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Le Covid révèle le défi du financement des hôpitaux universitaires

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Sur deux ans, les charges de personnel et les coûts de matériel supplémentaires dus à la pandémie se sont élevés à 352 millions de francs pour les cinq hôpitaux universitaires du pays (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La pandémie a mis les finances des hôpitaux universitaires sous forte pression. Selon un bilan provisoire, les cinq établissements accusent une perte cumulée de 80 millions de francs sur deux ans. Pour leurs directeurs, le financement doit être renforcé.

Les cinq hôpitaux universitaires ont porté la charge principale du traitement des patients Covid-19, ont indiqué jeudi les cinq établissements de Genève, Lausanne, Berne, Bâle et Zurich lors d'une conférence de presse. Ils ont assuré 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 la présence de personnel qualifié pour des soins très spécialisés.

Ces prestations ne sont pas suffisamment couvertes financièrement. Les charges de personnel et les coûts de matériel supplémentaires dus à la pandémie se sont élevés à eux seuls à 352 millions de francs pour l'ensemble des cinq hôpitaux universitaires. En 2020 et 2021, la perte d'exploitation cumulée a atteint 626 millions de francs.

Ces pertes n'ont pu être compensées que grâce aux contributions des cantons où sont implantés les cinq hôpitaux concernés. Ils ont avancé 547 millions de francs, ce qui laisse tout de même une perte cumulée de 80 millions de francs pour les hôpitaux universitaires, relèvent les cinq sites.

Des prestations pas reconnues

Pour les directeurs de ces hôpitaux, l'administration et la politique ne reconnaissent pas encore assez les prestations particulières des hôpitaux universitaires. "Nous soignons les cas les plus difficiles et les plus compliqués", a déclaré le directeur du CHUV Philippe Eckert, qui demande de prendre en compte les différences entre les différents établissements.

Et de rappeler la contribution des hôpitaux lors de la crise sanitaire de janvier 2020 à fin avril 2022: 21'890 patients Covid traités, dont 3362 aux soins intensifs.

Plus de 1,5 million de tests et 761'000 vaccinations y ont été effectués. Les hôpitaux universitaires se sont également engagés pour la recherche concernant le SARS-CoV-2. Entre 2020 et 2022, leurs collaborateurs et collaboratrices ont lancé près de 350 projets de recherche et publié environ 2000 articles sur le sujet.

Centres de compétence à préserver

Les collaboratrices et collaborateurs des hôpitaux universitaires ont fourni un travail gigantesque pendant la pandémie et continuent de le faire. Beaucoup sont allés jusqu'aux limites de leur capacité et parfois au-delà. De telles conditions ont accentué la pénurie dans les professions de soins avec une possible perte de 10 à 15% du personnel.

Les défis des deux dernières années ont renforcé la cohésion des hôpitaux universitaires. Pour maintenir cette qualité de prestation même en situation de crise, le financement des hôpitaux universitaires doit être renforcé.

"Nous sommes les garants d'une prise en charge de haute qualité dans les situations de crise, de l'enseignement, de la recherche et de la formation continue", a commenté le directeur du de l'Insel Gruppe de Berne, Uwe Jocham. Mais personne n'est prêt à payer.

Le personnel nécessaire doit en outre être formé et disponible et les nombreuses réformes ne doivent pas affaiblir davantage les hôpitaux universitaires. Selon les directeurs des hôpitaux, c'est la seule façon de garantir à l'avenir leur performance en tant que centres de compétences médicaux en Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

Le parquet brésilien inculpe Bolsonaro pour un projet de putsch

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Jair Bolsonaro est accusé d'avoir incité et exécuté des actes contraires aux trois pouvoirs et à l'Etat de droit démocratique. (© KEYSTONE/AP/Eraldo Peres)

Le parquet brésilien a inculpé mardi l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro pour un projet présumé de "coup d'Etat" visant à empêcher le retour au pouvoir de son successeur Lula après le scrutin de 2022. Trente-trois autres suspects sont également mis en examen.

