Rejoignez-nous

Actualité

Genève: un feu a pris à la rue de l'Arquebuse tôt ce dimanche

Publié

,

le

Branle-bas de combat tôt ce dimanche matin à Plainpalais. Un feu a pris au 4ème étage de l'immeuble situé au 27 rue de l'Arquebuse peu avant 8 heures. Six personnes ont été évacuées mais il n'y a aucun blessé.

Le feu a mobilisé près d'une cinquantaine de pompiers. L'incendie s'est rapidement propagée côté place du Cirque, par les combles. Il est actuellement éteint mais les pompiers soulèvent les tuiles du toit pour éviter toute reprise des flammes. Une opération qui devrait durer jusqu'à midi.

Les explications du Lieutenant Nicolas Millot, officier de communication du Service d'incendie et de secours (SIS)

Lieutenant Nicolas MillotOfficier de communication des SIS

Locataires de l'appartement absents

L'origine du feu n'est pas connue. Les locataires étaient absents lorsqu'il s'est déclaré. Les autres locataires de l'immeuble ont été évacués par sécurité. La police scientifique enquête actuellement sur l'origine du sinistre.

Feu dans les combles

Un feu dans les combles n'est pas évident à traiter. A cause des alimentation  qui font comme des toiles d'araignée. Nicolas Millot.

Lieutenant Nicolas MillotOfficier de communication des SIS

Les pompiers ont soulevé les tuiles du toit pour sécuriser les lieux.

Lieutenant Nicolas MillotOfficier de communication des SIS

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Espagne: au moins un mort dans des inondations dans le sud

Publié

le

Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montraient dans la nuit de samedi à dimanche les rues de plusieurs villages du sud de l'Espagne inondées, les services de secours s'attelant de leur côté à les nettoyer dans la matinée. (© KEYSTONE/EPA/KAI FORSTERLING)

Au moins une personne est morte dans les importantes inondations survenues dans le sud de l'Espagne à la suite de pluies diluviennes dans la nuit de samedi à dimanche, ont annoncé les secours. Deux personnes restent portées disparues à ce stade, selon les autorités.

L'Espagne est en première ligne du dérèglement climatique en Europe, avec ces dernières années des épisodes de canicule plus longs en été et des cas de pluies torrentielles générées par la hausse des quantités de gaz à effet de serre engendrée par l'activité humaine.

Ce pays reste profondément marqué par les grandes inondations de 2024 qui avaient fait plus de 230 morts, principalement dans la région de Valence (est).

Corps retrouvé

"Le corps d'une personne a été retrouvé dans la zone où se déroulent les recherches de personnes disparues à Alhaurín el Grande, à Malaga" en Andalousie, ont déclaré dimanche les secours espagnols sur le réseau social X, précisant que leurs équipes "continuent de travailler" sur place.

Une autre personne est toujours recherchée dans cette zone et une autre plus près de Grenade, d'après les autorités et la Garde civile.

Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montraient dans la nuit de samedi à dimanche les rues de plusieurs villages du sud de l'Espagne inondées, les services de secours s'attelant de leur côté à les nettoyer dans la matinée.

"Vigilance maximale"

Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a appelé sur X la population à "la vigilance maximale" face à cette situation.

L'agence météorologique nationale espagnole (Aemet) avait abaissé en fin de matinée de rouge à orange son niveau d'alerte en Andalousie mais les fortes pluies se concentraient en fin d'après-midi sur le littoral de la région de Valence.

"Pluies torrentielles sur la côte sud de Valence" avec "risque d'inondations et de crues soudaines", a alerté l'Aemet sur X. Cette alerte rouge est en vigueur "en principe jusqu'à 19h59" dimanche.

La région de Murcie, voisine de celle de Valence, était également touchée par de violentes précipitations dimanche.

Précédent dramatique en 2024

Ces nouvelles pluies diluviennes interviennent un peu plus d'un an après les grandes inondations d'octobre 2024.

Cette catastrophe avait provoqué l'émoi de toute l'Espagne et suscité la colère des sinistrés, qui avaient critiqué la gestion de l'alerte et des secours, sur fond de polémique entre le gouvernement central de gauche et les autorités régionales de droite sur les compétences des uns et des autres dans ces domaines.

