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Mort d'un bébé dans une crèche: 25 ans de prison

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L'ancienne employée de crèche a été condamnée à 25 ans de réclusion. (© KEYSTONE/AP Pool/CHRISTOPHE ENA)

Une ancienne employée de crèche a été condamnée jeudi à Lyon à 25 ans de réclusion pour avoir causé la mort, en 2022, d'un bébé dont elle avait la garde en lui faisant boire un produit caustique de type Destop.

La femme, 30 ans, a été condamnée par la cour d'assises du Rhône pour "torture ou actes de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner". Les jurés ont écarté la qualification de meurtre, requise par l'avocat général et qui implique l'intention de tuer.

Estimant que l'accusée avait agi "en parfaite conscience" et "lâchement retiré la vie à une enfant sans défense", l'avocat général Baptiste Godreau avait requis 30 ans de prison.

L'employée avait reconnu dès sa garde à vue avoir fait ingérer le liquide corrosif, un déboucheur de canalisation, à la petite Lisa, 11 mois, tout en niant avoir voulu la tuer. Une ligne de défense qu'elle a conservée pendant le procès, même si elle a fini par préciser le déroulé du crime.

Irritée par les pleurs

Après avoir présenté plusieurs versions, elle a admis avoir tenu la tête de l'enfant et versé le produit directement dans sa bouche. Elle ne supportait plus, selon ses explications, les pleurs de la petite fille.

"Huit minutes seule avec un enfant quand on est diplômée d'un CAP petite enfance, est-ce que c'est insurmontable ?", s'est interrogé M. Godreau, en référence au laps de temps au cours duquel s'est noué le drame. Une question "reste froidement sans réponse: pourquoi?", a lâché le magistrat dans son réquisitoire

"Quelle explication rationnelle à faire ingérer de l'acide sulfurique à une enfant ? Il n'y en pas", a répondu Me Maylis Leduc, en charge de la "très lourde tâche" de défendre l'accusée avec sa consoeur Me Julia Coppard.

"Violence pulsionnelle"

L'avocate y voit de la "violence pulsionnelle", ce qui "n'enlève en rien l'atrocité des actes". "Ce jour-là, je crois que M. est arrivée au bout de ce qu'elle pouvait donner, au maximum de ses capacités psychiques", a poursuivi Me Coppard, en reprenant les analyses des experts. Sans vouloir excuser, mais "pour comprendre".

Elle a aussi évoqué un "moment de bascule" pour une jeune employée dépassée par ce métier pour lequel elle n'a pas les compétences: "elle ne réfléchit plus, elle est déconnectée, elle passe à l'acte". L'avocate des parents de Lisa a regretté les réponses évasives de l'accusée.

Les débats, auxquels la prévenue a assisté le dos souvent voûté mais sans manifester beaucoup d'émotion, ont mis en lumière sa personnalité fragile et des capacités cognitives limitées.

A l'époque du drame, atteinte d'une surdité partielle, elle vivait encore chez ses parents après une scolarité difficile et des expériences intermittentes dans le secteur de la petite enfance. Elle est d'une "immaturité absolue", a pointé l'avocat général.

"Pas un bébé Destop"

Malgré ses failles et son manque d'expérience, elle avait été embauchée par le groupe People & Baby qui gérait la micro-crèche Danton Rêve. Le 22 juin 2022, elle était seule à l'ouverture quand le père de Lisa est venu déposer le nourrisson.

Quelques minutes plus tard, deux femmes amenant leurs fils ont trouvé l'employée en panique, et Lisa en train de vomir. Grièvement brûlée, elle est décédée en fin de matinée à l'hôpital.

Le drame a déclenché une série d'enquêtes administratives, parlementaires et journalistiques qui ont épinglé la course au rendement dans le secteur des crèches privées.

Regrets

Très éprouvés, les parents de Lisa ont souhaité ramener le débat sur la responsabilité pénale du "monstre" qui a tué leur fille, dans deux témoignages teintés d'une vive émotion.

"Je comprends la souffrance des parents, je comprends aussi leur colère", a soufflé l'accusée dans une dernière prise de parole avant que les jurés se retirent pour délibérer. "Je regrette tellement", a-t-elle martelé, assurant une dernière fois ne pas avoir voulu tuer Lisa.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Au moins 12 morts dans un attentat devant un tribunal d'Islamabad

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Le site de l'attentat a été bouclé par les autorités. (© KEYSTONE/AP/Mohammad Yousuf)

Le ministre pakistanais de l'Intérieur a annoncé 12 morts dans un attentat-suicide mardi devant un tribunal d'Islamabad. Des témoins ont décrit des scènes de chaos après une forte explosion.

