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Protection des réfugiés: l'UE s'accorde, Berne s'apprête à suivre

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"La position de la Suisse est très claire : ce qui compte à présent, c'est d'apporter notre aide, de manière rapide et pragmatique, à tous les niveaux", a fait savoir la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter à Bruxelles. (© KEYSTONE/EPA/STEPHANIE LECOCQ)

Les ministres européens de l'Intérieur, réunis jeudi à Bruxelles, se sont mis d'accord pour accorder une "protection temporaire" dans l'UE aux réfugiés fuyant la guerre en Ukraine. Le Conseil fédéral se penchera sur l'activation d'un statut similaire.

A l'issue de la réunion à laquelle elle participait, la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter a indiqué qu'elle proposerait au Conseil fédéral d'activer le statut de protection S. Un statut qui permet d'admettre rapidement pour des raisons humanitaires et une durée limitée à cinq ans la population en fuite en provenance d'Ukraine. Les personnes admises peuvent alors par exemple travailler et percevoir des prestations sociales.

Instruction a en outre été donnée aux autorités de contrôle aux frontières d'accepter l'entrée des ressortissants ukrainiens même s'ils ne remplissent pas les conditions (par ex. passeport biométrique), selon le Département fédéral de justice et police (DFJP). "La position de la Suisse est très claire: ce qui compte à présent, c'est d'apporter notre aide, de manière rapide et pragmatique, à tous les niveaux", souligne Karin Keller-Sutter.

Quid des réfugiés non ukrainiens?

Les ministres européens n'ont pour l'heure pas précisé si la mesure s'appliquerait également aux réfugiés fuyant l'Ukraine mais n'ayant pas la nationalité ukrainienne. Une question qui divise les Etats membres. Les pays d'Europe de l'Est notamment, soit ceux qui accueillent actuellement le plus grand nombre de réfugiés, s'y opposent.

Les personnes originaires de pays tiers n'ont pas le droit d'entrer dans l'espace Schengen sans visa, au contraire des Ukrainiens qui sont autorisés à y séjourner pendant 90 jours, à condition de posséder un passeport biométrique. Passé ce délai, ils auront besoin de la directive européenne ou du statut de protection suisse.

"Cela ne sert à rien d'inclure ces ressortissants de pays tiers dans notre directive, c'est un autre système" qui devra s'appliquer à ces personnes, a estimé l'Autriche, soutenue notamment par la Pologne, la Slovaquie et la Hongrie.

Le Luxembourg s'est clairement montré contre toute discrimination, appelant à une "protection temporaire pour toutes les personnes venant d'Ukraine, quelle que soit leur couleur de peau, leur langue ou leur religion (...) Nous ne devons pas instaurer d'apartheid maintenant!".

Le Conseil fédéral décidera

Contacté par Keystone-ATS, le Secrétariat d'Etat aux migrations souligne que c'est le Conseil fédéral qui décidera de qui pourra bénéficier de protection. Et qu'il ne "s’est pas encore exprimé sur le statut S".

Dans un communiqué, Amnesty International a d'ores et déjà appelé la Suisse à offrir une protection à toutes les personnes fuyant ce conflit, sans distinction de nationalité ou de statut migratoire. L'ONG rappelle que l'Ukraine "était la destination de personnes en quête de protection en provenance de Russie, du Bélarus et des pays d'Asie centrale", représentant au total pas moins de 60 nationalités.

Mécanisme de solidarité

Par ailleurs, la cheffe du DFJP a clairement indiqué aux ministres européens que la Suisse souhaite participer au mécanisme de solidarité de l'Union européenne qui sert à répartir les personnes secourues entre les Etats membres, s'il devait être activé un jour. Pour l'heure, aucun pays n'a exprimé de demande en ce sens.

Il n'est pas encore possible d'articuler le nombre de personnes qui pourraient venir se réfugier en Suisse. Selon la secrétaire d'Etat Christine Schraner Burgener, qui a accompagné la conseillère fédérale à Bruxelles, 11'000 Ukrainiens vivent actuellement en Suisse, y compris les doubles nationaux.

Une cellule de crise "asile" a toutefois déjà été activée pour coordonner l'accueil, note la ministre. Une réunion était d'ailleurs agendée ce jeudi, a confirmé le Secrétariat d'Etat aux migrations à Keystone-ATS.

