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Les combats "intenses" à Rafah "sur le point de se terminer"

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La pression monte en Israël, où des dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi soir. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé dimanche que les combats "intenses" à Rafah dans le sud de la bande de Gaza où l'armée israélienne mène une offensive terrestre, sont "sur le point de se terminer".

Alors que des bombardements israéliens ont encore visé dimanche ce territoire palestinien dévasté par plus de huit mois de guerre, le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant s'est rendu aux Etats-Unis en pleine dispute sur les armes entre les deux alliés.

"La phase intense des combats contre le Hamas est sur le point de se terminer (...) Cela ne signifie pas que la guerre est sur le point de se terminer mais la guerre dans sa phase intense est sur le point de se terminer à Rafah", a déclaré M. Netanyahu lors d'une interview à la chaîne israélienne Channel 14.

"Après la fin de la phase intense, nous serons en mesure de redéployer certaines forces vers le nord, et nous le ferons (...)", a ajouté le Premier ministre, assurant que "l'objectif est de récupérer les otages et de déraciner le régime du Hamas à Gaza".

La pression monte

Entretemps la pression monte en Israël, où des dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi soir pour dénoncer la conduite de la guerre et appeler au retour des otages encore retenus à Gaza.

D'après des témoins, des obus ont ciblé dimanche l'est, l'ouest et le centre de Rafah dans le sud de Gaza, où l'armée israélienne mène une offensive terrestre depuis le 7 mai. Des frappes aériennes ont touché Gaza-Ville (nord) et des chars ont bombardé le camp de Nousseirat (centre).

Des avions de combat ont mené samedi des raids contre "des dizaines de cibles terroristes dans la bande de Gaza, y compris des structures militaires et des infrastructures", selon l'armée.

Entretiens "cruciaux" à Washington

Alors que la relation entre M. Netanyahu et la Maison Blanche connaît un nouvel épisode de crispation, Yoav Gallant est parti pour Washington afin selon lui "de discuter des développements à Gaza et au Liban".

Le front nord d'Israël, avec le Liban, a été le théâtre d'une escalade des tirs entre l'armée israélienne et le Hezbollah, un allié du Hamas, et la rhétorique belliqueuse entre les deux parties fait craindre une guerre à grande échelle.

Dimanche, le mouvement chiite soutenu par l'Iran, a annoncé avoir visé deux sites militaires israéliens, à l'aide de drones explosifs, blessant grièvement un soldat, en riposte à la mort d'un chef d'un groupe islamiste allié, dans une frappe israélienne dans l'est du Liban.

Le mouvement a également publié une nouvelle vidéo montrant ce qu'il présente comme des sites en Israël avec leurs coordonnées, sans les identifier, cinq jours après avoir révélé des images de Haïfa prises selon lui par un drone qui a survolé ce grand port du nord d'Israël.

Evoquant les relations avec Washington, M. Gallant a assuré dans un communiqué que les "liens avec les Etats-Unis sont plus importants que jamais". "Nos entretiens avec les responsables américains sont cruciaux pour (la suite) de la guerre", a-t-il affirmé.

Il y a aussi la dispute sur des livraisons d'armes américaines, après que Benjamin Netanyahu a critiqué un retard dans leur transfert à Israël.

Mais dimanche, M. Netanyahu a déclaré que ce "différend" avec Washington sera "résolu dans un avenir proche" lors d'une réunion de son gouvernement. "(...) A la lumière de ce que j'ai entendu ces derniers jours, j'espère et je crois que cette question sera résolue dans un avenir proche."

"Chasser ce gouvernement"

M. Netanyahu, qui dit qu'Israël est engagé dans une "guerre pour son existence", est sous pression chez lui.

Samedi à Tel-Aviv, plus de 150'000 personnes selon les organisateurs ont scandé des slogans contre le gouvernement Netanyahu, demandant des élections anticipées et le retour des otages, le rassemblement le plus important depuis le début de la guerre.

"Le seul moyen de parvenir à un changement ici est de chasser ce gouvernement, de chasser les extrémistes", a déclaré Maya Fischer, une manifestante de 36 ans. "Il est temps de mettre fin à la guerre, de ramener les otages et de sauver des vies, tant du côté israélien que du côté palestinien."

Les négociations pour un cessez-le-feu piétinent et M. Netanyahu affirme qu'il poursuivra la guerre jusqu'à la destruction du Hamas, qu'il considère comme terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne.

