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Des dizaines de milliers de Palestiniens fuient le sud de Gaza

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Dans le sud de la bande de Gaza, des dizaines de milliers de Palestiniens ont quitté depuis lundi des secteurs de l'est de Rafah et de Khan Younès, contraintes de repartir en quête d'eau, de nourriture et d'abris par des températures proches de 30 degrés. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Des dizaines de milliers de Palestiniens ont fui le sud de la bande de Gaza après un ordre d'évacuation d'Israël qui fait craindre une nouvelle offensive dans cette partie du territoire palestinien. Ce dernier était soumis mercredi à de nouveaux bombardements.

Sur le front nord d'Israël, le Hezbollah libanais a affirmé avoir tiré "100 roquettes" sur des positions militaires israéliennes en riposte à la mort d'un de ses commandants tué dans un raid israélien dans le sud du Liban, sur fond de craintes d'une guerre à grande échelle entre les deux camps.

Alors que les discussions en vue d'un cessez-le-feu à Gaza sont bloquées, le Hamas a affirmé avoir envoyé aux médiateurs de nouvelles "idées" pour mettre fin à la guerre. Israël a dit "évaluer" des "commentaires" du mouvement islamiste palestinien avant de donner sa réponse aux médiateurs -Egypte, Qatar, Etats-Unis.

"Une campagne longue"

Mais mardi, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a de nouveau réaffirmé que la guerre ne s'achèverait qu'une fois "atteints" ses objectifs: "la destruction du Hamas et la libération de tous les otages" enlevés le 7 octobre lors de l'attaque du Hamas contre Israël.

Il s'agit "d'une campagne longue", a reconnu le chef d'état-major, le général Herzi Halevi, en allusion à l'offensive dévastatrice lancée par Israël dans le petit territoire palestinien surpeuplé.

Fuite dans les ruines sous 30 degrés

Dans le sud de la bande de Gaza, des dizaines de milliers de Palestiniens ont quitté depuis lundi des secteurs de l'est de Rafah et de Khan Younès, contraintes de repartir en quête d'eau, de nourriture et d'abris.

Par des températures proches de 30 degrés, ils ont fui à pied, à bord de véhicules ou entassés sur des remorques surchargées, au milieu des ruines poussiéreuses de Khan Younès, la plus grande ville du sud de Gaza d'où l'armée s'était retirée début avril après une bataille de plusieurs mois.

"Nous ne savons pas où aller"

"Nous sommes partis mais nous ne savons pas où aller. C'est très dur, il fait très chaud et nous avons des enfants avec nous", déclare Oum Malek Al-Najjar, qui a quitté l'est de Khan Younés. Environ 250'000 personnes, selon l'ONU, sont visées par l'ordre d'évacuation intimé lundi par l'armée.

Cet appel qui concerne un territoire de 117 kilomètres carrés, soit un tiers du territoire palestinien, est "le plus important depuis octobre, quand les habitants du nord de Gaza avaient reçu l'ordre d'évacuer" aux premiers jours de la guerre, a souligné l'ONU.

"Sans abri, sans eau"

Abdallah Mouhareb, un habitant de Khan Younès âgé de 25 ans, raconte avoir été déplacé plusieurs fois. Il vient de quitter de nouveau la ville avec sa famille sans savoir où aller.

"Nous avons dormi dans la rue sans abri, sans nourriture, sans eau. Il y avait des bombardements autour de nous", a-t-il dit alors que l'ONU souligne qu'aucun lieu n'est sûr dans le territoire palestinien assiégé par Israël.

Reprise des combats au nord

Israël n'a pas indiqué s'il y aurait une nouvelle opération d'envergure dans le sud, mais ses ordres d'évacuation sont généralement un préambule à des offensives.

Après avoir progressé depuis le nord, appelant à évacuer les zones qu'elle visait, l'armée a lancé le 7 mai une opération terrestre dans la ville de Rafah, alors présentée comme le dernier grand bastion du Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007.

Mais ces dernières semaines, les combats ont repris dans plusieurs régions du nord que l'armée avait dit contrôler.

Le 27 juin, elle a lancé une opération terrestre à Choujaïya, un quartier est de Gaza-ville, entraînant le déplacement selon l'ONU de 60'000 à 80'000 personnes. L'armée a dit poursuivre ses opérations "contre des sites terroristes" à Choujaïya, ainsi qu'à Rafah et dans le centre de Gaza.

