A l'occasion de son cinquantième anniversaire, la Fondation des Parkings s'est penchée sur les mobilités du futur et sur les enjeux en terme d'infrastructures, notamment en matière de stationnement.
Lors d'un séminaire regroupant des acteurs de la mobilité, des élus ou encore des entrepreneurs, différents intervenants ont exploré les dernières tendances et ont tenté d'esquisser celles de demain.
Le professeur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL, Vincent Kaufmann a débuté son propos en évoquant la démotorisation à Genève. Difficile à croire quand on voit le nombre de voitures et du coup de bouchons qui encombrent le canton. Les explications de Vincent Kaufmann:
Vincent Kaufmann
Professeur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Vincent KaufmannProfesseur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Vincent KaufmannProfesseur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Le professeur a dressé une typologie des logiques de choix modal. L'idée étant de répondre aux questions: qui emprunte quel type de transport? Et pourquoi? Les "automobilistes exclusifs" sont en perte de vitesse, souligne Vincent Kaufmann:
Vincent Kaufmann
Professeur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Vincent KaufmannProfesseur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Vincent KaufmannProfesseur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
De nouvelles catégories ont fait leur apparition. Tels que les "comparateurs de confort":
Vincent Kaufmann
Professeur de sociologie urbaine et d’analyse des mobilités à l’EPFL
Vincent KaufmannProfesseur de sociologie urbaine et d’analyse des mobilités à l’EPFL
Vincent KaufmannProfesseur de sociologie urbaine et d’analyse des mobilités à l’EPFL
Vincent Kaufmann identifie un troisième type soit "les prédisposés aux modes individuels":
Vincent Kaufmann
Professeur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Vincent KaufmannProfesseur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Vincent KaufmannProfesseur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Quelle mobilité demain?
Face à ces changements de comportements, difficile de prévoir à quoi ressemblera la mobilité dans le futur. Pourtant, il s'avère nécessaire de prendre en compte les différents scénarios pour développer les infrastructures de demain. Un enjeu dont a conscience le conseiller d'Etat chargé des Infrastructures, Serge Dal Busco:
Serge Dal Busco
Conseiller d'état chargé des Infrastructures
Serge Dal BuscoConseiller d'état chargé des Infrastructures
Serge Dal BuscoConseiller d'état chargé des Infrastructures
Hormis les comportements humains, l'arrivée, par exemple, des véhicules autonomes pourrait aussi changer la donne, comme le souligne Serge Dal Busco:
Serge Dal Busco
Conseiller d'état chargé des Infrastructures
Serge Dal BuscoConseiller d'état chargé des Infrastructures
Serge Dal BuscoConseiller d'état chargé des Infrastructures
D'où les conseils de Vincent Kaufmann:
Vincent Kaufmann
Professeur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Vincent KaufmannProfesseur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Vincent KaufmannProfesseur de sociologie urbaine et d'analyse des mobilités à l'EPFL
Le parking du futur
Les parkings, eux aussi, s'adaptent. A quoi ressemblera le parking du futur? La réponse du président de la Fondation, Antoine De Raemy:
Antoine De Raemy
Président de la Fondation des Parkings
Antoine De RaemyPrésident de la Fondation des Parkings
Antoine De RaemyPrésident de la Fondation des Parkings
Aujourd'hui déjà, la Fondation s'occupe de près de 180 parkings. S'ajoutent la gestion des macarons, ainsi que le contrôle du stationnement. Le tout en utilisant les nouvelles technologies. Autre adaptation essentielle aux yeux d'Antoine De Raemy:
Antoine De Raemy
Président de la Fondation des Parkings
Antoine De RaemyPrésident de la Fondation des Parkings
Antoine De RaemyPrésident de la Fondation des Parkings
Et c'est loin d'être terminé. Dix projets de P+R sont sur les rails. Soit 6000 places de plus d'ici 2026.