L'ancien président du Brésil (2019-2022) et les 33 autres suspects sont "accusés d'avoir incité et exécuté des actes contraires aux trois pouvoirs et à l'Etat de droit démocratique", a déclaré le parquet dans un communiqué.

Selon le parquet, cette conspiration présumée "avait pour chefs le président [Bolsonaro] et son candidat à la vice-présidence, qui alliés à d'autres individus, civils et militaires, ont tenté d'empêcher, de façon coordonnée, que le résultat de l'élection présidentielle de 2022 soit appliqué".

"Les investigations ont révélé [que le plan de coup d'Etat] envisageait jusqu'à la mort du président et du vice-président élus, ainsi qu'un juge de la cour suprême. Ce plan avait le consentement du président" Bolsonaro, a précisé le parquet.

Cette inculpation est basée sur un rapport d'enquête de la police fédérale, selon lequel l'ancien président du Brésil (2019-2022) a "planifié [...] et a pris part de façon directe" à ce projet présumé de coup d'Etat.

Manque de soutien de l'armée

Ce projet n'a pas abouti "en raison de circonstances allant contre sa volonté", notamment du manque de soutien des principaux chefs de l'armée brésilienne, selon ce rapport de 800 pages présentant des preuves réunies durant deux ans d'enquête.

Une "dernière tentative" a eu lieu le 8 janvier, lors des émeutes de Brasilia, quand des milliers de bolsonaristes ont saccagé les lieux de pouvoir à Brasilia, une semaine après l'investiture de Lula, a souligné le parquet. Ils ont été "encouragés" par l'ex-président et les autres membres de la conspiration présumée.

Jair Bolsonaro, 69 ans, a toujours clamé son innocence, se disant victime de "persécution" politique. "Je ne suis pas du tout inquiet au sujet de ces accusations", a-t-il affirmé mardi à des journalistes, après un déjeuner avec des dirigeants de l'opposition à Brasilia.

Interdit de quitter le Brésil depuis février, l'ex-président est inéligible jusqu'en 2030 pour désinformation sur le système d'urnes électroniques utilisé lors du dernier scrutin.

Il espère toutefois faire annuler cette condamnation pour se présenter à la présidentielle en 2026, face à Lula dont la popularité est en berne, selon un sondage publié la semaine dernière par l'institut de référence Datafolha.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Lutnick confirmé au poste de secrétaire américain au commerce

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Howard Lutnick était le directeur général de la banque d'investissement Cantor Fitzgerald avant sa nomination (archives). (© KEYSTONE/EPA/SAMUEL CORUM / POOL)

Les sénateurs américains ont validé mardi la nomination de l'homme d'affaires Howard Lutnick au poste de secrétaire au commerce. Cet ami proche du président américain Donald Trump est un soutien convaincu de sa politique tarifaire.

M. Lutnick a obtenu 51 voix en sa faveur face à 45 voix contre. La confirmation n'est pas une surprise, l'homme ne faisant pas partie des profils les plus controversés parmi les personnalités désignés par le président américain au sein de son gouvernement.

Directeur général de la banque d'investissement Cantor Fitzgerald avant sa nomination, Howard Lutnick est convaincu par la nécessité d'imposer des droits de douane sur les produits entrants aux Etats-Unis.

Lors de son audition devant la commission financière du Sénat, à la fin janvier, il avait estimé que la première économie mondiale devait être "mieux traitée par ses partenaires", défendant "une approche pays par pays", plutôt que produit par produit, avant même que Donald Trump n'impose ses droits de douane réciproques.

Guerre commerciale

Il avait rejeté l'idée que les droits de douane puissent avoir un impact sur l'inflation, estimant que cette idée, pourtant défendue par un certain nombre d'économistes, était un "non-sens".

Sa confirmation au poste de secrétaire au commerce le place au centre de la politique commerciale des Etats-Unis, le président américain ayant décidé de placer son représentant aux relations commerciales (USTR), qui s'occupe notamment des droits de douane, sous l'autorité de M. Lutnick.

Howard Lutnick entre officiellement en fonctions alors que le président américain a d'ores et déjà lancé une hausse des droits de douane tous azimuts, ciblant notamment particulièrement le Canada et le Mexique, deux des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis.