L'attentat, qui n'a pas été revendiqué dans l'immédiat, survient sur fond de fortes tensions régionales, avec l'Afghanistan et avec l'Inde, deux pays voisins.

"A 12h39, un attentat-suicide s'est produit à Kachehri", où se trouve le tribunal, a indiqué sur les lieux le ministre, Mohsin Naqvi, faisant état de "12 morts et d'environ 27 blessés".

D'après lui, l'assaillant a attendu à l'extérieur du tribunal avant de déclencher son engin explosif près d'une voiture de police. "Nous essayons de l'identifier et de déterminer d'où il vient", a déclaré M. Naqvi à des journalistes sur place.

"Chaos total"

Dans cette zone résidentielle, des témoins avaient auparavant fait état d'une forte explosion. "Alors que je garais ma voiture et que j'entrais dans le complexe (...), j'ai entendu une forte détonation à l'entrée", a déclaré l'avocat Roustam Malik.

"C'était un chaos total, les avocats et les gens couraient à l'intérieur du complexe. J'ai vu deux corps gisant près de la porte et plusieurs voitures étaient en feu," a ajouté l'avocat, l'un des témoins qui s'est exprimé auprès de l'AFP. Les forces de sécurité ont bouclé le secteur, qui abrite plusieurs bureaux du gouvernement.

"C'était une explosion énorme", a rapporté Mohammed Shahzad Butt, un autre avocat. "Tout le monde a commencé à entrer (dans le bâtiment) en panique. J'ai vu au moins cinq corps étendus devant la porte d'entrée", a-t-il ajouté.

Résurgence d'attaques

Islamabad, la capitale du pays, est considérée comme une ville plutôt sûre par rapport au reste du pays, la dernière attaque en date y ayant eu lieu en décembre 2022.

Le Pakistan est confronté à une résurgence d'attaques, qu'il attribue notamment à des groupes armés qui se cachent selon lui sur le sol afghan.

Le ministre de l'Intérieur a noté que l'attentat-suicide d'Islamabad s'était produit après une attaque dans la région de Khyber Pakhtunkhwa (nord-ouest, frontalière de l'Afghanistan) lundi soir.

"Trois personnes sont mortes dans cette attaque, l'assaillant était afghan", a déclaré le ministre mardi, accusant "l'Afghanistan d'être directement impliqué".

Tensions régionales

Le Pakistan et l'Afghanistan se sont affrontés à la mi-octobre avec une intensité rare, à leur frontière principalement, mais la confrontation avait débordé jusqu'à Kaboul où ont eu lieu des explosions. Plus de 70 personnes avaient été tuées parmi lesquelles une cinquantaine de civils afghans, selon l'ONU.

Les deux pays ont approuvé une trêve, fragile, dont ils ne sont pas parvenus à préciser les contours lors de plusieurs cycles de négociations. Chacun a imputé la responsabilité à l'autre dans l'échec de ces discussions, qui ont pris fin la semaine dernière.

Les tensions sont également fortes avec l'Inde - autre pays voisin et ennemi historique - depuis une guerre-éclair en mai qui avait fait plus de 70 morts dans les deux camps, jusqu'à un cessez-le-feu.

Lundi, New Delhi a aussi été le théâtre d'une explosion, qui a fait huit morts. Le Premier ministre indien Narendra Modi l'a qualifié de "complot" mais la police n'a évoqué aucune cause pour expliquer la déflagration.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les Irakiens aux urnes pour élire un nouveau Parlement

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Plus de 21,4 millions d'électeurs sont appelés à départager plus de 7700 candidats, dont près d'un tiers de femmes, pour occuper 329 sièges de députés. (© KEYSTONE/EPA/CEERWAN AZIZ)

Les Irakiens ont commencé mardi à voter pour élire un nouveau Parlement. Ce scrutin, peu susceptible de bouleverser le paysage politique, est surveillé de près par Téhéran et Washington.

L'Irak a connu une stabilité inhabituelle ces dernières années, après plusieurs décennies de guerre et de répression sous le dictateur Saddam Hussein et depuis l'invasion menée par les Etats-Unis en 2003 qui l'a renversé.

Beaucoup d'Irakiens doutent que ces élections puissent apporter un changement réel dans un pays qui souffre d'infrastructures médiocres, de services publics défaillants et d'une corruption endémique.