Serge Dal Busco a, lui aussi, sa vision du parking du futur:
Serge Dal Busco
Conseiller d'état chargé des Infrastructures
Serge Dal BuscoConseiller d'état chargé des Infrastructures
Serge Dal BuscoConseiller d'état chargé des Infrastructures
Le conseiller d'état a aussi rappelé sa volonté d'agir sur le stationnement pour encourager le recours aux transports en commun, tel que le futur Léman express.
Le logo du "Credit Suisse" continuera à figurer sur les vestes d'entraînement et les maillots des joueurs de l'équipe nationale. Cela restera ainsi pour le moment, a déclaré l'ASF.
Du moins tant que la marque "Credit Suisse" existera encore, a avancé lundi le chef de la communication Adrian Arnold avant l'entraînement public de l'équipe nationale à Bâle.
Cette déclaration montre qu'il y a encore beaucoup de questions ouvertes concernant cette collaboration. Depuis 1993, le Credit Suisse est le sponsor principal de l'ASF et soutient non seulement l'équipe A, mais aussi toutes les équipes nationales de la relève avec des contributions considérables. Le contrat actuel court jusqu'au 30 juin 2024. "Nous avons eu de bonnes discussions avec nos contacts au CS, qui nous ont assuré que les contrats existants seraient honorés", a expliqué Arnold.
La suite des événements reste ouverte. "Nous souhaiterions que le partenariat se poursuive par la suite, sous quelque forme que ce soit", a fait savoir l'ASF. Des signaux positifs ont été émis quant à la poursuite de la collaboration. Mais tout est encore trop frais pour se fendre de déclarations fermes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Après la reprise de Credit Suisse par UBS, plusieurs centaines de personnes ont manifesté lundi soir sur la Paradeplatz à Zurich. Les Jeunes socialistes et d'autres organisations et partis avaient appelé à protester contre une forme d'"arnaque".
Il est scandaleux que la grande banque se soit enrichie pendant des années et que la collectivité doive maintenant payer. L'établissement a distribué des milliards en bonus et en dividendes, relèvent les organisateurs dans l'appel à manifester. Les responsables doivent rendre des comptes.
"Profits privés, pertes pour l'Etat", pouvait-on lire sur une banderole. Durant la manifestation, des slogans comme "brisons le pouvoir des banques et des multinationales!" ont été scandés.
La lutte contre la crise climatique, une prévoyance vieillesse sûre ou l'aide aux personnes en quête de protection sont soi-disant trop chères, mais pas le sauvetage des banques, ont souligné plusieurs orateurs. Ils ont appelé à la "décence" et à la "responsabilité". "Si le monde était une banque, vous l'auriez sauvé depuis longtemps", proclamait une banderole.
Outre les Jeunes socialistes, le mouvement de la grève du climat, les Jeunes Verts, le PS zurichois, les Verts zurichois, la Liste Alternative, le collectif de la grève féministe de Zurich et Unia ont également participé à cette manifestation, qui était autorisée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le rachat de Credit Suisse par UBS ne causera pas de graves dommages à l'économie suisse, estime lundi l'institut de recherches et conseils économiques BAK Economics. Néanmoins, jusqu'à 12'000 emplois pourraient disparaître.
Les deux banques comptent actuellement au total 37'000 emplois (équivalents plein temps/ETP) en Suisse. A moyen terme, le démantèlement du réseau de succursales et d'autres mesures de rationalisation consécutifs au rachat "entraîneront probablement la perte de 9500 à 12'000 ETP", ont calculé les experts.
Zurich sera le canton le plus touché: le potentiel de suppressions d'emplois est évalué entre 6500 et 8000 ETP. Soit 0,9% de l'ensemble des emplois cantonaux.
Malgré cela, il ne faut pas craindre une augmentation soudaine du taux de chômage, relève l'institut. Le processus de rationalisation d'UBS prendra plusieurs années. De plus, une partie des personnes concernées devrait être facilement employable sur le marché du travail, qui se caractérise par une pénurie de travailleurs qualifiés.
Selon BAK Economics, les effets négatifs de l'opération resteront largement limités au secteur bancaire. Le deal "réduit le risque d'une crise bancaire générale et permet de maintenir les services financiers sans restriction pour les clients de Credit Suisse".
