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Des milieux culturels, économiques et associatifs font front commun en faveur de la RFFA

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C'est le 19 mai que le peuple votera sur la réforme de l'imposition des entreprises. Hier, un panel bigarré s'est prononcé en faveur du oui à la RFFA fédérale et cantonale.

Dans les locaux de l'association Partage, le vert David Hiler a repris du service pour l'occasion. L'ancien conseiller d'Etat est sorti de sa retraite politique pour défendre-je cite- "un bon compromis qui soulage aussi les gens sur l'assurance-maladie", une référence à la proposition du Conseil d'Etat d'augmenter le montant des subsides d'assurance-maladie et d'élargir le cercle des bénéficiaires en contrepartie du volet fiscal. Les craintes de David Hiler:

David HilerAncien conseiller d'Etat

La conseillère administrative en Ville de Genève, chargée des Finances, Sandrine Salerno partage cette analyse. La socialiste se dit inquiète pour l'emploi en cas de non, craignant la fuite potentielle des entreprises, vers le canton de Vaud voisin, qui a vu son taux d'imposition des entreprises passer de 20,95% à 13,79% en début d'année.

Pour le patron de Kugler bimetal, présent lui aussi, Jérôme Chanton, il en va de la perennité des entreprises genevoises. Sa PME qui emploie 60 personnes verrait son taux passer de 24% à 13,99% (le taux unique proposé). Les explications de Jérôme Chanton:

Jérôme ChantonPatron de Kugler Bimetal

Les futurs entrepreneurs auront, eux aussi, de quoi se poser sérieusement des questions sur leur implantation en cas de non à la RFFA, estime Jérôme Chanton:

Jérôme ChantonPatron de Kugler Bimetal

Les craintes, portant sur les conséquences d'un non, atteignent aussi les milieux culturels. Car, des musées et fondations bénéficient de fonds provenant du secteur privé. C'est le cas du musée d’Art moderne et contemporain. Les explications du directeur du MAMCO, Lionel Bovier:

Lionel BovierDirecteur du MAMCO

Selon Marc Nobs, directeur de la fondation Partage, un non à la RFFA pourrait aussi avoir un impact négatif sur les activités de la banque alimentaire genevoise:

Marc NobsFondation Partage

Enfin, Xavier Magnin rappelle, au nom de l'association des communes genevoises, que le compromis trouvé a la faveur des municipalités. Notamment parce que les pertes fiscales sont en partie compensées. "La situation des communes est sensiblement améliorée par rapport au projet RIEIII. La part des communes à la rétrocession supplémentaire de l'impôt fédéral direct a été revue de 13% à 20%", martèlent les partisans du oui. Et de mettre en avant le maintien de la taxe professionnelle communale. Aux yeux de Sandrine Salerno, le problème d'un non le 19 mai, c'est l'incertitude du lendemain:

Sandrine SalernoConseillère administrative en Ville de Genève

@marie_prieur

Sport

Sion en déplacement à St-Gall

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Sion doit poursuivre sur sa bonne voie (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Mardi soir, le FC Sion est engagé pour la 18e journée de Super League. Les hommes de Didier Tholot se déplacent à St-Gall qui vient de faire tomber le leader Thoune.

La victoire étriquée (1-0) face à GC sur un penalty de Kololli a permis aux Sédunois de se constituer un petit matelas de trois points par rapport au 7e, Zurich. Mais les Zurichois traversent une période difficile, alors que les Brodeurs sont deuxièmes au classement. Reste que les Saint-Gallois ont perdu leur dernier match à domicile 2-1 face à Zurich, ce qui veut dire que les Valaisans peuvent s'inspirer de cela.

Ils peuvent également s'appuyer sur un gardien en forme puisqu'Anthony Racioppi a sorti deux clean sheets sur ses deux derniers matches en se montrant décisif.

L'autre rencontre de la soirée semble déséquilibrée sur le papier avec la lanterne rouge Winterthour qui reçoit le leader Thoune.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Trump poursuit la BBC pour 10 milliards de dollars

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Donald Trump réclame 10 millions de dollars à la BBC. (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Donald Trump, qui accuse la BBC d'avoir réalisé un montage vidéo trompeur de lui, a porté plainte contre le groupe audiovisuel public britannique lundi, et réclame 10 milliards de dollars, notamment pour diffamation, selon un document judiciaire.

La plainte, déposée en Floride par le président américain, réclame "des dommages et intérêts d'un montant minimum de 5 milliards de dollars" pour chacun des deux chefs d'accusation: diffamation et violation d'une loi sur les pratiques commerciales trompeuses et déloyales.

"Ils ont littéralement mis des mots dans ma bouche", s'est plaint le milliardaire de 79 ans lundi, devant la presse.

Il y a quelques semaines, le président américain avait affirmé qu'il réclamerait "entre un et cinq milliards de dollars" à la BBC.

Le groupe audiovisuel britannique, dont l'audience et la réputation dépassent les frontières du Royaume-Uni, est dans la tourmente depuis des révélations sur son magazine phare d'information "Panorama".

Ce dernier a diffusé, juste avant la présidentielle américaine de 2024, des extraits distincts d'un discours de Donald Trump du 6 janvier 2021 montés de telle façon que le républicain semble appeler explicitement ses partisans à attaquer le Capitole à Washington.

Des centaines de ses partisans, chauffés à blanc par ses accusations sans fondement de fraude électorale, avaient pris d'assaut ce jour-là le sanctuaire de la démocratie américaine, pour tenter d'y empêcher la certification de la victoire de Joe Biden.

"La BBC, autrefois respectée et aujourd'hui discréditée, a diffamé le président Trump en modifiant intentionnellement, malicieusement et de manière trompeuse son discours dans le but flagrant d'interférer dans l'élection présidentielle de 2024", a dénoncé lundi un porte-parole des avocats du républicain contacté par l'AFP.

"La BBC a depuis longtemps l'habitude de tromper son public dans sa couverture du président Trump, au service de son programme politique de gauche", a-t-il ajouté.

Lettre d'excuses

Au Royaume-Uni, la controverse a relancé le brûlant débat sur le fonctionnement de l'audiovisuel public et son impartialité, alors que le groupe a déjà été bousculé ces dernières années par plusieurs polémiques et scandales.

L'affaire a poussé à la démission son directeur général Tim Davie et sa patronne de l'information Deborah Turness.

Le président de la BBC Samir Shah a pour sa part envoyé une lettre d'excuses à Donald Trump, sans réussir à l'apaiser. Il a toutefois rejeté les accusations du président américain, et s'est dit déterminé à contester toute plainte pour diffamation.

La plainte de Donald Trump estime que, malgré ses excuses, la BBC "n'a manifesté ni véritables remords pour ses agissements ni entrepris de réformes institutionnelles significatives afin d'empêcher de futurs abus journalistiques".

Le président américain a lancé ou menacé de lancer des plaintes contre plusieurs groupes de médias aux Etats-Unis, dont certains ont versé de coquettes sommes pour mettre fin aux poursuites.

Depuis son retour au pouvoir, il a fait entrer à la Maison Blanche de nombreux créateurs de contenus et influenceurs qui lui sont favorables, tout en multipliant les insultes contre des journalistes issus de médias traditionnels.

L'un de ces nouveaux venus invités par le gouvernement Trump est la chaîne conservatrice britannique GB News, proche du chef du parti anti-immigration Reform UK, Nigel Farage.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'attentat à Sydney motivé par "l'idéologie de l'Etat islamique"

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L'émotion est encore vive à Bondi Beach, où officiels et anonymes rendaient lundi hommage aux victimes de l'attentat de la veille. (© KEYSTONE/EPA/MICK TSIKAS)

Le Premier ministre australien Anthony Albanese a estimé mardi que les auteurs de l'attentat antisémite sur une plage de Sydney, qui a fait au moins 15 morts et 42 blessés, étaient probablement "motivés par l'idéologie" du groupe "Etat islamique".

Dimanche soir, alors qu'une foule était rassemblée sur la plage de Bondi pour la fête juive de Hanouka, Sajid et Naveed Akram, un père et son fils, ont ouvert le feu à au moins 40 reprises, pendant une dizaine de minutes.

Les autorités ont qualifié l'attentat d'antisémite mais n'avaient jusque-là donné que peu de détails sur les motivations des assaillants.

Mardi, Anthony Albanese a fourni l'une des premières indications laissant penser que les deux hommes s'étaient radicalisés avant de commettre ce "meurtre de masse".

"Il semblerait que cela ait été motivé par l'idéologie de l'Etat islamique" (EI) a déclaré le chef du gouvernement à la chaîne nationale ABC.

Bombes artisanales

Le véhicule retrouvé près de la plage de Bondi était immatriculé au nom du fils et contenait "deux drapeaux de l'Etat islamique confectionnés à la main" et des engins explosifs improvisés, a délcaré mardi Mal Lanyon, responsable de la police de Nouvelle-Galles-du-Sud.

Le groupe djihadiste EI a contrôlé de vastes territoires en Irak et en Syrie, avant d'être défait en 2019, mais a toujours des cellules dormantes de combattants dans le pays.

M. Lanyon a précisé que la police enquêtait sur un voyage aux Philippines effectué par le père et le fils, un mois avant les faits. Ils étaient entrés dans ce pays en tant avec un passeport indien pour le père et avec un passeport australien pour le fils, selon l'immigration philippine.

"Les raisons pour lesquelles ils sont allés aux Philippines, l'objectif de ce déplacement et les lieux qu'ils ont visités font actuellement l'objet d'une enquête".

Le sud de l'archipel notamment abrite des foyers extrémistes, dont certains ont été liés à des attentats djihadistes.

"Avec le développement de l'État islamique depuis plus d'une décennie, le monde est aux prises avec l'extrémisme et cette idéologie haineuse', a-t-il déclaré dans une autre interview.

Le groupe djihadiste EI a contrôlé de vastes territoires en Irak et en Syrie, avant d'être défait en 2019, mais a toujours des cellules dormantes de combattants dans le pays.

Autorités remises en question

Les autorités australiennes font face à des questions croissantes sur le fait de savoir si elles auraient pu empêcher une telle attaque.

Selon M. Albanese, le plus jeune assaillant, Naveed Akram, 24 ans, avait fait l'objet de vérifications des renseignements australiens en 2019, sans paraître constituer à l'époque de menace immédiate.

"Il a attiré leur attention en raison de ses relations avec d'autres", "deux des personnes avec lesquelles il était associé ont été inculpées et sont allées en prison, mais il n'a pas été considéré à l'époque comme un potentiel suspect", a rapporté M. Albanese.

Selon les médias australiens, une des questions clés est de savoir s'ils ont rencontré des extrémistes islamistes lors d'un voyage aux Philippines en novembre de cette année.

Le jour de l'attaque, l'homme a dit à sa mère qu'il partait en ville pour pêcher, selon des médias.

Les autorités pensent qu'il s'est en fait retranché dans un appartement de location avec son père pour préparer l'attaque.

Armés de fusils, ils ont criblé la plage de balles pendant dix minutes avant que la police n'abatte Sajid, âgé de 50 ans.

Arrêté par la police et grièvement blessé, Naveed se trouve lui, dans le coma à l'hôpital, sous la surveillance des forces de l'ordre.

Visite ministérielle au héros

Le Premier ministre s'est rendu mardi au chevet d'Ahmed Al Ahmed, un vendeur de fruits qui a réussi à arracher le fusil d'un des assaillants.

"Nous sommes un pays courageux. Ahmed al Ahmed incarne ce que notre pays a de meilleur", souligne M. Albanese.

Grièvement blessé, et cloué au lit et avec des tubes dans le nez, M. Ahmed a brièvement remercié en arabe les personnes qui lui souhaitent du bien dans une vidéo circulant sur les réseaux sociaux mardi matin.

Le chef de la police locale, Mal Lanyon, a précisé que ses enquêteurs avaient "découvert un engin explosif artisanal dans une voiture liée au criminel décédé", l'un des deux tireurs, le père, abattu par la police.

"Prendre les mesures adéquates"

Nombre de dirigeants mondiaux ont condamné avec force cet attentat qui a tué 15 personnes âgées de 10 ans à 87 ans, dont un Français de 27 ans, Dan Elkayam, un rabbin de 41 ans, Eli Schlanger et Alex Kleytman, un survivant de la Shoah né en Ukraine.

Pour le dirigeant israélien Benjamin Netanyahu, la décision australienne de reconnaitre la Palestine plus tôt cette année a mis de "l'huile sur le feu de l'antisémitisme".

Le gouvernement a "échoué à prendre des mesures adéquates pour protéger la communauté juive" a déclaré à l'AFP le président de l'Australian jewish association.

Les chefs des Etats et territoires d'Australie se sont réunis lundi pour convenir du renforcement de la "législation sur les armes à feu", qui a permis au père Sajid Akram de posséder six armes.

Le pays n'avait pas été frappé par une telle tuerie depuis le massacre de Port Arthur en 1996, qui avait fait 35 victimes en Tasmanie, au sud de l'Australie.

L'attentat avait été suivi d'un programme de rachat d'armes et de nouvelles restrictions sur les armes semi-automatiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Manifestation pro-Gaza: Amnesty blâme la police bernoise

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Amnesty International Suisse critique en particulier l'encerclement de la Schauplatzgasse, qui a duré une dizaine d'heures (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Amnesty International (AI) Suisse critique la police bernoise suite aux débordements de la manifestation en faveur de Gaza à Berne. En se basant sur des observations et 180 témoignages, l'organisation qualifie l'intervention d'"injustifiée et excessive".

"Même si un groupe a causé des dégâts matériels considérables, la réaction de la police a été marquée par de graves erreurs", a déclaré mardi la juriste Alicia Giraudel dans un communiqué. Des manifestants pacifiques et des personnes non impliquées ont ainsi été blessés. Les secouristes volontaires présents sur place ont soigné au moins 326 personnes.

