Sorties entre amis, concerts, festivals, expositions, retrouvez notre sélection des événements du week-end à Genève.
Exposition: Les murs du lendemain
Dans le cadre du FIFDH, le festival international du film sur les droits humains, on vous propose de visiter cette exposition engagée. Ernest Pignon-Ernest a pris en janvier 2020 ses quartiers pour une résidence artistique au Cairn de Meyrin, en compagnie de Lyonel Trouillot, écrivain, poète, romancier, intellectuel engagé de Port-au-Prince, acteur de la scène francophone mondiale. Ensemble, ils ont travaillé à une publication dédiée au chanteur Jean Ferrat, décédé il y a tout juste dix ans.
Du 7 au 29 mars, une exposition présente les œuvres réalisées pendant la résidence, ainsi que d’autres travaux de l’artiste.
La projection de films documentaires sera également l’occasion pour les visiteurs, de mieux connaître le parcours et les œuvres de l’artiste.
Informations pratiques: Le Cairn - Espace culturel, Chemin du Jardin Alpin 7, 1217 Meyrin. Du mercredi au dimanche, de 14h à 18h. Entrée libre – tout public.
Des balades en famille dans le Genevois
Prendre l'air et s'aérer la tête fait toujours beaucoup de bien, surtout dans notre magnifique région. De très nombreuses balades se cachent dans le canton de Genève, alors pourquoi ne pas enfiler vos baskets et partir à la découverte des sentiers forestiers, des animaux sauvages, du bruit des ruisseaux ? On vous propose par exemple de vous engager sur le sentier des Teppes de Verbois, longeant le Rhône et passant près de plusieurs étangs, lieu idéal pour observer la faune locale.
Découvrez la vue époustouflante depuis le Fort de l'Écluse, à Léaz en France voisine. A seulement quelques minutes de route de Genève, cette ancienne construction militaire du XVIᵉ siècle est à la fois paisible et très impressionnante, après une grimpette d'une demi-heure dans les bois.
Si de nombreux événements et rassemblements ont été annulés ces derniers jours, ce n'est pas une raison pour rester inactif, même lorsque l'on préfère rester chez soi! Laissez-vous tenter par ces quelques idées, il y en a pour tous les goûts !
Découvrez des podcasts! Ils sont très à la mode aujourd'hui, et tous les sujets existent. Pour les fans de cinéma, rendez-vous avec Le Saloon, une production helvétique ou plusieurs passionnés confrontent leurs avis et partagent leurs points de vue. A retrouver sur leur chaine Youtube.
Les curieux peuvent se lancer dans PodcastScience, une émission pour faire aimer la science sous forme de questions-réponses. Les six chroniqueurs dont un lausannois vont vous faire découvrir des sujets techniques tout en cassant les préjugés. Avec plus de 400 épisodes à retrouver sur le site Podcats Suisse, pas de quoi s'ennuyer.
Découvrez ou redécouvrez des films en famille. Quoi de mieux en ce moment que de se plonger dans un univers de magie, de symbolique et de rêve? Les films du studio Ghibli sont proposés en ce moment sur Netflix, mais vous pouvez également les trouver sur d'autres plateformes, ainsi que dans les médiathèques du canton. Ces joyaux de l'animation plairont autant aux plus jeunes qu'aux adultes, des plus classiques avec Mon voisin Totoro ou Le voyage de Chihiro, aux moins connus Arriety ou Souvenirs goutte à goutte.
Prenez le temps de lire! C'est l'occasion de se plonger dans les pages d'auteurs suisses. Le grand succès de Joël Dicker par exemple, La vérité sur l'affaire Harry Quebert, ou son tout nouveau L'énigme de la chambre 622 ou encore L'ogre de Jacques Chessex, prix Goncourt de 1973.
Faites travailler vos méninges et jouez entre amis. Si le UNO vous ennuie, essayez notre sélection de jeux helvétiques. Frantic, petit jeu typiquement suisse, rajoute plusieurs éléments malicieux au grand classique du jeu de cartes, pour des parties animées! Jaipur est une production de GameWorks qui vous emmènera dans des contrées orientales pour conquérir le marché du Maharaja, quant à Mr Jack, il vous plongera dans les ruelles sombres de Londres, à travers une enquête haletante.
