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Lausanne: le masque se fait plus discret mais la prudence subsiste

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A la gare de Lausanne, le masque avait encore de la peine à complètement tomber, que ce soit sur les quais ou dans le hall central (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

Le masque était certes nettement moins présent en ville de Lausanne jeudi, surtout dans les rues et les magasins, mais n'était de loin pas complètement tombé. A la gare et aux stations de métro, de nombreuses personnes masquées étaient encore bien visibles.

En matinée, le "retour à la normalité" avait des allures discrètes, sans euphorie ni triomphalisme dans la capitale vaudoise. Si une certaine détente était tangible, elle était le plus manifeste aux abords des écoles et dans les magasins. Autre changement sensible: la disparition progressive des affichettes rouges ou orange "Ici, masque obligatoire", longtemps collées aux vitrines.

Le "ouf" de soulagement le plus remarqué se ressentait du côté des caissières dans les grandes surfaces et le personnel en général des magasins. "Ça fait tellement du bien. C'est bon, on a eu notre dose", dit l'une d'elles dans le quartier sous-gare. "Mais j'espère juste que ça va durer cette fois". La joie et la délivrance n'effacent pas encore toutes les incertitudes.

"On peut enfin respirer et se sentir plus libre", dit un vendeur de sandwichs au centre-ville. "Ce fut long et pénible", dit un autre commerçant. Une cliente d'un supermarché se dit heureuse de pouvoir enfin revoir les visages des gens, affichant un immense sourire. Elle dit toutefois respecter celles et ceux qui veulent encore le garder.

Se déshabituer à son rythme

Mêmes visages découverts et détendus dans une grande cour d'école primaire de la ville. Les masques étaient pour la plupart tombés. Pour la plus grande joie des maîtresses. Une maman: "Quel plaisir de revoir enfin vos sourires". Une autre se réjouit de découvrir enfin l'expression et le sourire d'une nouvelle maîtresse.

Le masque était, en revanche, plus présent à la gare de Lausanne, que ce soit dans le hall central, dans les passages sous voies et sur les quais. Certaines personnes interrogées disent préférer rester prudentes, d'autres admettent qu'il faudra un peu de temps pour lâcher ce geste barrière.

Même prudence et présence du masque aux stations de métro. la détente était un peu plus perceptible aux arrêts de bus.

Dans plusieurs supermarchés, une minorité de clients gardait le masque, notamment des seniors. Aux entrées de magasins, le réflexe de sortir un masque de ses poches se faisait encore sentir. Une agente de sécurité sortant d'une boulangerie reconnaît avoir mis le masque par habitude.

La joie d'accueillir tout le monde

Grand "ouf" de soulagement aussi dans les cafés et restaurants. Si aucune ruée n'a été constatée à l'heure du repas du midi, la joie était au rendez-vous. "Nous sommes très contents. C'est un sentiment de libération et de joie de pouvoir à nouveau accueillir tous les clients, sans différenciation", témoigne Gilles Wegmüller, patron de bars-restaurants en ville.

"Le service de midi a été très correct sans que ce soit la ruée", relève-t-il. Le staff est heureux de pouvoir enlever le masque et de ne plus avoir à contrôler le pass Covid à l'entrée, ajoute-t-il. "C'est tout ça de tensions en moins".

S'agissant du trafic, rien de particulier n'était à signaler en ville de Lausanne ni sur les axes autoroutiers alentours.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Politique

Protéger les numéros de téléphone et les noms de domaines suisses contre les abus

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Trois conseillers nationaux issus du Centre, du PS et de l'UDC souhaitent lutter contre l'utilisation abusive des numéros de téléphone et des noms de domaines Internet suisses (image d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Les numéros de téléphone et les noms de domaines Internet suisses doivent être mieux protégés contre les abus. Le Conseil fédéral accepte des motions de trois conseillers nationaux issus du Centre, du PS et de l'UDC demandant de prendre des mesures en la matière.

Martin Candinas (Centre/GR) souhaite que les opérateurs prennent des mesures actives, et pas seulement passives, contre les appels publicitaires masqués de façon illicite provenant de numéros de téléphone suisses. Il s'agit d'identifier ces appels, de les prévenir et d'empêcher les infractions qui en découlent.