"Nous avons fui Choujaïya il y a cinq jours après avoir été réveillés par le bruit des chars", raconte Oum Bashar al-Jamal, 42 ans, qui a trouvé refuge dans un stade de Gaza-Ville. "Nos maisons ont été rasées."

Près de 38'000 morts

L'offensive israélienne à Gaza a fait jusqu'à présent 37'953 morts, en majorité des civils, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza, dirigé par le Hamas.

La guerre a provoqué un désastre humanitaire dans Gaza, où l'eau et la nourriture manquent, où l'aide arrive en quantité insuffisante et où 1,9 million d'habitants, soit 80% de la population, sont à présent déplacés selon l'ONU.

"Les civils palestiniens de Gaza sont plongés dans un abîme de souffrance. Leur vie est brisée", a dit la coordinatrice humanitaire de l'ONU pour le territoire, Sigrid Kaag.

A la frontière israélo-libanaise, les violences entre le Hezbollah, un allié du Hamas, et l'armée israélienne se sont intensifiées. L'armée israélienne a confirmé avoir tué un chef militaire du Hezbollah. En riposte, le Hezbollah a tiré des roquettes sur des positions militaires israéliennes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Dix morts dans la fusillade sur la plage de Bondi à Sydney

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Alerte Info (© )

Dix personnes ont été tuées dimanche à Sydney, en Australie, lors d'une fusillade sur la célèbre plage de Bondi, a déclaré la police à l'AFP.

Selon la chaîne nationale australienne ABC, un des deux tireurs figure parmi les morts et l'attaque a en outre fait 12 blessés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Dix morts dans la fusillade sur la plage de Bondi à Sydney

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La fusillade sur la célèbre plage de Bondi Beach a fait dix morts. (© KEYSTONE/AP/Mark Baker)

Dix personnes ont été tuées dimanche à Sydney, en Australie, lors d'une fusillade sur la célèbre plage de Bondi, a déclaré la police à l'AFP.

Selon la chaîne nationale australienne ABC, un des deux tireurs figure parmi les morts et l'attaque a en outre fait 12 blessés.

Un témoin, un touriste britannique, a raconté à l'AFP avoir vu "deux tireurs vêtus de noir" sur cette plage, la plus célèbre d'Australie, prise d'assaut durant le week-end par des foules de touristes, nageurs et surfeurs.

"Il y a eu une fusillade, deux tireurs vêtus de noir et armés de fusils semi-automatiques", a déclaré ce touriste, Timothy Brant-Coles, ajoutant avoir vu aussi plusieurs personnes blessées par balle.

"Nous pouvons seulement vous dire que nous avons soigné plusieurs personnes sur place et qu'à ce stade, huit personnes ont été transportées vers différents hôpitaux de Sydney", a déclaré à l'AFP un porte-parole du service d'ambulance de l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud.

La police de l'Etat a annoncé sur les réseaux sociaux que deux suspects avaient été interpellés, sans plus de détails.

Selon le journal Sydney Morning Herald, un tireur présumé a été atteint par balles par la police et un autre a été arrêté.

"Les scènes à Bondi sont choquantes et bouleversantes", a écrit le Premier ministre australien Anthony Albanese dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux. "Mes pensées vont à toutes les personnes affectées", a-t-il ajouté.

La police avait initialement annoncé un "incident en cours" sur la plage et ordonné au public d'éviter le secteur et de "se mettre à l'abri".

Israël réagit

Le président israélien, Isaac Herzog, a condamné une "attaque cruelle contre des Juifs", demandant à l'Australie de lutter davantage contre l'antisémitisme.

"En ce moment même, nos frères et soeurs de Sydney, en Australie, ont été attaqués par d'ignobles terroristes dans une attaque très cruelle contre des Juifs qui s'étaient rendus à Bondi Beach pour allumer la première bougie de Hanouka", a déclaré M. Herzog dans un discours prononcé lors d'un événement à Jérusalem.

Les autorités australiennes n'ont pas confirmé officiellement que l'attaque a visé spécifiquement la communauté juive, mais le chef de l'association juive d'Australie a évoqué une "tragédie (...) tout à fait prévisible"

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Allemagne: un projet d'attentat visant un marché de Noël déjoué

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Le projet d'attentat visait un marché de Noël en Bavière (archives). (© KEYSTONE/DPA/ANDREAS ARNOLD)

Les autorités allemandes ont annoncé samedi avoir arrêté cinq hommes soupçonnés de préparer un attentat à la voiture-bélier d'inspiration islamiste visant un marché de Noël. Trois Marocains, un Egyptien et un Syrien ont été placés en détention vendredi.