L'enquête sur la réponse des autorités régionales ce jour-là reste un feuilleton très suivi par les médias espagnols. Cible des critiques, le président régional de droite, Carlos Mazón, avait fini par démissionner début novembre face à la pression populaire.

En Espagne, un pays très décentralisé, la gestion des catastrophes - notamment climatiques - relève de la responsabilité des autorités régionales.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

Continuer la lecture

International

Trump: Zelensky et Poutine sont "sérieux" sur le plan de paix

Publié

le

Recevant son homologue ukrainien dans sa résidence Mar-a-Lago, en Floride, le président américain a déclaré qu'il n'avait pas de "date butoir" autre que la "fin" de ce conflit de près de quatre ans, pour ajouter aussitôt qu'il pensait que les négociations étaient "dans leurs dernières étapes". (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Donald Trump a estimé dimanche que Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky étaient les deux "sérieux" dans leur volonté de faire cesser les hostilités en Ukraine. Il s'exprimait à l'occasion de pourparlers qu'il estime être les "dernières étapes" de son plan de paix.

Recevant son homologue ukrainien dans sa résidence Mar-a-Lago à Palm Beach, en Floride, le président américain a déclaré qu'il n'avait pas de "date butoir" autre que la "fin" de ce conflit de près de quatre ans, pour ajouter aussitôt qu'il pensait que les négociations étaient "dans leurs dernières étapes".

Donald Trump s'est entretenu auparavant au téléphone avec son homologue russe, à l'occasion d'un échange qu'il a jugé "très productif", sans toutefois entrer dans le détail de la discussion.

Zelensky joue gros

Volodymyr Zelensky joue gros dans cette rencontre, la première entre les deux hommes depuis le mois d'octobre, lorsque le dirigeant ukrainien était venu demander - en vain - des missiles Tomahawk.

Cette fois, il vient chercher l'imprimatur de Donald Trump sur une nouvelle version du plan de paix en Ukraine présenté par Washington il y a près d'un mois.

Nouvelle mouture

Le président ukrainien a dévoilé cette semaine la nouvelle mouture de ce document, retravaillé après d'âpres négociations réclamées par Kiev, qui jugeait la première version beaucoup trop proche des revendications russes.

La nouvelle version propose un gel du front sur les positions actuelles sans offrir de solution immédiate face aux revendications territoriales de la Russie, qui contrôle environ 20% de l'Ukraine.

Ce document abandonne aussi deux exigences clés du Kremlin: un retrait des troupes ukrainiennes de la région de Donetsk et un engagement de l'Ukraine juridiquement contraignant de non-adhésion à l'Otan.

Soutien des Européens et de l'Otan

Samedi, lors d'une étape à Halifax au Canada, le président ukrainien a reçu le soutien appuyé d'Ottawa ainsi que des Européens et de l'Otan.

Dimanche, après la rencontre Trump-Zelensky à Mar-a-Lago, un appel téléphonique entre les deux hommes et des dirigeants européens est prévu.

Inadmissible pour les Russes

Accroissant la pression sur le terrain, la Russie a pilonné samedi Kiev et sa région, privant d'électricité durant des heures plus d'un million de foyers, puis annoncé la prise de deux nouvelles villes dans l'est de l'Ukraine.

Pour la Russie, qui a trouvé en Donald Trump un relai efficace de certaines de ses revendications, "l'Europe et l'Union européenne sont devenues le principal obstacle à la paix", selon le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

S'exprimant après l'appel téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, le conseiller diplomatique du Kremlin Iouri Ouchakov assure que "la Russie et les Etats-Unis partagent le même point de vue selon lequel la proposition ukrainienne et européenne d'un cessez-le-feu temporaire (...) ne ferait que prolonger le conflit et entraînerait une reprise des hostilités."

Il a en outre appelé l'Ukraine à prendre la décision "courageuse" de retirer ses troupes du Donbass afin de "mettre fin" à la guerre.

Garanties de sécurité

Donald Trump acceptera-t-il de mettre davantage la pression sur Moscou, comme le réclame la partie ukrainienne?

Le président américain, qui ne cache plus son agacement face à l'étirement des négociations, "est extrêmement frustré par les deux camps", avait déclaré le 11 décembre sa porte-parole Karoline Leavitt. Le 19 décembre, le dirigeant américain avait pressé l'Ukraine de "bouger".

