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Attaque au couteau à Bordeaux: un mort et un blessé

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Les faits se sont déroulés dans le secteur très fréquenté du Miroir, d'eau sur les quais de la Garonne (archives). (© KEYSTONE/EPA/PIERRE ALAIN)

Un homme suspecté d'avoir poignardé mercredi soir deux personnes sur les quais de Bordeaux, dont une mortellement, a été tué par des policiers alors qu'il tentait de s'enfuir. Le motif de l'agression est encore mal défini.

"La piste terroriste semble désormais totalement écartée", a toutefois indiqué à l'AFP une source policière. "Il semble que le point de départ soit un différend lié à la consommation d'alcool des deux victimes de coups de couteau".

Des témoins ont aussi évoqué une bagarre qui a mal tourné à un journaliste de l'AFP sur place. "Il n'y a pas eu a priori de propos islamistes tenus par l'auteur", a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête.

Les victimes sont de nationalité algérienne. La personne décédée est âgée d'une trentaine d'années, celle blessée d'une vingtaine d'années, a-t-on précisé de source policière. Il n'y a "plus d'inquiétude" concernant son pronostic vital.

L'identité de l'agresseur n'est pour l'instant pas encore connue, selon des sources policières. Les faits se sont produits peu avant 20h00 près du Miroir d'eau, lieu de promenade prisé sur les quais de la Garonne dans le centre de Bordeaux.

"Arrête"

Sur une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, on voit un homme se pencher vers le bas comme pour donner des coups de couteau. Le bas de la scène est caché par une haie, mais on entend crier "Arrête".

Sur une autre vidéo, on voit un policier mettre en joue avec un fusil-mitrailleur un homme qui s'effondre et dévale quelques marches avant de glisser au sol. Un corps était toujours sur place vers 22h30, a constaté une journaliste de l'AFP.

Des passants se sont pressés autour du lieu de l'attaque mais le périmètre a été rapidement bouclé par la police. La circulation des tramways, des autobus et des vélos a été interdite sur le Pont de pierre au pied duquel l'assaillant a été abattu. Il restera fermé jusqu'à demain matin, selon l'opérateur de transports en commun TBM.

Le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, la procureure de la République, Frédérique Porterie, et le préfet de région Etienne Guyot se sont rendus sur place, mais sans s'adresser à la presse. "L'enquête judiciaire est en cours", ont simplement déclaré sur Twitter l'élu écologiste et le préfet, qui précise que "le secteur restera bouclé par les forces de l'ordre le temps nécessaire".

Des agents de la police scientifique opéraient toujours en milieu de soirée sur la scène de crime, pendant que des personnes étaient massées dans les bars des quais pour regarder le match de Ligue des Champions Paris SG-Barcelone, a constaté une journaliste de l'AFP.

Dans le centre-ville, la sécurité a verrouillé les portes de la patinoire de Mériadeck, accueillant le quatrième match de la finale du championnat de France de hockey sur glace (Ligue Magnus) entre Bordeaux et Rouen, empêchant toute entrée et sortie, a constaté un photographe de l'AFP vers 22h00.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Novak Djokovic critique les "incohérences" du système antidopage

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Novak Djokovic estime que le système antidopage n'est pas équitable. (© KEYSTONE/EPA/NOUSHAD THEKKAYIL)

Novak Djokovic a exhorté lundi les instances du tennis mondial à revoir le système antidopage. Il mentionne des "incohérences" dans le traitement des grandes stars Jannik Sinner et Iga Swiatek.

"La majorité des joueurs à qui j'ai parlé dans les vestiaires, pas seulement ces derniers jours, mais aussi ces derniers mois, ne sont pas satisfaits de la façon dont tout ce processus a été géré", a déclaré Novak Djokovic lundi à Doha, où il reprenait la compétition trois semaines après son abandon en demi-finale de l'Open d'Australie.

L'Agence mondiale antidopage (AMA) a annoncé samedi avoir conclu un accord avec le numéro 1 mondial Jannik Sinner après un contrôle en mars 2024 révélant des traces de clostebol, un anabolisant. Cet accord prévoit une suspension de trois mois pour l'Italien de 23 ans, triple lauréat en Grand Chelem, qui risquait une suspension de deux ans et pourra reprendre la compétition avant Roland-Garros fin mai.

L'AMA avait également décidé, il y a quelques semaines, de ne pas faire appel de la suspension d'un mois infligée à la numéro 2 mondiale Iga Swiatek à la suite d'un contrôle positif à la trimétazidine, un médicament cardiaque interdit.