Le projet d'attaque devait être mis en oeuvre en Bavière (sud), ont précisé la police et le parquet allemands dans un communiqué.

L'Egyptien, âgé de 56 ans, aurait appelé dans une mosquée à viser un marché dans les environs de la ville de Dingolfing-Landau, près de Munich, en "utilisant un véhicule pour tuer ou blesser autant de personnes que possible", selon le texte. Les Marocains, âgés de 22, 28 et 30 ans, auraient accepté de perpétrer l'attentat, tandis que le Syrien, âgé de 37 ans, les aurait encouragés.

Les enquêteurs ont précisé soupçonner "une motivation islamiste" pour ce projet. Tous les suspects ont été présentés à un juge samedi et placés en détention.

Berlin, Magdebourg

L'an dernier, un attentat à la voiture-bélier avait fait six morts et plus de 300 blessés au marché de Noël à Magdebourg, capitale régionale de l'est de l'Allemagne. Taleb Jawad al-Abdulmohsen, un Saoudien islamophobe qui a reconnu avoir conduit le véhicule fonçant sur la foule, est actuellement jugé pour cette attaque.

Après l'attentat islamiste contre un marché de Noël de Berlin, qui avait fait 13 morts en 2016, celui commis le 20 décembre 2024 à Magdebourg avait de nouveau traumatisé l'Allemagne et remis les questions de sécurité au premier plan.

En 2025, quelques villes, dont Overath près de Cologne, ont décidé d'annuler ce marché traditionnel en raison du coût des mesures de sécurité.

L'année dernière, plus de 7000 marchés de Noël à travers le pays ont attiré 170 millions de visiteurs, pour des recettes s'élevant à 4,2 milliards d'euros, soit en moyenne 25 euros environ par visiteur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Deux personnes tuées par des tirs à l'université américaine Brown

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La police a appelé sur X la population à s'abriter et à éviter la zone dans le campus de l'université Brown. (© KEYSTONE/AP/Mark Stockwell)

Des tirs sur le campus de l'université Brown, l'une des plus prestigieuses aux Etats-Unis, ont fait deux morts et neuf blessés samedi, tous des étudiants, ont annoncé les autorités locales, l'auteur étant toujours traqué dimanche par les forces de l'ordre.

Sur les neuf étudiants blessés, huit l'ont été grièvement mais sont dans un état stable, a déclaré lors d'une conférence de presse Brett Smiley, le maire de Providence, capitale du petit Etat de Rhode Island (nord-est).

Il a ensuite précisé que l'auteur des coups de feu n'avait pas encore été appréhendé et que plus de 400 membres des forces de l'ordre avaient été déployés.

Huit heures après la fusillade, le tireur était toujours en fuite.

Selon Frank Doyle, un responsable de l'établissement Brown, les tirs ont eu lieu dans le bâtiment d'ingénierie et de physique, où se déroulaient des examens.

Katie Sun a raconté au journal étudiant Brown Daily Herald qu'elle étudiait dans un bâtiment voisin quand elle a entendu des coups de feu. Elle a couru jusqu'à son dortoir en laissant toutes ses affaires.

"C'était franchement assez terrifiant. Les coups de feu semblaient venir... de l'endroit où sont les salles de classe", a-t-elle rapporté.

"Prier pour les victimes"

La police a rendu publique une vidéo où l'auteur présumé des faits sort du bâtiment, vêtu d'habits sombres. Des témoins ont rapporté qu'il portait également "un masque de camouflage gris", a précisé le chef adjoint de la police de Providence, Tim O'Hara, appelant des témoins à apporter toute information utile à l'enquête.

Aucune arme n'a été pour l'instant retrouvée par les autorités.

"Mon coeur se brise pour les élèves qui attendaient avec impatience les vacances et qui doivent à la place faire face à une nouvelle fusillade de masse terrifiante", a déclaré sur X le sénateur de Rhode Island Sheldon Whitehouse.

Selon le Gun Violence Archive, qui définit une fusillade de masse comme un événement au cours duquel quatre personnes ou plus sont blessées par balle, il y a déjà eu plus de 300 fusillades de masse aux États-Unis depuis le début de l'année, y compris celle-ci.