Dans le territoire palestinien, où s'entassent quelque 2,4 millions de personnes, l'offensive israélienne a provoqué un désastre humanitaire avec une menace de famine selon l'ONU.

Plus d'un million de personnes se déplacent constamment" dans l'espoir de trouver un lieu sûr dans la bande de Gaza alors qu'"aucun lieu n'y est sûr", selon l'Organisation mondiale de la Santé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Boris: trois nouveaux morts en Autriche et en République tchèque

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La tempête a provoqué partout des coupures massives d'électricité, des ruptures du réseau de transport et des évacuations massives d'habitants dans toute la région (ici dans le village tchèque de Lipova-Lazne), (© KEYSTONE/EPA/MARTIN DIVISEK)

Trois nouvelles personnes sont mortes et sept autres sont portées disparues en Autriche et en République tchèque à la suite des inondations provoquées par la tempête Boris, ont annoncé les autorités lundi. Ces décès portent à onze le bilan total dans la région.

"Deux personnes de 70 et 80 ans ont été retrouvées mortes dans la nuit de dimanche à lundi" dans la région de Basse-Autriche frontalière de la République tchèque, a indiqué la police à l'AFP. "Elles ont été tuées dans deux villages différents par la montée des eaux, chacune dans sa maison", a-t-il précisé.

Côté tchèque, la police a également confirmé à la radio publique le décès "d'une personne qui s'est noyée dans la rivière Krasovka près de Bruntal (nord-est)", ainsi que la disparition de "sept personnes".

Dans toute la région de l'Europe centrale et orientale, frappée par la tempête Boris, le bilan s'élève désormais à onze morts et plusieurs disparus. Des milliers de personnes ont également été évacuées.

Les images impressionnantes prises par des photographes de l'AFP dans toute la région montrent des quartiers entiers submergés, des habitants secourus, des digues de sable pour limiter la montée des eaux.

La tempête a provoqué partout des coupures massives d'électricité, des ruptures du réseau de transport et des évacuations massives d'habitants dans toute la région. La situation semblait s'améliorer légèrement lundi en plusieurs endroits, mais les pluies incessantes et les crues font craindre des nouveaux dégâts importants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Italie: l'inflation ralentit en août, confirmée à 1,1% sur un an

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L'augmentation des prix à la consommation en Italie est inférieure à la moyenne de la zone euro. (archive) (© KEYSTONE/EPA/TONINO DI MARCO)

L'inflation en Italie a décéléré en août, baissant à 1,1% sur un an après 1,3% en juillet, selon des données définitives publiées lundi par l'Institut national de la statistique (Istat) qui a ainsi confirmé sa première estimation.

L'augmentation des prix à la consommation en Italie est inférieure à la moyenne de la zone euro qui a atteint 2,2% en août en glissement annuel et à l'objectif de 2% à moyen terme de la Banque centrale européenne (BCE).

Ce ralentissement des prix à la consommation est dû surtout à la chute plus prononcée des tarifs de l'énergie non réglementés et au recul des prix des biens durables, explique l'Istat.

Sur un mois, les prix à la consommation ont augmenté de 0,2% en août.

Les prix des produits énergétiques non réglementés ont accentué leur baisse sur un an, reculant de 8,6% en août, après 6% en juillet.

A l'inverse, les tarifs réglementés du secteur de l'énergie ont accéléré leur hausse, grimpant de 14,3% contre 11,7% en juillet.

Les prix des biens durables ont baissé de 1,8% en août, après 1,2% en juillet.

Le "panier de la ménagère" (produits alimentaires, de nettoyage, de soin et d'hygiène) a ralenti sa hausse, passant de +0,7% à +0,6%.

La hausse de l'indice d'inflation calculée selon les normes harmonisées de l'Union européenne (IPCA) a reculé à 1,2% en août sur un an, après 1,6% en juillet.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Décès du guitariste Tito Jackson, membre des Jackson 5

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Tito Jackson (à gauche) avec son frère Michael et leur mère Katherine Jackson en 2005 (archives). (© KEYSTONE/AP/Kevork Djansezian)

Le guitariste américain Tito Jackson, membre du légendaire groupe Jackson 5, est mort, ont indiqué ses fils dimanche soir. Le frère aîné des superstars Michael et Janet Jackson avait 70 ans.

"Nous sommes choqués, tristes et avons le coeur brisé. Notre homme était un homme incroyable qui se souciait de chacun", ont écrit sur Instagram ses fils Taj, Taryll et TJ, qui forment le groupe 3T. "S'il vous plaît, rappelez-vous de faire ce que notre père prônait et qui est: 'Aimez-vous les uns les autres'. On t'aime papa. Tes garçons".

