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Israël: cessez-le-feu à Gaza en vigueur depuis 12h00 locales

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D'après la Défense civile palestinienne, les forces israéliennes se sont retirées de plusieurs zones de la ville de Gaza. (© KEYSTONE/AP/Emilio Morenatti)

L'armée israélienne annonce que le cessez-le-feu à Gaza est en vigueur depuis 12h00, heure locale. Il doit être suivi dans les 72 heures d'une libération des otages, en application d'un accord conclu avec le mouvement islamiste Hamas.

"L'accord de cessez-le-feu est entré en vigueur à midi locale (11h00 suisses)", a déclaré l'armée. "Depuis midi, les troupes de Tsahal (l'armée israélienne, NDLR) ont commencé à se positionner le long des lignes de redéploiement en préparation de l'accord de cessez-le-feu et du retour des otages", selon le texte, qui précise que les "troupes du Commandement Sud continueront d'éliminer toute menace immédiate".

Le cessez-le-feu et la libération des otages sont prévues dans un accord, approuvé jeudi après quatre jours de négociations indirectes en Egypte entre le Hamas et Israël, en guerre à Gaza depuis deux ans. L'accord est basé sur un plan annoncé fin septembre par le président américain Donald Trump pour mettre fin à la guerre, déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas en Israël le 7 octobre 2023.

Donald Trump a déclaré jeudi qu'il prévoyait de se rendre dimanche au Moyen-Orient. "Les otages rentreront lundi ou mardi. Je serai probablement là. J'espère être là. Nous prévoyons de partir dimanche". Il a aussi dit qu'il "essaierait" de se rendre en Egypte pour "une signature officielle" de l'accord et qu'il avait accepté de "parler" devant le Parlement israélien à Jérusalem, à une date non précisée.

Selon Mohammad al-Moughayyir, un responsable de la Défense civile, "les forces israéliennes se sont retirées de plusieurs zones de la ville de Gaza (...)", dans le nord du territoire dévasté et assiégé. Dans le sud de la bande de Gaza, "des véhicules israéliens se sont retirés des parties sud et centrale de la ville de Khan Younès vers les zones est", a-t-il dit à l'AFP.La porte-parole du gouvernement israélien, Shosh Bedrosian, a ensuite affirmé que l'armée garderait le contrôle de 53% du territoire.

"Assurances"

Après sa validation par le cabinet de sécurité israélien, le gouvernement de Benjamin Netanyahu a approuvé vendredi avant l'aube l'accord conclu en Egypte.

Au plus tard 72 heures après son entrée en vigueur, "tous nos otages, vivants et décédés, seront libérés, ce qui nous amène à lundi", a dit Mme Bedrosian. M. Trump a observé que les corps de certains captifs seraient "un peu difficiles à trouver".

Selon un responsable du Hamas, les otages vivants seront libérés contre près de 2000 prisonniers palestiniens détenus par Israël, "simultanément à des retraits israéliens spécifiques (de Gaza) et une entrée de (davantage) d'aide humanitaire". Il n'a pas mentionné les captifs morts.

Sur les 251 personnes enlevées durant l'attaque du 7 octobre et emmenées à Gaza, 47 y sont toujours retenues, dont au moins 25 sont mortes, selon l'armée. Le négociateur en chef du Hamas, Khalil al-Hayya, a affirmé jeudi avoir "reçu des assurances des frères médiateurs et de l'administration américaine, confirmant que la guerre est complètement terminée".

Deuxième phase

L'accord conclu en Egypte s'intègre dans un plan en 20 points de M. Trump qui prévoit un cessez-le-feu à Gaza, une libération des otages, un retrait par étapes israélien de Gaza, un désarmement du Hamas et la mise en place d'une autorité de transition formée de technocrates chapeautée par un comité dirigé par Donald Trump.

