Rejoignez-nous

International

Pakistan: 16 soldats tués dans un attentat-suicide

Publié

,

le

L'attentat a eu lieu dans une province frontalière de l'Afghanistan (archives/image prétexte). (© KEYSTONE/EPA/IJAZ MUHAMMAD)

Au moins seize soldats ont été tués dans un attentat-suicide mené samedi par des talibans pakistanais dans le nord-ouest du pays, frontalier de l'Afghanistan. C'est ce qu'ont rapporté à l'AFP des responsables de l'administration locale et des services de sécurité.

"Un kamikaze a jeté son véhicule rempli d'explosifs sur un convoi de soldats" dans la province du Khyber Pakhtunkhwa, "16 soldats ont été tués", a rapporté un responsable de l'aministration locale sous le couvert de l'anonymat. Il avait précédemment fait état de 13 soldats tués et de quatre autres dans un état critique.

Il a également fait état de 19 civils blessés dans l'attaque. Un officier de la police locale a précisé à l'AFP, lui aussi sous le couvert de l'anonymat, que l'explosion avait fait "s'écrouler les toits de deux maisons, blessant six enfants".

Attaque revendiquée

Un groupe local lié aux talibans pakistanais a revendiqué l'attaque, assurant qu'elle avait été menée par sa brigade de kamikazes. Les violences se sont multipliées dans l'ouest du Pakistan, frontalier de l'Afghanistan, depuis le retour au pouvoir des talibans à Kaboul à l'été 2021.

Islamabad accuse son voisin de ne pas déloger les rebelles qui utilisent son sol pour attaquer le Pakistan, ce que l'Afghanistan dément. L'année 2024 a été la plus meurtrière en près d'une décennie au Pakistan, avec plus de 1.600 morts, pour près de la moitié des soldats et policiers, selon le Centre pour la recherche et les études sur la sécurité d'Islamabad.

Au total, depuis le 1er janvier, selon un décompte de l'AFP, près de 290 personnes, en majorité membres des forces de sécurité, ont été tuées dans des violences menées par des groupes armés en lutte contre l'Etat, au Baloutchistan comme dans la province voisine du Khyber-Pakhtunkhwa.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Frappes massives de drones et de missiles russes

Publié

le

Des milliers de foyers ukrainiens ont encore été privés de chauffage et d'eau suite à de nouvelles frappes russes. (© KEYSTONE/EPA/Dnipro)

De nouvelles frappes russes massives contre des infrastructures ukrainiennes, essentiellement des sites énergétiques, ont privé de chauffage et d'eau des milliers de foyers, a annoncé samedi Kiev.

Au total, ce sont 653 drones et 51 missiles qui ont visé dans la nuit l'Ukraine, a précisé l'armée de l'air ukrainienne.

Ces attaques ont eu lieu alors que négociateurs ukrainiens et américains se retrouvent samedi en Floride pour leur troisième journée consécutive de discussions sur le plan de Washington, destiné à mettre fin à près de quatre ans de guerre avec la Russie, dont les forces poursuivent leur avancée sur le front et leurs bombardements nocturnes.

"Les principales cibles de ces frappes ont, une fois de plus, été des installations énergétiques. L'objectif de la Russie est d'infliger des souffrances à des millions d'Ukrainiens", a réagi le président Volodymyr Zelensky sur les réseaux sociaux.

Des drones ont en outre touché et "incendié le bâtiment principal de la gare de Fastiv", une ville située à environ 70 kilomètres au sud-ouest de la capitale ukrainienne, a-t-il souligné.

"Il n'y a eu aucune victime mais le trafic ferroviaire en banlieue est perturbé", a précisé Ukrzaliznytsia, la compagnie ferroviaire nationale ukrainienne.

Des drones et des missiles ont également pris pour cible des sites énergétiques dans les régions de Tcherniguiv (nord), Zaporijjia (sud), Lviv (ouest) et Dnipropetrovsk (centre-est), ont affirmé des responsables officiels.

"Dans la région d'Odessa (sud-ouest), 9.500 abonnés sont toujours privés de chauffage et 34.000 d'eau courante en raison des dégâts", a précisé le vice-Premier ministre chargé de la Reconstruction, Oleksiï Kouleba.

"Des coupures de courant tournantes supplémentaires seront nécessaires dans l'ensemble du pays" afin de stabiliser le réseau pendant la poursuite des travaux de réparation, a pour sa part affirmé la Première ministre Ioulia Svyrydenko sur X.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Tirs dans un foyer de travailleurs à Pretoria: onze morts

Publié

le

La police n'a été alertée qu'une heure et demie après le début des tirs (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/KIM LUDBROOK)

Des hommes armés ont pris d'assaut un foyer de travailleurs samedi dans la capitale sud-africaine Pretoria. Ils ont tué onze personnes dont un enfant de trois ans et deux adolescents de 12 et 16 ans, a annoncé la police.