Faible participation

Dès le début du scrutin, en matinée, des personnalités politiques ont néanmoins glissé leur bulletin dans l'urne d'un bureau de vote installé au sein du luxueux hôtel al-Rasheed de Bagdad. Quatre heures plus tard, des correspondants de l'AFP constataient une faible participation dans plusieurs grandes villes du pays. Les rues de Bagdad, placardées d'affiches électorales, étaient grandement désertes à l'exception de la présence de forces de l'ordre.

Les bureaux de vote doivent rester ouverts jusqu'à 18h00 (16h00 suisses). Des premiers résultats sont attendus dans les 24 heures qui suivront la fin du scrutin.

Partage du pouvoir

Plus de 21,4 millions d'électeurs sont appelés à départager plus de 7700 candidats, dont près d'un tiers de femmes, pour occuper 329 sièges de députés aux mandats de quatre ans. Les femmes doivent obtenir au moins un quart des sièges du futur Parlement, selon un système de quotas, tandis que neuf sont réservés aux minorités.

Les élections ouvrent la voie à la désignation d'un nouveau chef de l'Etat - poste largement honorifique réservé à un Kurde - et d'un Premier ministre - traditionnellement chiite - choisis après de longues tractations. Un sunnite occupera le poste de président du Parlement.

Depuis la chute du sunnite Saddam Hussein, la majorité chiite longtemps opprimée en Irak continue de dominer, la plupart des partis conservant des liens avec l'Iran voisin.

L'actuel Premier ministre chiite Mohamed Chia al-Soudani, qui mise sur un second mandat, espère une victoire. Il était arrivé au pouvoir en 2022 grâce au soutien d'une alliance regroupant des partis et factions chiites tous liés à l'Iran.

Absence de Moqtada Sadr

Le prochain Premier ministre sera élu par la coalition qui parviendra à rassembler suffisamment d'alliés. Lors des dernières législatives, le courant du leader chiite Moqtada Sadr avait remporté le plus grand nombre de sièges avant de se retirer du Parlement à la suite d'un différend avec les partis chiites qui ne soutenaient pas sa tentative de former un gouvernement et qui se sont plutôt regroupés entre eux.

La rupture avait culminé avec des combats meurtriers dans la capitale. Cette année, M. Sadr a refusé de participer à une "élection bancale, dominée par les intérêts sectaires, ethniques et partisans", appelant ses partisans à boycotter le scrutin.

Les partis sunnites se présentent séparément, l'ancien président du Parlement Mohamed al-Halboussi étant donné favori. Dans la région autonome du Kurdistan, la rivalité entre le Parti démocratique du Kurdistan (PDK) et l'Union patriotique du Kurdistan (UPK) reste vive.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Philippines: le bilan du typhon Fung-wong monte à 18 morts

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Fung-wong s'est abattu dimanche soir sur la côte est des Philippines, couvrant presque l'ensemble du territoire. (© KEYSTONE/EPA/BENJO CARAG)

Des secouristes philippins équipés de pelleteuses et de tronçonneuses ont commencé mardi à nettoyer les ravages causés par le typhon Fung-wong, au moment où le niveau de l'eau baisse dans les villages inondés. Le bilan du typhon est, lui, monté à 18 morts.

Fung-wong, qui a entraîné l'évacuation de 1,4 million de personnes, a été rétrogradé en violente tempête tropicale, alors qu'il commence à déverser de la pluie sur Taïwan, où il doit toucher terre mercredi.

Le typhon s'est abattu dimanche soir sur la côte est des Philippines, couvrant presque l'ensemble du territoire, quelques jours seulement après le typhon Kalmaegi qui a balayé les îles du centre du pays, faisant au moins 232 morts, selon les derniers chiffres.

Dans la province côtière d'Isabela, une ville de 6000 habitants reste coupée du monde mardi, a rapporté un porte-parole de la défense civile. Des parties de la province voisine de Nueva Vizcaya sont également isolées.

"Nous avons du mal à accéder à ces zones", a déclaré un porte-parole de la région de la vallée de Cagayan, ajoutant que des glissements de terrain avaient empêché les secouristes d'atteindre les résidents touchés.

Dégagement des routes

D'autres habitants se trouvent actuellement "dans des centres d'évacuation, mais lorsqu'ils rentreront chez eux, il leur faudra du temps pour reconstruire", a-t-il ajouté. Selon lui, un enfant de 10 ans a été tué par l'un des glissements de terrain à Nueva Vizcaya.

L'enfant fait partie des 18 décès enregistrés dans un nouveau bilan publié mardi par un haut responsable de la défense civile. "Le plus grand défi pour nous en ce moment est la restauration des accès aux endroits isolés, le dégagement des routes et la réhabilitation des lignes électriques et de communication, mais nous y travaillons", a-t-il expliqué.