Les négociations pour la deuxième phase, concernant un désarmement du Hamas et une poursuite du retrait israélien, devaient commencer "immédiatement" après la signature jeudi de l'accord sur la première phase, selon un responsable du Hamas.

Le mouvement islamiste n'a pas encore réagi au point sur son désarmement. Le président américain a assuré jeudi qu'il y aurait un "désarmement" et des "retraits", sans toutefois fournir d'échéance.

Deux cents militaires sous la direction du chef du Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient, l'amiral Brad Cooper, seront mobilisés pour "superviser" la mise en oeuvre de l'accord sur Gaza, a indiqué un haut responsable américain. Parmi eux, probablement des militaires d'Egypte, du Qatar, de Turquie et des Emirats, selon lui.

Un autre haut responsable a précisé qu'il n'y aurait pas de militaires américains déployés "dans Gaza". L'armée turque a dit être "prête à assumer toute mission qui leur sera assignée" pour Gaza.

L'attaque du 7 octobre a entraîné la mort de 1219 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l'AFP à partir de données officielles. En riposte, Israël a lancé une campagne militaire à Gaza qui fait, selon le ministère de la Santé du Hamas, plus de 67'194 morts, en majorité des civils, et provoqué un désastre humanitaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

A Belem, militants et autochtones rassemblés pour le climat

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Des milliers de militants et d'indigènes rassemblés samedi à Belem pour une grande marche. (© KEYSTONE/AP/Fernando Llano)

Des milliers de militants et d'indigènes se rassemblent samedi à Belem pour une grande marche afin de demander aux négociateurs de la COP30, réunis dans cette ville d'Amazonie brésilienne, d'écouter leurs revendications pour la défense du climat.

Un ballon géant à l'allure de globe terrestre: on le remarque d'emblée au départ de la manifestation, festive et en musique, près d'un marché de cette cité qui accueille depuis lundi la conférence de l'ONU sur le climat.

"Nous sommes venus ici pour défendre le climat. Aujourd'hui, nous vivons un massacre avec notre forêt qui est en train d'être détruite. Nous voulons faire entendre notre voix depuis l'Amazonie et exiger des résultats", dit à l'AFP Benedito Huni Kuin, 50 ans, du peuple indigène Huni Kuin, vivant dans l'ouest du Brésil.

Les premiers sont arrivés aux toutes premières heures du matin, sous un soleil déjà brûlant. Certains ont déployé un grand drapeau brésilien frappé des mots: "Amazonie protégée".

La "marche mondiale pour le climat" va traverser la dense ville de 1,4 million d'habitants sur environ 4,5 kilomètres, s'arrêtant à quelques pâtés de maisons du site de la COP30, protégé samedi par des dizaines de militaires et des barrières parfois surmontées de barbelés.

Pour la première fois depuis la COP26 à Glasgow en 2021, la société civile mondiale peut s'exprimer samedi sans crainte d'arrestations arbitraires.

Les trois dernières conférences climatiques de l'ONU se sont déroulées dans des pays, Egypte, Emirats arabes unis et Azerbaïdjan, où aucune ONG ne jugeait sûr de manifester en dehors du site de la COP, qui est protégé et régi par les Nations unies.

Les négociations de Belem sont marquées par une absence de taille: celle des Etats-Unis de Donald Trump.

Mais au rassemblement samedi un manifestant monté sur des échasses s'est déguisé en Oncle Sam pour dénoncer "l'impérialisme". Le soutien à la cause palestinienne est aussi présent, avec des drapeaux palestiniens brandis parmi la foule.

Frustration indigène

"Nous sommes ici pour montrer que ce sont les gens qui détiennent le pouvoir, surtout cette semaine où on a appris que des voix étaient exclues du processus de la COP et que de nombreuses communautés, notamment autochtones, ne se sentent pas prises en compte", a expliqué à l'AFP Tyrone Scott, un Britannique de 34 ans, de l'ONG War on Want.