Donald Trump a indiqué sur sa plateforme Truth Social avoir été informé de la situation, et que la police fédérale, le FBI, était sur place.

A son retour à la Maison Blanche après avoir assisté à un match de football américain universitaire, il a déclaré: "Quelle chose terrible".

"Tout ce que nous pouvons faire pour le moment, c'est prier pour les victimes", a-t-il ajouté.

Fléau récurrent

Avec plus d'armes à feu en circulation que d'habitants, les Etats-Unis affichent le taux de mortalité par armes à feu le plus élevé de tous les pays développés.

Les tueries sont un fléau récurrent que les gouvernements successifs n'ont jusqu'à présent pas réussi à endiguer, de nombreux Américains restant très attachés au port d'arme, garanti par la Constitution.

En 2024, plus de 16'000 personnes, sans compter les suicides, ont été tuées par arme à feu, selon Gun Violence Archive.

L'histoire américaine récente est jalonnée de tueries, sans qu'aucun lieu de la vie quotidienne ne semble à l'abri, de l'entreprise à l'église, du supermarché à la discothèque, de la voie publique aux transports en commun.

Parmi tous ces massacres, ceux commis en milieu scolaire ou visant des enfants marquent plus fortement la mémoire collective.

La fusillade scolaire la plus meurtrière de l'histoire des États-Unis a eu lieu en avril 2007: un étudiant déséquilibré avait abattu 32 personnes sur le campus de l'université Virginia Tech, à Blacksburg, avant de se suicider.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

A Paris, une passerelle au nom de la chanteuse Jane Birkin

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Une passerelle Jane Birkin a été inaugurée samedi à Paris. (© KEYSTONE/DPA/PARSCHAUER)

Une passerelle Jane Birkin a été inaugurée samedi à Paris en hommage à la chanteuse et comédienne franco-britannique décédée en 2023, en présence de ses filles Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon, a constaté l'AFP.

"La passerelle Jane Birkin, c'est poétique, elle aurait tellement aimé", a déclaré, la voix étouffée par les sanglots, Charlotte Gainsbourg, devant ce pont qui enjambe le célèbre canal Saint-Martin, dans le 10e arrondissement de Paris, et porte désormais le nom de sa mère.

"Ça pourrait être le pont qui la reliait à l'Angleterre et qui la faisait revenir dare-dare en France, son pays d'adoption", a-t-elle poursuivi devant une centaine de personnes, imaginant déjà des Parisiens s'y donner rendez-vous pour "flâner".

"Se donner rendez-vous sur la passerelle Jane Birkin"

"On dira au taxi 'la passerelle Jane Birkin, s'il vous plaît'", a lancé la comédienne et chanteuse. "Se donner rendez-vous, et flirter et s'embrasser, s'embrasser sur la passerelle Jane Birkin".

Aux côtés de Lou Doillon et du petit-fils de Jane Birkin, Roman de Kermadec, Charlotte Gainsbourg a ensuite dévoilé la plaque qui surplombe les premières marches du pont et sur laquelle on peut lire: "Passerelle Jane Birkin (1946-2023) chanteuse, comédienne, réalisatrice".

"Mon fils me demandait ce matin si ma mère était encore morte. Alors je lui ai dit 'oui, mais aujourd'hui, elle devient un pont'. Et c'est génial de pouvoir dire ça", a plaisanté Lou Doillon, selon qui "il manquait un lieu". "La tranquillité, le silence et la révérence du cimetière ne lui allait décidément pas", a-t-elle poursuivi.

Jane Birkin rejoint ainsi huit autres comédiennes (Arletty, Michèle Morgan, Maria Schneider...) qui ont donné leurs noms aux passerelles au-dessus du canal Saint-Martin.

Mort en juillet 2023 à 76 ans, elle était l'Anglaise préférée des Français, une icône de mode et une voix teintée d'un délicieux accent. Londonienne d'origine, naturalisée française, Jane Birkin a connu un succès mondial avec des chansons comme "Je t'aime... moi non plus", duo avec Gainsbourg en 1969 au parfum de scandale, "Jane B" la même année ou "Ex-fan des sixties" en 1978.

Au cinéma, Jane Birkin a été vue dans "Blow up" d'Antonioni, Palme d'or 1967, puis dans "La Piscine" avec Romy Schneider et Alain Delon en 1969, avant de s'affirmer avec des réalisateurs comme Agnès Varda, Michel Deville, Bertrand Tavernier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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