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Nouvelle condamnation pour l'ex-président géorgien Saakachvili

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Malgré sa détention, Mikheil Saakachvili reste une figure de l'opposition au gouvernement du Rêve géorgien, accusé de dérive autoritaire (archives). (© KEYSTONE/AP/Irakli Gedenidze)

Un tribunal géorgien a condamné lundi à quatre ans et demi de prison l'opposant et ex-président géorgien Mikheïl Saakachvili. Incarcéré depuis 2021, il avait déjà été condamné la semaine dernière à 9 ans de détention, ce qui porte sa peine cumulée à 12 ans et demi

M. Saakachvili, 57 ans, est incarcéré depuis son arrestation à son retour d'un exil qu'il avait notamment passé en Ukraine, pays dont il a obtenu la nationalité et où il a occupé des fonctions officielles.

A la tête de la Géorgie entre 2004 et 2013, Mikheïl Saakachvili avait déjà été condamné en 2018 par contumace à six ans de prison pour abus de pouvoir et la semaine dernière, il a écopé de neuf ans de réclusion pour détournement de fonds.

"Franchissement illégal de frontière"

Dans une troisième condamnation lundi, l'ancien dirigeant "a été condamné à quatre ans et six mois de prison pour avoir illégalement franchi la frontière de la Géorgie" en 2021, a déclaré à l'AFP son défenseur Dito Sadzaglichvili.

Compte tenu de ses condamnations précédentes prononcées en Géorgie, "Mikheïl Saakachvili devra purger au total 12 ans et demi de prison", a précisé le juge Mikheïl Djindjolia.

"Poursuites politiquement motivées"

L'ex-président géorgien et des ONG de défense des droits humains dénoncent toutes les poursuites le visant comme politiquement motivées.

Mikheïl Saakachvili est hospitalisé à Tbilissi depuis 2022, après avoir observé une grève de la faim pendant 50 jours.

"Vengeance politique"

Le Parlement européen a appelé à sa libération immédiate et le président ukrainien Volodymyr Zelensky a réclamé que Mikheïl Saakachvili soit transféré à Kiev.

L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe le qualifie de "prisonnier politique", alors que l'ONG Amnesty International dit voir dans les poursuites à son encontre "une vengeance politique apparente".

Croisade contre la corruption

Mikheïl Saakachvili, qui a étudié aux Etats-Unis et en France et parle couramment cinq langues, avait été porté au pouvoir par la Révolution des Roses en 2003, qui avait évincé pacifiquement les vieilles élites héritées de la période soviétique.

Lors de sa présidence, M. Saakachvili a mené une croisade contre la corruption, réformé une police touchée notoirement par ce fléau, emprisonné des chefs criminels et reconstruit des infrastructures en ruines.

Mais de nombreuses voix critiques ont dénoncé sous sa présidence des atteintes aux libertés et un penchant autoritaire, citant notamment la violente répression de manifestations antigouvernementales.

Malgré sa détention, il reste une figure de l'opposition au gouvernement actuel du parti du Rêve géorgien, accusé de dérive autoritaire et de vouloir se rapprocher de Moscou.

"Signal de Moscou"

Réagissant au jugement prononcé lundi, M. Saakachvili a accusé les autorités géorgiennes "prorusses" de le "punir de manière cynique" pour avoir "refusé de céder la Géorgie" lors d'une guerre-éclair qui avait vu l'armée russe entrer en territoire géorgien en 2008.

Alors que la Russie mène depuis trois ans une offensive contre l'Ukraine, Mikheïl Saakachvili est apparu dans une vidéo publiée sur Facebook en maillot portant l'inscription "Je suis Ukrainien".

Selon lui, sa condamnation est "un signal de Moscou à Zelensky qu'il partagera le même sort, s'il ne cède pas l'Ukraine". Son parti Mouvement national uni (MNU) a accusé les tribunaux géorgiens d'"exécuter les ordres du régime qui se sert de la justice pour faire taire ses opposants".

