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Covid-19: Genève donne un tour de vis supplémentaire

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Rassemblements limités à cinq personnes dans l'espace public comme dans la sphère privée, arrêt du sport collectif, manifestations sportives limitées à 1000 personnes et bars et restaurants fermés à 23 heures. Les mesures se durcissent du côté du Canton de Genève. Elles entrent en vigueur ce dimanche à minuit.

Le canton de Genève donne un tour de vis supplémentaire face à la situation sanitaire qui s’aggrave. Les rassemblements de plus de cinq personnes sont interdits dans l’espace public comme dans la sphère privée. Les manifestations sportives sont limitées à 1000 spectateurs. Le sport amateur est interdit. Les bars et les restaurants devront fermer leur portes à 23 heures et le service au bar est proscrit. Cinq personnes maximum dans les maisons comme à l’extérieur pour éviter le mélange des personnes. La Présidente du Conseil d’Etat genevois, Anne Emery-Torracinta

Anne Emery-TorracintaPrésidente du Conseil d'Etat genevois

Ces mesures entrent en vigueur ce dimanche soir minuit et durent jusqu’au 30 novembre.

Jauge à 1000 personnes - Automnales maintenues

Les manifestations sportives, matches de foot ou de hockey sont limitées à 1000 spectateurs. Les autorités veulent éviter les bouchons à l’entrée propices à la propagation du virus. En revanche une exception est faite pour les foires, comme les automnales. Le Conseiller d’Etat chargé de la cohésion sociale, Thierry Apothéloz.

Thierry ApothélozConseiller d'Etat chargé du sport

Sport collectif interdit

Le sport collectif amateur est interdit contrairement au sport individuel. Les fitness et autres lieux sportifs pourront rester ouverts mais avec des limitations. Le détail avec Thierry Apothéloz.

Thierry ApothélozConseiller d'Etat chargé du sport

Contrairement au Canton de Vaud, Genève a décidé d’interdire le sport amateur pour les mineurs. Une décision lourde mais logique selon Thierry Apothéloz.

Thierry ApothélozConseiller d'Etat chargé du sport

Les cafés et les bars vont devoirs fermer à 23 heures et le service au bar est interdit. Les clients devront être assis à table, au maximum au nombre de 5 personnes. Les enfant de moins de 12 ans ne sont pas comptés dans cette limitation.

Anne Emery-TorracintaPrésidente du Conseil d'Etat genevois

Ne pas devoir faire des choix

La Présidente du Conseil d’Etat a insisté sur la responsabilité individuelle de chacun. Avec 228 cas COVID hospitalisés aux HUG dont 28 aux soins intensifs et intermédiaires, il est indispensable d’infléchir la courbe des contaminations. Anne Emery-Torracinta.

Anne Emery-TorracintaPrésidente du Conseil d'Etat genevois

Le port du masque est étendu aux foires et aux marchés. Elle est également étendue aux déplacements en voiture lorsque les personnes véhiculées ne sont pas de la même famille. Notez encore que les chorales sont interdites...

 

 

 

 

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Genève

Manifestation pour la justice climatique et sociale à Genève

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A Genève, les manifestants ont défilé sous la pluie pour demander le respect des Accords de Paris et une politique climatique suisse efficace. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Environ 400 personnes ont participé samedi après-midi à Genève à une manifestation "pour la justice sociale et climatique". La marche a été organisée en écho avec le Sommet des peuples, qui se tient en parallèle à la COP officielle de Belém (Brésil).

Une quarantaine d'organisations et de partis ont appelé à cette manifestation genevoise, partie en début d'après-midi de la poste du Mont-Blanc. Quelque 500 personnes y ont répondu, selon la police, entre 300 et 400, d'après Keystone-ATS.

"Climat 30 ans et toujours rien", "Non aux multinationales", pouvait-on lire sur des pancartes. Le défilé s'est déroulé dans le calme, ont précisé les forces de l'ordre.