Cette attaque, survenue, dans le township de Saulsville, à 18 km à l'ouest de Pretoria, est la dernière d'une série de fusillades de masse qui ont choqué le pays de 63 millions d'habitants, lassé de la criminalité endémique.

"Je peux confirmer qu'au total, 25 personnes se sont fait tirer dessus", a déclaré la porte-parole de la police, Athlenda Mathe, ajoutant que 14 d'entre elles avaient été hospitalisées. Selon elle, dix personnes sont mortes sur place et une onzième est décédée à l'hôpital.

Trois hommes armés sont entrés dans l'établissement vers 04h30 (03h30 suisses) et ont tiré sans discrimination sur un groupe d'hommes en train de boire. Il s'agit d'un "incident fort regrettable. La police n'a été alertée que vers 06H00", a commenté Mme Mathe.

Criminalité endémique

Le mobile de la fusillade reste inconnu et aucune arrestation n'a été effectuée. L'Afrique du Sud, pays le plus industrialisé du continent, est aux prises avec une criminalité et une corruption endémiques, alimentées par des réseaux organisés.

Si de nombreuses personnes possèdent légalement des armes à feu pour leur protection personnelle, le nombre d'armes illégales en circulation est bien plus important. Entre avril et septembre, environ 63 personnes ont été tuées chaque jour en Afrique du Sud, selon les données de la police.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Stratégie de sécurité: Washington le plus "grand allié" de l'Europe

Publié

le

"Nous sommes les plus grands alliés et nous devons rester unis", a déclaré Kaja Kallas (archives). (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Les Etats-Unis restent "le plus grand allié" de l'Union européenne, a affirmé samedi la cheffe de la diplomatie de l'UE Kaja Kallas. Elle réagissait à la publication de la nouvelle stratégie de sécurité américaine anticipant l'"effacement civilisationnel" de l'Europe.

"Bien sûr, il y a beaucoup de critiques, mais je pense que certaines d'entre elles sont également fondées", a dit Mme Kallas lors d'une conférence à Doha. "Les Etats-Unis restent notre plus grand allié (...) nous n'avons pas toujours été d'accord sur différents sujets, mais je pense que le principe général reste le même. Nous sommes les plus grands alliés et nous devons rester unis", a-t-elle ajouté.

Selon elle, "l'Europe a sous-estimé son propre pouvoir. Vis-à-vis de la Russie, par exemple (...) nous devrions avoir davantage confiance en nous", a affirmé Mme Kallas.

L'administration Trump a publié vendredi un document qui redéfinit sa "Stratégie de sécurité nationale" en ligne avec l'approche du président américain consistant à mettre "l'Amérique d'abord".

Le document s'en prend vivement aux Européens. Il soutient les affirmations de l'extrême droite selon lesquelles le Vieux continent est confronté à un "effacement civilisationnel" dû à l'immigration. Il met aussi en cause "son obsession infructueuse pour l'asphyxie réglementaire".

Le document promet également qu'il n'y aura pas d'élargissement de l'Otan, anéantissant une fois de plus les espoirs de l'Ukraine qui subit l'invasion russe. Responsables ukrainiens et américains se retrouvent samedi à Miami pour une troisième journée consécutive de pourparlers visant à mettre fin à plus de trois ans de guerre avec la Russie.

"Imposer des restrictions et des contraintes à l'Ukraine ne nous apportera pas une paix durable", a mis en garde la responsable européenne. "Si l'agression est récompensée, elle se reproduira, non seulement en Ukraine ou à Gaza, mais partout dans le monde", a-t-elle ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Washington et Kiev disent que la paix dépend de Moscou

Publié

le

Pour Washington et Kiev, tout progrès réel vers une paix durable en Ukraine est entre les mains de Moscou et de Vladimir Poutine. (© KEYSTONE/EPA/ALEXANDER SHCHERBAK/SPUTNIK/KREMLIN / POOL)

"Tout progrès réel" vers la paix en Ukraine dépendra de la volonté de la Russie, a indiqué vendredi le département d'Etat, rendant compte de discussions entre les délégations américaine et ukrainienne en Floride, qui vont se poursuivre samedi.

"Les deux parties ont convenu que tout progrès réel vers un accord dépendait de la volonté de la Russie de s'engager sérieusement en faveur d'une paix durable, notamment par des mesures de désescalade et l'arrêt des tueries", selon un communiqué diffusé à l'issue d'une nouvelle série de discussions entre des émissaires américains et ukrainiens.