Plusieurs responsables du gouvernement de M. Saakachvili ont été emprisonnés en Géorgie depuis son départ du pouvoir, une campagne dénoncée par des ONG de la défense des droits humains comme une "chasse aux sorcières" politique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

La Cour suprême américaine lève la suspension de licenciements

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La voie aux mesures drastiques voulues par Donald Trump est ouverte. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

La Cour suprême américaine a levé mardi la suspension de licenciements massifs de fonctionnaires fédéraux décidée par un tribunal de Californie il y a deux mois. Elle ouvre ainsi la voie aux mesures drastiques voulues par Donald Trump.

Une juge de première instance avait prononcé en mai une suspension temporaire de licenciements à grande échelle de fonctionnaires fédéraux, au motif que ce type de mesures nécessitait probablement l'approbation du Congrès américain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Inondations au Texas: près de 110 morts, les sauveteurs éprouvés

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Les inondations au Texas ont fait une centaine de morts. (© KEYSTONE/AP/Julio Cortez)

Les équipes de secours poursuivent mardi leurs recherches au Texas dans des conditions éprouvantes, même si l'espoir s'amenuise de retrouver des survivants cinq jours après les inondations qui ont fait près de 110 morts.

Le seul comté de Kerr, le plus durement touché, déplore 87 morts, dont 30 enfants, a fait savoir mardi matin le shérif du comté, Larry Leitha, lors d'une conférence de presse. Au total, au moins 108 décès liés aux inondations ont été signalés dans le centre de l'Etat, selon les autorités.

Parmi ces victimes figurent 27 enfants et moniteurs du camp de vacances chrétien pour filles de Camp Mystic, sur les rives du fleuve Guadalupe, qui accueillait quelque 750 personnes. "A l'heure actuelle, cinq campeurs du camp Mystic et un moniteur restent introuvables", a ajouté Larry Leitha.

Des hélicoptères, des drones et des équipes cynophiles, sont toujours à pied d'oeuvre, a précisé le lieutenant-colonel Ben Baker, du corps des gardes-chasse du Texas, malgré des conditions difficiles. "Pénétrer profondément dans les amas (de débris) est très dangereux", a-t-il expliqué. "C'est sale, l'eau est encore là", a-t-il ajouté, soulignant aussi l'impact de la tragédie sur le mental des sauveteurs.

"C'est tragique d'être témoin de la perte d'une vie humaine. Mais voir que c'est un enfant qui a perdu la vie est extrêmement difficile", a-t-il souligné pendant la conférence de presse.

Fatigue

Car les espoirs de retrouver des survivants sont désormais infimes, cinq jours après la crue subite qui a frappé cette zone touristique vendredi, en plein week-end prolongé. "Autant que je sache, le dernier sauvetage (...) a été effectué vendredi", a déclaré Jonathan Lamb, de la police de Kerrville.

Dans la localité de Hunt, épicentre de la catastrophe, des équipes de recherche fouillent la boue et les amas de débris, tandis que des hélicoptères survolent la zone, a constaté l'AFP. Javier Torres, 24 ans, creuse dans la boue à la recherche du corps de sa grand-mère, après avoir localisé les restes de son grand-père et de deux enfants qui séjournaient chez elle.

Le centre du Texas n'est plus concerné mardi par des alertes aux crues, mais "des épisodes isolés de fortes précipitations sont possibles", ont prévenu les services météorologiques. "Je sais que les gens commencent à être fatigués, mais ils reçoivent des renforts, et des volontaires se présentent" sur place, a assuré la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, lors du conseil des ministres à Washington.

Le président américain Donald Trump a confirmé qu'il se rendrait sur les lieux de la catastrophe vendredi, accompagné de son épouse, Melania. Lundi, la Maison Blanche a fustigé les critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux ont porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.

"Tenir le président Trump pour responsable de ces inondations est un mensonge odieux, qui n'a aucun sens en cette période de deuil national", a dénoncé la porte-parole Karoline Leavitt. Elle a affirmé que les services météorologiques américains (NWS) avaient émis des "prévisions et alertes à la fois précises et en temps voulu". Une alerte a été lancée peu après 1h00 du matin, mais nombre d'habitants dormaient ou avait coupé leur téléphone.

"Deux extrêmes"

Les crues subites ont été provoquées par des pluies diluviennes très tôt vendredi, qui ont fait monter les eaux du Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes. Il est soudain tombé près de 300 millimètres/heure de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes.

Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l'activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules.

"C'est une zone du Texas qui subit les deux extrêmes du spectre du changement climatique (...). Les sécheresses deviennent plus extrêmes" et "lorsque la pluie arrive, elle provoque ces précipitations plus lourdes, avec une probabilité accrue d'inondations subites", explique à l'AFP Shel Winkley, météorologue et spécialiste du climat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Incendies dans le sud de la France, le feu atteint Marseille

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L'incendie s'est propagé jusqu'à Marseille. (© KEYSTONE/AP)

Un incendie dans le sud de la France a atteint mardi Marseille, la deuxième ville du pays. Une partie des habitants a été appelée à se confiner par la préfecture.

"Feu de forêt à Marseille. Quittez le massif forestier immédiatement. Confinez-vous dans un bâtiment en dur. Fermez volets et portes", indique le message d'alerte diffusé sur les portables dans la zone et reçu par une journaliste de l'AFP présente à proximité de l'incendie.

Un immense panache de fumée s'élevait au-dessus des massifs au nord de la ville et retombait sur Marseille, causant une concentration en particules fines 10 fois supérieure aux normes, selon Atmo-Sud.

L'aéroport de Marseille-Provence, quatrième de France en nombre de passagers, situé à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de la ville, a été fermé dès la mi-journée en raison de cet incendie se propageant à une vitesse "très rapide", selon les autorités. Deux lotissements ont été évacués et la circulation sur certaines lignes de trains interrompue au départ et à l'arrivée de Marseille.

"Les conditions sont défavorables sur le terrain, la vitesse de propagation du feu", "est très rapide", ont indiqué les pompiers. L'incendie, qui a atteint mardi les "franges de Marseille" au nord de la ville, a parcouru jusqu'ici 700 hectares au total, selon la préfecture.

L'incendie, déclenché en fin de matinée par un feu de véhicule, mobilise plus de 560 pompiers. Neuf pompiers ont été légèrement intoxiqués, un a été blessé à l'épaule, et une "dizaine d'habitations ont été atteintes", selon le préfet. "Je demande à tous les Marseillais d'être extrêmement vigilants et de limiter au maximum leurs déplacements pour laisser place aux secours, notamment au nord de la ville", a indiqué le maire de Marseille, Benoît Payan, sur le réseau social X.

Evacuations

Parallèlement, l'incendie d'une rare intensité qui s'est déclenché lundi près de Narbonne, également dans le sud de la France mais plus à l'ouest, a quant à lui détruit plus de 2000 hectares de végétation et entraîné de nombreuses évacuations. Il est attisé par les conditions météorologiques - vents, chaleur en hausse et humidité qui faiblit.

Lundi, des avions bombardiers d'eau et de produits retardants se sont relayés. Au total, plus d'un millier de pompiers, venus de toute la France, luttent contre le feu. Ils ont reçu le renfort de collègues roumains. L'incendie, "toujours pas maîtrisé", "a progressé très vite", a détaillé à l'AFP Christian Pouget, préfet de l'Aude, département qui a connu trois incendies en une semaine.

Cet incendie a occasionné la fermeture de l'autoroute A9, reliant la France et l'Espagne en longeant la Méditerranée : fermée lundi après-midi, ella a été rouverte mardi. Cinq pompiers ont été "très légèrement blessés", a indiqué la préfecture.

Les flammes ont endommagé plusieurs maisons et détruit un atelier et une écurie et les autorités maintiennent les mesures de confinement appliquées à plusieurs quartiers du sud de Narbonne. Des habitants ont évacué leur logement par crainte du feu, à l'image de Martine Bou.

Cette retraitée explique à l'AFP, les larmes aux yeux, avoir vu les flammes s'approcher jusqu'à une vingtaine de mètres de sa maison. Le maire est arrivé, disant "qu'il fallait tout fermer". Elle a alors "commencé à sortir les caisses pour (s)es chats, récupérer (s)es tortues, mettre le chien dans la voiture", avant d'évacuer vers la commune de Peyriac-de-Mer et de revenir mardi matin.