Outre le sort du Donbass, cette région de l'est de l'Ukraine que Moscou revendique, et celui de la centrale nucléaire de Zaporijjia occupée par les soldats russes, dans le sud, les deux dirigeants devraient évoquer les garanties de sécurité que les Occidentaux pourraient fournir dans le cadre d'un éventuel accord de paix.

Ces "garanties de sécurité doivent arriver en même temps que la fin de la guerre," a insisté Volodymyr Zelensky samedi. "Il y aura des garanties de sécurité. Elles seront fortes. Et les pays européens sont très impliqués", a assuré dimanche le président américain sur le perron de Mar-a-Lago.

Figer la ligne de front

Il avait également auparavant laissé entendre que, selon lui, l'Ukraine avait intérêt à figer la ligne de front face à de futures avancées russes qu'il juge inévitables.

"La Russie a l'avantage. Et elle l'a toujours eu", avait-il lancé le 8 décembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Trois morts en Syrie dans une manifestation d'alaouites

Publié

le

Un homme blessé dans les heurts entre Alaouites et contre-manifestants à l'hôpital. (© KEYSTONE/AP/Omar Albam)

Au moins trois personnes ont été tuées dimanche en Syrie. Des milliers d'alaouites ont manifesté dans plusieurs villes du pays contre une attaque meurtrière visant cette minorité musulmane.

La communauté alaouite, une branche de l'islam chiite dont est issu le président déchu Bachar al-Assad, est la cible d'attaques depuis qu'une coalition islamiste a pris le pouvoir à Damas fin 2024.

Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), basé au Royaume-Uni et disposant d'un vaste réseau de sources dans le pays, les forces de l'ordre ont tué deux personnes en dispersant une manifestation dans la ville côtière de Lattaquié, dans l'ouest du pays.

L'agence officielle Sana, citant les services de santé, a ensuite fait état d'un bilan de "trois décès et 60 blessés".

"Maîtrisé la situation"

Les autorités n'ont de leur côté pas confirmé avoir ouvert le feu sur la foule, mais ont dit avoir "maîtrisé la situation" et ont accusé des partisans de l'ancien président Bachar al-Assad d'avoir attaqué la foule.

"Nos forces de sécurité et les manifestants ont été la cible de tirs d'origine inconnue", a déclaré le général Abdel Aziz al-Ahmad, chef de la sécurité dans la région.

Des correspondants de l'AFP ont vu des policiers intervenir en tirant des coups de feu en l'air, pour tenter de ramener le calme.

"Oppression" dénoncée

Le dignitaire Ghazal Ghazal, président du Conseil islamique alaouite en Syrie et à l'étranger, a accusé les autorités d'avoir attaqué "des civils non armés" exerçant leur "droit légitime" et dénoncé "l'oppression" des autorités.

Outre Lattaquié, des échauffourées entre manifestants et partisans des autorités ont eu lieu à Jablé, également situé sur la côte méditerranéenne.

La situation était également tendue à Homs, d'après l'OSDH qui a fait état de plusieurs blessés. C'est dans cette ville du centre du pays qu'a eu lieu vendredi l'attentat contre une mosquée qui a fait huit morts, pendant la prière.

"Nous ne soutenons pas Assad... Pourquoi cette tuerie?", s'interroge Numeir Ramadan, un marchand de 48 ans, venu manifester à Lattaquié.

Pour "un fédéralisme politique"

Le chef spirituel alaouite avait lancé cet appel à manifester pour "montrer au monde que la communauté alaouite ne peut pas être humiliée ou marginalisée", après un rassemblement similaire fin novembre.

"Nous ne voulons pas d'une guerre civile, nous voulons un fédéralisme politique. Nous ne voulons pas de votre terrorisme. Nous voulons décider de notre propre destin", avait commenté M. Ghazal. Son visage s'affichait dimanche sur des photos brandies par la foule, qui a entonné des chants appelant à davantage d'autonomie.

"Notre première revendication est le fédéralisme afin de mettre fin au bain de sang. On nous tue parce que nous sommes alaouites", déplore Hadil Saleh, femme au foyer de 40 ans.

Groupuscule extrémiste sunnite

Saraya Ansar al-Sunna, un groupuscule extrémiste sunnite peu connu, a revendiqué l'attentat de vendredi sur Telegram, jurant de poursuivre les attaques ciblant "les infidèles et apostats", en référence aux minorités.