De tels problèmes ont pris des proportions démesurées ces dernières années, selon M. Candinas. Ces appels sont utilisés systématiquement par des criminels étrangers en bande organisée, se faisant par exemple passer pour de faux policiers, pour escroquer et prétendre des dangers imaginaires tels que de fausses alertes à la bombe ou de faux massacres. Ces cas demandent énormément de ressources pour être gérés et ils créent des risques pour la sécurité. Ils peuvent aussi effrayer la population.

Dans la même veine, Priska Seiler Graf (PS/ZH) demande que les opérateurs, en Suisse et à l'étranger, qui ont acheté des blocs de numéros de téléphone suisses et n'ont pas respecté l’obligation d'identification de leurs abonnés ne puissent plus acheter d'autres numéros. Ils doivent aussi être obligés de bloquer le numéro de leurs abonnés qui ne sont pas identifiés correctement.

Actuellement, une identification claire n'est souvent pas possible, écrit la Zurichoise. Il faut donc disposer de moyens efficaces pour identifier systématiquement les abonnés. Et les autorités ont besoin d'un moyen simple pour demander une réauthentification de l'utilisateur final.

Noms de domaines

Enfin, Michael Götte (UDC/SG) s'attaque aux noms de domaines Internet suisses (.ch et .swiss) utilisés de manière abusive. Ces noms de domaines ne doivent être attribués plus qu'à des personnes physiques ou morales clairement identifiées. Les autorités doivent pouvoir bloquer techniquement et administrativement des noms de domaines en cas d’abus autres les hameçonnages ou les logiciels malveillants.

Les obligations actuelles d'enregistrement ne sont pas assez respectées au quotidien, déplore M. Götte. Et les personnes qui déposent les demandes n'ont presque rien à craindre en cas d'enregistrement abusif.

Dans des réponses publiées jeudi, le gouvernement approuve les trois motions sans argumentaire.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Honda et Nissan abandonnent leur projet de fusion

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Le président et CEO de Nissan, Makoto Uchida, a officialisé jeudi l'arrêt du projet de fusion avec Honda (archives). (© KEYSTONE/EPA/FRANCK ROBICHON)

Les constructeurs automobiles japonais Nissan et Honda ont officialisé jeudi l'abandon de leurs discussions en vue d'une fusion, entamées en décembre pour unir leurs forces dans l'électrique.

Nissan, en sérieuses difficultés financières, avait ouvert fin 2024 avec Honda des négociations en vue d'un mariage pouvant donner naissance en 2026 au troisième constructeur mondial. Mais les pourparlers se sont heurtés à la volonté de Honda de prendre le contrôle de la nouvelle entité.

Ainsi "les deux groupes ont conclu que, pour privilégier la rapidité des prises de décision et de leur exécution dans un environnement de marché de plus en plus volatil (...), il serait plus approprié de cesser les pourparlers et de résilier le protocole d'accord", ont-ils indiqué dans un communiqué commun.

Cette issue était largement anticipée: le conseil d'administration de Nissan s'était prononcé dès la semaine dernière pour l'arrêt des discussions, selon une source proche du dossier.

L'objectif initial était d'associer les forces de Honda et Nissan, respectivement deuxième et troisième constructeurs japonais derrière le leader mondial Toyota, et même d'y associer un troisième constructeur, Mitsubishi, afin de mieux négocier le virage coûteux et stratégique de l'électrique.

Un créneau dominé par l'américain Tesla et les constructeurs chinois comme BYD, et où les groupes nippons, focalisés jusqu'ici sur les hybrides (associant motorisation thermique et électrique), ont pris un retard considérable.

Dopée par l'essor du tout-électrique, la Chine a dépassé le Japon comme premier pays exportateur de véhicules en 2023.

Alarmés par leur retard, Nissan et Honda avaient dévoilé dès mars 2024 un "partenariat stratégique" dans les logiciels et équipements pour véhicules électriques. "A l'avenir, Nissan et Honda collaboreront dans le cadre d'un partenariat stratégique pour affronter l'ère des véhicules électrifiés et intelligents", ont-ils assuré jeudi.

"Pas acceptables"

Un mariage de Nissan et Honda aurait permis de dégager des économies d'échelles pour financer à la fois la recherche et l'évolution de l'outil industriel. La perspective initiale était de les regrouper dans une holding unique avec une seule cotation.

Mais Honda, en position de force et dont la capitalisation boursière est cinq fois supérieure, a finalement réclamé de transformer Nissan en simple filiale: un scénario inacceptable pour Nissan, soucieux de préserver son autonomie.

