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International

Les incendies s'étendent à Los Angeles, le bilan grimpe à 16 morts

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Un nouveau bilan des incendies à Los Angeles fait état de 16 morts. (© KEYSTONE/AP/John Locher)

Les multiples incendies qui font rage à Los Angeles depuis cinq jours ont fait au moins 16 morts, et se sont étendus samedi à des zones jusqu'à présent épargnées.

Assiégée par les flammes depuis mardi, la mégapole américaine continue de compter ses morts: le bilan, qui faisait jusqu'ici état de 11 victimes, s'est alourdi samedi soir.

"C'est juste bouleversant", a confié à l'AFP Dara Danton, une habitante depuis 25 ans du quartier huppé de Pacific Palisades, le premier à avoir pris feu mardi.

Elle fait partie des plus de 150'000 personnes forcées de fuir face aux flammes de la région.

Malgré les efforts de milliers de pompiers à pied d'oeuvre, le "Palisades Fire" s'est étendu samedi au nord-ouest de Los Angeles. Il menace désormais la vallée densément peuplée de San Fernando, mais aussi le musée Getty et ses oeuvres d'art inestimables.

Dans de nombreux quartiers ravagés par le feu, les maisons n'étaient plus que cendres et morceaux de métal noirci.

Les soldats du feu ont bénéficié d'une accalmie des vents ces trois derniers jours. Mais les rafales doivent de nouveau forcir ce week-end.

"Ces vents, combinés à un air sec et à une végétation sèche, maintiendront la menace d'incendie dans le comté de Los Angeles à un niveau élevé", a averti Anthony Marrone, le chef des pompiers du comté.

Critiques

La Cité des Anges rejoue des scènes qu'elle n'avait plus vécu depuis la pandémie. Ses bouchons légendaires ont disparu et les habitants qui s'aventurent dehors portent souvent des masques, pour se protéger de l'air vicié par les fumées toxiques.

Nombre d'entre eux commencent à questionner la gestion des autorités, notamment car les pompiers ont parfois dû composer avec des bouches d'incendie vides ou avec une faible pression.

"Notre ville nous a complètement laissé tomber", a estimé auprès de l'AFP Nicole Perri, une autre habitante de Pacific Palisades ayant perdu sa maison.

Très critiquée, la maire de Los Angeles, Karen Bass, a assuré samedi que ses services sont "tous sur la même longueur d'ondes". La veille, la cheffe des pompiers de la ville avait pointé le budget insuffisant alloué par la municipalité aux soldats du feu.

Le gouverneur démocrate de l'Etat le plus peuplé du pays, Gavin Newsom, a demandé vendredi "un examen indépendant complet" des services de distribution d'eau de la ville.

Donald Trump a lancé une nouvelle attaque contre les dirigeants de l'Etat de Californie dimanche. "Les incendies font toujours rage à Los Angeles. Les politiciens incompétents n'ont aucune idée de la manière de les éteindre", a déclaré le président élu américain dans un message publié sur sa plateforme Truth Social.

Des évacués font face à un casse-tête pour se reloger avec un bond vertigineux des tarifs des locations. Samedi, le procureur général de l'Etat, a rappelé que le gonflement artificiel des prix est un "crime passible d'un an de prison et de 10'000 dollars d'amende".

Couvre-feux et barrages

Face aux pillages dans les zones sinistrées ou évacuées, un strict couvre-feu, en vigueur entre 18H00 et 06H00 du matin a été décrété vendredi par les autorités dans les secteurs de Pacific Palisades et Altadena, les plus ravagés.

"Mon père est diabétique et il a besoin de l'insuline qu'on a laissé à la maison", a expliqué Jennifer Aguilera, les larmes aux yeux.

Deux personnes ont été arrêtées près de la maison de la vice-présidente Kamala Harris à Brentwood pour avoir violé l'ordre de couvre-feu, après que la police a reçu des rapports de cambriolage, selon les médias locaux.

Le feu a jusqu'ici détruit ou endommagés plus de "12'000" structures. Un chiffre qui inclut des bâtiments, mais aussi des voitures, ont précisé samedi les autorités.

La facture devrait se chiffrer en dizaines de milliards de dollars, et certains experts redoutent déjà que ces incendies soient les plus coûteux jamais enregistrés.

Chiens renifleurs

Des secouristes assistés de chiens renifleurs continuent d'inspecter les décombres à la recherche de corps ou de restes humains. Le bilan pourrait encore s'alourdir, selon les autorités.