Dans la nuit de lundi à mardi, de nombreux automobilistes et chauffeurs de poids lourds surpris par l'incendie ont également dû dormir dans leur véhicule. Environ 500 personnes ont dû être hébergées.

Le feu s'est déclenché lundi dans des circonstances inconnues sur un domaine viticole dans le massif des Corbières. Il s'est ensuite rapidement propagé, attisé par la tramontane sur une végétation desséchée par un fort déficit pluviométrique et la canicule prolongée de ces derniers jours. Les premiers grands incendies de la saison ont éclaté en France ce week-end dans plusieurs départements du sud, provoquant de gros embouteillages en plein week-end de départs en vacances.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Marine Le Pen saisit la CEDH pour contester son inéligibilité

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Marine Le Pen a été reconnue coupable le 31 mars par un tribunal à Paris. (© KEYSTONE/EPA/SADAK SOUICI)

La cheffe de l'extrême droite française Marine Le Pen a annoncé mardi avoir saisi la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH). Elle conteste la peine d'inéligibilité avec effet immédiat à laquelle elle a été condamnée en France.

Elle a notamment transmis "une requête demandant à la Cour de constater la violation des droits garantis par la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'Homme", a-t-elle indiqué dans un communiqué.

Marine Le Pen a été reconnue coupable le 31 mars par le tribunal correctionnel de Paris d'avoir mis en place un "système" de détournement de fonds public pour payer des salariés de son parti, le Front national (depuis rebaptisé Rassemblement national) avec l'argent du Parlement européen entre 2004 et 2016, pour un montant de 4,4 millions d'euros.

Outre la peine d'inéligibilité, le tribunal correctionnel de Paris l'a condamnée à quatre ans d'emprisonnement dont deux ferme. Vingt-quatre autres prévenus, dont le parti en tant que personne morale, avaient également été condamnés. La moitié a interjeté appel, dont Marine Le Pen.

"Présomption d'innocence"

Si la CEDH ne peut théoriquement être saisie par les justiciables qu'après épuisement des voies de recours internes, la triple candidate malheureuse à la présidentielle en France fait valoir "l'absence de recours effectif devant nos juridictions nationales permettant de contester l'exécution provisoire" avant le procès en appel pour justifier sa requête.

Mme Le Pen estime que cette situation judiciaire "viole plusieurs droits garantis", notamment celui "à la présomption d'innocence" ou "à un double degré de juridiction". Surtout, la requête de Mme Le Pen a été transmise au lendemain de la possibilité recouvrée par le président de la République française de dissoudre l'Assemblée nationale - un an après une première dissolution.

Marine Le Pen estime ainsi qu'elle est entravée dans son "droit à se porter candidat aux élections", consacré par la Convention européenne, puisqu'elle serait "dans l'incapacité de se présenter à une élection anticipée, qu'elle soit législative ou présidentielle", à l'approche de la présidentielle de 2027.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Liquidités: activités au Conseil des droits de l'homme affectées

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Le haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk a dû décider qu'une quinzaine de rapports mandatés par le Conseil des droits de l'homme ne seraient pas rendus en raison de la crise de liquidités à l'ONU (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Plusieurs activités mandatées par le Conseil des droits de l'homme ne pourront être menées cette année et en 2026 en raison de la crise des liquidités à l'ONU. Au terme de plus de trois semaines de travaux, celui-ci s'est dit mardi à Genève "inquiet" de la situation.

Dans une décision approuvée par consensus, l'organe onusien demande au haut commissaire Volker Türk davantage d'indications sur les choix qu'il a faits. Il l'enjoint à lui expliquer la situation lors de prochaines réunions, notamment fin août pour l'organisation de la prochaine session du Conseil.

Dans une lettre datée de mi-juin au président du Conseil, l'ambassadeur suisse à l'ONU à Genève Jürg Lauber, et dévoilée mardi avec la décision de l'organe, M. Türk a mentionné une quinzaine de rapports qui ne pourront être rendus comme prévu cette année.

Parmi ceux-ci figure celui des enquêteurs indépendants sur la situation en République démocratique du Congo (RDC), où des exactions avaient notamment été perpétrées au moment de la prise de Goma par les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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