"Favoritisme"

"La majorité des joueurs ne trouvent pas cela juste. La majorité des joueurs ont l'impression qu'il y a du favoritisme. Il semble que vous puissiez presque influencer le résultat si vous êtes un joueur de haut niveau, si vous avez accès aux meilleurs avocats", a ajouté le numéro 7 mondial.

"Il y a tellement d'incohérences entre les cas", a jugé le vainqueur de 24 titres en Grand Chelem. "Le moment est venu de nous pencher sérieusement sur le système" antidopage, a-t-il insisté en joignant sa voix aux critiques émises par plusieurs joueurs à la suite de l'annonce de l'accord entre l'AMA et Sinner.

L'Association des joueurs de tennis professionnels (PTPA), un syndicat de joueurs cofondé par le Serbe en 2021, avait déjà dénoncé sur X un "biais inacceptable" dans les décisions des autorités antidopage.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'opposant vénézuélien Edmundo Gonzalez en larmes à l'ONU à Genève

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Le principal opposant vénézuélien Edmundo Gonzalez n'a pu cacher son émotion devant des diplomates et des ONG réunies à l'ONU à Genève à la veille d'un sommet de dissidents. (© KEYSTONE/AP/Salvatore Di Nolfi)

L'opposant vénézuélien Edmundo Gonzalez n'a pu retenir ses larmes à l'ONU à Genève. Sans nouvelle de son gendre enlevé, celui que de nombreux Etats considèrent comme le vainqueur de la dernière présidentielle a promis lundi que "le changement va arriver".

"Ma fille va chaque jour de centre de détention en centre de détention", a affirmé l'opposant désormais en exil en Espagne. Chaque jour, des milliers de Vénézuéliens sont confrontés à la même situation, a dit M. Gonzalez, à la veille du Sommet de Genève sur les droits humains et la démocratie.

Le gendre du candidat à la présidentielle de juillet dernier avait été enlevé début janvier par des hommes armés. Il reste toujours porté disparu.

Le président Nicolas Maduro avait été proclamé vainqueur du scrutin avec 52% des voix par le Conseil électoral, qui n'a pas rendu publics les procès-verbaux des bureaux de vote. L'opposition, qui crie à la fraude, a publié les données de ses scrutateurs. Elle affirme que M. Gonzalez a obtenu plus de 67% des voix.

Nicolas Maduro a prêté serment en janvier. Son adversaire dénonce "une militarisation" du régime pour l'empêcher de rentrer au Venezuela. Le peuple a dit "nous voulons du changement, nous voulons la liberté", a affirmé M. Gonzalez devant des diplomates et des ONG qui lui ont réservé une ovation debout.

Le Vénézuélien a demandé ces dernières semaines aux Occidentaux d'oeuvrer pour établir des conditions pour lui permettre de lutter contre le président Maduro. Celui-ci a été mis en cause par le passé pour de possibles crimes contre l'humanité par la Mission internationale d'établissement des faits.

"La répression n'a fait qu'augmenter" depuis un an, a dit son adversaire à la présidentielle. Il a relayé sa solidarité avec les six collaborateurs de la cheffe de l'opposition Maria Corina Machado, qui avait été empêchée de participer au scrutin, réfugiés depuis plusieurs mois dans une ambassade pour échapper à une arrestation.

Le candidat à la dernière présidentielle, qui a reçu le Prix Sakharov du Parlement européen l'année dernière, sera récompensé mardi lors du sommet organisé par des dizaines d'ONG à Genève.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le fils du chah d'Iran dit une chute du régime possible "très vite"

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Le prince héritier d'Iran Reza Pahlavi demande aux Occidentaux de ne pas tarder à faire tomber le régime islamique pour éviter un conflit dans la région. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le fils du dernier chah d'Iran estime une chute du régime islamique en Iran possible "très vite" si les Occidentaux font preuve de fermeté. Lundi à Genève, Reza Pahlavi s'est dit prêt à mener une transition jusqu'à une Assemblée constituante.

"Il y a une fenêtre qui s'est ouverte" mais elle est "critique" pour éviter un conflit militaire ou une détérioration des divisions sur le nucléaire, a-t-il affirmé aux correspondants accrédités à l'ONU à Genève (ACANU). L'ayatollah Ali Khamenei "se retrouve très seul" depuis le 7 octobre 2023, selon lui.

Il mentionne la pression d'Israël sur le régime, l'affaiblissement de celui-ci après la chute de Bachar al-Assad en Syrie et des conditions économiques "abominables" avec l'inflation et le manque de robustesse de la monnaie iranienne. "Il y a de plus en plus de manifestations" et "on commence à voir des éléments de défection à l'intérieur du régime", ajoute-t-il.