BAK Economics maintient ses prévisions de croissance du PIB réel suisse pour 2023 à 0,7% et à 1,6% pour 2024.
Les sorties de fonds de la part de clients à l'étranger devraient désormais cesser, prévoit encore l'institut. En revanche, la perte de valeur ajoutée subie par la place financière suisse "risque d'être permanente". S'y ajoutent les incertitudes quant à l'éventuel impact sur le développement des activités internationales de gestion de fortune des banques suisses.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
La conseillere d'Etat genevoise Fabienne Fischer, en charge de l'economie et de l'emploi (DEE), s'exprime sur le rachat de la banque Credit Suisse par la banque UBS, lors d'une conference de presse, ce lundi 20 mars 2023 a Geneve. (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
À Genève, le rachat de Crédit Suisse préoccupe la ministre de l'économie Fabienne Fischer. 1700 emplois sont en jeu au bout du lac. Des réunions avec les partenaires économiques doivent avoir lieu ces prochains jours.
Fabienne Fischer est inquiète. La ministre genevoise de l'économie craint les conséquences sur l'emploi du rachat de Crédit Suisse (CS) par UBS. Le CS fait travailler environ 700 personnes et l'UBS compte quelque 1000 collaborateurs. Les deux établissements représentent 10% des emplois bancaires recensés au bout du lac. Avec des centaines d'emplois en jeu, la ministre souhaite éviter une casse sociale. Fabienne Fischer Conseillère d'Etat en charge de l'économie détaille son plan d'action.
Fabienne Fischer
Conseillère d'Etat en charge de l'économie
Fabienne Fischer Conseillère d'Etat en charge de l'économie
Fabienne Fischer Conseillère d'Etat en charge de l'économie
A ce stade, difficile pour le canton d'avoir une idée du nombre exact de postes menacés. Mardi, la conseillère d'Etat fera le point de la situation avec des représentants de la FER (Fédération des entreprises romandes), de l'Association suisse des employés de banque et de la fondation Genève place financière.
Peu de marge de manoeuvre
Une chose est sûre: la banque n'est pas un domaine où la réinsertion sera aisée. Le secteur a réduit ses effectifs ces dernières années. L'office cantonal de l'emploi, devra identifier les profils des professions pour mieux les réorienter.
La conseillère d'Etat a indiqué qu'elle ne s'était pas encore entretenue avec la direction régionale du Crédit Suisse. Elle le fera dès que les responsables de la banque auront reçu l'autorisation de s'exprimer. Mais la marge de manoeuvre du canton est faible comme l'explique Fabienne Fischer Conseillère d'Etat en charge de l'économie.
Fabienne Fischer
Conseillère d'Etat en charge de l'économie
Fabienne Fischer Conseillère d'Etat en charge de l'économie
Fabienne Fischer Conseillère d'Etat en charge de l'économie
Les autorités sont également soucieuses des répercussions que ce rachat va provoquer pour la place financière genevoise. Le tissu économique pourrait en souffrir, le CS comptant parmi sa clientèle un certain nombre de PME.
La forêt sera en fête samedi à Sauvabelin, sur les hauts de Lausanne. Au menu de cette 11e édition d'Arbracadabra, des démonstrations de débardage à cheval, des ateliers forestiers et nature, des contes et des concerts.
La manifestation a pour thème le rôle des forêts dans la protection du climat. Des professionnels de la forêt, des associations et des artistes participeront à cette journée, organisée par la ville de Lausanne en partenariat avec l'association Arbracadabra.
Une place de choix sera réservée à la filière forestière et aux métiers de la forêt. Des stands informeront sur l'actualité du plan canopée, qui vise à rafraîchir la ville, et le projet 123... Nature, qui cherche à dresser un état des lieux de la biodiversité.
Des stands de restauration et une buvette seront à la disposition du public, qui est invité à se rendre à la fête à pied ou en transports publics. Une navette est proposée depuis le parking-relais des Avettes (proche de Grand-Vennes), la Sallaz et Sauvabelin.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats