nouvelle de son gendre enlevé, celui que de nombreux Etats considèrent comme le vainqueur de la dernière présidentielle a promis lundi que "le changement va arriver".

"Ma fille va chaque jour de centre de détention en centre de détention", a affirmé l'opposant désormais en exil en Espagne. Chaque jour, des milliers de Vénézuéliens sont confrontés à la même situation, a dit M. Gonzalez, à la veille du Sommet de Genève sur les droits humains et la démocratie.

Le gendre du candidat à la présidentielle de juillet dernier avait été enlevé début janvier par des hommes armés. Il reste toujours porté disparu.

Le président Nicolas Maduro avait été proclamé vainqueur du scrutin avec 52% des voix par le Conseil électoral, qui n'a pas rendu publics les procès-verbaux des bureaux de vote. L'opposition, qui crie à la fraude, a publié les données de ses scrutateurs. Elle affirme que M. Gonzalez a obtenu plus de 67% des voix.

Nicolas Maduro a prêté serment en janvier. Son adversaire dénonce "une militarisation" du régime pour l'empêcher de rentrer au Venezuela. Le peuple a dit "nous voulons du changement, nous voulons la liberté", a affirmé M. Gonzalez devant des diplomates et des ONG qui lui ont réservé une ovation debout.

Le Vénézuélien a demandé ces dernières semaines aux Occidentaux d'oeuvrer pour établir des conditions pour lui permettre de lutter contre le président Maduro. Celui-ci a été mis en cause par le passé pour de possibles crimes contre l'humanité par la Mission internationale d'établissement des faits.

"La répression n'a fait qu'augmenter" depuis un an, a dit son adversaire à la présidentielle. Il a relayé sa solidarité avec les six collaborateurs de la cheffe de l'opposition Maria Corina Machado, qui avait été empêchée de participer au scrutin, réfugiés depuis plusieurs mois dans une ambassade pour échapper à une arrestation.

Le candidat à la dernière présidentielle, qui a reçu le Prix Sakharov du Parlement européen l'année dernière, sera récompensé mardi lors du sommet organisé par des dizaines d'ONG à Genève.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Explosion des demandes de médiation pour les défenseurs de la transparence à Genève

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L'équipe qui compose l'autorité. Estelle Dugast, Carine Allaz, Alexandra Stampfli Haenni, Joséphine Boillat et Stéphane Werly

2024, année qui a été chargée de nouveau pour le préposé cantonal à la protection des données et à la transparence, à Genève. Dans son rapport annuel d’activité présenté lundi, l’autorité note une explosion des demandes de médiation dans le domaine de la transparence. 57 requêtes ont été enregistrées contre une trentaine, habituellement.

Concrètement un requérant demande à avoir accès à un document qu’il n’a pas pu obtenir via les institutions publiques. Comment expliquer une telle hausse? Eléments de réponse avec Stéphane Werly, Préposé cantonal.

Stéphane Werly Préposé cantonal

Une forte augmentation qui a donné du travail en plus à l’autorité déjà bien chargée.

Stéphane Werly Préposé genevois à la protection des données et de la transparence

Un important audit a également été réalisé, l'année passée, en matière de sécurité des données auprès de la police cantonale couplée avec un contrôle Schenghen.

Stéphane Werly Préposé genevois à la protection des données et de la transparence

Les Préposés ont aussi répondu à 160 demandes de particuliers concernant la protection des données, en grande majorité. Un chiffre stable par rapport à 2023. Il s'agissait de beaucoup de questions sur les caméras de vidéosurveillance, notamment des locataires demandent notamment si c’est légal d’en installer dans le hall d’un immeuble par exemple.

Rappelons que le préposé cantonal à la protection des données et de la transparence a pour tâche principale de surveiller la bonne application de la LIPAD, la Loi sur l'information du public, l'accès aux documents et la protection des données personnelles. La loi est de mieux en mieux comprise, selon les préposés. Une nouvelle mouture a été adoptée en mai par le Grand Conseil. Elle va donner plus de pouvoir à l'autorité qui pourra notamment rendre des décisions sujettes à recours.