Les deux pays devaient être visés au début février par des droits de douane de 25% sur l'ensemble de leurs produits, avant qu'ils ne soient suspendus pour un mois dans la foulée, le temps de négociations entre les trois partenaires. La Chine a vu de son côté les droits de douane visant ses produits augmenter de 10 points de pourcentage.

Depuis, le président Trump a annoncé 25% de droits de douane sur l'acier et l'aluminium, sans aucune exception, à partir du 12 mars. Enfin, des droits de douane réciproques seront appliqués dès le 2 avril: les Etats-Unis vont appliquer pour chaque pays le même niveau de droits de douane que ceux qui sont appliqués par ces pays aux produits américains.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump prévoit des droits de douane "d'environ" 25% sur l'automobile

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Trump menace de taxer les voitures importées aux Etats-Unis (archives). (© KEYSTONE/EPA/MAXIM SHIPENKOV)

Le président américain Donald Trump a annoncé mardi qu'il prévoyait d'appliquer des droits de douane "d'environ" 25% sur les automobiles importées aux Etats-Unis. Il se donne jusqu'au 2 avril pour décider s'il les imposera ou non.

Interrogé sur le sujet en conférence de presse à Mar-a-Lago, en Floride, M. Trump a assuré que "ce sera d'environ 25%". Il veut néanmoins "donner le temps" aux constructeurs automobiles "pour qu'ils aient des usines ici", aux Etats-Unis d'Amérique, et ainsi "qu'ils n'aient pas de droits de douane".

Le président américain s'est également satisfait d'avoir vu l'Union européenne (UE) "réduire leurs droits de douane sur les voitures au niveau que nous avons".

"L'UE avait 10% de taxes sur les voitures et ils sont désormais à 2,5%, ce qui est exactement le même niveau que nous. Si tout le monde fait cela alors nous jouerons avec les mêmes règles du jeu", a-t-il assuré.

UE "très injuste"

"Je prends note de ce qui a été fait. Mais l'UE a été très injuste avec nous, nous avons un déficit commercial de 350 milliards de dollars. [Les Européens] n'achètent pas nos voitures, nos produits agricoles. Ils n'achètent quasiment rien. Nous devons rectifier cela", a-t-il néanmoins insisté.

Selon les données du département du commerce, le déficit commercial des Etats-Unis en biens vis-à-vis de l'UE était de 235 milliards de dollars en 2024. En revanche, les Etats-Unis ont une balance commerciale excédentaire à hauteur de 109 milliards de dollars vis-à-vis de l'UE en ce qui concerne les services en 2023, dernière année aux données consolidées, selon les données de la Commission européenne.

Le commissaire européen en charge du commerce et de la sécurité économique, Maros Sefcovic, est arrivé mardi à Washington pour une visite de deux jours. Il doit rencontrer notamment Howard Lutnick, le secrétaire au commerce désigné par Donald Trump, ainsi que Jamieson Greer, le représentant de la Maison-Blanche en charge des relations commerciales (USTR). Tous deux doivent encore être confirmés par le Sénat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Recours pour bloquer l'accès de Musk à des données d'agences rejeté

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Elon Musk a été désigné par Donald Trump pour diriger la commission pour l'efficacité du gouvernement américain DOGE (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Une juge américaine a rejeté mardi un recours visant à empêcher la commission pour l'efficacité gouvernementale (DOGE) d'accéder aux données d'agences fédérales et d'en licencier les fonctionnaires. Il s'agit d'un nouveau succès provisoire pour le président Trump.

Nombre des décisions du président américain ont déjà fait l'objet de multiples recours en justice. Mais lundi, un juge fédéral a rejeté un recours similaire visant à interdire à la commission d'Elon Musk l'accès aux données du ministère de l'éducation. Et la semaine dernière, un juge a rétabli le plan incitant les fonctionnaires à démissionner.

Sans se prononcer sur le fond du dossier, une juge fédérale de Washington a considéré mardi que les plaignants, quatorze Etats dirigés par les démocrates, n'avaient pas démontré le "préjudice imminent et irréparable" qu'ils subiraient si elle ne leur accordait pas satisfaction. Ces Etats font valoir que les vastes pouvoirs accordés à Elon Musk et à la DOGE violent les sections de la constitution portant sur les nominations.