L'éloge de Frontex

Karin Keller-Sutter a aussi souligné le rôle important de l'agence européenne de protection des frontières Frontex, notamment dans l'enregistrement des personnes fuyant l'Ukraine. Elle a assuré que la Suisse, qui y participe en tant que membre de Schengen, était prête à la soutenir.

La Suisse profite actuellement beaucoup de Frontex, par exemple pour l'échange d'informations. Si nous en étions exclus, "ce serait pour moi une catastrophe", a-t-elle déclaré, faisant référence à la votation populaire de mi-mai.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Genève

Homicide à l'arme blanche dans un appartement à Plainpalais

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(image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)
Un homme de 65 ans est mort dimanche d'un coup de couteau dans un appartement du quartier de Plainpalais, en Ville de Genève. Selon les premiers éléments de l'enquête, il a été tué par son fils de 31 ans qui souffre de graves troubles psychiques.

La centrale d'urgence de la police a été informée peu après 18h00 qu'un homme se trouvait en état de décompensation psychique, a indiqué mardi le Ministère public. Lors de son intervention, une patrouille a trouvé la victime inconsciente dans l'appartement. Les premiers secours n'ont pas permis de la réanimer.

Le prévenu, qui vivait avec son père, bénéficie de la présomption d'innocence, rappelle le Parquet. L'enquête est menée par la brigade criminelle sous la direction de la procureure Yana Kiener. Le Ministère public ne fait aucun autre commentaire.

Source ATS

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Culture

Eurovision: la participation de Céline Dion reste incertaine

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Le flou règne à Bâle mardi à propos de la venue ou non de Céline Dion à l'Eurovision. (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

La question de savoir si Céline Dion se produira ou non à l'Eurovision de la chanson à Bâle reste ouverte. Une prétendue annulation dans un message vidéo diffusé lors de la répétition générale publique à la Halle St-Jacques a semé la confusion mardi matin.

"Le message vidéo faisait partie de la répétition", a déclaré le porte-parole de l'Eurovision, Adrian Erni, à Keystone-ATS. "Ce n'était certainement pas une annulation". La manifestation est toujours en contact avec Céline Dion. La présence ou non de l'immense chanteuse canadienne dans la cité rhénane semble dépendre de son état de santé.

La Canadienne souffre du syndrome incurable de la personne raide et ne se produit presque plus en public. Cette maladie est liée à de violentes crampes musculaires.

Céline Dion fait partie intégrante de l'histoire de la Suisse à l'Eurovision. En 1988, à l'âge de 20 ans, elle a remporté pour la Suisse le Grand Prix Eurovision de la Chanson à Dublin avec "Ne partez pas sans moi".

Début de sa carrière internationale

Cette victoire a marqué le début de sa carrière internationale. Un an plus tard, elle était de nouveau sur la scène de l'Eurovision à Lausanne, à titre de gagnante de l'année précédente.

Céline Dion a fait un retour spectaculaire en se produisant sur la Tour Eiffel lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'été de Paris 2024. Pendant quatre ans et en raison d'un long traitement, on ne l'avait plus vue sur scène.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Séisme de magnitude 4,4 près de Naples: plus de peur que de mal

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La baie de Naples où une secousse de magnitude 4,4 a été enregistrée mardi matin (archives). (© KEYSTONE/EPA ANSA/CESARE ABBATE)

Un séisme de magnitude 4,4 mardi à la mi-journée la zone des Champs Phlégréens, près de Naples, a été ressenti dans le centre historique de cette métropole portuaire du sud de l'Italie, sans faire de blessés. La secousse a toutefois suscité l'inquiétude des habitants.

Le tremblement de terre a été enregistré à 12h07, à trois kilomètres de profondeur, selon l'Institut national de géophysique et de vulcanologie (INGV). Il a été ressenti notamment à Pozzuoli et dans le quartier du Vomero (centre historique), faisant descendre des habitants inquiets dans les rues.

Cette secousse a été précédée et suivie de secousses de moindre ampleur, notamment un tremblement de terre de magnitude 3,5 un quart d'heure après le séisme principal.

"Nous continuons à surveiller la situation minute par minute, mais il est fondamental d'éviter tout alarmisme: les données n'indiquent aucune évolution inquiétante", a rassuré un responsable de l'INGV, Mauro Di Vito, cité par l'agence AGI.

Appel au calme

Le maire de Pozzuoli Gigi Manzoni a de son côté "invité tout le monde au calme" face à ces "moments de grande appréhension" en présence de "secousses fortes qui ont inévitablement effrayé la population". "Un essaim de secousses important est en cours", a-t-il souligné sur Facebook.