Le bâtiment situé au Boulevard des Philosophes à Genève sera transformé en un lieu d’accueil et laboratoire d’innovation sociale pour 2027
Un bâtiment tout entier dédié aux questions d’égalité et ouvert à tous. C'est un projet qui a été rêvé il y a 10 ans déjà par des associations du Réseau Femmes et qui se concrétise. Ce lieu unique verra le jour à Genève en 2027 dans le quartier de Plainpalais. Il s’agit du projet la Collective, porté par la fondation pour l'égalité de genre.
Après avoir occupé le bâtiment durant 20 mois, La Collective ferme ses portes ce mois-ci le temps des travaux. Que trouvera-t-on sur place au moment de la réouverture ? Anne-Céline Machet directrice de la FEG, La Fondation pour l'égalité de genre, qui porte ce projet.
Anne-Céline Machet
Directrice de la FEG, la Fondation pour l'égalité de genre
Anne-Céline Machet Directrice de la FEG, la Fondation pour l'égalité de genre
Anne-Céline Machet Directrice de la FEG, la Fondation pour l'égalité de genre
Une crèche halte-garderie, un café-restaurant, des espaces dédiés aux associations féminines et féministes, une bibliothèque vont voir le jour dans ce bâtiment. Mais aussi des logements-relais pour des femmes seules ou avec enfants ainsi que des logements intergénérationnels. Un lieu unique en Suisse, explique Anne-Céline Machet.
Anne-Céline Machet
Directrice de la Fondation pour l'égalité de genre
Anne-Céline Machet Directrice de la Fondation pour l'égalité de genre
Anne-Céline Machet Directrice de la Fondation pour l'égalité de genre
Le lieu sera ouvert sur la cité. Raison pour laquelle des transformations importantes vont être nécessaires sur le bâtiment. Les précisions de Daniela Liengme, du cabinet d’architecte Liengme Mechkat, qui pilote le projet.
Toujours beaucoup de questions sans réponse après la rupture d'une conduite qui a privé 40'000 personnes d'eau potable sur 13 communes de la rive gauche genevoise, fin septembre. Le Centre demande des explications sur la communication de l'incident et l'amélioration du dispositif de gestion de crise.
Le parti du Centre veut faire la lumière sur les dysfonctionnements de communication qui ont suivi la rupture d'une conduite d'eau potable, le 29 septembre dernier à Genève. Il dépose une motion au Grand Conseil pour identifier les erreurs commises dans la gestion de crise et améliorer le dispositif d'alerte à l'avenir.
François Erard, premier signataire de la motion, salue le travail efficace des équipes de terrain pour colmater la fuite mais il souligne aussi et surtout "l'impréparation patente dans la gestion d'une situation de crise qui aurait pu avoir de plus graves conséquences".
François Erard
Député du Centre au Grand Conseil
François ErardDéputé du Centre au Grand Conseil
François ErardDéputé du Centre au Grand Conseil
Le conseil d'Etat genevois a lui aussi prévu de faire la lumière sur ce qu'il qualifie de "couac". PMais pour le Centre, il ne s'agit pas d'un couac mais d'une erreur.
Le MCG menace de saisir la justice si la Ville de Genève ne retire pas ses panneaux d'information sur le projet de passerelle piétonne du pont Mont-Blanc. Le Mouvement Citoyen Genevois dénonce une propagande déloyale et unilatérale.
Les panneaux de la discorde à Genève... Le MCG laisse jusqu'à mercredi au Conseil administratif de la Ville pour retirer ses panneaux d'information sur le projet de passerelle piétonne du pont du Mont-Blanc, qui sera en votation le 24 novembre prochain. Faute de quoi il saisira la chambre constitutionnelle de la cour de justice.
Le Mouvement Citoyen Genevois a adressé lundi une mise en demeure écrite au Conseil administratif. François Baertschi, le président du MCG dénonce une "propagande déloyale et unilatérale" qui ne met en avant que les points forts du projet.
François Baertschi
Président du MCG
François BaertschiPrésident du MCG
François BaertschiPrésident du MCG
En réponse, le collaborateur personnel de Frédérique Perler nous a précisé laconiquement que le "courrier du MCG sera examiné et qu'il y sera répondu en temps voulu".