Musk pas dans la DOGE

Ils demandaient à la juge de l'empêcher d'accéder aux données du bureau de gestion du personnel (OPM), des ministères de l'éducation, du travail, de la santé, de l'énergie, des transports et du commerce ou d'en licencier les fonctionnaires.

La juge souligne néanmoins que "les plaignants remettent légitimement en cause ce qui apparaît comme l'autorité sans contrôle d'un individu non élu et d'une entité qui n'a pas été créée par le congrès et sur laquelle celui-ci n'a aucune supervision".

Un responsable de la Maison-Blanche a affirmé dans cette procédure qu'Elon Musk ne dirigeait pas la DOGE, dont il semble pourtant être le principal acteur.

La DOGE "est séparée du bureau de la Maison-Blanche" a déclaré Joshua Fisher, directeur du bureau de l'administration de l'exécutif américain. "M. Musk est employé par le bureau de la Maison-Blanche. Il n'est pas un employé de DOGE" et il "n'est pas l'administrateur de DOGE", a-t-il assuré.

Créée par un décret présidentiel de Donald Trump le 20 janvier, jour de son investiture, la DOGE a pour mission de "moderniser la technologie et les logiciels fédéraux afin de maximiser l'efficacité et la productivité du gouvernement", selon le texte.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Sport

Monaco: un grand match pour rien

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Deux occasions en or galvaudées mais un rôle tout de même très précieux pour Breel Embolo. (© KEYSTONE/AP/Armando Franca)

Malgré une réplique de grande qualité, l’AS Monaco n’a pas signé l’exploit face à Benfica. Tenu en échec (3-3) à Lisbonne, les Monégasques n'ont pas été loin de gommer la défaite 1-0 à l’aller.

Sans leur capitaine Denis Zakaria suspendu mais avec un duo magnifique formé par Elesse Ben Seghir et par Maghnes Akliouche, les Monégasques ont cédé sur une réussite d’Orkun Kokcu à la 84e qui a permis à Benfica d’égaliser une seconde fois dans ce seizième de finale retour riche en rebondissements. Avant-dernier passeur sur cette action, Zeki Amdouni a tenu un rôle prépondérant dans cette qualification. L'introduction du Genevois à la 58e a insufflé un nouvel élan à une équipe qui était alors bien en souffrance.

Extrêmement précieux le dos au but mais parfois désespérant face à la cage, Breel Embolo a, pour sa part, battu le chaud et le froid. A l’origine de l’égalisation de Takumi Minamino à la 32e, le Bâlois a galvaudé deux immenses chances en raison de son manque de justesse technique. Mais pour Adi Hütter comme pour Murat Yakin, les plus l’emportent sur les moins Avec sa puissance, il demeure essentiel. Son remplacement à la 65e par le Danois Mika Biereth ne fut, ainsi, pas une mesure très heureuse.

Ardon Jashari étincelant

Ardon Jashari a, quant à lui, livré l’une des plus belles performances d’une carrière qui s’annonce magnifique. Le Lucernois de 22 ans a été l’un des grands artisans de la qualification du FC Bruges face à l’Atlanta. Victorieux 1-0 à l’aller, les Belges se sont imposés 3-1 à Bergame. Ardon Jashiri a été à l’origine des deux premiers buts de son équipe inscrits par Chemsdine Talbi, un ballon récupéré pour le 1-0 avant un déboulé sur le flanc gauche pour le 2-0.

Enfin à Munich, le Bayern a vraiment tremblé pour assurer sa qualification. Sans un but d’Alphonso Davies pour le 1-1 de la... 94e, les Bavarois auraient dû livrer des prolongations de tous les dangers. Battu 1-0 à domicile, le Celtic avait, contre toute attente, remis les pendules à l’heure grâce au but de Nicolas Kühn à la 63e. Cette rencontre rappelle que le Bayern, malgré sa position de leader en Bundesliga, n'est plus vraiment une équipe qui fait très peur.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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