Les pompiers procèdent à des contrôles à Pozzuoli sur la stabilité des édifices, ont-ils indiqué sur X. Pozzuoli est en première ligne car située à proximité immédiate de la zone volcanique des Champs Phlégréens.

Cette zone, où résident quelque 500'000 personnes, a déjà été touchée par plusieurs séismes ces dernières années. Le dernier épisode majeur en date, le 13 mars, était déjà de magnitude 4,4, de même qu'une autre secousse en mai 2024.

Le volcan, qui s'étend sur un territoire de 15 km sur 12, présente la dépression typique à fond plat laissée après une éruption. Il s'agit de la caldera ("chaudière" en espagnol) en activité la plus vaste d'Europe, située aux confins des communes de Naples et de Pozzuoli en bord de mer.

Vésuve à proximité

Dans cette région, les Champs Plégréens sont éclipsés par le tout proche Vésuve, qui domine la baie de Naples et dont l'éruption a rayé Pompéi de la carte en l'an 79.

Les Champs Phlégréens, dont une éruption il y a 40'000 ans avait affecté le climat de la planète, inquiètent riverains et scientifiques en raison d'une résurgence de son activité due aux gaz émis par le magma et qui font pression sur la surface en fissurant le sol.

Le scénario catastrophe, à savoir l'expulsion de lave, de cendres et de pierres, est cependant improbable dans un futur proche, selon les spécialistes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

L'économie suisse tirée par la demande intérieure en 2025

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En cas de récession mondiale, la Suisse ne parviendrait pas à échapper à cette tendance négative (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le traditionnel moteur économique suisse des exportations devrait connaître des ratés cette année, en raison de la faible demande émanant de ses partenaires commerciaux.

L'incertitude générale provoquée par la guerre commerciale lancée par Washington va peser sur l'ensemble des indicateurs conjoncturels: croissance, inflation et taux de chômage.

Les économistes d'UBS ont confirmé mardi leurs prévisions de produit intérieur brut (PIB) pour la Suisse. Cette année, il devrait progresser de 1,0% ajusté des événements sportifs, après une hausse de 0,9% l'exercice précédent. En 2026, la croissance helvétique devrait accélérer de 1,2%.

Les droits de douane annoncés, puis suspendus par le président américain Donald Trump - qui a conclu lundi une trêve de 90 jours avec la Chine sur ce dossier - "ont déjà provoqué des dommages à l'économie mondiale", ont estimé les experts de la banque aux trois clés dans une étude.

"L'étendue des dommages dépendra de la capacité et de la rapidité avec laquelle l'administration Trump sera capable de conclure des accords commerciaux", ont-ils ajouté. Plus la phase d'incertitude sera longue, plus le risque d'un fort ralentissement conjoncturel sera élevé.

Dans ce contexte, l'économie suisse sera portée par la demande intérieure, le commerce extérieur n'ayant pas été en mesure de contribuer à la croissance, selon UBS. Le manque d'impulsion dans la zone euro, mais aussi en Chine et aux Etats-Unis devrait freiner la demande extérieure.

Taux négatifs pas exclus

Si les échanges commerciaux ne devaient pas se normaliser ces prochains mois, une récession mondiale n'est pas à exclure, ont averti les spécialistes de la banque zurichoise. Et la Suisse ne parviendrait pas à échapper à cette tendance négative.

Seule lumière à l'horizon, le plan de relance en Allemagne et l'augmentation des budgets de défense en Europe pourraient soutenir la croissance l'année prochaine.

Cette morosité devrait peser sur le marché de l'emploi. Le taux de chômage est ainsi anticipé en hausse continue: à 2,4% en 2024, il devrait monter à 3,0% en 2025 et à 3,2% en 2026.

A plus longue échéance, les délocalisations pourraient peser sur le marché de l'emploi suisse, notamment dans le secteur pharmaceutique, a averti l'économiste Maxime Botteron. Les fondamentaux économiques du marché de l'emploi helvétique, marqué par la pénurie persistante de main d'oeuvre qualifiée, ne risquent cependant pas d'être chamboulés par les droits de douane, a-t-il estimé lors d'une conférence en ligne.

Après avoir atteint en moyenne 25% à 30%, leur niveau le plus élevé en 100 ans aux Etats-Unis, les droits de douane américains devraient se stabiliser autour de 10-15%, à l'exception de la Chine, a ajouté M. Botteron.

Après avoir atteint 1,1% en 2024, l'inflation devrait quant à elle chuter à 0,2% cette année, avant de remonter à 0,5% la suivante. Cette tendance devrait motiver la Banque nationale suisse (BNS) à abaisser en juin son taux directeur à 0%, contre 0,25% actuellement.

Une nouvelle escalade dans la guerre commerciale renforcerait à nouveau le franc et pousserait l'institut d'émission à abaisser son taux directeur en territoire négatif.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse Romande

Apparentements de listes et quorum: hémicycle vaudois divisé

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Dans le canton de Vaud, la question de savoir s'il faut exclure toutes les listes n'ayant pas recueilli 5% des suffrages pour une élection au Grand Conseil, ou uniquement les listes qui ne sont pas apparentées, donc les listes uniques, fait grand débat (archives). (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

L'idée de permettre aux petits partis politiques d'obtenir plus facilement un siège au Grand Conseil vaudois divise complètement les députés. La droite refuse le fait que le quorum de 5% pour décrocher un siège puisse être obtenu par des listes ou groupes de listes apparentées et non plus par une seule liste. La gauche et les Vert'libéraux y sont favorables. Il faudra un 2e débat pour trancher.

C'est un sujet qui agite les parlementaires vaudois depuis 2021, année d'un long débat sur la réforme de la loi sur l'exercice des droits politiques (LEDP). Un député d'alors, Jérôme Christen (Les Libres), avait proposé un amendement sur cette question du quorum et des apparentements, accepté en 1er débat puis refusé en 2e et 3e débat par une majorité du plénum au motif que la modification de la LEDP proposée était inconstitutionnelle.

L'ex-député a alors déposé une initiative parlementaire. Son texte visait à ancrer dans la Constitution le fait que le quorum de 5% pour décrocher un siège puisse être obtenu par des listes ou groupes de listes apparentées et non plus par une seule liste. L'idée est de permettre aux petits partis d'obtenir plus facilement un siège au Grand Conseil.

L'initiative a été acceptée en plénum en décembre 2023 après un nouveau long débat, et renvoyée au Conseil d'Etat qui devait rendre un préavis, avec ou sans contre-projet.

Des votes très serrés

Mardi matin, après une heure et demie de débat, les positions étaient irréconciliables dans l'hémicycle sur le projet de décret du Conseil d'Etat répondant à l'initiative (sans contre-projet). Le vote d'entrée en matière s'est joué à une voix près (gauche et Vert'lib versus PLR et UDC).

Puis les députés ont refusé par la voix du président du Grand Conseil Jean-François Thuillard (après égalité des voix) l'article invitant la population à voter sur ce sujet. Avant d'accepter de justesse (à deux voix près) les articles inscrivant les modifications proposées par l'initiative, ce qui reviendrait à modifier la Constitution et donc à... organiser un vote populaire. Le président d'une commission a d'ailleurs soulevé la dichotomie entre ces deux votes.

Un deuxième débat aura lieu, sans doute la semaine prochaine. Il devra notamment clarifier le problème de la non-concordance législative et constitutionnelle des votes du premier débat.

Positions figées

A droite, la crainte d'une multiplication des listes, et donc une moins bonne visibilité, clarté et transparence pour les électeurs, a refait surface. Des députés ont aussi mis en garde face au risque de se retrouver avec des majorités parlementaires peu claires. Ils ont dit vouloir conserver la stabilité du système actuel afin d'éviter toute "tambouille électorale avec les transferts de voix par listes apparentées".

A gauche, au contraire, on estime que la nouvelle règle respecte mieux l'électeur, car elle va moins écarter des voix exprimées en élections. "Il y aura moins de voix perdues, de suffrages qui disparaissent, en raison d'un quorum non atteint", a souligné Alexandre Démétriadès (PS).

D'autres ont plaidé pour le multipartisme: "plus de diversité des idées", "une démocratie plus ouverte et respectueuse des choix des électeurs", "plus de confiance", "moins de blocs majoritaires et idéologiques clivants" ou encore "éviter un système binaire", a-t-on pu entendre lors du débat.

CE: pas de recommandation de vote

De son côté, le gouvernement ne formule pas formellement de recommandation de vote sur cette initiative constitutionnelle, a indiqué sa présidente Christelle Luisier.

A noter que dans l'hypothèse où la présente initiative serait soumise au vote au plus tard le 28 septembre 2025, les modifications préconisées pourraient entrer en vigueur et être appliquées pour les élections des conseils communaux élus selon le système proportionnel lors des élections communales générales de 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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