Rejoignez-nous

International

Gaza: retour dans les ruines, le Hamas redoute de durs pourparlers

Publié

,

le

Des Palestiniens se rassemblent autour de camions transportant des aides arrivées à Khan Yunis, dans le sud de la bande de Gaza samedi. (© KEYSTONE/EPA/HAITHAM IMAD)

Des centaines de milliers de Palestiniens sont rentrés chez eux samedi dans le nord dévasté de la bande de Gaza, le Hamas annonçant qu'il commencerait à libérer les otages israéliens dès lundi matin, conformément à la première phase du plan de paix.

Alors que l'Egypte a confirmé la tenue lundi après-midi du "Sommet de la paix de Charm el-Cheikh", coprésidé par les présidents américain et égyptien Donald Trump et Abdel Fattah al-Sissi et en présence de dirigeants de plus de 20 pays, un cadre du Hamas a mis en garde dans un entretien à l'AFP contre des négociations "difficiles" pour la prochaine phase du plan Trump.

Hossam Badran, membre du bureau politique du Hamas, a notamment déclaré qu'il était "hors de question" que le mouvement islamiste accepte de désarmer.

Avant cette phase de désarmement, l'accord prévoit la libération d'ici lundi 11h00 (heure suisse) des derniers otages retenus à Gaza et de centaines de prisonniers palestiniens écroués en Israël.

"Conformément à l'accord signé, l'échange de prisonniers devrait débuter lundi matin comme convenu, et il n'y a aucun nouveau développement à ce sujet", a déclaré à l'AFP Oussama Hamdane, un haut responsable du Hamas.

Samedi, les autorités israéliennes ont indiqué rassembler dans deux prisons les détenus devant être libérés contre les 48 otages dont tout Israël se prépare au retour.

"Nous continuerons à crier et à nous battre jusqu'à ce que tout le monde soit rentré à la maison", a déclaré samedi Einav Zangauker, une des figures de la mobilisation pour le retour des captifs lors d'un rassemblement à Tel-Aviv. Son fils, Matan Zangauker, 25 ans, fait partie des 20 captifs présumés encore en vie.

"Vous rentrez à la maison", a déclaré sur place l'émissaire américain Steve Witkoff qui s'était rendu plus tôt en journée à Gaza avec le gendre de Donald Trump, Jared Kushner et le chef de l'armée israélienne Eyal Zamir.

"Destruction, destruction"

A Gaza, la Défense civile de Gaza, organisation de premiers secours opérant sous l'autorité du Hamas, a annoncé samedi que plus de 500'000 personnes, déplacées par la guerre, étaient revenues dans le nord du territoire depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu vendredi à 9h00 GMT.

Raja Salmi est ainsi parvenue, après un "voyage particulièrement épuisant", à revenir dans son quartier d'al-Rimal, au coeur de la ville de Gaza, où les bombardements des dernières semaines ont détruit ce que l'armée israélienne a présenté comme des zones censées abriter des milliers de combattants du Hamas.

Mais son appartement avait disparu: l'immeuble "n'existe plus, c'est juste un tas de décombres".

"J'étais debout devant (ces ruines) et je me suis mise à pleurer, tous les souvenirs ont été réduits en poussière", a-t-elle raconté à l'AFP.

"Je ne sais pas quoi dire, ce que je vois est plus fort que tous les mots... Destruction, destruction, et encore destruction", a dit à l'AFP Saher Abu Al-Atta, un autre habitant de retour dans la ville, depuis les décombres de l'hôpital pédiatrique al-Rantissi.

A travers la bande de Gaza, des secouristes continuent de fouiller les décombres à la recherche de corps après le repli des troupes israéliennes derrières les lignes convenues, à l'intérieur du territoire, dans le cadre du cessez-le-feu.

L'entrée en vigueur du cessez-le-feu a déclenché une période de 72 heures maximum pendant laquelle le Hamas doit remettre les 48 otages restants, vivants ou morts, qui avaient été enlevés en Israël lors de l'attaque sans précédent du Hamas du 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre à Gaza.

En échange, Israël doit libérer 250 "détenus pour des raisons de sécurité" dont de nombreux condamnés pour des attentats meurtriers anti-israéliens, et 1700 Palestiniens arrêtés par l'armée israélienne dans la bande de Gaza depuis octobre 2023.