Un ami de la famille, Steve Manning, a précisé à l'émission Entertainment Tonight que Tito Jackson semble être décédé d'une crise cardiaque dimanche, alors qu'il se rendait du Nouveau Mexique jusqu'à chez lui en Oklahoma.

Il s'était récemment produit en Allemagne, au Royaume-Uni et en Californie avec ses frères Marlon et Jackie, se faisant appeler "The Jacksons".

Au Rock & Roll Hall of Fame

Tito Jackson était un membre original du groupe familial The Jackson 5, avec ses frères Jackie, Jermaine, Marlon et Michael - le futur "King of pop" décédé en 2009. Après avoir signé avec Motown Records en 1969, les Jackson 5 avaient connu un succès mondial avec des titres comme "I want you back", "ABC" et "I'll Be There".

Tito, tout comme ses frères du Jackson 5, avaient été intronisés au Rock & Roll Hall of Fame en 1997 par une autre légende de la Motown, Diana Ross. Selon son site internet, le défunt faisait des tournées depuis 2003 avec son propre groupe de blues et de funk.

En 2016, Tito avait été le dernier de la fraternité Jackson à entrer dans le Billboard avec une chanson produite en solo, avec le single "Get It Baby", qui avait été suivi de son premier album solo, "Tito Time".

Son second album - le premier de blues -, titré "Under Your Spell", était sorti en 2021, avec des invités comme George Benson, Bobby Rush et Stevie Wonder. L'ex-femme de Tito Jackson, Dolores, mère de ses trois fils, était décédée en 1994.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le Français Thierry Breton quitte la Commission européenne

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Les relations étaient notoirement tendues entre Thierry Breton et Ursula von der Leyen (archives). (© KEYSTONE/DPA/PATRICK PLEUL)

Le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, a annoncé lundi démissionner de la Commission européenne avec effet immédiat. Il affirme que la présidente Ursula von der Leyen, avec qui il était en froid, avait réclamé son retrait à Emmanuel Macron.

Officiellement candidat du président français, il a expliqué que la cheffe de l'exécutif européen, en train de former son équipe pour un nouveau mandat de cinq ans, avait "demandé à la France de retirer (s)on nom".

"Il y a quelques jours, dans la toute dernière ligne droite des négociations sur la composition du futur Collège, vous avez demandé à la France de retirer mon nom - pour des raisons personnelles qu'en aucun cas vous n'avez discutées directement avec moi - et proposé, en guise de compromis politique, un portefeuille prétendument plus influent pour la France au sein du futur Collège" des commissaires, écrit Thierry Breton.

"C'est un autre candidat qui va vous être proposé" par la France, a-t-il ajouté dans une lettre à Mme von der Leyen publiée sur le réseau social X.

Gouvernance "douteuse"

"Au cours des cinq dernières années, je me suis efforcé sans relâche de défendre et de faire progresser le bien commun européen, au-delà des intérêts nationaux et partisans. Ce fut un honneur", souligne l'ancien ministre français.

"Toutefois, à la lumière des derniers développements - qui témoignent une fois de plus d'une gouvernance douteuse - je dois conclure que je ne peux plus exercer mes fonctions au sein du Collège", conclut-il.

Les relations entre la dirigeante allemande et M. Breton étaient notoirement tendues depuis que ce dernier avait pris la tête au printemps d'une fronde au sein de l'exécutif bruxellois pour contester le style de direction de la présidente, jugé peu collectif.

Ethique mise en cause

Le commissaire français avait publiquement mis en cause l'éthique de Mme von der Leyen après la nomination fin janvier d'un émissaire chargé des petites et moyennes entreprises, un poste hautement rémunéré au sein de la Commission.

Le poste avait été attribué à l'eurodéputé allemand du Parti populaire européen (droite) Markus Pieper, quelques semaines avant un congrès à Bucarest début mars au cours duquel le PPE avait apporté son soutien à un second mandat de Mme von der Leyen.

La polémique avait abouti à un vote de défiance du Parlement européen contre Mme von der Leyen, en pleine campagne pour les élections européennes de juin, et finalement au retrait de M. Pieper.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'avenir de TikTok en suspens devant un tribunal américain

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TikTok risque d'être interdit aux Etats-Unis. (archive) (© KEYSTONE/AP/KIICHIRO SATO)

TikTok va tenter de convaincre un tribunal fédéral lundi que la loi exigeant la vente de l'application par ses propriétaires chinois, sous peine d'interdiction aux Etats-Unis, est inconstitutionnelle.

