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Caracas dénonce des "mensonges" de Washington

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Les Etats-Unis ont déployé dans les Caraïbes le plus grand porte-avions du monde, l'USS Gerald R.Ford. (archives) (© KEYSTONE/AP/John Clark)

Le Venezuela a qualifié lundi la désignation par Washington du Cartel des Soleils comme organisation terroriste de "nouveau et ridicule mensonge" visant à justifier une intervention militaire "illégitime", en pleine crise entre les deux pays.

Les Etats-Unis ont déployé dans les Caraïbes le plus grand porte-avions du monde, accompagné d'une flottille de navires de guerre officiellement pour des opérations antidrogue, visant particulièrement le Venezuela.

Lundi, ils ont annoncé la visite du chef d'état-major américain, le général Dan Caine, à Trinité-et-Tobago, petit archipel anglophone situé à une dizaine de kilomètres des côtes vénézuéliennes qui a accueilli ces dernières semaines des exercices avec des Marines et un bateau de guerre.

"La visite sera axée" notamment sur "la lutte contre le trafic illicite et les organisations criminelles transnationales", selon le texte de l'ambassade américaine qui précise que le général rencontrera mardi la Première ministre trinidadienne Kamla Persad-Bissessar.

Les Etats-Unis ont procédé à une vingtaine de frappes aériennes contre des bateaux de narcotrafiquants présumes, tuant au moins 83 personnes.

Le "Cartel de los Soles" est une organisation dont l'existence reste à démontrer, selon de nombreux experts, qui évoquent plutôt des réseaux de corruption permissifs envers les activités illicites.

"Le Venezuela rejette de manière catégorique, ferme et absolue le nouveau et ridicule mensonge du Secrétaire du Département d'Etat, Marco Rubio, qui désigne comme organisation terroriste le prétendu Cartel des Soleils (...) pour justifier une intervention illégitime et illégale contre le Venezuela", selon le communiqué du ministère des Affaires étrangères.

Les dirigeants vénézuéliens affirment régulièrement que le déploiement américain est un prétexte pour renverser le président Nicolas Maduro et s'emparer des réserves pétrolières du pays.

Le cartel des Soleils "est une invention de l'extrême droite pour renverser des gouvernements qui ne leur obéissent pas", avait récemment écrit le président colombien de gauche Gustavo Petro, plus proche de Nicolas Maduro que de Donald Trump.

"Chaque jour, ils inventent une 'connerie' différente (...) pour pointer du doigt le Venezuela et ainsi justifier ce qu'ils veulent", a déclaré lundi lors d'une conférence de presse le ministre de l'Intérieur, Diosdado Cabello, sans mentionner la nouvelle mesure de Washington.

M. Cabello a annoncé une "grande" mobilisation mardi en faveur de la "souveraineté" et de l'"indépendance".

Washington accuse M. Maduro d'être à la tête de ce cartel et offre 50 millions de dollars pour sa capture.

"Exercer des pressions"

M. Rubio avait demandé le 16 novembre le classement du cartel comme "organisation terroriste étrangère" (FTO). Il a été officialisé lundi avec sa publication dans le Journal officiel américain. Ce classement comprend des groupes islamistes, séparatistes ou guérillas et, plus récemment, des gangs.

"Le Cartel des soleils est maintenant une organisation terroriste. Ridicules, ils sont ridicules. Ils se répètent. C'est pourquoi ils vont d'échec en échec", a lancé la vice-présidente Delcy Rodriguez.

"S'ils voulaient vraiment combattre le narcotrafic, ils devraient aller en Équateur (...) Le Venezuela n'est ni producteur, ni trafiquant. Mais bon, ils ont choisi d'encercler le Venezuela. Ils ont envoyé des destroyers, (...) cherchant une provocation et une escalade", a-t-elle ajouté.

Washington souffle le chaud et le froid sur la possibilité de frappes sur le territoire vénézuélien.

Donald Trump a autorisé des actions clandestines de la CIA au Venezuela et rappelé qu'il n'excluait pas une intervention militaire tout en assurant qu'il allait parler avec son homologue vénézuélien.

La désignation sur la liste des FTO ne mentionne pas une intervention militaire mais "cela ouvre un éventail de possibilités, tant militaires que de sanctions, à l'administration Trump pour continuer à exercer des pressions", a expliqué à l'AFP Juan Manuel Trak, universitaire au Mexique. Selon lui, "cette augmentation de pression génère la perception qu'une sorte d'attaque est presque imminente".

Plusieurs compagnies aériennes ont annulé leurs liaisons avec le Venezuela, après que les Etats-Unis ont averti l'aviation civile d'une "augmentation de l'activité militaire" dans le cadre de leur déploiement de forces.