"Diverses options ont été envisagées concernant la structure de l'intégration commerciale. Honda a proposé de modifier la structure (projetée), en passant d'une société holding commune (...) à une structure où Honda serait la société mère et Nissan la filiale par le biais d'un échange d'actions", a détaillé le communiqué commun.

Le français Renault, qui détient 35% du capital de Nissan, a jugé jeudi que les termes proposés par Honda --sans offrir de prime de contrôle-- n'étaient "pas acceptables", et a salué "l'intention de Nissan de se concentrer avant tout sur l'exécution de son plan de redressement".

"Nous continuerons à soutenir Nissan dans les projets en cours", a assuré à l'AFP une porte-parole de Renault.

"Nissan semble mettre l'accent sur son indépendance et sa liberté de décision en matière de stratégie", ce qui "pour Honda ne maximisait pas forcément les économies d'échelle" recherchées, observe Yoshitaka Ishiyama, analyste chez Mizuho Securities.

Essoufflement du marché

Ce rapprochement était perçu comme providentiel pour Nissan, massivement endetté et dont la marge opérationnelle a fondu. Sous pression, il avait annoncé en novembre supprimer 9000 postes dans le monde et tailler dans ses capacités, pour réduire les coûts et relancer ses ventes.

Il doit publier plus tard jeudi ses résultats du troisième trimestre (octobre-décembre).

Honda avait cependant d'emblée insisté ne pas vouloir secourir son partenaire, sommé de concrétiser préalablement ses transformations structurelles.

Les perspectives restent maussades: les constructeurs nippons sont confrontés comme les autres à un essoufflement du marché mondial, leurs ventes plongeant en Chine, et à la transition compliquée dans l'électrique.

Honda s'efforce de résister: son bénéfice d'exploitation d'octobre à décembre a déçu, en petite hausse de 4,7%, pour un chiffre d'affaires de 34 milliards d'euros (+2,6). Sur l'ensemble de l'exercice, il prévoit des ventes automobiles stagnant en Asie et Amérique du Nord et reculant nettement au Japon et en Europe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Une voiture percute un groupe de personnes à Munich, des blessés

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La police locale a indiqué avoir déployé des forces importantes sur place (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/ANNA SZILAGYI)

Une voiture a percuté un groupe de personnes à Munich, dans le sud de l'Allemagne, faisant "plusieurs blessés", a indiqué jeudi la police locale. Elle a ajouté avoir déployé des forces importantes sur place.

La police n'a pas donné plus de détails à ce stade sur cet acte qui survient alors que la conférence sur la sécurité de Munich, qui rassemble le gotha de la diplomatie mondiale, doit s'ouvrir plus tard dans la journée. Selon le quotidien Bild, 15 personnes auraient été blessées.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Unilever: bénéfice 2024 pénalisé par son désengagement de Russie

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Unilever, connu pour les savons Dove, les déodorants Axe ou les soupes Knorr, a vu son chiffre d'affaires augmenter à 60,8 milliards d'euros (archives). (© KEYSTONE/DPA/DANIEL REINHARDT)

Unilever a annoncé jeudi un bénéfice net part du groupe en baisse de 11% à 5,7 milliards d'euros (environ 5,4 milliards de francs), pénalisé par des "pertes" liées notamment à son départ de Russie et par son plan de restructuration.

Le géant britannique des produits d'hygiène, cosmétique et alimentation, qui a dévoilé il y a un an un plan stratégique pour relancer sa performance, avait annoncé en octobre la cession au groupe Arnest, le plus grand fabricant russe de cosmétiques, de ses actifs en Russie.

Le groupe connu pour les savons Dove, les déodorants Axe ou les soupes Knorr, a en revanche vu son chiffre d'affaires augmenter de presque 2% l'an dernier, à 60,8 milliards d'euros.

Il met en avant également une augmentation de sa marge brute et annonce un programme de rachat d'actions de 1,5 milliard d'euros ainsi qu'une hausse de son dividende.

Mais "la croissance du marché a ralenti tout au long de 2024" et "nous prévoyons un début d'année 2025 ralenti", avant une amélioration de l'activité par la suite, a-t-il prévenu.

Le directeur général Hein Schumacher s'est félicité de cette "année d'activité significative". "Nous nous sommes concentrés sur la transformation d'Unilever en une entreprise constamment plus performante", a-t-il fait valoir.