Depuis que cette loi a été votée par le Congrès américain en avril, le sort de TikTok dans le pays est devenu un enjeu majeur du débat politique.

Le candidat républicain à la présidence Donald Trump s'oppose à toute interdiction de la très populaire plateforme, après avoir lui-même tenté de l'interdire en 2020, à la fin de son mandat.

Le président Joe Biden, en revanche, a signé la législation qui donne à TikTok jusqu'au mois de janvier pour ne plus être détenue par une société chinoise. Sa vice-présidente Kamala Harris est la candidate démocrate à la Maison Blanche.

ByteDance, la maison mère de TikTok, a déclaré qu'elle n'avait pas l'intention de se séparer de sa précieuse application. Le recours en justice est donc sa seule option pour survivre aux États-Unis.

Une interdiction provoquerait probablement une vive réaction de la part de Pékin et rendrait les relations entre les États-Unis et la Chine encore plus tendues.

Trois juges de la cour d'appel du district de Columbia doivent entendre lundi TikTok, ByteDance et un groupe d'utilisateurs. Ils vont essentiellement soutenir que la loi viole le droit à la liberté d'expression garanti par la Constitution américaine.

Les juges se prononceront sur l'affaire dans les semaines ou les mois à venir. Mais quelle que soit leur décision, elle est susceptible d'être portée devant la Cour suprême des États-Unis.

"Coquille vide"

TikTok affirme que "la Constitution est de notre côté", ajoutant que la loi ferait taire les voix de 170 millions d'Américains.

"Il ne fait aucun doute que la loi entraînera la fermeture de TikTok d'ici le 19 janvier 2025", indique le recours de l'entreprise, "réduisant au silence ceux qui utilisent la plateforme pour communiquer d'une manière qui ne peut être reproduite ailleurs".

TikTok a également fait valoir que même si la cession était possible, l'application "serait toujours réduite à une coquille vide, dépourvue de la technologie innovante qui adapte le contenu à chaque utilisateur".

Le gouvernement américain rétorque que la loi porte sur des questions de sécurité nationale et non sur la liberté d'expression et que ByteDance ne peut se prévaloir des droits protégés par la Constitution.

"Étant donné la vaste portée de TikTok aux États-Unis, la capacité de la Chine à utiliser les fonctionnalités de TikTok pour atteindre son objectif global, qui est de saper les intérêts américains, constitue une menace pour la sécurité nationale d'une profondeur et d'une ampleur immenses", a écrit le ministère américain de la Justice.

Les États-Unis estiment que ByteDance peut se conformer - et se conforme - aux demandes du gouvernement chinois pour obtenir des données sur les utilisateurs américains. Les autorités affirment aussi que le groupe acquiesce à des pressions pour censurer ou promouvoir certains contenus sur la plateforme.

TikTok nie ces accusations.

Vers la Cour suprême

Les décrets de 2020 pour interdire TikTok de l'ancien président Donald Trump ont été bloqués par un juge fédéral, qui avait évoqué des raisons probablement exagérées et une violation potentielle du droit à la liberté d'expression.

Depuis, le milliardaire républicain, très remonté contre Meta (Facebook, Instagram) et les autres grandes plateformes qui l'ont temporairement banni pour incitation à la violence après l'assaut du Capitole en 2021, a changé d'avis.

"Pour tous ceux qui veulent sauver TikTok en Amérique, votez pour Trump", a-t-il déclaré dans une vidéo publiée la semaine dernière.

La candidate démocrate Kamala Harris est présente sur TikTok et a adopté les réseaux sociaux comme moyen de communication avec les jeunes électeurs.

La nouvelle loi signée par Joe Biden a été conçue pour surmonter les obstacles juridiques mais certains experts pensent que la Cour suprême des États-Unis aura du mal à considérer que les inquiétudes au sujet de la sécurité nationale l'emportent sur la protection de la liberté d'expression.

Une grande partie des arguments du gouvernement sont sous scellés, ce qui "complique les efforts pour les évaluer", a souligné Carl Tobias, professeur de droit de l'université de Richmond.

"Toutefois, la Cour suprême des États-Unis s'est généralement montrée très prudente lorsqu'il s'agit d'accepter les arguments de sécurité nationale lorsque la réglementation (en question) restreint le droit à la liberté d'expression, en particulier en ce qui concerne internet", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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