Il demande au G7 de considérer les gardiens de la révolution, "mafieux" selon lui, comme mouvement terroriste. "Le moment est venu d'être aux côtés du peuple iranien", affirme M. Pahlavi aux dirigeants occidentaux, les appelant à ne plus négocier avec Téhéran. Sans un Iran "stable et fiable", la question du Proche-Orient ne sera pas réglée et le financement des groupes armés dans la région ne sera pas affecté, dit-il.

Il affirme que la politique d'apaisement menée par l'ancien président américain Joe Biden a prolongé l'existence de la République islamique. "Je pense que Donald Trump comprend le problème" mais il faut que ses alliés occidentaux garantissent aussi "un soutien maximal" aux Iraniens qui ne veulent plus du régime, dit-il.

Candidat à aucune fonction

Il a eu des contacts avec le conseiller à la sécurité nationale Mike Waltz avant l'investiture du républicain et connaît bien Marco Rubio. Celui-ci "est le premier secrétaire d'Etat américain qui comprend le problème" depuis la chute du chah en 1979, ajoute M. Pahlavi, qui vit depuis de nombreuses années aux Etats-Unis.

Le fils du dernier chah dit n'être candidat à rien. Mais il est prêt à mener la transition politique qui devra aboutir à un choix par les Iraniens par référendum sur une république ou le retour de la monarchie, tant que celui-ci n'est pas en faveur d'un système confessionnel.

Son père avait été largement critiqué par de nombreuses organisations des droits de l'homme pour sa répression des opposants. Son fils élude en affirmant ne pas être redevable de ce qu'il a fait, mais ajoute que les noms de son grand-père et du chah "sont chantés" actuellement dans les rues iraniennes. Il est favorable à l'Etat de droit et à des libertés fondamentales pour tous les Iraniens.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'hospitalisation du pape va se prolonger

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Le pape François sera hospitalisé un peu plus longtemps que prévu (Archive). (© KEYSTONE/AP/ALESSANDRA TARANTINO)

Le pape François, hospitalisé depuis vendredi à Rome, affiche un "tableau clinique complexe", a annoncé lundi le Vatican. L'hospitalisation du pontife de 88 ans devrait se prolonger jusqu'à au moins mercredi.

"Les résultats des examens effectués à ce jour ont démontré une infection polymicrobienne des voies respiratoires qui a conduit à une nouvelle modification de la thérapie", indique le bulletin de santé publié à la mi-journée.

Le Vatican n'a pas communiqué sur la date à laquelle le pape devrait quitter l'hôpital Gemelli de Rome, mais a annoncé lundi que son hospitalisation entraînait l'annulation de son audience générale hebdomadaire mercredi.

Dans la matinée, le Vatican avait fait état de nouvelles rassurantes, le directeur du service de presse du Saint-Siège, Matteo Bruni affirmant que le pape avait "passé une nuit tranquille" et était "de bonne humeur". "Ce matin, il a pris son petit-déjeuner et s'est consacré comme toujours à la lecture de certains journaux", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Russes et Américains mardi à Ryad pour "rétablir" leurs relations

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On reconnaît le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy (3e depuis la gauche) lors de la rencontre préparatoire de Munich la semaine dernière, en compagnie notamment du vice-président américain JD Vance (1er à droite) et du secrétaire d'Etat des Etats-Unis Marco Rubio (à sa droite). (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

Hauts responsables russes et américains doivent se retrouver mardi en Arabie saoudite pour des pourparlers destinés à rétablir les relations entre Moscou et Washington, en posant les prémices de négociations sur l'Ukraine et d'une rencontre entre Poutine et Trump.

La Russie, qui a notamment réclamé par le passé le retrait des forces de l'Otan d'Europe orientale, veut de longue date réorganiser l'architecture de la sécurité sur le continent européen. Le Kremlin considère que l'assaut contre l'Ukraine visait à repousser la menace existentielle que constitue à ses yeux l'Alliance atlantique.

Le conflit en Ukraine ne devrait être que l'un des points au programme de ces discussions russo-américaines à Ryad, dont sont à l'heure actuelle exclus les Ukrainiens et les Européens.

Cette rencontre, après trois années d'un gel quasi-total des relations, intervient en pleine effervescence diplomatique : les Européens se réunissent à Paris lundi pour se concerter sur leur stratégie, le président ukrainien Volodymyr Zelensky est attendu en Turquie mardi et en Arabie Saoudite mercredi et l'envoyé spécial américain pour l'Ukraine Keith Kellogg se rendra en Pologne mardi puis à Kiev jeudi.