Sous pression pour améliorer les performances, notamment de la part de l'investisseur activiste et milliardaire américain Nelson Peltz, qui siège au conseil d'administration depuis 2022, Hein Schumacher avait dévoilé il y a un an un plan pour se focaliser sur 30 marques "motrices" représentant conjointement 70% des recettes de l'entreprise.

En mars, Unilever avait annoncé que le groupe allait scinder sa division des glaces (qui compte les marques Ben & Jerry's ou Magnum notamment) et lancer pour doper ses marges un plan d'économies prévoyant 7500 suppressions d'emplois, soit près de 6% des effectifs.

Si ce plan "est en avance" sur les prévisions, il pèse sur le résultat: "les coûts de restructuration, y compris le programme d'accélération de la productivité, ont augmenté à 850 millions d'euros, soit 1,4% du chiffre d'affaires du groupe en 2024", a-t-il précisé.

La séparation de sa division glaces devrait "être achevée d'ici la fin de 2025". La nouvelle entité restera basée à Amsterdam et sera cotée séparément, après scission, à Amsterdam, Londres et New York, comme Unilever.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Politique

Arrêt de l'USAID: les oeuvres d'entraide appellent Cassis à agir

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Suite au gel de l'aide étrangère américaine, plusieurs oeuvres d'entraide suisses appellent le Conseiller fédéral Ignazio Cassis à agir (archives). (© KEYSTONE/EPA/WILL OLIVER)

Les oeuvres d'entraide suisses et les Eglises appellent le conseiller fédéral Ignazio Cassis à agir suite au gel des aides humanitaires américaines. L'EPER avait annoncé le licenciement d'une centaine d'employés comme conséquence de ces coupes.

Les Etat-Unis ont décidé de suspendre leurs contributions à des organisations de l'ONU et de fermer l’agence de coopération au développement USAID. "Ces décisions ont des conséquences dramatiques sur les personnes les plus démunies partout dans le monde", écrivent jeudi Caritas Suisse, Action de Carême, l’Entraide protestante suisse (EPER), l’Église évangélique réformée de Suisse et la Conférence des évêques suisses dans une lettre ouverte adressée au chef du Département fédéral des affaires étrangères.

De nombreux programmes d'aide humanitaire et de coopération internationale risquent de ne plus pouvoir poursuivre leurs activités, préviennent-elles. Les conséquences seraient désastreuses pour des millions de femmes, d’enfants, de personnes âgées, de malades et de personnes en situation de handicap dans les régions les plus précaires du monde.

La Suisse a une responsabilité

La Suisse, gardienne des Conventions de Genève et hôte des principales organisations humanitaires de l'ONU, a une responsabilité particulière. "Nous ne pouvons pas accepter que des fonds soient radicalement supprimés, que des vies humaines soient délibérément mises en danger et que les acquis de la coopération au développement soient réduits à néant (...). La tradition humaniste de notre pays nous oblige, et vous oblige, à intervenir activement", écrivent les organisations dans la lettre.

Elles demandent à Ignazio Cassis de s'engager "avec force et détermination" par la voie diplomatique pour le maintien des structures humanitaires, notamment au sein de l’ONU. Elles le prient également de s'engager au nom de la Suisse pour que les pays riches assument leurs responsabilités envers les personnes les plus pauvres et que la coopération au développement ne soit pas vidée davantage de sa substance.

Conséquences directes

Suite au gel des aides humanitaires américaines, l'Entraide protestante suisse (EPER) avait annoncé devoir fermer les projets humanitaires uniquement financés par l'organe américain en Ukraine, en Ethiopie et en RDC. Ces fermetures concerneront plus de 100 employés, qui seront licenciés. Plus de 800'000 personnes sont impactées, selon Joëlle Herren Laufer, responsable médias du siège romand.

L'ONG Terre des hommes à Lausanne a annoncé se voir amputée de 10 millions de dollars de contributions annuelles. Des projets dans neuf pays sont touchés et environ 1,5 million de bénéficiaires perdent "un soutien vital", avait indiqué l'organisation d'aide à l'enfance.

Médecins du Monde Suisse, qui vient en aide à des populations migrantes au Mexique, a annoncé jeudi dans un communiqué, faire tout son possible pour maintenir sans interruption ses services. L'organisation financera ses activités pour une période transitoire de six semaines avec ses fonds propres.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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