Les communautés indigènes brésiliennes réclament davantage voix au chapitre dans les discussions, qu'elles ont bousculées à deux reprises.

Mardi soir, des manifestants avaient forcé l'entrée du site de la COP et s'étaient heurtés aux forces de sécurité. Vendredi matin, d'autres protestataires autochtones ont bloqué l'entrée principale et arraché des réunions au sommet avec des responsables brésiliens.

Après des tensions entre le Brésil et l'ONU, qui coorganisent l'événement, les autorités brésiliennes ont renforcé notablement cette semaine le déploiement de sécurité autour du Parque da Cidade, siège de la conférence, dans le but d'éviter tout trouble dans les derniers jours de négociations.

Où en sont ces tractations? Au terme d'une semaine, la présidence de la COP30 est censée dévoiler samedi après-midi le fruit de ses consultations pour concilier les demandes des pays sur une série de sujets.

Des sujets aussi épineux que les ambitions en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre, le financement climatique au profit des pays vulnérables ou les barrières commerciales.

Plusieurs participants estiment que chacun campe encore sur ses positions en attendant l'arrivée des ministres lundi, qui devront trouver un consensus de près de 200 pays d'ici la fin de la conférence le 21 novembre.

Un négociateur africain souhaite que la présidence prenne les choses en main. "Sinon, ceci pourrait s'avérer une COP vide", craint-il. "Les pays sont ici pour obtenir un bon résultat à cette COP", a en revanche estimé vendredi le secrétaire d'État allemand Jochen Flasbarth.

Les négociations "sont comme les montagnes russes, elles ont des hauts et parfois elles ont des bas", a résumé la négociatrice en chef brésilienne, Liliam Chagas - sans dévoiler aucune carte.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'ex-champion du monde Joseph Parker dément s'être dopé

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Joseph Parker (ici en 2018) dément avoir eu recours à des produits dopants (© KEYSTONE/AP/Frank Augstein)

L'ex-champion du monde des lourds Joseph Parker a démenti samedi avoir eu recours à des produits interdits.

Un test antidopage s'est pourtant révélé positif après son combat perdu contre Fabio Wardley le 25 octobre.

"Avant mon récent combat, j'ai passé un test volontaire et j'ai maintenant appris que le résultat rendu était positif. C'est une vraie surprise. Je n'ai eu recours à aucune substance interdite, je ne prends pas de produits pour améliorer mes performances et je ne suis pas en faveur de leur utilisation", a écrit le boxeur néo-zélandais de 33 ans sur les réseaux sociaux.

"Je coopère pleinement dans le processus en cours et je suis confiant dans l'issue de l'enquête qui blanchira mon nom", ajoute Parker, qui a été stoppé durant le 11e round de son combat contre le Britannique Wardley et a ainsi perdu son statut de challenger WBO pour affronter le champion incontesté des lourds Oleksandr Usyk.

Le promoteur du combat entre Parker et Wardley, Queensberry, a annoncé le résultat positif du contrôle antidopage sans dire quelle substance avait été détectée. Selon le tabloïd britannique The Sun, il s'agirait de cocaïne.

Joseph Parker avait perdu en 2018 sa ceinture WBO au profit du Britannique Anthony Joshua par décision unanime des juges. Il s'était depuis donné une chance d'affronter Usyk en alignant des victoires contre Deontay Wilder, Zhilei Zhang et Martin Bakole.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Brésil: appel de Bolsonaro rejeté, qui se rapproche de la prison

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Jair Bolsonaro a été condamné à 27 ans de prison pour tentative de coup d'Etat (archives). (© KEYSTONE/AP/Luis Nova)

La cour suprême brésilienne a formellement rejeté vendredi l'appel de l'ex-président Jair Bolsonaro de sa condamnation à 27 ans de prison pour tentative de coup d'Etat. Cette décision réduit fortement ses chances d'éviter de se retrouver derrière les barreaux.

La juridiction s'était déjà prononcée contre ce recours la semaine dernière, mais devait encore entériner sa décision.