La Ville de Genève a officiellement inauguré, lundi, la crèche Eglantyne Jebb, en plein coeur du quartier des Eaux-Vives. Cette crèche est la 87e structure de ce type en Ville de Genève et la troisième qui est municipalisée.
"En 2021, le Conseil administratif a adopté le principe de la municipalisation par étapes des structures d'éducation préscolaire", rappelle la maire de la Ville de Genève Christina Kitsos, dans un communiqué. Ce fut une victoire historique, difficilement acquise, qui a mis un terme à des années de discussions, ajoute l'élue.
La crèche Eglantyne Jebb accueille depuis la rentrée d'août 27 enfants. Elle atteindra sa pleine capacité de 59 places pour des enfants de 0 à 4 ans à la rentrée 2026. La crèche se présente sur 3 étages. Elle est équipée d'une cuisine et d'une salle de pause. Elle offre deux espaces de jeux extérieurs.
Une première réponse à la forte demande de places de crèches dans le quartier des Eaux-Vives.
Christina Kitsos
Conseillère administrative en charge de la cohésion sociale et de la solidarité
Christina KitsosConseillère administrative en charge de la cohésion sociale et de la solidarité
Christina KitsosConseillère administrative en charge de la cohésion sociale et de la solidarité
De quoi apporter une bouffée d'oxygène au quartier des Eaux-Vives qui est particulièrement sous-doté en accueil pré-scolaire. Mais d'autres projets sont en cours de finalisation. Christina Kitsos, conseillère administrative en charge de la cohésion sociale et de la solidarité.
Christina Kitsos
Conseillère administrative en charge de la cohésion sociale et de la solidarité
Christina KitsosConseillère administrative en charge de la cohésion sociale et de la solidarité
Christina KitsosConseillère administrative en charge de la cohésion sociale et de la solidarité
La crèche porte le nom d'Eglantyne Jebb, l'autrice de la Déclaration de Genève, en 1924, un texte qui reconnaît des droits universels aux enfants. Cette déclaration a inspiré l'actuelle Convention relative aux droits de l'enfant des Nations Unies.
A Genève, l'ancien député PLR au Grand Conseil genevois et conseiller municipal de la Ville de Genève Simon Brandt a annoncé son retour en politique dans une interview qu'il a accordée lundi au Blick. Il se présentera aux élections municipales du printemps prochain sous les couleurs de Libertés et Justice sociale (LJS), le parti du conseiller d'Etat Pierre Maudet.
Simon Brandt avait mis sa carrière politique entre parenthèses, en 2020, après avoir fait l'objet d'une enquête de la justice genevoise qui le soupçonnait de violations de secret de fonction commises dans le cadre de son mandat de conseiller municipal et de son travail au service d'analyse stratégique de la police.
Simon Brandt a depuis été blanchi. L'ancien membre du PLR avait été traumatisé par son arrestation et son interrogatoire au poste de police. Il avait considéré avoir été traité comme un criminel. Il avait été menotté, déshabillé et fouillé au corps. Il s'était, suite à cette mésaventure, éclipsé de la scène politique.
Approché par plusieurs partis
Dans les colonnes du Blick, Simon Brandt explique son retour aux affaires. "J'ai pris le temps pour me reconstruire, après les épreuves traversées ces cinq dernières années", note-t-il. "J'ai été approché par plusieurs partis, mais mon attachement à la défense des libertés et au sens de la justice ne pouvait que me porter chez LJS".
Simon Brandt a donc rejoint le parti fondé par Pierre Maudet, une personne dont il a été très proche et qui se débattait, à l'époque, dans les ennuis judiciaires causés par un voyage à Abou Dhabi, en 2015. L'ex-conseiller municipal s'estime, encore aujourd'hui, une "victime collatérale" de cette affaire qui avait fait grand bruit.
Simon Brandt admet avoir dû, avant d'adhérer à LJS, "solder certains points personnels" avec Pierre Maudet. Aujourd'hui, la page est tournée et il estime que la nouvelle formation politique fondée par son ancien mentor est "le nouveau parti radical", l'aile sociale et populaire "qui n'est plus du tout représentée par le PLR actuel".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats