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Actualité

La pluie qui mouille

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Elle était annoncée pour le week-end. Elle est là depuis quatre jours, en quantité inégale selon les régions concernées. La pluie qui tombe, la pluie qui mouille. Le localier qui couvre l’actualité quotidienne au ras du bitume confirme que ce même bitume est, en effet, mouillé, sans être non plus totalement sous l’eau. Nous sommes à Genève, une ville jusqu’ici épargnée par les catastrophes naturelles, les tsunamis lacustres, les glissements de terrain et les effondrements d’immeubles.

Renseignements pris auprès des pompiers, hier en début de soirée, on n’observait pas chez eux un surcroît d’activités en lien avec les intempéries. Sous réserve d’informations supplémentaires, la nuit n’a pas été marquée par des événements particuliers. Les berges ne sont pas inondées, les cours d’eau, qui avaient tellement soif, restent dans leur lit comme les nageurs urbains dont la saison aquatique est bel et bien terminée. Le Rhône «tire» à 14 degrés, la lac à 12,8. Seuls les «givrés» - ils existent aux Bains des Pâquis - peuvent encore nager dans une eau aussi froide.

La pluie, qui fait son retour automnal, glace les sangs et refroidit les épidermes. Sans pour autant faire taire le Genevois plaintif et râleur. Il redécouvre les limites de son mobilier urbain, ces fameux abribus qui n’abritent pas, ni du vent, ni de la pluie, ni de rien.

 Notre ville en fait collection luxueuse, de la route des Acacias à celle de Meyrin, de la place de Bel-Air à celle de Cornavin. La pluie qui tombe à l’oblique, fouettée par les rafales de vent, arrose en continu les usagers des TPG qui attendent leur bus et leur tram aux arrêts habituels.

Ils apostrophent d’une même voix ces couverts trop hauts et trop étroits qui n’offrent aucune espèce de protection quand on se met dessous, sinon l’illusion d’être au sec, les pieds dans l’eau et les cheveux douchés. Du coup, les retards enregistrés, aux heures de pointe, dans  la cadence des transports publics, augmente encore la mauvaise humeur citoyenne.

 A Bel-Air, qui porte bien son nom, la pluie se montre souveraine: elle arrose tout ce qui bouge, se regroupe et attend. Pourtant, à cet endroit, le mobilier urbain est d’une richesse inouïe. Partout des poteaux, des câbles, des toitures de toutes sortes, plates ou inclinées, pour un effet au sol totalement nul.

 Un joueur de foot de ligue moyenne  – Carouge ou Lancy par exemple – peut rester tout un match sur le banc des remplaçants sans prendre une goutte. Il dispose d’un avant-toit à l’inclinaison étudiée qui lui permet d’admirer ses chaussures à crampons en toute tranquillité. Devant la gare Cornavin, les regards sont plus inquiets. Le cuir, mal imperméabilisé, entre dans l’hiver à reculons, sur la pointe des.... talons hésitants.

Ces retrouvailles pluvieuses sous nos abribus décoratifs ne doivent pas faire oublier la réalité autrement plus exposée de ceux et celles qui dorment chaque nuit dehors. Officiellement, les abris d’urgence n’ouvriront que le 15 novembre. L’un d’eux, Richemont, à la route de Frontenex, est déjà opérationnel. Il n’a pas fermé de tout l’été, mais il ne peut, à lui seul, répondre à l’ensemble des demandes.

Une halte de nuit fait cruellement défaut à Genève. On en a vécu la préfiguration réussie le printemps dernier au Temple des Pâquis. On aimerait annoncer aujourd’hui, sous la pluie, l’adresse de sa prochaine réouverture. Le soleil fera son retour avant elle. Et les aubes gelées qui l’accompagnent. Il fait un froid à ne plus dormir dehors.

 A la semaine prochaine, habillé comme en hiver.

Thierry MertenatDehors

Politique

La confiance dans le Conseil fédéral ne remonte pas

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Les Suisses se montrent défiants vis-à-vis du Conseil fédéral, notamment à gauche (archives). (© KEYSTONE/BUNDESKANZLEI/SINA GUNTERN)

La confiance de la population suisse dans le Conseil fédéral est au plus bas, indique le spécialiste des sondages Lukas Golder de gfs.bern. Cela est dû à plusieurs tournants politiques, notamment le "oui" à la 13e rente AVS, selon lui.

"Depuis lors, le Conseil fédéral et le Parlement ne parviennent plus vraiment à remonter dans les sondages", ajoute M. Golder dans un entretien diffusé jeudi par les journaux du groupe de presse CH Media.