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Suisse

Environ 68'000 Ukrainiens avec statut de protection S en Suisse

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Le SEM s'attend cette année à quelque 17'000 demandes de permis (statuts S). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Trois ans après le début de la guerre en Ukraine, près de 68'000 personnes originaires de ce pays vivent en Suisse avec le statut de protection S. Au total, le Secrétariat d'Etat aux migrations a dit oui à plus de 99'000 demandes de protection jusqu'ici.

Plus de 114'000 demandes ont été déposées jusqu'à fin janvier, selon les dernières données du Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). Près de 98% de toutes les demandes ont été déposées par des Ukrainiennes et des Ukrainiens.

Le nombre total de demandes a cependant massivement diminué: le 28 janvier il y en avait encore 15. Pour l'année en cours, le SEM s'attend à environ 17'000 demandes de statut de protection S émanant de personnes venant d'Ukraine.

Parallèlement, de plus en plus de réfugiés ukrainiens ont trouvé un emploi en Suisse. Le taux d'activité des personnes bénéficiant du statut de protection S est désormais de 30%, a précisé le SEM.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le fils du chah d'Iran dit une chute du régime possible "très vite"

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Le prince héritier d'Iran Reza Pahlavi demande aux Occidentaux de ne pas tarder à faire tomber le régime islamique pour éviter un conflit dans la région. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le fils du dernier chah d'Iran estime une chute du régime islamique en Iran possible "très vite" si les Occidentaux font preuve de fermeté. Lundi à Genève, Reza Pahlavi s'est dit prêt à mener une transition jusqu'à une Assemblée constituante.

"Il y a une fenêtre qui s'est ouverte" mais elle est "critique" pour éviter un conflit militaire ou une détérioration des divisions sur le nucléaire, a-t-il affirmé aux correspondants accrédités à l'ONU à Genève (ACANU). L'ayatollah Ali Khamenei "se retrouve très seul" depuis le 7 octobre 2023, selon lui.

Il mentionne la pression d'Israël sur le régime, l'affaiblissement de celui-ci après la chute de Bachar al-Assad en Syrie et des conditions économiques "abominables" avec l'inflation et le manque de robustesse de la monnaie iranienne. "Il y a de plus en plus de manifestations" et "on commence à voir des éléments de défection à l'intérieur du régime", ajoute-t-il.

Il demande au G7 de considérer les gardiens de la révolution, "mafieux" selon lui, comme mouvement terroriste. "Le moment est venu d'être aux côtés du peuple iranien", affirme M. Pahlavi aux dirigeants occidentaux, les appelant à ne plus négocier avec Téhéran. Sans un Iran "stable et fiable", la question du Proche-Orient ne sera pas réglée et le financement des groupes armés dans la région ne sera pas affecté, dit-il.

Il affirme que la politique d'apaisement menée par l'ancien président américain Joe Biden a prolongé l'existence de la République islamique. "Je pense que Donald Trump comprend le problème" mais il faut que ses alliés occidentaux garantissent aussi "un soutien maximal" aux Iraniens qui ne veulent plus du régime, dit-il.

Candidat à aucune fonction

Il a eu des contacts avec le conseiller à la sécurité nationale Mike Waltz avant l'investiture du républicain et connaît bien Marco Rubio. Celui-ci "est le premier secrétaire d'Etat américain qui comprend le problème" depuis la chute du chah en 1979, ajoute M. Pahlavi, qui vit depuis de nombreuses années aux Etats-Unis.

Le fils du dernier chah dit n'être candidat à rien. Mais il est prêt à mener la transition politique qui devra aboutir à un choix par les Iraniens par référendum sur une république ou le retour de la monarchie, tant que celui-ci n'est pas en faveur d'un système confessionnel.

Son père avait été largement critiqué par de nombreuses organisations des droits de l'homme pour sa répression des opposants. Son fils élude en affirmant ne pas être redevable de ce qu'il a fait, mais ajoute que les noms de son grand-père et du chah "sont chantés" actuellement dans les rues iraniennes. Il est favorable à l'Etat de droit et à des libertés fondamentales pour tous les Iraniens.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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