Sur l'île de Catanduanes, la plus touchée, les difficultés d'accès à l'eau courante pourraient encore durer jusqu'à 20 jours, estime-t-il.

Fung-wong se dirige désormais vers Taïwan, où les écoles et les bureaux ont fermé mardi dans plusieurs comtés. La tempête qui approche intensifie la mousson du nord-est, provoquant de fortes pluies. Jusqu'à 400 millimètres de pluie sont attendus au cours des prochaines 24 heures, rapportent les responsables gouvernementaux et météorologiques.

Le président taïwanais Lai Ching-te a exhorté la population à éviter les zones montagneuses, les plages et "d'autres endroits dangereux" afin de "traverser cette période en toute sécurité".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Une attaque de drones russes fait un mort dans l'est de l'Ukraine

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Les drones envoyés par les forces russes sur les villes ukrainiennes tuent presque quotidiennement des civils (archives). (© KEYSTONE/AP)

Une attaque de drones russes a tué une personne et provoqué des incendies lundi soir à Kramatorsk, dans l'est de l'Ukraine, a annoncé son conseil municipal. Moscou affirme de son côté avoir intercepté 37 drones ukrainiens.

"Sept drones ont frappé la ville en l'espace de 30 minutes" peu après 20h00 (19h00 en Suisse), a écrit le conseil sur le réseau social Telegram. "Selon de premières informations, une personne a été tuée par le bombardement, un homme né en 1961", a ajouté la même source, faisant état de dégâts sur une "institution éducative" et des logements.

Dans la région de Kharkiv (nord-est), un drone d'attaque russe a par ailleurs touché lundi soir un véhicule et blessé ses trois occupants dont un adolescent de 16 ans, selon le parquet de la région de Kharkiv.

Drones ukrainiens interceptés

La Russie, dont les forces sont mieux équipées et plus nombreuses, continue d'avancer dans l'est de l'Ukraine et notamment dans la région de Donetsk où se concentre l'essentiel des combats. Lundi, Moscou y a revendiqué la prise de trois nouveaux villages.

En parallèle, la Russie multiplie depuis des semaines les bombardements sur les infrastructures énergétiques et le réseau ferroviaire ukrainiens, sur fond de baisse des températures à l'approche de l'hiver.

Kiev vise de son côté régulièrement des dépôts et raffineries de pétrole et d'autres installations en Russie. Le ministre russe de la défense a indiqué mardi matin que 37 drones d'attaque ukrainiens avaient été interceptés au cours de la nuit, sans faire mention de dégâts.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Saisie de plus de six tonnes d'ailerons de requin au Pérou

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L'aileron de requin est un ingrédient populaire en Asie pour la préparation de soupes et de concoctions auxquelles les croyances populaires attribuent des vertus aphrodisiaques ou contre le vieillissement (archives). (© KEYSTONE/EPA/HOTLI SIMANJUNTAK)

La police péruvienne a annoncé lundi la saisie de plus de six tonnes d'ailerons de requin qui devaient être exportés illégalement vers l'Asie. La valeur de la cargaison est estimée à huit millions de dollars sur le marché asiatique.

Les ailerons provenaient de diverses espèces de requins qu'il est strictement interdit de pêcher, a indiqué le chef de la brigade criminelle. Cette cargaison est l'une des plus importantes jamais découvertes, d'après les autorités.

Les ailerons étaient cachés dans un entrepôt clandestin d'une habitation de Callao. Ce produit est un ingrédient populaire pour la préparation de soupes et de concoctions auxquelles les croyances populaires attribuent des vertus aphrodisiaques ou contre le vieillissement.

"Impact terrible sur l'écosystème"

Les pêcheurs "ont un impact terrible sur l'écosystème marin de la région, où ils pêchent ces requins qui sont menacés d'extinction", a dénoncé le chef de la police, précisant que les prises étaient relâchées en mer une fois leurs ailerons tranchés.

Trois Péruviens ont été arrêtés lors de cette opération. Ils sont soupçonnés par les autorités d'appartenir à une organisation criminelle de trafic de ce produit.

Les requins requiem (Carcharhinidae) et marteau (Sphyrnidae) sont les espèces les plus touchées. Selon l'organisation internationale de protection de l'environnement marin Oceana, on trouve dans les eaux du Pérou 66 des quelque 400 espèces de requins.

La conférence sur le commerce international des espèces menacées, réunie à Panama en 2022, avait pris la décision d'étendre sa protection à une cinquantaine d'espèces de requins menacées par le trafic de leurs ailerons.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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