Parmi leurs revendications, les participants ont réclamé le respect des accords de Paris sur le climat, le désinvestissement des énergies fossiles, une politique climatique suisse efficace, un système alimentaire durable ou encore la défense de l'Amazonie.

Au sujet de la COP30 de Bélem, ils ont particulièrement dénoncé la présence du groupe agrochimique Syngenta et de l'Union suisse des arts et métiers (Usam) dans la délégation suisse. "Ces deux acteurs sont liés à des organisations dont les activités contredisent les droits humains et servent les intérêts des industries fossiles", ont-ils affirmé dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

A Belem, militants et autochtones rassemblés pour le climat

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Des milliers de militants et d'indigènes rassemblés samedi à Belem pour une grande marche. (© KEYSTONE/AP/Fernando Llano)

Des milliers de militants et d'indigènes se rassemblent samedi à Belem pour une grande marche afin de demander aux négociateurs de la COP30, réunis dans cette ville d'Amazonie brésilienne, d'écouter leurs revendications pour la défense du climat.

Un ballon géant à l'allure de globe terrestre: on le remarque d'emblée dans la manifestation, festive et en musique sous un soleil brûlant, partie d'un marché de cette cité qui accueille depuis lundi la conférence de l'ONU sur le climat.

"On est ici pour essayer de faire pression", dit à l'AFP Txai Surui, 28 ans, l'une des leaders indigènes les plus en vue du Brésil. Pour la jeune femme coiffée de plumes, il s'agit que les "promesses" déjà prises soient tenues et d'éviter tout "recul" dans cette toute première COP en Amazonie.

"Nous sommes venus ici pour défendre le climat. Aujourd'hui, nous vivons un massacre avec notre forêt qui est en train d'être détruite. Nous voulons faire entendre notre voix depuis l'Amazonie et exiger des résultats", explique Benedito Huni Kuin, 50 ans, du peuple indigène Huni Kuin, vivant dans l'ouest du Brésil. Certains ont déployé un grand drapeau brésilien jaune et vert sur lequel est écrit: "Amazonie protégée".

Plus loin, des funérailles symboliques sont organisées en l'honneur des énergies fossiles. Autour de trois cercueils frappés des mots "charbon", "pétrole" et "gaz", des manifestantes fardées et vêtues de noir jouent les veuves éplorées.

Première depuis 2021

La "marche mondiale pour le climat" traverse la dense ville de 1,4 million d'habitants sur environ 4,5 kilomètres. Elle doit s'arrêter à quelques pâtés de maisons du site de la COP30, protégé samedi par des dizaines de militaires et des barrières parfois surmontées de barbelés. Pour la première fois depuis la COP26 à Glasgow en 2021, la société civile mondiale peut s'exprimer samedi sans crainte d'arrestations arbitraires.

Les trois dernières conférences climatiques de l'ONU se sont déroulées dans des pays, Egypte, Emirats arabes unis et Azerbaïdjan, où aucune ONG ne jugeait sûr de manifester en dehors du site de la conférence, qui est protégé et régi par les Nations unies. Les négociations de Belem sont marquées par une absence de taille: celle des Etats-Unis de Donald Trump.

Mais au rassemblement samedi un manifestant monté sur des échasses s'est déguisé en Oncle Sam pour dénoncer "l'impérialisme". Le soutien à la cause palestinienne est aussi présent, avec des drapeaux palestiniens brandis parmi la foule.

"Chouette antidote"

Dans la foule, revient avec insistance une demande: que les communautés indigènes brésiliennes aient davantage voix au chapitre dans les discussions.

Mardi soir, des manifestants avaient forcé l'entrée du site de la COP et s'étaient heurtés aux forces de sécurité. Vendredi matin, d'autres protestataires également autochtones ont bloqué l'entrée principale et arraché des réunions au sommet avec des responsables brésiliens pour évoquer leurs revendications, notamment la démarcation de leurs terres.

Tyrone Scott, un Britannique de 34 ans, de l'ONG War on Want, regrette que "des voix aient été exclues du processus" de négociation, mais se réjouit: la manifestation de samedi est "un chouette antidote à la monotonie et à la stérilité de l'intérieur de la COP". Les tractations sont de fait laborieuses.

Au terme d'une semaine, la présidence brésilienne de la COP30, qui coorganise l'événement avec l'ONU, est censée dévoiler samedi après-midi le fruit de ses consultations pour concilier les demandes des pays sur une série de sujets.

Des sujets aussi lourds et épineux que les ambitions en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre, le financement climatique au profit des pays vulnérables ou les barrières commerciales.

Plusieurs participants estiment que chacun campe encore sur ses positions en attendant l'arrivée des ministres lundi, qui devront trouver un consensus de près de 200 pays d'ici la fin de la conférence le 21 novembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Protection de civils: l'ONG CIVIC mise sur la Genève internationale

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CIVIC veut encore augmenter son dispositif dans la Genève internationale pour alerter sur la question de la protection des civils (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Centre pour la protection des civils (CIVIC) a ouvert un bureau à Genève, à un moment où de nombreuses ONG font face à des difficultés. Il appelle les pays européens à établir des mécanismes pour leurs populations en cas de guerre sur le continent.

L'arrivée il y a quelques mois de cette ONG lancée il y a une vingtaine d'années n'est pas un hasard. Son directeur exécutif depuis un an Hichem Khadhraoui est un ancien du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et de l'Appel de Genève dont il dirigeait les opérations au début de la guerre en Ukraine.

"J'ai senti que les Etats allaient à nouveau prendre une place importante dans les conflits" après des décennies de guerres plutôt asymétriques, dit-il à Keystone-ATS. Or, alors que l'Appel de Genève dialogue avec des groupes armés non étatiques, CIVIC cherche à convaincre les armées et les autorités nationales de lancer des mécanismes pour identifier les pertes civiles liées à leurs opérations. Mais aussi à accompagner les civils eux-mêmes pour co-décider avec les Etats les dispositifs pour leur protection.

En quelques mois, M. Khadhraoui a fait passer le bureau genevois à sept personnes. "Nous sommes anticycliques et je considère que Genève est un lieu clé pour une organisation qui oeuvre à la diminution concrète des dommages pour les civils dans les conflits", dit-il. "J'encourage les autorités suisses à soutenir l'établissement des ONG à Genève", glisse-t-il.

Il se dit persuadé que les coupes importantes dans les organisations internationales donneront plus de place aux ONG "crédibles et expertes sur une thématique". Contrairement à de nombreuses organisations, CIVIC, qui n'a pas de financement public américain, a augmenté le nombre de ses collaborateurs de 40% en un an, tout comme son enveloppe budgétaire. Un tiers des fonds sont alimentés par le secteur privé et deux tiers par des Etats, dont la Suisse.

Présente en Afrique

Outre Genève, CIVIC est très décentralisée avec des bureaux aux Etats-Unis, en Ukraine, au Yémen, en Jordanie, à Bruxelles et dans une dizaine de pays africains.

L'ONG veut renforcer ses efforts en Europe, notamment parce qu'elle estime que la population n'est pas prête à affronter un conflit de premier plan. Elle souhaite répéter le centre d'excellence sur la protection des civils qu'elle a pensé pour l'armée américaine.

Succès avec Biden

"Nous essayons de pousser pour des cadres nationaux de protection des civils", dit M. Khadraoui. "L'objectif est que la protection des civils soit au centre de toutes les initiatives politiques et militaires", affirme le directeur exécutif. Il faut reconnaître le problème, compenser les pertes civiles et changer les règles.

L'ONG a obtenu des succès. Aux Etats-Unis, elle a mené la coalition qui avait convaincu le président Joe Biden de renoncer pour trois mois à transférer des armes à Israël. Des effets ont aussi été vus au Nigeria.