L'enquête pour déterminer les causes de ces multiples incendies, à laquelle participe le FBI, est toujours en cours, a rappelé samedi le shérif du comté de Los Angeles, Robert Luna.

"Nous ne négligerons aucune piste", a-t-il assuré. "S'il s'agit d'un acte criminel - je ne dis pas que c'est le cas -, (...) nous devons mettre la main sur le ou les responsables."

Les vents chauds et secs de Santa Ana qui ont attisé ces incendies sont un classique des automnes et des hivers californiens. Mais ils ont atteint cette fois une intensité inédite depuis 2011, selon les météorologues, avec des rafales jusqu'à 160 km/h cette semaine.

De quoi propager les braises très rapidement, parfois sur des kilomètres. Un scénario cauchemardesque pour les pompiers, car la Californie sort de deux années très pluvieuses qui ont fait naître une végétation luxuriante, désormais asséchée par un manque de pluie criant depuis huit mois.

Les scientifiques rappellent régulièrement que le changement climatique augmente la fréquence des événements météorologiques extrêmes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Les USA arrêtent la coûteuse production de la pièce d'un centime

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Aucune nouvelle petite pièce d'un centime ne sera mise en circulation: les Etats-Unis mettent fin à une production vieille de 232 ans. (archives) (© KEYSTONE/AP/Matt Slocum)

Les Etats-Unis ont frappé mercredi pour la dernière fois un penny, cette pièce d'un centime de dollar coûtant plus cher à produire que sa valeur faciale.

Le service de la Monnaie a annoncé dans un communiqué qu'aucune nouvelle petite pièce d'un centime ne serait mise en circulation, mettant fin à une production vieille de 232 ans.

"Le penny joue depuis longtemps un rôle dans la vie quotidienne des Américains, des prémices du système économique jusqu'à aujourd'hui. Cependant, des facteurs économiques et industriels, combinés à l'évolution du comportement des consommateurs, ont rendu sa production non viable", relève cette administration.

"Au cours de la dernière décennie, le coût de production de chaque penny est passé de 1,42 centime à 3,69 centimes par penny", a-t-elle précisé.

"On estime à 300 milliards le nombre de pennies en circulation, ce qui dépasse largement la quantité nécessaire aux échanges", selon le communiqué.

Sus au gaspillage

Le président américain Donald Trump avait demandé en février d'arrêter de produire cette pièce, pour réduire les dépenses publiques.

"Eliminons le gaspillage du budget de notre grande nation, même si c'est un centime par un centime", avait-il lancé.

La Monnaie précise qu'elle compte frapper des pennies à l'avenir, mais uniquement comme pièces de collection.

D'autres pays ont déjà abandonné la production de leurs pièces d'un centime, comme le voisin canadien en 2012, là aussi pour des raisons de coût et de désuétude.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Vente record à Genève d'une broche de Napoléon

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La broche faisait partie des effets personnels que l'empereur avait dû abandonner dans sa fuite dans la plaine de Waterloo. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Une broche ornée de diamants ayant appartenu à Napoléon Bonaparte et récupérée par l'armée prussienne à Waterloo a été vendue mercredi au prix record de 3,79 millions d'euros à Genève, a annoncé la maison de vente Sotheby's.

Le prix de vente de ce bijou historique, l'une des pièces les plus en vue de cette semaine du luxe sur les bords du Léman, a très largement dépassé les attentes de Sotheby's, qui l'avait estimé entre 130'000 et 220'0 euros.

La broche faisait partie des effets personnels que l'empereur avait dû abandonner dans sa fuite dans la plaine de Waterloo (près de Bruxelles, dans l'actuelle Belgique) face aux soldats britanniques et prussiens à l'issue de la célèbre bataille qui scella sa chute.

Le bijou circulaire, d'environ 45 mm de diamètre, présente en son centre un grand diamant ovale de 13,04 carats, entouré de près d'une centaine de diamants anciens taillés à la mine, de formes et de tailles variées, disposés sur deux rangées concentriques.

Pour orner le bicorne

Cette pièce unique fut créée pour Napoléon vers 1810, "probablement pour orner son bicorne lors d'occasions spéciales", précise la maison de vente. Elle fut ensuite offerte parmi d'autres objets au roi de Prusse Frédéric-Guillaume III comme trophée de guerre le 21 juin 1815, trois jours seulement après la bataille de Waterloo.

Autre pièce maîtresse des ventes Sotheby's, "The Glowing Rose" ou "Rose éclatante", un diamant rose vif de 10,08 carats estimé à environ 20 millions de dollars, a finalement été retiré des ventes mercredi soir. Sollicité par l'AFP, Sotheby's n'était pas immédiatement disponible pour fournir des explications sur ce retrait.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

France: "suspension" de la réforme impopulaire des retraites

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L'Assemblée nationale française a suspendu mercredi la réforme des retraites, qui porte progressivement de 62 à 64 ans l'âge légal de départ. Elle avait suscité une vaste mobilisation dans la rue. (archives) (© KEYSTONE/APA/APA/ESTHER HUBER)

L'Assemblée nationale a largement approuvé mercredi la "suspension" de la réforme impopulaire des retraites de 2023 en France, emblématique du deuxième mandat du président Emmanuel Macron.

Le chemin sera de toute façon encore long pour entériner cette suspension, qui sera accueillie en terrain hostile au Sénat, dominée par la droite, à partir de samedi en commission, et du 19 novembre dans l'hémicycle.

Cette réforme, qui porte progressivement de 62 à 64 ans l'âge légal de départ, avait suscité une vaste mobilisation dans la rue, avant d'être adoptée aux forceps et de devenir un point de fixation pour les oppositions.

La France a actuellement le déficit public le plus élevé de la zone euro, la dette publique la plus importante en masse à près de 3500 milliards d'euros, et la troisième de la zone en pourcentage du PIB (derrière la Grèce et l'Italie).

Face à la menace d'une censure avant même l'ouverture des débats budgétaires, le Premier ministre Sébastien Lecornu, proche d'Emmanuel Macron, avait promis sa suspension pour amener les socialistes à la table des négociations.

"Simple décalage"

La suspension a été approuvée par 255 voix contre 146, avec le soutien majoritaire des socialistes, des écologistes, du Rassemblement national (extrême droite). Mais aussi l'abstention majoritaire des députés Renaissance (parti présidentiel).

La France insoumise (gauche radicale) et les communistes ont voté contre, dénonçant un simple "décalage" de l'application de la réforme.

L'article suspend jusqu'à janvier 2028 la marche en avant vers les 64 ans, tout comme le relèvement du nombre de trimestres à cotiser.

La génération née en 1964 partirait à 62 ans et 9 mois (comme la précédente) au lieu des 63 ans prévus par la réforme. Et partirait avec 170 trimestres cotisés au lieu de 171.

Le gouvernement a aussi étendu par amendement le périmètre, pour inclure notamment les carrières longues. La concession ferait passer le coût estimé à 300 millions d'euros en 2026 et 1,9 milliard en 2027, selon l'exécutif.

Et son financement continue de diviser, alors que plusieurs mesures d'économies sur une Sécurité sociale en lourd déficit sont inflammables (doublement des franchises médicales, gel des pensions de retraite et des minima sociaux, etc...).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'affaire Esptein encore relancée, Trump sur la défensive

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Cette installation artistique montre Donald Trump et Jeffrey Epstein main dans la main (archives). (© KEYSTONE/FR159526 AP/JOSE LUIS MAGANA)

Donald Trump "savait à propos des filles", du moins c'est ce qu'affirme un email attribué au délinquant sexuel américain Jeffrey Epstein, dont la publication mercredi a mis le président américain sur la défensive.

Ce courrier électronique écrit en 2019, année de la mort en prison du riche financier new-yorkais, a été rendu public par des parlementaires démocrates.

Donald Trump, qui a un temps fréquenté Jeffrey Epstein, a accusé l'opposition de promouvoir une "supercherie", mais a aussi lancé un avertissement à l'attention des quelques républicains qui réclament plus de transparence du gouvernement dans ce dossier.

L'opposition ferait "n'importe quoi pour détourner l'attention des erreurs (qu'elle a faites) sur la paralysie budgétaire", a écrit le président américain sur son réseau Truth Social.

"Seul un républicain très mauvais ou stupide tomberait dans ce piège", a-t-il averti, alors qu'un vote pourrait avoir lieu bientôt au Congrès pour forcer le gouvernement à publier les documents en sa possession sur Jeffrey Epstein.

Selon la presse américaine, l'exécutif tenterait de faire pression en particulier sur une élue de droite radicale, Lauren Boebert, qui a signé une pétition visant à forcer un tel vote.