Côté américain, le secrétaire d'Etat Marco Rubio est arrivé lundi en Arabie Saoudite. Il doit être accompagné du conseiller à la sécurité nationale, Mike Waltz, et de l'envoyé spécial pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff.

Côté russe, Vladimir Poutine a dépêché deux négociateurs chevronnés : le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et le conseiller diplomatique du Kremlin Iouri Ouchakov.

La réunion "sera principalement consacrée au rétablissement de l'ensemble des relations russo-américaines", a déclaré le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, au cours d'un briefing quotidien devant la presse auquel participait l'AFP.

Selon lui, elle "sera également consacrée à la préparation d'éventuelles négociations sur le règlement (du conflit) ukrainien et à l'organisation d'une rencontre entre les deux présidents" Poutine et Trump.

"Relations anormales"

Le Moyen-Orient pourrait aussi être sur la table des pourparlers, a-t-il poursuivi, à un moment où Russes et Américains rivalisent dans la région et où Moscou a vu ses alliés Bachar al-Assad en Syrie et l'Iran essuyer des échecs ces derniers mois.

"Poutine et Trump se sont entendus sur la nécessité de laisser derrière eux les relations absolument anormales. Les présidents ont décidé que le dialogue devait reprendre", a résumé de son côté M. Lavrov.

Face au désengagement américain, Volodymyr Zelensky a répété lundi que l'Ukraine "ne reconnaîtrait" aucun accord conclu sans elle. Il a regretté que son pays n'ait pas été informé officiellement des pourparlers de Ryad.

M. Zelensky avait aussi appelé samedi les Européens à "agir" pour éviter un accord forgé dans leur dos, les encourageant à créer des "forces armées de l'Europe".

La décision de Donald Trump d'appeler Vladimir Poutine la semaine dernière et de proclamer l'ouverture de négociations pour mettre fin à la guerre a provoqué un malaise en Europe et à Kiev, car elle laisse craindre un abandon de l'Ukraine.

Les puissances européennes, de facto mises à l'écart des échanges russo-américains après avoir essuyé à Munich de sévères critiques du vice-président américain JD Vance, doivent désormais définir une réponse commune pour la sécurité du Vieux continent.

M. Lavrov a pour sa part asséné lundi que les dirigeants européens n'étaient pas convié à des négociations car ils ont "l'intention de poursuivre la guerre" en Ukraine.

Interrogé dimanche, Marco Rubio a affirmé que "rien" n'avait "encore été finalisé" et que lorsque les "vraies négociations" commenceraient, l'Ukraine devrait "être impliquée".

Le Kremlin avait auparavant déclaré que Kiev participerait aux discussions sur son avenir "d'une manière ou d'une autre".

Oléoduc ciblé en Russie

Vladimir Poutine réclame que l'Ukraine cède quatre régions de l'est et du sud de son territoire, en plus de la Crimée annexée en 2014, et renonce à rejoindre l'Otan. Des conditions inacceptables pour Kiev, qui espère toujours récupérer les zones perdues.

Or des responsables américains ont déjà jugé inévitables les concessions territoriales à la Russie et irréaliste une entrée de l'Ukraine dans l'Alliance atlantique.

Sur le volet russo-américain, reste à voir si Moscou campe sur ses revendications de la fin 2021 : un engagement qu'aucun pays de l'ex-URSS ne rejoigne l'Otan et le retrait des troupes et des armements de cette organisation des Etats l'ayant rejointe après mai 1997, ce qui inclut les Pays baltes et la Pologne, frontaliers de la Russie, ou encore la Roumanie et la Bulgarie, riveraines de la mer Noire.

Ces exigences avaient été rejetées par l'Otan et les Etats-Unis en janvier 2022, la Russie déclenchant un mois plus tard son assaut contre l'Ukraine.

Loin de Ryad, les combats et les bombardements se poursuivent.

Moscou a revendiqué la prise de Sverdlikovo, un village de la région russe frontalière de Koursk, dont les forces ukrainiennes affirment contrôler 500 kilomètres carrés, et de Figolivka, un village de la région ukrainienne de Kharkiv.

L'Ukraine a, quant à elle, endommagé avec des drones une station de pompage d'un oléoduc acheminant le pétrole kazakh vers la mer Noire puis en Europe en passant par le sud de la Russie, a signalé la compagnie exploitante.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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