L'organisation a offert également des micro-financements à des femmes ukrainiennes pour améliorer les bunkers que leur proposaient les autorités et les rendre adaptés aux enfants. Celles-ci ont ensuite lancé leur propre réseau pour répéter ces efforts dans plusieurs régions. Au Yémen, des accès routiers ont pu être rétablis grâce à des jeunes soutenus par l'ONG et qui ont dialogué avec des acteurs du conflit.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Lausanne: 30 ans de migrations dans l'objectif d'un photographe

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Le Forum de l'Hôtel de Ville, à Lausanne, donne un coup de projecteur sur la migration jusqu'au 27 novembre. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Forum de l'Hôtel de Ville, à Lausanne, donne un coup de projecteur sur la migration jusqu'au 27 novembre. Le photographe maltais Darrin Zammit Lupi a documenté durant plus de trois décennies les réalités migratoires en Méditerranée et en Europe.

L'exposition "Migration - L'avenir en rétrospective" a vu le jour en 2024 à l’occasion du 30e anniversaire de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Suisse. Elle fait escale à Lausanne après avoir été présentée dans plusieurs villes suisses.

Darrin Zammit Lupi, né à Malte en 1968, a saisi la complexité des parcours migratoires: la fuite et les épreuves, mais aussi les gestes de solidarité, la résilience et l’espoir. "Ses images, à la fois intimes et universelles, interpellent sur la dignité humaine, sur l’accueil et sur l’avenir que nous construisons ensemble", observe la Ville de Lausanne dans un communiqué.

Le photojournaliste collabore depuis les années 1990 avec l’agence Reuters. Ses images ont été publiées dans de nombreux médias internationaux, comme The New York Times, The Guardian, Paris Match ou Der Spiegel. Il a notamment couvert des guerres (Bosnie, Kosovo, Libye), des catastrophes naturelles (tsunami en Asie du Sud-Est, tremblements de terre), ainsi que de nombreuses crises migratoires.

Vivant à Malte, un point névralgique de la migration en Méditerranée, il a développé un regard intime et engagé sur ce phénomène, souligne le communiqué. En accueillant cette exposition, la Ville de Lausanne, par le biais de son Bureau lausannois pour les immigrés, souligne combien son histoire est liée aux migrations successives. Elle réaffirme ainsi son engagement en faveur d’une société "inclusive, solidaire et respectueuse des droits humains".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le ciné-bus Roadmovie fera un arrêt à Dardagny

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Le ciné-bus Roadmovie s'arrêtera à Dardagny vendredi pour projeter le documentaire "Everything is temporary" de la réalisatrice Juliette Klinke, suivi d'une discussion avec la productrice du film (image d'illustration). (© KEYSTONE/THOMAS DELLEY)

Le ciné-bus de l'association Roadmovie s'arrêtera à Dardagny vendredi, pour présenter le documentaire "Everything is Temporary" de la réalisatrice Juliette Klinke. Sa soeur et productrice du film Charlotte Klinke participera à une discussion à l'issue de la projection.

La journée se déroulera en deux temps. L'après-midi est dédié aux élèves des écoles primaires, invités à découvrir différents courts-métrages, "du zootrope à la réalité virtuelle, en passant par le stop motion", indique l'association par communiqué. Le soir, la projection est ouverte à tout le village, suivi de la rencontre avec la productrice.

Le film raconte l'amitié que la réalisatrice a nouée avec une jeune fille nommée Zu Zu au Myanmar. Elle la rencontre lorsqu'elle s'y retrouve coincée en 2021 après le coup d'Etat. Dans ce film, elle partage les rêves de Zu Zu et leur relation qui devient un refuge dans ces bouleversements.

Roadmovie parcourt la Suisse depuis 2003 et s'arrête dans les communes qui n'ont pas ou plus de cinéma. Cette année, il est aussi possible de "découvrir des moments surprenants de l'histoire audiovisuelle" de sa commune, à travers les archives de la RTS. L'étape de Dardagny est la dernière de la tournée 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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