En mars, des massacres sur le littoral avaient fait plus de 1700 morts, essentiellement des alaouites, après des affrontements entre forces de sécurité et partisans de Bachar al-Assad, selon l'OSDH. Une commission nationale d'enquête avait recensé au moins 1426 morts, pour la plupart des civils.

Craintes des minorités

Dimanche, les manifestants ont par ailleurs réclamé la libération de détenus issus de la communauté alaouite.

Selon la télévision d'Etat syrienne, 70 d'entre eux ont été remis en liberté il y a deux jours "après qu'il a été prouvé qu'ils n'étaient pas impliqués dans des crimes de guerre", et d'autres libérations sont attendues.

La prise du pouvoir par Ahmad al-Chareh, ancien jihadiste de 42 ans, a renforcé les craintes des minorités syriennes.

Les autorités multiplient les gestes pour rassurer sur leur capacité à pacifier et réunifier le pays après une guerre civile de plus de 13 ans mais ont rejeté leur demande de la mise en place d'un système fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Kosovo: le parti au pouvoir en tête mais sans majorité

Publié

le

Les sondages suggèrent que le parti d'Albin Kurti pourrait obtenir jusqu'à 50 des 120 sièges du Parlement, une majorité insuffisante pour gouverner seul, dans une répétition du résultat du 9 février dernier qui lui avait accordé 42% des voix. (© KEYSTONE/EPA/GEORGI LICOVSKI)

Les bureaux de vote ont fermé dimanche soir au Kosovo. Le parti du Premier ministre sortant Albin Kurti remporte les législatives, mais sans une majorité permettant de mettre fin au blocage politique qui paralyse le pays, selon les sondages de sortie des urnes.

Selon la chaîne de télévision Klan kosova, le parti Vetevendosje (VV) de M. Kurti l'emporte avec 44,1% des suffrages, suivi du Parti démocratique du Kosovo (PDK) avec 23,9% et de la Ligue démocratique du Kosovo (LDK) avec 16,1%.

La chaîne T7 place de son côté VV à 43,5%, et les autres sondages fournissent également une victoire sans majorité absolue.

"Ni solution ni chemin"

Ces sondages suggèrent que le parti d'Albin Kurti pourrait obtenir jusqu'à 50 des 120 sièges du Parlement, une majorité insuffisante pour gouverner seul, dans une répétition du résultat du 9 février dernier qui lui avait accordé 42% des voix.

"Les électeurs n'ont pas dégagé de solution ni de chemin pour sortir de la crise", a déclaré Dukagjin Gorani, un observateur indépendant, à des médias locaux.

Un électeur interrogé par l'AFP à Pristina, Arben Xhelili, économiste de 42 ans, s'est montré bien peu optimiste après avoir voté. "Je m'attends à retrouver la même situation après les élections", a-t-il dit.

Le taux de participation s'est élevé à 45%, un peu plus que lors des élections de février lors desquelles 40,6% des électeurs s'étaient déplacés.

"Des institutions fonctionnelles"

Brikenda Rexhepi, rédactrice en chef du groupe de presse Koha, avait expliqué à l'AFP avant le scrutin que "derrière l'instabilité politique et la frustration de la population, le blocage a un coût économique et diplomatique évident".

Cette élection offre pourtant la possibilité de former "des institutions fonctionnelles après un an d'attentes déçues", avait-elle souligné.

Dans une chambre divisée, les députés avaient eu besoin après les élections de février de plus de 50 séances pour se mettre d'accord sur un président du Parlement, et jamais aucune coalition n'a réussi à être formée, ni aucun gouvernement élu par le parlement, comme le prévoit la constitution.

Il a donc fallu se résoudre à des élections anticipées. "Dès que le résultat des élections sera connu, nous ferons tout ce que nous pouvons pour constituer un Parlement aussitôt que possible, et former un gouvernement", a promis M. Kurti dimanche après avoir voté.

"Dépasser les 50%"

M. Kurti avait dit compter, après une campagne express de deux semaines, "gagner largement" et "dépasser les 50%", lors d'un entretien à Pristina mardi.

Alors qu'il avait fait campagne en février en promettant de gouverner le Kosovo "d'un bout à l'autre", même dans les territoires à majorité serbe, M. Kurti a cette fois surtout parlé d'économie.

Croissance de 4%

"L'économie se porte très bien et nous allons, cette année encore enregistrer une croissance de 4% du PIB. Tout au long de mon mandat, nous ne sommes jamais descendus en dessous de 4%", a-t-il fait valoir.

Ces derniers jours, il a également annoncé que le gouvernement verserait 100 euros aux retraités et à chaque famille avec des enfants en bas âge d'ici la fin de l'année.

De la "corruption électorale", ont attaqué les deux autres principaux partis, le Parti démocratique du Kosovo (PDK) et la Ligue démocratique du Kosovo (LDK).

Eux aussi ont fait campagne sur l'économie et les catégories sociales les plus fragiles - mais en s'en prenant au bilan du gouvernement sortant.

"Kosovo mal gouverné"

"Le Kosovo a été mal gouverné. Les prix ont augmenté de 40 à 50%, l'électricité est devenue plus chère, tandis que les salaires et les retraites sont restés presque inchangés", a dit le leader du PDK, Bedri Hamza.

"Les projets de développement sont restés lettre morte", et "l'inflation a grignoté les revenus", a critiqué en écho Lumir Abdixhiku, candidat du LDK.

Il a aussi attaqué le bilan diplomatique de M. Kurti - dont la politique de fermeté envers la minorité serbe a été critiquée par plusieurs alliés, dont les Etats-Unis. "Nous avons perdu la confiance de la communauté internationale", a accusé M. Abdixhiku.

Plus de deux millions d'électeurs étaient appelés à voter - dont plusieurs dizaines de milliers inscrits à l'étranger.

Outre les trois grands partis, les électeurs devaient aussi se décider pour les 20 sièges réservés aux minorités - 10 pour la minorité serbe, 4 pour les Roms, Ashkalis et Egyptiens des Balkans, 3 pour les Bosniaques, 2 pour les Turcs et 1 pour les Gorans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Brigitte Bardot est morte à 91 ans

Publié

le

Brigitte Bardot est décédée à l'âge de 91 ans (archives). (© KEYSTONE/PHOTOPRESS-ARCHIV/STR)

L'actrice mythique du XXe siècle Brigitte Bardot est morte à 91 ans. Dans son communiqué dimanche, la Fondation Brigitte Bardot n'a pas précisé le jour ou le lieu du décès.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 3 heures

Espagne: au moins un mort dans des inondations dans le sud

Au moins une personne est morte dans les importantes inondations survenues dans le sud de l'Espagne à la suite de...

InternationalIl y a 4 heures

Trump: Zelensky et Poutine sont "sérieux" sur le plan de paix

Donald Trump a estimé dimanche que Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky étaient les deux "sérieux"...

InternationalIl y a 5 heures

Trois morts en Syrie dans une manifestation d'alaouites

Au moins trois personnes ont été tuées dimanche en Syrie. Des milliers d'alaouites ont manifesté...

InternationalIl y a 10 heures

Kosovo: le parti au pouvoir en tête mais sans majorité

Les bureaux de vote ont fermé dimanche soir au Kosovo. Le parti du Premier ministre...

CultureIl y a 12 heures

Brigitte Bardot est morte à 91 ans

L'actrice mythique du XXe siècle Brigitte Bardot est morte à 91 ans. Dans son communiqué...

SantéIl y a 13 heures

Au musée, le dernier chapitre des loups vaudois

Ici convergent les loups morts, accidentés ou tirés sur sol vaudois. A l'atelier de taxidermie...

PolitiqueIl y a 14 heures

L'ancien syndic de Lausanne Daniel Brélaz est décédé

Daniel Brélaz (75 ans) est décédé dans la nuit de samedi à dimanche. Le premier...

ConcoursIl y a 15 heures

Radio Lac vous emmène aux Vernets pour GSHC - Rapperswil

Nouvelle soirée de hockey à vivre aux Vernets! Radio Lac vous offre vos billets pour...

SuisseIl y a 17 heures

Genève peut profiter des économies à l'ONU, dit sa présidente

Les mesures d'austérité de l'ONU ne menacent pas la Genève internationale, estime la présidente de...

SuisseIl y a 17 heures

Le WWF désigne les gagnants et perdants 2025 du règne animal

Malgré certains succès en matière de protection des espèces, le bilan global pour le monde...