Le gouvernement donne l'impression de ne pas percevoir suffisamment les préoccupations des Suisses, poursuit-il, soulignant que la votation sur la réforme de la LPP a accentué la crise de confiance, tout comme les erreurs sur les prévisions concernant le financement de l'AVS.

La crise liée à la pandémie de Covid-19 a provoqué une adhésion de la population, remarque le spécialiste. La gestion de la crise par le Conseil fédéral a été largement soutenue, mais, avec la fin des mesures, ce soutien s'est à nouveau effrité, note-t-il, les intérêts ayant continué à diverger.

Crise de confiance à gauche

Le Conseil fédéral a depuis lors dû s'occuper du sauvetage du Credit Suisse, la situation mondiale est devenue plus incertaine et le thème de la migration a gagné en importance, énumère M. Golder. Les Suisses sont également préoccupés par les assurances sociales et l'exécutif fédéral n'est pas très populaire avec les mesures d'économie, ajoute-t-il.

Alors que le scepticisme à l'égard du gouvernement était autrefois plutôt un thème de la droite politique, il est aujourd'hui aussi fortement ancré dans les milieux de gauche, constate le spécialiste. "Nous vivons une crise de confiance de la gauche". Il pointe les deux projets de modification du droit de bail en votation le 24 novembre soutenu par le gouvernement et contre lesquels la gauche se mobilise.

Selon l'institut LeeWas, la réforme pour la sous-location est soutenue par les partisans du PLR, du Centre et de l'UDC. Les Verts, le PS et le PVL s'y opposent. La proportion de "oui" est plus faible chez les citadins (37%) que chez les campagnards (54%).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'Angleterre en position délicate en attendant Tuchel

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L'Angleterre veut remonter dans l'élite de la Ligue des nations (archives). (© KEYSTONE/EPA/Kimmo Brandt)

Avant la prise de fonctions de Thomas Tuchel au poste de sélectionneur en janvier, l'Angleterre n'a plus le droit à l'erreur en Ligue des nations.

Les Three Lions devront à tout prix s'imposer jeudi en Grèce s'ils entendent remonter en Ligue A.

A deux tours de la fin de la phase de groupes et un mois après sa défaite à domicile contre les Grecs (2-1), le retour direct de l'Angleterre dans l'élite de la Ligue des nations est loin d'être garanti. Le duel à Athènes revêt donc une importance primordiale pour les hommes de l'entraîneur intérimaire Lee Carsley, qui accueilleront ensuite l'Irlande dimanche.

L'Italie en pole position

Au sein de la Ligue A, seules l'Allemagne et l'Espagne ont déjà obtenu leur billet pour les quarts de finale. L'Italie, la France et la Belgique se disputent deux tickets pour la phase finale dans le groupe 2. Les Italiens, invaincus, sont en pole position et ont encore besoin d'une victoire dans les duels qui leur restent à disputer contre leurs concurrents directs jeudi (contre la Belgique) et dimanche (contre la France).

La France de Didier Deschamps, sans Kylian Mbappé pour la deuxième trêve internationale de suite, est deuxième avec cinq points d'avance sur la Belgique un de retard sur la Squadra Azzurra. Les Bleus peuvent se qualifier dès jeudi en cas de victoire à domicile contre Israël.

Le Portugal pratiquement qualifié

Les Pays-Bas n'ont récolté que cinq points en quatre matches mais la qualification est toujours possible pour la troupe de Ronald Koeman, qui affronte la Hongrie samedi dans un match décisif dans le groupe 3. Enfin, la qualification ne devrait pas échapper au Portugal, en tête du groupe 1 avec trois points d'avance sur la Croatie et six sur la Pologne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La région de New York en proie aux flammes et à la sécheresse

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Les feux ont brûlé des milliers d'hectares autour de la rivière forestière de Jennings Creek, à une heure de route des gratte-ciel de Manhattan. (© KEYSTONE/AP/Eduardo Munoz Alvarez)

La région de New York affronte une série d'incendies d'une vigueur rare pour le nord-est des Etats-Unis, en raison d'une période de sécheresse particulièrement longue. Cette situation met aussi les réserves d'eau à l'épreuve.

"La réalité, c'est que la sécheresse que nous traversons n'est qu'un exemple de l'impact du changement climatique sur notre territoire aujourd'hui, non pas dans un avenir lointain, mais ici et maintenant", a déclaré le gouverneur démocrate du New Jersey, Phil Murphy, lors d'une réunion mercredi devant la presse.

Depuis vendredi, les pompiers des Etats de New York et du New Jersey luttent contre des feux qui ont brûlé des milliers d'hectares autour de la rivière forestière de Jennings Creek, à une heure de route des gratte-ciel de Manhattan.

Les incendies ont causé la mort samedi d'un employé des parcs de l'Etat de New York de 18 ans, probablement tué par la chute d'un arbre alors qu'il participait aux opérations.

Poussés par les vents et la faible humidité, les feux se sont multipliés depuis le début octobre et ont brûlé trois fois plus d'hectares que d'habitude, près de 4500, contre 1600 en moyenne dans le New Jersey.

Economiser l'eau

La grande ville de New York n'est pas épargnée. Les pompiers, certains à bord d'un bateau, bataillaient mercredi soir contre un vaste feu de broussailles dans le grand parc d'Inwood Hill, tout au nord de Manhattan.

Le manque de pluie n'arrange rien. Alors que l'ouragan Hélène a dévasté des régions entières plus au sud à la fin septembre, faisant au moins 101 morts en Caroline du Nord, New York et sa région n'ont pas connu de pluies significatives durant les mois de septembre et d'octobre et toujours pas en novembre.

"Cela fait plus de 20 ans qu'on n'a pas mesuré un tel épisode de sécheresse dans le nord-est des Etats-Unis", souligne à l'AFP Brian Fuchs, climatologue au centre national d'étude de la sécheresse à l'université Nebraska-Lincoln.

Les autorités locales ont demandé à la population d'économiser l'eau. Les 8,5 millions de New-yorkais sont appelés à signaler toute bouche à incendie ouverte, à prendre des douches plus rapides et à ne tirer la chasse d'eau que si nécessaire.

Les barbecues dans les aires publiques ont aussi été interdits, des feux, rapidement maîtrisés, ayant aussi pris ce week-end à Prospect Park, le grand poumon vert au coeur de Brooklyn.

"Malheureusement, il semble que ces conditions de sécheresse inhabituelles pour la saison ne sont pas près de se terminer, car tout porte à croire qu'un hiver très sec nous attend", a déclaré le gouverneur du New Jersey.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Brésil: un homme chargé d'explosifs meurt devant la cour suprême

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La place des Trois-Pouvoirs à Brasilia, sise devant la cour suprême, a été bouclée par un imposant déploiement de forces de sécurité. (© KEYSTONE/EPA/ANDRE BORGES)

Un homme portant sur lui des explosifs est mort mercredi soir à Brasilia après avoir tenté en vain de pénétrer dans le bâtiment de la cour suprême brésilienne. Il s'agit d'une "attaque" manquée, selon les autorités.

"Il y a d'abord eu l'explosion [d'une] voiture", puis un "individu s'est approché du tribunal suprême fédéral, a essayé d'entrer, n'y est pas parvenu et l'explosion s'est produite devant la porte", a déclaré devant la presse la gouverneure de Brasilia, Celina Leao.

Selon les informations préliminaires, il s'est agi d'un "suicide", a poursuivi la gouverneure. Elle a évoqué la piste d'"un loup solitaire". D'après un document de la police publié par la chaîne GloboNews, l'homme se nommait Francisco Wanderley Luiz et était aussi propriétaire de la voiture. La vice-gouverneure a indiqué que des indices pointent vers lui.

Lors d'élections locales en 2020, il avait été candidat au poste de conseiller municipal sous les couleurs du parti libéral de Jair Bolsonaro, président d'extrême droite alors au pouvoir.

La cour suprême se trouve sur la place des Trois-Pouvoirs, où elle fait face au palais présidentiel et au Parlement. Le président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva ne se trouvait pas au palais présidentiel au moment des explosions, a dit un porte-parole de la présidence.

Cette tentative d'attentat ciblant une institution majeure de la démocratie brésilienne réveille le souvenir des émeutes d'extrême droite contre les sièges de l'exécutif, du législatif et du judiciaire sur la même place de la capitale en janvier 2023.

Elle s'inscrit en outre dans un contexte particulièrement fort: le président Lula accueille la semaine prochaine un sommet du G20 à Rio de Janeiro et une visite d'Etat du président chinois Xi Jinping à Brasilia.

Voiture en feu

Les deux explosions se sont produites dans un bref laps de temps vers 19h30 (23h30 en Suisse) et n'ont pas fait de blessé. Des policiers effectuant une ronde avaient repéré le véhicule en feu et entouré de fumée et ont vu l'individu en sortir précipitamment, a rapporté un sergent de la police militaire du district fédéral.

"Il y a dans la voiture une sorte de bombe, plusieurs explosifs reliés par des briques, mais cela n'a pas pris feu complètement", a-t-il détaillé. La police fédérale a annoncé avoir ouvert une enquête sur "les attaques", sans plus de précision.

Le tribunal a fait savoir qu'à la fin de la séance de mercredi, "deux fortes explosions ont été entendues et les juges ont été évacués du bâtiment par sécurité". Le personnel sur place a également été évacué "par mesure de précaution".

G20 à Rio

Le palais présidentiel est fermé et personne ne peut y entrer, a constaté un photographe de l'AFP. Sous une pluie battante, toute la place était bouclée par un imposant déploiement de forces de sécurité.

Laiana Costa, une fonctionnaire du tribunal des comptes de l'union, un autre organe officiel, a raconté à des médias locaux avoir vu un "homme passer". "Tout à coup, j'ai entendu un bruit. J'ai regardé derrière. Il y avait du feu et de la fumée".

Le 8 janvier 2023, une semaine après le retour de Lula au pouvoir, des milliers de partisans de Jair Bolsonaro, son prédécesseur d'extrême droite défait à la présidentielle fin 2022, avaient pris d'assaut et saccagé les sièges des institutions sur la place des Trois-Pouvoirs.

Les autorités avaient finalement repris le contrôle de la situation face aux émeutiers bolsonaristes contestant la défaite de leur champion, mais les dégâts avaient été considérables.

Les attaques du 8 janvier ont été "très significatives, tristes aussi et ont bien sûr amené à changer les règles de sécurité de tous les pouvoirs, de tous les bâtiments abritant les trois pouvoirs", a relevé le président du Sénat, Rodrigo Pacheco.

Lula accueillera lundi et mardi à Rio de Janeiro un sommet du G20, réunissant la plupart des dirigeants des principales économies de la planète. Mercredi, il doit recevoir à Brasilia en visite d'Etat le président chinois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Découverte d'une "pierre de Rosette" pour l'évolution des oiseaux

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La découverte place Navaornis à mi-chemin entre Archaeoptéryx (cliché), vieux de 150 millions d'années, et les oiseaux modernes, dont l'origine remonte à environ 75 millions d'années (archives). (© KEYSTONE/STEFFEN SCHMIDT)

Baptisé Navaornis hestiae et découvert au Brésil, un fossile d'environ 80 millions d'années éclaire l'évolution des oiseaux dans le règne animal, selon une étude parue mercredi dans Nature. Il se situe à mi-chemin entre Archaeoptéryx et les oiseaux modernes.

La pièce maîtresse de la découverte est un petit crâne de moins de trois centimètres de long, bec compris, remarquablement préservé. Il a été découvert en 2016 dans une petite carrière de l'État de São Paulo au Brésil, dont les fossiles se concentrent sur une couche de moins de 50 cm d'épaisseur.

La préservation exceptionnelle du petit crâne a permis d'en reconstituer la géométrie, qui s'avère similaire à celle d'oiseaux actuels, dont le genre corvus auquel appartient le corbeau.

Une technique de scanner de pointe a permis ensuite une reconstruction de l'encéphale du fossile, en faisant, selon ses découvreurs, une "pierre de Rosette" pour mieux comprendre l'évolution du cerveau des oiseaux.

Celui d'Archaeoptéryx "était beaucoup plus similaire à celui des dinosaures" ne volant pas, explique à l'AFP le professeur Daniel Field, au département des sciences de la terre à l'université de Cambridge, qui a supervisé l'étude.

Cervelet moins développé

"Relativement petit par rapport à son corps", contrairement à celui des oiseaux modernes, il était aussi peu développé dans des régions clés pour la cognition et le vol, précise ce paléontologue.

"La structure du cerveau de Navaornis est presque exactement intermédiaire entre celle d'Archaeoptéryx et celle des oiseaux modernes", estime Dr. Guillermo Navalón, co-auteur de l'étude, cité dans un communiqué de Cambridge.

Relativement à la taille de son corps, le cerveau du fossile était "beaucoup plus volumineux" que celui d'Archaeoptéryx, poursuit le Pr. Field, et "très similaire à celui des oiseaux vivant aujourd'hui". En revanche, son cervelet, qui joue un rôle essentiel dans le contrôle du vol des oiseaux modernes, était apparemment moins développé.

Pour autant, l'anatomie de Navaornis et des caractéristiques du plumage et tissus mous d'oiseaux apparentés suggèrent une véritable compétence au vol, qu'explique peut-être la présence dans son oreille interne d'un "gigantesque" appareil vestibulaire, lié à l'équilibre et "bien plus volumineux que celui des oiseaux modernes", a dit à l'AFP le Dr. Navalón.

"Il paraît très plausible" que cette caractéristique ait agi comme un mécanisme compensatoire "permettant à Navaornis de s'orienter dans les airs", complète le Pr. Field.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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