"Ces emails ne prouvent rien si ce n'est que le président Trump n'a absolument rien fait de mal", a assuré sa porte-parole, Karoline Leavitt, pendant une conférence de presse.

"Bien sûr, il savait"

"Trump a dit qu'il voulait que je renonce" à la carte de membre de Mar-a-Lago, la résidence de Floride du président américain, affirme Jeffrey Epstein dans cet email envoyé au journaliste et auteur Michael Wolff. Il précise n'avoir jamais été membre de ce club et ajoute: "Bien sûr, il savait à propos des filles, comme il a demandé à Ghislaine d'arrêter".

Ghislaine Maxwell, complice et ancienne compagne de Jeffrey Epstein, purge actuellement une peine de 20 ans de prison pour exploitation sexuelle.

Les membres démocrates de l'influente commission de surveillance à la Chambre des représentants ont également publié sur X un autre email, daté de 2011, dans lequel Jeffrey Epstein écrit supposément à Ghislaine Maxwell que Donald Trump "a passé plusieurs heures" avec une victime du financier au domicile de ce dernier.

Dans un communiqué dont l'AFP a obtenu une copie, Karoline Leavitt identifie cette victime comme étant Virginia Giuffre, qui a mis fin à ses jours en avril à l'âge de 41 ans et dont les mémoires posthumes racontent des agressions subies alors qu'elle était sous la coupe de Jeffrey Epstein.

Virginia Giuffre "a dit à plusieurs reprises que le président Trump n'avait rien fait de mal et qu'il +n'aurait pas pu être plus amical+ dans les interactions limitées qu'ils ont eues", souligne la porte-parole.

Jeffrey Epstein avait été retrouvé mort en 2019 dans sa cellule, d'un suicide selon les autorités, avant son procès pour crimes sexuels.

Le président américain a toujours démenti avoir eu connaissance du comportement criminel de celui dont il fut proche avant de se brouiller avec lui dans les années 2000.

"Graves questions"

Ces emails, obtenus par le biais des légataires du financier, "soulèvent de graves questions sur Donald Trump et sur ce qu'il connaissait des crimes horribles d'Epstein", affirment les élus démocrates à l'origine de leur publication.

La puissante commission dont ils sont membres enquête sur la manière dont l'Etat fédéral a conduit les investigations et les poursuites contre Jeffrey Epstein.

Leurs homologues républicains ont fustigé sur X la publication des emails mercredi, accusant l'opposition de vouloir "générer des clics" avec des documents choisis arbitrairement.

Ils ont en parallèle annoncé publier "20'000 pages de documents supplémentaires" reçus des légataires de Jeffrey Epstein.

L'affaire enflamme les Etats-Unis depuis que le gouvernement de Donald Trump a annoncé début juillet n'avoir découvert aucun élément nouveau justifiant la publication de documents supplémentaires dans ce dossier.

La mort de Jeffrey Epstein a alimenté d'innombrables théories du complot, selon lesquelles il aurait été assassiné pour l'empêcher d'impliquer des personnalités de premier plan.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

L'Algérie accepte de gracier l'écrivain Boualem Sansal

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Boualem Sansal avait été condamné à cinq ans de prison pour "atteinte à l'unité nationale" après avoir déclaré que l'Algérie avait hérité sous la colonisation française de régions de l'ouest algérien comme Oran et Mascara, appartenant précédemment, selon lui, au Maroc (archives). (© KEYSTONE/EPA/ARNE DEDERT)

L'Algérie a accepté une demande de l'Allemagne de gracier et transférer l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, emprisonné depuis un an, dans ce pays pour qu'il puisse y être soigné, a indiqué un communiqué de la présidence algérienne mercredi.

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune "a répondu favorablement" à une demande de son homologue Frank-Walter Steinmeier, "concernant l'octroi d'une grâce en faveur de Boualem Sansal", selon le communiqué officiel. "Le président a réagi à cette demande, qui a retenu son attention en raison de sa nature et de ses motifs humanitaires", selon le communiqué.

M. Steinmeier avait demandé que Boualem Sansal, condamné en appel en juillet à cinq ans de réclusion, soit gracié et bénéficie de soins médicaux en Allemagne "compte tenu de son âge avancé (...) et de son état de santé fragile".

Le premier ministre français Sébastien Lecornu a exprimé son "soulagement". Il a souhaité que l'écrivain "puisse rejoindre ses proches au plus vite" et "être soigné".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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