Dans ce communiqué, le département d'Etat précise que les participants "se sont mis d'accord sur le cadre des arrangements de sécurité (..) et des capacités de dissuasion nécessaires pour maintenir une paix durable" en cas d'accord.

Les délégations se retrouveront samedi pour "continuer à faire avancer les discussions" sur le plan américain visant à mettre fin à la guerre avec la Russie, a-t-on ajouté de même source.

Côté américain, l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, ainsi que le gendre du président américain, Jared Kushner, participent aux discussions près de Miami. Côté ukrainien, il s'agit du négociateur en chef Roustem Oumerov et du général Andreï Hnatov.

Depuis la présentation du plan américain il y a bientôt trois semaines, plusieurs sessions de pourparlers ont eu lieu avec les Ukrainiens à Genève et en Floride pour tenter d'amender le texte en faveur de Kiev.

Le document a aussi été présenté mardi au président Vladimir Poutine au cours d'une visite à Moscou de Steve Witkoff et de Jared Kushner.

Peu de détails ont filtré sur ce plan amendé, après qu'une version initiale a été perçue par Kiev et les Européens comme étant largement favorable à la Russie.

"Véritablement amicale"

Dans son communiqué, le département d'Etat précise que les participants "ont discuté des résultats" de la réunion à Moscou et que M. Oumerov a réaffirmé que la priorité de l'Ukraine était de parvenir à un accord "qui protège son indépendance et sa souveraineté".

Après la rencontre dans la capitale russe, le Kremlin a assuré que des progrès avaient été réalisés mais qu'il restait "beaucoup de travail" pour aboutir à un règlement du conflit déclenché en février 2022.

Le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov, a pour sa part jugé vendredi que la réunion de mardi à Moscou s'était déroulée dans une ambiance cordiale et s'est félicité de la participation de Jared Kushner aux discussions.

Le chef de l'Etat russe et M. Witkoff ont eu une "conversation véritablement amicale et ils se comprennent", a dit M. Ouchakov à la télévision d'État russe. "Une nouvelle personne nous a rejoints et je dirais qu'elle s'est révélée très utile", a-t-il ajouté, à propos de Jared Kushner.

En attendant, l'armée russe a poursuivi vendredi son avancée sur le front, revendiquant la prise de la localité de Bezimenné dans la région orientale de Donetsk, où se concentrent les combats.

L'armée de l'air ukrainienne a de son côté signalé que la Russie avait envoyé 137 drones sur l'Ukraine au cours de la nuit, dont 80 ont été abattus.

Plusieurs régions restent confrontées à des coupures d'électricité après les frappes russes ayant visé les installations énergétiques ces dernières semaines, selon le ministère de l'Energie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

France: suspension de la réforme des retraites rétablie

Publié

le

L'Assemblée nationale française a rétabli la suspension de la réforme des retraites. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Après avoir adopté vendredi la partie recettes du budget de la Sécu dans un scrutin à suspense, l'Assemblée y a réintroduit l'emblématique suspension de la réforme des retraites.

Son avenir reste suspendu à un vote très incertain sur l'ensemble du projet de loi mardi.

Une autre mesure explosive, le gel des pensions de retraite et des minimas sociaux, a été largement rejetée vendredi par les députés, qui s'y étaient déjà opposés en première lecture. Mais elle avait été partiellement rétablie au Sénat, en quête d'économies.

Ce même Sénat s'était opposé à la suspension de la réforme des retraites, prix de la non-censure du gouvernement de Sébastien Lecornu par les socialistes. Les députés l'ont rétablie par 162 voix contre 75.

Ils devraient terminer l'examen des articles dans la nuit de vendredi à samedi.

La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a proposé dans l'hémicycle que le vote sur la partie "dépenses" du texte se tienne lui aussi mardi. Juste avant le vote sur l'ensemble du projet de loi.

L'adoption d'un budget pour la Sécurité sociale est loin d'être gagnée.

Vendredi la partie recettes a reçu un feu vert par 166 voix contre 140, et 32 abstentions, avec le soutien de Renaissance, du MoDem, du PS et des indépendants de Liot. L'alliance RN-UDR, LFI et les écologistes ont voté contre.

LR et Horizons se sont eux majoritairement abstenus, illustrant les divisions du camp gouvernemental.

Le scrutin a été marqué par une faible affluence, notamment chez les groupes les plus fermement opposés au texte (RN, UDR, LFI).

Résultat "pas reconductible"

"Ca passe parce que le RN avait seulement 69 présents (sur 123 députés, NDLR), le vote d'aujourd'hui n'est pas reconductible" mardi, alerte un cadre macroniste. "Arithmétiquement, si on considère les positions politiques des groupes aujourd'hui, ça ne passerait pas mardi", abonde un député socialiste.