Retour à la guerre ?

Si Donald Trump s'est dit confiant que le cessez-le-feu "tiendra", après les deux premiers qui n'avaient pu être pérénisés, un cadre du Hamas, Hossam Badran, a mis en garde samedi contre des pourparlers "difficiles" pour la deuxième phase du plan américain qui prévoit le désarmement à Gaza du mouvement islamiste.

"La deuxième phase des négociations nécessite des discussions plus complexes et ne sera pas aussi facile que la première phase", a déclaré à l'AFP M. Badran dont le mouvement n'assistera pas à la signature du cessez-le-feu attendue lundi en Egypte avec plusieurs chefs d'Etat dont MM. Trump et Macron.

"Nous espérons ne pas revenir (à la guerre), mais le peuple palestinien et les forces de la résistance vont certainement (...) utiliser toutes leurs capacités pour repousser l'agression si la bataille leur est imposée", a-t-il ajouté.

"La remise des armes proposée est hors de question et n'est pas négociable", a indiqué samedi à l'AFP un responsable du Hamas sous couvert de l'anonymat.

Dans le cadre du plan Trump, un premier déploiement de 200 soldats américains doit arriver en Israël pour contribuer à la surveillance du cessez-le-feu à Gaza.

Le nouveau chef du Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom), Brad Cooper, qui s'est rendu aussi samedi à Gaza, a soutenu qu'aucune troupe américaine ne serait déployée sur le territoire palestinien.

L'armée américaine doit plutôt coordonner une force opérationnelle multinationale qui se déploiera, elle, à Gaza.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

France: nouvelle étape dans la réhabilitation d'Alfred Dreyfus

Publié

le

Condamné au bagne, puis réhabilité, le capitaine Alfred Dreyfus (à la défense duquel Emile Zola avait consacré le fameux "J'Accuse") devient général de brigade à titre posthume à la suite d'une décision du parlement français. (© KEYSTONE/AP/LAURENT REBOURS)

La France a élevé jeudi Alfred Dreyfus au rang de général de brigade, une nouvelle étape dans la reconnaissance de ce qu'a subi ce capitaine juif condamné à tort en justice pour trahison en 1894 dans un pays où l'antisémitisme était très ancré.

Le Sénat français a adopté définitivement et à l'unanimité une loi de réhabilitation en ce sens, un texte de "réparation" et de "reconnaissance", malgré des réserves à droite et au centre.

"La Nation française élève, à titre posthume, Alfred Dreyfus au grade de général de brigade", dit ce texte voté à l'unanimité en juin à l'Assemblée nationale, la chambre basse du Parlement.

Cette loi "permet à la République de reconnaître son erreur, de reconnaître qu'un homme a été humilié", souligne le patron des sénateurs socialistes Patrick Kanner.

"L'Affaire Dreyfus" avait déchiré l'opinion française pendant plus d'une décennie sur fond d'antisémitisme et de conspiration politico-militaire.

Accusé à tort d'avoir fourni à l'Allemagne - alors ennemi juré de la France - des renseignements militaires, le capitaine fut condamné le 22 décembre 1894 à la déportation à perpétuité. Entre cette date et sa réhabilitation officielle le 12 juillet 1906, Alfred Dreyfus aura connu deux procès, l'emprisonnement et le bagne sur l'île du Diable en Guyane.

Après sa réhabilitation, Alfred Dreyfus, réintégré comme commandant, demanda à voir sa carrière revalorisée, sans obtenir gain de cause, et quitta l'armée en 1907, avant de servir à nouveau pendant la Première Guerre mondiale.

La loi adoptée jeudi est une nouvelle étape sur un très long chemin de réhabilitation, après l'instauration d'une journée nationale de commémoration pour la reconnaissance de son innocence, chaque 12 juillet, annoncée l'été dernier par Emmanuel Macron.

Crainte d'"instrumentalisation"

Le président français n'a toutefois pas accédé aux appels à transférer les restes de Dreyfus au Panthéon à Paris, monument funéraire où sont inhumés des grands personnages de l'histoire contemporaine.

Malgré le soutien très large qu'elle a rassemblé, la proposition de loi avait suscité des réserves sur certains bancs, dans un contexte de progression des actes antisémites sur le territoire.

Les députés MoDem avaient ainsi craint une "instrumentalisation" de l'affaire à des fins politiques.

Ces objections, très minoritaires, ont été partagées au Sénat dans les rangs des Républicains (droite) et des centristes.

Antisémitisme

Quelque 646 actes antisémites ont été enregistrés en France de janvier à juin 2025, soit 27,5% de moins que sur la même période en 2024 mais ces chiffres sont toujours nettement supérieurs (+112,5%) à ceux enregistrés de janvier à juin 2023, soit avant le 7 octobre.

Le président de la commission des Forces armées, Cédric Perrin, s'est notamment dit "profondément gêné" par "l'opportunité" que ce texte représente pour "certaines formations politiques de s'acheter 'à bon compte' une virginité de façade en matière d'antisémitisme", a-t-il indiqué à l'AFP.

Il n'a pas participé au vote jeudi mais avait annoncé vouloir s'abstenir.

Emmanuel Macron lui-même avait émis quelques doutes face à l'initiative, en juillet, estimant que "la promotion dans les grades militaires" procédait de "circonstances avérées du temps présent", et que seul le président de la République était le "garant de l'application de cette règle". Tout en concédant que le Parlement serait "souverain".

Les descendants d'Alfred Dreyfus ont accueilli de leur côté très positivement cette loi. "C'est une reconnaissance de la valeur du soldat qu'il était, dans la continuité des travaux qui l'ont réhabilité non pas comme victime passive, mais comme héros", a pointé son arrière-petit-fils Michel Dreyfus.

"C'est un hommage vertueux, nécessaire mais probablement pas suffisant", appuie Anne-Cécile Lévy, arrière-petite-fille d'Alfred Dreyfus, qui continue d'espérer "une panthéonisation, en reconnaissance de toutes les valeurs qu'il incarne".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

La Turquie veut contraindre Ferrero à acheter ses noisettes

Publié

le

L'Autorité turque de la concurrence a annoncé que "Ferrero devra acheter au moins 30'000 tonnes de noisettes en coque entre septembre et décembre 2025" aux producteurs turcs (archives). (© KEYSTONE/SIGI TISCHLER)

L'Autorité turque de la concurrence a ordonné jeudi au groupe italien Ferrero, qui produit entre autres la pâte à tartiner Nutella, d'acheter des noisettes turques en dépit de prix en très forte hausse cette année.

Ferrero se fournit traditionnellement en Turquie, premier exportateur mondial de noisettes, mais les prix y ont flambé après un épisode de gel tardif en avril puis un été très sec et anormalement chaud qui ont lourdement pesé sur les récoltes.

Selon des informations de presse, le géant italien envisageait de renoncer à s'approvisionner en Turquie cette année, les aléas climatiques ayant également affecté la qualité des noisettes.

L'Autorité turque a cependant annoncé jeudi dans un communiqué que "Ferrero devra acheter au moins 30'000 tonnes de noisettes en coque entre septembre et décembre 2025" aux producteurs turcs, qui accusent régulièrement le groupe italien de casser les prix.

Dans le cas contraire, des amendes journalières pourront être appliquées, précise-t-elle.

Interrogé par l'AFP, Ferrero n'a pas commenté cette annonce dans l'immédiat.

Selon l'Autorité turque de la concurrence, l'entreprise italienne est normalement soumise à une "obligation annuelle d'achat d'au moins 45'000 tonnes", ramenée à 30'000 tonnes cette année "compte tenu de la baisse des rendements et des problèmes de qualité constatés".

Cette obligation d'achat minimal fait suite à une enquête pour abus de position dominante contre Ferrero en Turquie, qui s'était conclue l'an passé par un accord entre l'Autorité de la concurrence turque et le groupe italien.

Un importateur européen de fruits secs s'exprimant sous couvert d'anonymat a affirmé à l'AFP que Ferrero avait engagé un bras de fer dès le début des récoltes en septembre avec les producteurs turcs, qui assurent d'après lui 95% des exportations vers l'Europe.