L'ancien dirigeant d'extrême droite (2019-2022), 70 ans, a été déclaré coupable en septembre d'avoir été le chef d'une "organisation criminelle" ayant conspiré pour assurer son "maintien autoritaire au pouvoir" après la victoire de son rival de gauche, Luiz Inacio Lula da Silva, lors du scrutin d'octobre 2022.

Selon le parquet, ce complot prévoyait l'assassinat de Lula et d'un juge de la cour suprême chargé de l'affaire, Alexandre de Moraes. Mais il a échoué, faute de soutien de hauts responsables militaires.

Une source du tribunal a indiqué à l'AFP que la défense pourrait formuler un dernier recours dans les cinq jours. Cependant, celui-ci pourrait être rapidement rejeté par M. Moraes, ce qui mettrait fin à la procédure.

Réduction de peine exclue

M. Bolsonaro, assigné à résidence depuis août, pourrait donc être incarcéré au cours de la dernière semaine de novembre.

En raison de problèmes de santé liés aux séquelles d'un coup de couteau reçu à l'abdomen en 2018, il pourrait demander à la cour de le laisser purger sa peine à domicile, comme ce fut le cas pour l'ancien président Fernando Collor de Mello (1990-1992), condamné à huit ans de prison pour corruption.

Ce procès a considérablement envenimé les relations bilatérales, notamment commerciales, avec le président américain Donald Trump, dont Jair Bolsonaro est un ancien allié.

M. Trump et son gouvernement font pression sur les autorités judiciaires brésiliennes, qu'ils accusent de poursuivre injustement l'ex-dirigeant. M. Moraes est la principale cible de Washington, visé depuis la fin juillet par des sanctions économiques, étendues en septembre à son épouse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Argentine: plus de 20 blessés dans une forte explosion

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L'explosion s'est produite dans une zone industrielle de la localité d'Ezeiza. (© KEYSTONE/AP/Rodrigo Abd)

Une forte explosion s'est produite vendredi sur une zone industrielle de la localité d'Ezeiza, au sud de la capitale argentine de Buenos Aires, faisant au moins 22 blessés. Elle a également provoqué un important incendie.

"Les explosions et l'incendie en cours sur les différentes installations sont terribles", a expliqué sur la chaîne télévisée C5N le maire d'Ezeiza, Gaston Granados. Des images montrent de la fumée s'élevant du site et une partie de l'explosion.

Le directeur d'une clinique, où les blessés ont été admis, a fait état de 22 patients, sur la chaîne La Nacion+. Il a ajouté, auprès du média Infobae, que son établissement s'occupait d'une personne ayant fait une crise cardiaque et d'une autre, enceinte, qui a été intoxiquée. Cette dernière, habitante d'un quartier voisin de la zone de l'explosion, se trouve en soins intensifs.

La cause de l'explosion est inconnue, selon M. Granados. "Nous essayons de contrôler [l'incendie] et de l'éteindre, mais nous n'y arrivons pas encore", a-t-il poursuivi.

D'après les médias locaux, au moins cinq installations ont été touchées. Cette zone industrielle se situe près de l'aéroport international d'Ezeiza.

S'y trouvent "différentes entreprises avec différents produits. Il y a une quantité importante de pneumatiques, des entreprises [de produits] chimiques, un dépôt d'Iron Mountain [une société d'archivage de documents et de données, ndlr]. C'est un incendie très compliqué. Cela va être un gros incendie", a prévenu samedi matin sur La Nacion+ le directeur de la défense civile de la province de Buenos Aires.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Affaire Epstein: Trump contre-attaque et vise Bill Clinton

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Donald Trump qui a tenté de clore le dossier Epstein réclame désormais une enquête. (© KEYSTONE/AP/Manuel Balce Ceneta)

Le président américain Donald Trump a contre-attaqué vendredi en réclamant une enquête fédérale sur la relation entre le délinquant sexuel mort en prison Jeffrey Epstein et certaines personnalités démocrates, dont Bill Clinton.