Le résultat serré est donc un avertissement pour le gouvernement.

Même s'il est aussi une forme de succès, quoique temporaire, après avoir multiplié les gestes d'ouverture en espérant faire passer le texte sans 49.3.

Le Premier ministre Sébastien Lecornu a salué "le travail de concertation" avec les forces politiques.

Jeudi, l'exécutif avait tenté de trouver un chemin entre le PS et la droite, faisant voter une réécriture d'une hausse de CSG sur les revenus du capital voulue par la gauche, mais en réduisant son périmètre. Au prix d'un rendement en nette baisse, attendu autour de 1,5 milliard d'euros, au lieu de 2,8 dans la version initiale.

Quel déficit ?

Les Républicains et Horizons, échaudés par les concessions faites au PS sur la CSG et la réforme des retraites, prennent aussi appui sur le niveau de déficit pour expliquer leurs abstentions.

"Finalement, le grand perdant de la soirée, c'est le déficit de la sécurité sociale, (...) parce que là, on engrange des recettes en moins, on engrange des dépenses en plus", a déploré tard vendredi le député Horizons Frédéric Valletoux.

Selon la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin, le déficit de la Sécurité sociale pour 2026 après le vote supprimant le gel des retraites et des minima sociaux a été virtuellement porté à 22,5 milliards d'euros (en ne prenant pas en compte les transferts prévus des caisses de l'Etat vers celles de la Sécu pour lui donner de l'air).

Or la cible pour le gouvernement était un déficit à 20 milliards.

La porte-parole du gouvernement Maud Bregeon a par ailleurs assuré vendredi qu'il n'y aurait aucune augmentation - ni dans le budget ni par décret - des franchises médicales.

L'exécutif envisage aussi de remonter l'objectif des dépenses de l'assurance maladie (l'Ondam) "jusqu'à +2,5%" (contre +2% jusqu'ici).

Jeudi, Sébastien Lecornu avait martelé qu'en l'absence de budget de la Sécu, le déficit filerait à "29 ou 30 milliards" d'euros sur l'ensemble de 2026.

Pressé par plusieurs ténors de son camp d'activer l'article 49.3 de la Constitution pour éviter un vote à haut risque, il l'a de nouveau exclu.

En parallèle, le Sénat poursuit, lui, l'examen du budget de l'Etat, s'attaquant au volet des "dépenses" après avoir largement adopté jeudi la partie dédiée aux recettes. Vendredi, il a approuvé la suppression de 4000 postes d'enseignants voulue par le gouvernement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 13 minutes

Frappes massives de drones et de missiles russes

De nouvelles frappes russes massives contre des infrastructures ukrainiennes, essentiellement des sites énergétiques, ont privé de chauffage et d'eau des...

MobilitéIl y a 53 minutes

Inauguration officielle du nouveau garage-dépôt des MBC à Denges

Après trois ans de travaux, le nouveau garage-dépôt routier des Transports de la région Morges-Bière-Cossonay...

InternationalIl y a 3 heures

Tirs dans un foyer de travailleurs à Pretoria: onze morts

Des hommes armés ont pris d'assaut un foyer de travailleurs samedi dans la capitale sud-africaine...

InternationalIl y a 4 heures

Stratégie de sécurité: Washington le plus "grand allié" de l'Europe

Les Etats-Unis restent "le plus grand allié" de l'Union européenne, a affirmé samedi la cheffe...

EnvironnementIl y a 4 heures

Un peu moins de deux millions de sapins de Noël vendus chaque année

Pour de nombreux Suisses, le sapin fait partie de la tradition de Noël. Selon l'association...

MobilitéIl y a 4 heures

Le projet de limitation de vitesse à 30 km/h divise

Le Conseil fédéral veut introduire des règles claires à propos du 30 km/h sur les...

SportIl y a 9 heures

Servette pourrait glisser au 11e rang

Un seul club romand jouera samedi lors de la 16e journée de Super League. Le...

EconomieIl y a 10 heures

L'ex-vice-président de Novartis Hans-Jörg Rudloff est décédé

L'ancien vice-président de Novartis Hans-Jörg Rudloff est décédé le 1er décembre à l'âge de 85...

InternationalIl y a 12 heures

Washington et Kiev disent que la paix dépend de Moscou

"Tout progrès réel" vers la paix en Ukraine dépendra de la volonté de la Russie,...

HippismeIl y a 13 heures

Le CHI de Genève toujours plus populaire!

La popularité du concours international de Genève (10-14 décembre) se confirme année après année auprès...