Selon cette source, les prix de la noisette blanchie turque ont doublé cette année sur le marché de gros européen, dépassant les 20 euros le kilo.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

International

USA: abandon de poursuites pénales contre Boeing

Publié

le

Une condamnation aurait pu mettre en péril la capacité de Boeing de signer des contrats avec le gouvernement fédéral américain (archives). (© KEYSTONE/AP/Elaine Thompson)

Un juge fédéral du Texas, chargé du volet pénal ouvert contre le groupe aéronautique américain Boeing à la suite des crashes du 737 MAX 8 en 2018 et en 2019, a ordonné jeudi l'abandon des poursuites.

Cette décision découle d'un accord conclu entre le ministère et l'avionneur, annoncé le 23 mai et visant à mettre fin aux poursuites lancées après ces accidents, qui ont fait, au total, 346 morts. L'entente entre les deux parties - un "non-prosecution agreement" (NPA), ou accord de non-poursuites - est intervenu alors qu'un procès devait commencer le 23 juin à Fort Worth (Texas) devant le juge Reed O'Connor.

Une condamnation aurait pu mettre en péril la capacité de Boeing de signer des contrats avec le gouvernement fédéral américain, un énorme client pour ses activités aérospatiales et de défense. Dans le cadre de cette transaction, Boeing reconnaît avoir cherché à "faire obstruction et à entraver" le travail du régulateur américain de l'aviation civile (FAA), selon un document versé au dossier en mai.

L'entreprise va également devoir décaisser 1,1 milliard de dollars, dont 444,5 millions pour alimenter un fonds d'indemnisation des proches de victimes, qui avait déjà été crédité en vertu d'un accord de poursuites différées conclu en 2021. Le solde consiste en une amende de 244 millions de dollars ainsi qu'une enveloppe de 455 millions dédiée au renforcement des programmes internes de sécurité, qualité et conformité de la société originaire de Seattle (Etat du Washington).

La procédure concerne les accidents de deux 737 MAX 8, l'un de la compagnie Lion Air en octobre 2018 et l'autre d'Ethiopian Airlines en mars 2019. Le gouvernement américain reprochait à Boeing de ne pas avoir communiqué à la FAA des aspects techniques du logiciel antidécrochage MCAS.

L'avionneur a accepté il y a plusieurs années déjà la responsabilité des deux accidents car "la conception du (logiciel) MCAS a contribué à ces événements". Plusieurs dizaines de plaintes civiles ont aussi été déposées aux Etats-Unis, et sont gérées par deux juges fédéraux distincts à Chicago (Illinois), où avait été installé le siège du groupe avant qu'il ne déménage à Arlington (Virginie).

Selon l'avionneur, plus de 90% des plaintes civiles liées aux deux crashes ont abouti à des ententes hors tribunal. Il précise avoir versé "plusieurs milliards de dollars", en plus des sommes allouées dans la procédure pénale. Le premier procès au civil, concernant une victime du crash d'Ethiopian Airlines, a ouvert lundi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

International

Climat: 2025 en passe d'être la 2e ou la 3e plus chaude

Publié

le

Autour du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, les chefs d'Etat de la planète se penchent sur le climat à Bélem. (© KEYSTONE/AP/Eraldo Peres)

L'année 2025 est en passe de devenir la 2e ou la 3e année la plus chaude jamais enregistrée, alors que des concentrations records de CO2 dans l'atmosphère alimentent le réchauffement climatique. Le rapport publié jeudi en prélude à la COP30 à Bélem donne le ton.

Les 11 dernières années (2015-2025) figurent d'ores et déjà chacune parmi les 11 années les plus chaudes sur les 176 années d'observation, avec les trois dernières années (2025, 2024 et 2023) qui ressortent comme les trois années les plus chaudes depuis les débuts des relevés, selon le rapport de l'OMM qui fait partie d'une série d'états des lieux du climat dressés par des agences onusiennes en perspective de la COP30.