Dans son rapport, Amnesty International critique particulièrement l'encerclement. Elle le juge soudain et violent, sans avertissement clair, ce qui n'aurait pas permis à la foule de se disperser. En outre, les personnes vulnérables auraient été mises en danger en raison de la durée de l'opération.

L'organisation de défense des droits humains a également relevé des lacunes dans la communication de la police: les annonces n'ont été audibles que directement sur la Place fédérale et des instructions contradictoires ont semé la confusion. Les manifestants ont d'abord été dirigés vers la gare via la Schauplatzgasse, puis via la Spitalgasse. C'est finalement dans la première rue que l'encerclement a eu lieu.

Enquête demandée

Interrogée par AI, la police cantonale bernoise indique avoir annoncé l'intervention des forces de l'ordre. Dans sa prise de position, que Keystone-ATS a pu consulter, le commandant Christian Brenzikofer explique que l'encerclement des "groupes militants et violents" avait notamment pour but de permettre aux participants pacifiques de manifester sur place.

Dans le même texte, il précise que les critiques adressées à la police seront également prises en compte lors des débriefings. Amnesty International salue cette initiative comme un "premier pas positif", mais demande une enquête plus approfondie sur l'intervention.

Aucune plainte jusqu'à présent

La manifestation pro-palestinienne non autorisée du 11 octobre a donné lieu à de graves débordements. Les casseurs ont causé pour des millions de francs de dégâts, tandis que la police a notamment fait usage de gaz lacrymogènes, de balles en caoutchouc et de canons à eau. Selon elle, 18 membres des forces d'intervention ont été blessés.

Plus de 500 personnes ont été contrôlées par la police lors de l'événement. A ce jour, aucune plainte n'a été déposée, a indiqué la police cantonale bernoise. L'enquête est toujours en cours.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Trump classe le fentanyl comme une "arme de destruction massive"

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Une saisie de fentanyl à Atlanta en novembre dernier, une substance que le président Trump classe au rang d'"arme de destruction massive". (© KEYSTONE/EPA/ERIK S. LESSER)

Donald Trump a annoncé lundi un durcissement de sa guerre contre le narcotrafic, en désignant le fentanyl, un puissant opioïde de synthèse responsable de très nombreuses overdoses aux Etats-Unis, comme "arme de destruction massive".

"Avec le décret que je vais signer aujourd'hui, nous classons formellement le fentanyl comme une arme de destruction massive, ce qu'il est", a dit le président américain dans le Bureau ovale.

"Aucune bombe ne fait ce que (cette drogue) fait: 200'000 à 300'000 personnes meurent chaque année", a-t-il ajouté.

Selon le site des Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), le nombre total de décès par overdose aux Etats-Unis en 2024 était de l'ordre de 80'000, dont quelque 48'000 dus à des opioïdes de synthèse.

Le décret précise que le fentanyl "s'apparente davantage à une arme chimique qu'à un stupéfiant", justifiant ainsi cette classification.

"La fabrication et la distribution de fentanyl, principalement par le biais des réseaux criminels organisés, menacent notre sécurité nationale et alimentent l'anarchie" sur le continent américain et "à nos frontières", peut-on y lire.

Donald Trump a par ailleurs déclaré lundi que son gouvernement "envisageait" un assouplissement des restrictions fédérales sur la marijuana, en la reclassant comme une drogue moins dangereuse.

"Beaucoup de gens souhaitent cette reclassification, parce qu'elle permettrait de mener d'énormes quantités de recherches qui ne peuvent pas être réalisées tant qu'il n'y a pas de reclassification", a-t-il affirmé.

Les Etats-Unis ont désigné en février plusieurs cartels de la drogue "organisations terroristes étrangères", et ont accru leur pression sur le Mexique et, surtout, le Venezuela du dirigeant socialiste Nicolas Maduro, accusé de narcotrafic, même si selon les experts, ce pays n'est pas la principale source des drogues entrant aux Etats-Unis et ne produit pas de fentanyl.

Le gouvernement américain a déployé un important dispositif naval et aérien dans les Caraïbes et y mène des frappes contre des embarcations suspectées de transporter de la drogue, en particulier de la cocaïne, ainsi que dans le Pacifique.

Le président Trump calque ainsi la lutte contre le narcotrafic sur la terminologie et les méthodes employées dans la lutte contre le terrorisme.

Caracas dément les accusations de narcotrafic et accuse Washington de vouloir évincer M. Maduro du pouvoir et s'emparer des immenses réserves de pétrole du pays, soumis depuis 2019 à un embargo.

La DEA, l'agence antidrogue américaine, affirme que les cartels mexicains sont "au coeur" de la crise liée aux drogues de synthèse aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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