Les Etats-Unis interdisent de fournir "un soutien matériel ou des ressources" à toute organisation figurant sur la liste FTO.

Le Venezuela fait déjà l'objet de sanctions américaines depuis 2019, avec notamment un embargo pétrolier qui oblige Caracas à vendre son pétrole au noir avec des rabais.

Certains économistes estiment que cette nouvelle mesure pourrait encore asphyxier davantage une économie déjà très fragile avec une grande partie de la population vivant dans la pauvreté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le Grec Pierrakakis élu président de l'Eurogroupe

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Le ministre grec des finances Kyriakos Pierrakakis est le nouveau président de l'Eurogroupe. (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Le ministre grec des finances Kyriakos Pierrakakis a été élu jeudi président de l'Eurogroupe, le cercle des 20 grands argentiers des pays qui partagent l'euro, aux dépens du ministre belge du budget Vincent Van Peteghem.

Le Grec de 42 ans succède à l'Irlandais Paschal Donohoe, qui avait démissionné en novembre pour rejoindre la Banque Mondiale. Il est ministre des Finances depuis mars, après avoir piloté la transformation de l'administration grecque depuis 2019 en tant que ministre de la Gouvernance numérique, puis de l'Éducation.

Dans sa candidature, il avait mis en avant "le pouvoir de la résilience" dont sa génération a fait preuve, après la tourmente des années 2010, lorsque la crise de la dette grecque a failli provoquer l'implosion de la zone euro. Une "crise existentielle" qui a démontré selon lui "le coût de la complaisance, la nécessité des réformes et l'importance de la solidarité européenne".

"La Grèce a parcouru un si long chemin au cours des 10 dernières années", a souligné le président du Conseil européen, Antonio Costa.

Kyriakos Pierrakakis et Vincent Van Peteghem, tous deux membres de partis de droite, s'étaient lancés après la démission surprise de l'Irlandais Paschal Donohoe, qui exerçait la fonction depuis 2020 et avait été réélu il y a quelques mois seulement.

Stature internationale

Cette instance, créée en 1997, coordonne les politiques économiques et budgétaires des 20 pays de la zone euro, bientôt au nombre de 21, la Bulgarie s'apprêtant à adopter la monnaie unique le 1er janvier prochain.

Le président de l'Eurogroupe est chargé de préparer les réunions mensuelles des ministres des Finances de la zone euro et la représente dans différents organismes internationaux (FMI, Banque mondiale, G7 Finances...), ce qui lui procure une stature internationale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / belga / afp

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International

OpenAI va pouvoir utiliser les personnages de Disney

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Les utilisateurs de Sora, plateforme de vidéos d'OpenAI, pourront désormais créer des vidéos en puisant dans un catalogue de plus de 200 personnages des univers Disney, Marvel, Pixar et Star Wars (archives). (© KEYSTONE/AP/Michael Dwyer)

OpenAI et Disney ont annoncé jeudi avoir conclu un accord qui va permettre l'utilisation des personnages du groupe sur Sora, la plateforme de vidéo créées par intelligence artificielle (IA) générative, un signal fort pour l'écosystème des contenus IA.

Dans le cadre de ce partenariat, Disney va prendre une participation au capital d'OpenAI à hauteur d'un milliard de dollars et recevoir des produits financiers dérivés (warrants) lui permettant d'acquérir, ultérieurement, davantage d'actions du créateur de ChatGPT.

Lancé fin septembre, Sora se veut être un réseau social sur lequel il n'est possible de publier que des vidéos générées par IA.

La plateforme s'appuie sur le modèle vidéo d'IA générative d'OpenaAI, Sora 2, successeur de Sora, dont le nom générique a été repris pour cette application.

Dès les premières heures, Sora a été notamment nourri de contenus reprenant, sans autorisation, des marques, l'image de personnalités, ainsi que des univers graphiques inspirés de programmes existants, dessins animés, films ou séries.

De nombreuses vidéos incluaient ainsi des personnages directement inspirés de ceux du studio Pixar, filiale de Disney, ainsi que de plusieurs dessins animés propriété du géant du divertissement, comme "Family Guy".

Quelques jours après, Sam Altman avait indiqué qu'OpenAI entendait offrir davantage de contrôle aux ayants droit quant à l'utilisation d'éléments théoriquement protégés par la propriété intellectuelle.

Personnages de Disney, Marvel, Pixar et Star Wars

La collaboration dévoilée jeudi prévoit que les utilisateurs de Sora pourront désormais créer des vidéos en puisant dans un catalogue de plus de 200 personnages des univers Disney, Marvel, Pixar et Star Wars, selon un communiqué conjoint.

Il ne s'agit cependant que de personnages animés, masqués ou de créatures, mais pas de vrais acteurs à visage humain.