"Cette période sans précédent de températures élevées, conjuguée à l'augmentation record des émissions de gaz à effet de serre l'an dernier, montre clairement qu'il sera pratiquement impossible de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C dans les prochaines années sans dépasser temporairement cet objectif.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg

Continuer la lecture

International

SOS Méditerranée lance une mission d'observation aérienne

Publié

le

SOS Méditerranée veut pouvoir davantage identifier les embarcations en détresse depuis les airs en raison du manque de collaboration des autorités (archives). (© KEYSTONE/EPA SOS MEDITERRANEE/GUGLIELMO MANGIAPANE)

SOS Méditerranée veut pouvoir davantage identifier les migrants en détresse dans les embarcations entre l'Afrique et l'Europe. L'ONG lance une mission d'observation aérienne avec l'organisation suisse Humanitarian Pilots Initiative (HPI).

Cette initiative doit permettre également de mieux documenter les violations du droit maritime et du droit humanitaire, a précisé jeudi l'institution à Genève. Ces dernières années, l'ONG a déploré à de nombreuses reprises l'attitude des autorités italiennes et d'autres pays qui rend plus difficiles les missions de sauvetage en mer. Entre fin août et mi-octobre, quatre fusillades contre des navires d'ONG ou des embarcations en détresse ont fait au moins deux victimes.

Une première phase de lancement de la mission d'observation aérienne sera suivie dès début 2026 par des vols réguliers. Depuis 2016, SOS Méditerranée a secouru près de 43'000 personnes.

Cette année, plus de 1000 individus sont décédés en tentant de rejoindre l'Europe par la Méditerranée centrale. Le chiffre est probablement plus élevé en l'absence de témoins pour documenter certains naufrages, ajoute encore l'organisation.

"Nos avions font la différence à chaque vol, en recueillant des preuves et en protégeant les personnes vulnérables contre les atteintes à leurs droits fondamentaux", fait remarquer le directeur général de HPI, Omar El Manfalouty. "C'est pour cela que nous volons", insiste-t-il, saluant ce nouveau partenariat avec SOS Méditerranée.

Les autorités italiennes alertaient dans plus de la moitié des cas les situations de détresse en 2016 et 2017. Ce chiffre est passé actuellement à moins de 1%, déplore une responsable de SOS Méditerranée. Les avions des ONG et des dispositifs civils sont devenus indispensables pour identifier les embarcations qui doivent être secourues, selon l'organisation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

CultureIl y a 1 heure

Dafi Kühne reçoit le premier "Prix Bataillard x mudac"

Le graphiste Dafi Kühne a reçu jeudi à Lausanne le premier "Prix Bataillard x mudac" de design graphique. Il est...

InternationalIl y a 2 heures

France: nouvelle étape dans la réhabilitation d'Alfred Dreyfus

La France a élevé jeudi Alfred Dreyfus au rang de général de brigade, une nouvelle...

InternationalIl y a 3 heures

La Turquie veut contraindre Ferrero à acheter ses noisettes

L'Autorité turque de la concurrence a ordonné jeudi au groupe italien Ferrero, qui produit entre...

SuisseIl y a 3 heures

COP30: la présence de Syngenta dans la délégation suisse est critiquée

La composition de la délégation suisse à la COP30 est sous le feu des critiques,...

InternationalIl y a 3 heures

USA: abandon de poursuites pénales contre Boeing

Un juge fédéral du Texas, chargé du volet pénal ouvert contre le groupe aéronautique américain...

GenèveIl y a 4 heures

[ITW] Bruit et patience pour les habitants rue de Carouge

Plus qu'un mois avant la reprise du tram à la rue de Carouge à Genève....

InternationalIl y a 4 heures

Climat: 2025 en passe d'être la 2e ou la 3e plus chaude

L'année 2025 est en passe de devenir la 2e ou la 3e année la plus...

Suisse RomandeIl y a 4 heures

Vaud veut renforcer le lien familles-école grâce au numérique

Le Canton de Vaud veut faciliter la relation entre les familles et ses écoles. Le...

CultureIl y a 4 heures

L'oeuvre du bédéiste Christiophe Blain au Cartoonmuseum de Bâle

Le Cartoonmuseum de Bâle présente une rétrospective du bédéiste français Christophe Blain. L'oeuvre de l'artiste...

InternationalIl y a 5 heures

SOS Méditerranée lance une mission d'observation aérienne

SOS Méditerranée veut pouvoir davantage identifier les migrants en détresse dans les embarcations entre l'Afrique...