A travers cette enquête qu'il a demandée au ministère de la justice et à la police fédérale (FBI) d'ouvrir, le président américain vise aussi Larry Summers, ministre des finances de l'ancien président américain Bill Clinton, l'investisseur et entrepreneur Reid Hoffman, la banque JPMorgan Chase ainsi que "beaucoup d'autres personnes et institutions".

"Les dossiers montrent que ces hommes et de nombreux autres ont passé beaucoup de temps avec Epstein", a-t-il assuré, sans fournir de preuves. La ministre de la justice Pam Bondi a promis sur le réseau social X que ses services allaient agir "avec diligence et honnêteté pour donner des réponses au peuple américain", en précisant qu'elle confiait ce dossier à Jay Clayton, ancien patron du gendarme américain des marchés financiers (SEC), nommé procureur par Donald Trump.

"Supercherie Epstein"

En juillet, le ministère de la justice et le FBI avaient pourtant annoncé qu'ils n'avaient "pas découvert de preuves sur lesquelles fonder une enquête contre des personnes jusqu'ici non poursuivies" dans l'affaire Epstein. Les deux institutions avaient aussi jugé qu'il ne serait "pas pertinent" de rendre public le "dossier Epstein".

Donald Trump avait promis pendant sa campagne des révélations fracassantes sur cette affaire ultrasensible. Mais, une fois revenu au pouvoir, l'ancien promoteur immobilier, qui a fréquenté Jeffrey Epstein quand ils étaient des figures de la "jet-set" new-yorkaise avant de se brouiller avec lui, a tenté de clore le dossier.

Vendredi, Donald Trump a accusé à nouveau les démocrates de promouvoir une "supercherie Epstein" et critiqué les républicains comptant voter pour forcer la publication des documents du ministère de la justice. La chambre des représentants devrait examiner la semaine prochaine une proposition de loi en ce sens.

"Vous avez la possibilité de voter pour publier le dossier Epstein et, avec cela, tenir une promesse que le peuple américain attend depuis bien trop longtemps. Nous vous implorons de le faire", ont écrit des victimes de Jeffrey Epstein dans une lettre adressée au congrès américain et obtenue par l'AFP vendredi.

"Retour de bâton"

L'affaire Epstein a été relancée cette semaine par la publication de courriers électroniques du financier new-yorkais, au carnet d'adresses particulièrement bien rempli. Donald Trump "savait à propos des filles" agressées sexuellement et a même "passé plusieurs heures" avec l'une d'elles, affirment des emails de Jeffrey Epstein, dévoilés par des parlementaires démocrates.

"Je ne sais rien de cela. [Sinon] cela aurait été dit il y a longtemps", a assuré vendredi le président américain. "Jeffrey Epstein et moi avons entretenu de très mauvaises relations pendant de nombreuses années", a-t-il ajouté.

Parmi ces courriers électroniques figurent des échanges avec Larry Summers, qui a été conseiller économique de Barack Obama et présidé la prestigieuse université Harvard. Bill Clinton a pour sa part fréquenté le financier new-yorkais dans les années 1990 et 2000.

"Ces e-mails prouvent que Bill Clinton n'a rien fait et ne savait rien. Le reste n'est que du bruit, destiné à détourner l'attention des défaites électorales [républicaines] et du retour de bâton causé par la paralysie budgétaire", a réagi un porte-parole de l'ancien président.

Avec sa complice Ghislaine Maxwell comme rabatteuse, Epstein faisait venir des mineures dans ses résidences notamment à New York et en Floride pour, sous le prétexte de massages, les agresser sexuellement. Il est mort en prison en 2019 avant son procès, par suicide, selon les autorités. Ghislaine Maxwell purge une peine de 20 ans de prison pour exploitation sexuelle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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