Le rapprochement entre les deux groupes va au-delà de Sora, car Disney va devenir un "client majeur" d'OpenAI.

L'entreprise de Burbank (Californie) va ainsi donner accès à ChatGPT à ses employés et utiliser les modèles d'IA d'OpenAI pour "créer de nouveaux produits, outils et expériences".

Le développement rapide de l'IA "est un moment important pour notre industrie", a déclaré le directeur général de Disney, Bob Iger, cité dans le communiqué.

Le partenariat avec OpenAI va offrir au groupe des "débouchés plus vastes à travers l'IA générative", a-t-il ajouté, "tout en respectant et en protégeant les créateurs et leur travail."

Pour Sam Altman, également cité dans le communiqué, cet accord "montre que les entreprises d'IA et les éditeurs de contenu peuvent travailler ensemble de manière responsable pour promouvoir l'innovation".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

"Scorpions" fêtent leur 60 ans avec un album live

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Le groupe Scorpions à la WiZink Center arena à Madrid en Espagne le 16 juillet 2024 (EPA/Mariscal)

Avec un concert spectaculaire dans un stade de Hanovre, le groupe de hard rock allemand "Scorpions" a célébré en juillet ses 60 ans. Les musiciens, dirigés par le chanteur Klaus Meine, présentent désormais cet événement sous le titre "Coming Home Live" en double vinyle et double CD.

L'enregistrement rassemble des ballades comme "Still Loving You", des tubes comme "Rock You Like A Hurricane" et des succès mondiaux tels que "Wind of Change". Le chanteur Klaus Meine a dit à l’agence de presse allemande DPA que l'impact mondial de l’hymne de la paix avec son intro sifflée le remplissait non seulement de joie, mais aussi d’humilité. "L'espoir qu'avec la chute du Rideau de fer, un monde de paix durable verrait le jour ne s'est malheureusement pas réalisé. Mais le désir d'une coexistence pacifique est plus fort que jamais - et unit les gens à travers le monde."

Dans "Coming Home Live", les musiciens naviguent avec plaisir à travers 60 ans d’histoire du groupe. Le guitariste Rudolf Schenker se présente, comme à son habitude, comme un moteur et une source d’énergie. Le cofondateur du groupe façonne avec le guitariste Matthias Jabs le son typique des "Scorpions". Le batteur Mikkey Dee et le bassiste Paweł Maciwoda assurent le groove en arrière-plan. Et bien sûr, il y a la voix charismatique de Klaus Meine.

Une "famille Rock'n'Roll"

En 60 ans, il y a eu des défis, raconte le chanteur. "En 1981, quand les Scorpions ont connu leurs premiers succès mondiaux, j'ai dû subir deux opérations des cordes vocales." Comme la guérison était incertaine, il avait conseillé au groupe de chercher un nouveau chanteur. "Mais Rudolf a décidé d’attendre. Cela a été pour moi la preuve que nous sommes vraiment une famille du Rock'n'Roll - et cela, jusqu'à aujourd'hui. Je n'oublierai jamais cela."

"Coming Home Live" est donc une rétrospective à travers le catalogue de titres du groupe, et aussi un document de l’histoire de la musique allemande. Les "Scorpions" ont vendu plus de 120 millions de disques et ont donné plus de 5000 concerts à travers le monde. Cependant, il a fallu plus de temps en Allemagne, par rapport aux États-Unis, pour obtenir une reconnaissance de masse.

"Les artistes sont souvent jugés plus sévèrement dans leur propre pays, alors qu'ils sont célébrés à l'étranger", explique Klaus Meine. Il trouve "presque incroyable" d’avoir joué devant des dizaines de milliers de fans à Los Angeles ou à Rio de Janeiro, pour ensuite revenir à la vie "normale" à Hanovre. Mais surtout pendant l'année de leur anniversaire, le groupe est considéré comme une légende dans les médias allemands. "Vivre cela dans son propre pays, c'est vraiment très agréable", conclut Klaus Meine.

"Coming Home Live" des Scorpions vient de sortir chez Universal/Vertigo début décembre.

Avec Keystone-ATS

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Economie

Fonds propres: la BCE ouvre la voie à une simplification du cadre

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Une recommandation du rapport de la BCE vise à réduire le nombre de "coussins de capital" des banques, conçus pour faire face à divers chocs potentiels, dans l'immobilier ou par le biais de placements financiers volatils (archives). (© KEYSTONE/DPA/BORIS ROESSLER)

La Banque centrale européenne (BCE) a présenté jeudi ses propositions pour simplifier les règles de fonds propres bancaires et éviter des lourdeurs inutiles. L'institut de Francfort a écarté toute volonté d'affaiblir la solidité du secteur.

Ces propositions ont émané d'un groupe de travail piloté par Luis de Guindos, vice-président de la BCE, en réponse aux inquiétudes des banques européennes sur leur compétitivité face à leurs concurrentes américaines, en s'estimant freinées par une réglementation plus complexe. Après la crise financière de 2008, les banques ont dû renforcer leurs réserves de capital pour mieux couvrir leurs engagements risqués et résister aux chocs économiques.

Depuis 2014, la BCE supervise directement plus d'une centaine de grandes banques, dont Deutsche Bank, BNP Paribas et UniCredit, et peut leur imposer des coussins de capital supplémentaires selon leur profil de risque. À l'inverse, aux États-Unis et au Royaume-Uni, les régulateurs avancent désormais vers un assouplissement de certaines règles.

Les banques européennes souhaiteraient libérer du capital pour distribuer du crédit et mieux rémunérer leurs actionnaires. Elles ont reçu récemment le soutien du chancelier allemand Friedrich Merz, qui juge la réglementation européenne "trop rigoureuse". "C'est un mythe", a rétorqué Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, assurant que "les exigences actuelles ont renforcé, plutôt qu'affaibli, la compétitivité des banques européennes".

Réduire le nombre de coussins de capitaux

Une recommandation phare du rapport vise à réduire le nombre de "coussins de capital" des banques, conçus pour faire face à divers chocs potentiels, dans l'immobilier ou par le biais de placements financiers volatils. "Nous avons plus de dix coussins différents", il s'agit "de passer à deux", a expliqué le banquier central lors d'une conférence téléphonique.

Un coussin dit "libérable" pourrait être utilisé en période de stress, afin d'absorber des pertes sans risquer une faillite. Le second coussin dit "non libérable" remplirait à tout moment les minimas réglementaires et les autorités pourraient le réduire pendant les périodes défavorables.

La BCE propose aussi de renforcer la capacité de certaines obligations bancaires à absorber les pertes, soit les obligations dites "AT1", très surveillées depuis l'effondrement de Credit Suisse en 2023. Lors du rachat de cette banque par sa rivale suisse UBS, la valeur de ces obligations a été réduite à zéro, suscitant la colère de leurs détenteurs.

Une autre recommandation porte sur un régime "dédié, prudent et sensiblement plus simple" pour les petites banques, au nom du principe de "proportionnalité" et en s'inspirant des modèles américain, britannique ou suisse. L'Allemagne y était favorable, compte tenu de son paysage bancaire fragmenté.

Le groupe de travail propose également de simplifier le "test de résistance" bancaire face à divers scénarios défavorables. Mené à l'échelle de l'UE, il doit suivre une méthodologie plus simple et ses résultats doivent davantage servir aux banques visées. Pour la somme de données à fournir régulièrement par les banques à diverses autorités européennes, celles-ci devront les partager entre elles plus largement, pour alléger le fardeau bureaucratique des banques.

La Commission européenne, destinataire de ce lot de recommandations, devra décider si elle les traduit en propositions législatives, en concertation avec le Parlement et le Conseil. Le chantier devrait s'ouvrir l'an prochain. La BCE s'est fixée au long de cet exercice long de près de sept mois des "lignes rouges", a rappelé M. de Guindos.

Les efforts de simplification visent à "préserver la résilience des banques", entendant par là "le niveau de capital des établissements", pour ne pas faire rimer simplification avec dérégulation. Les responsables de la zone euro veulent éviter une dérégulation excessive comme celle des années 1990-2000, qui a conduit à plusieurs crises avant le crash de 2008.

La crise des banques régionales américaines en 2023, attribuée à une supervision insuffisante, constitue pour eux un rappel des risques d'un assouplissement trop large.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Pas de lien entre les vaccins et l'autisme, selon l'OMS

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Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus insiste sur le caractère "indispensable" des vaccins contrairement à l'administration américaine. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le comité de l'OMS sur la sécurité des vaccins conclut qu'il n'y a pas de lien entre vaccins et autisme, contrairement à l'administration de Donald Trump. "Les vaccins sont indispensables", a affirmé jeudi le directeur de l'institution Tedros Adhanom Ghebreyesus.

Le rapport publié le même jour compile les conclusions de 31 études. "Toutes arrivent à la conclusion" de l'absence d'un lien de causalité, a dit le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) aux correspondants accrédités à l'ONU à Genève (ACANU)

"L'autisme n'est pas un effet collatéral des vaccins", a-t-il insisté. Il déplore qu'une étude en 1998 ait abouti à une conclusion différente, avant d'être considérée comme "frauduleuse" et retirée.

Sous l'impulsion du secrétaire à la santé Robert Kennedy Jr, les Etats-Unis ont récemment recommandé de ne pas recourir à certains vaccins parce qu'ils provoquent, selon eux, l'autisme.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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