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Afghanistan: rapatriement du personnel suisse du DFAE

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La secrétaire d'Etat du DFAE Livia Leu a annoncé vendredi le rapatriement du personnel suisse à Kaboul. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

La Suisse rapatrie les trois collaborateurs helvétiques du DFAE toujours à Kaboul, en Afghanistan, pour des raisons de sécurité liées à l'avancée des talibans. Quant aux 40 employés locaux de la DDC et leurs familles, ils reçoivent un visa humanitaire.

Les Suisses concernés travaillent au bureau de coordination de la Direction du développement et de la coopération (DDC) à Kaboul, mis en place depuis 2002. Sur les six en tout, trois autres sont déjà rentrés.

Il n'y a pas d'ambassade suisse en Afghanistan. Vingt-huit personnes s'occupent des affaires courantes afghanes à l'ambassade suisse au Pakistan, a expliqué vendredi devant les médias Livia Leu, la secrétaire d'Etat du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) au moment où plusieurs pays européens comme la Norvège ou le Danemark ont annoncé la fermeture de leur représentation.

La situation en Afghanistan se détériore et le nombre de victimes augmente tous les jours, a-t-elle déclaré. Se montrant préoccupée, elle a appelé au dialogue pour trouver une solution politique, insistant sur la situation humanitaire et la protection des minorités, notamment des femmes.

"La Suisse condamne les violations du droit international commises en Afghanistan", a poursuivi Mme Leu. "Le droit international humanitaire et les droits humains doivent être respectés." Il y a actuellement encore un voyageur helvétique en Afghanistan, a précisé la secrétaire d'Etat.

Visa humanitaire

Egalement présent à la conférence de presse, Mario Gattiker, le directeur du Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM), a indiqué qu'une quarantaine d'employés locaux de la DDC et leurs familles recevront un visa humanitaire pour venir en Suisse, s'ils le souhaitent. Travaillant pour la Confédération, ils courent le risque d'être considérés comme des collaborateurs de l'Occident hostile et d'être persécutés, a-t-il poursuivi.

Au total, 200 personnes sont concernées. La décision a été prise par la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter.

Malgré tout, l'engagement suisse en Afghanistan se poursuit, a précisé Patricia Danzi, la directrice de la DDC. Les organisations humanitaires partenaires continuent leur travail sur place. Il va falloir dans les prochains temps apporter un soutien en Afghanistan et dans les pays voisins. La Suisse va maintenant examiner comment elle peut au mieux venir en aide.

Suspension des renvois

Le SEM a déjà décidé mercredi de suspendre jusqu'à nouvel ordre les expulsions de migrants afghans déboutés de l'asile vers leur pays d'origine. Aucun nouveau renvoi ne sera prononcé non plus. Seules des expulsions de personnes ayant commis des infractions pénales graves seraient maintenues. Une exception sur laquelle est revenue M. Gattiker vendredi.

La semaine passée, le SEM avait dit encore maintenir les renvois. Cependant, il avait précisé qu'aucun rapatriement vers l'Afghanistan n'était prévu dans les semaines à venir. Selon lui, la dernière expulsion vers le pays a eu lieu en 2019 (6 renvois), soit avant la pandémie de coronavirus.

Auparavant, la Suisse a procédé à 11 renvois forcés en 2017 et aucun en 2018. Par ailleurs, la Suisse a enregistré en 2020 le taux de protection des demandeurs d'asile afghans le plus élevé d'Europe (84%), avançait encore le SEM.

Le gouvernement de Kaboul avait en juillet appelé les pays européens, dont la Suisse, à cesser, pendant les trois prochains mois, d'expulser des migrants afghans. La Suède et la Finlande ont suspendu les renvois en Afghanistan à la suite de cet appel. L'Allemagne et les Pays-Bas ont pris la même décision mercredi.

Aller plus loin

Contactées par Keystone-ATS, l'organisation suisse d'aide aux réfugiés (OSAR) et la section suisse d'Amnesty International saluent la décision du SEM. Mais tous deux demandent à la Confédération d'aller plus loin.

L'OSAR souhaite que les migrants afghans déboutés se voient accorder une admission temporaire puisqu'"il n'est pas prévisible que la situation s'améliore suffisamment rapidement". En outre, les cas de ceux qui soumettent des demandes de réexamen devraient être examinés au plus près. Enfin, des visas humanitaires devraient être plus facilement octroyés aux membres de la famille d'Afghans bénéficiant de l'asile ou d'une admission temporaire en Suisse.

Quant à Amnesty International, elle considère que tout retour en Afghanistan constitue actuellement une violation du principe de non-refoulement du droit international. Elle demande aussi que le statut des personnes concernées soit légalisé, afin qu'elles puissent exercer pleinement leurs droits pendant leur séjour en Suisse. Elle souhaite encore la création de places de réinstallation pour ces réfugiés dans des pays voisins, comme le Pakistan et l'Iran.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Culture

Un "labo" pour écouter de la musique autrement à la bibliothèque de la Cité

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Un "labo" pour écouter de la musique autrement à la bibliothèque de la Cité. KEYSTONE-STEFFEN SCHMIDT

La musique au cœur d’un nouveau projet à la bibliothèque de la Cité à Genève. Il sera possible d’emprunter des instruments, faire des siestes musicales ou de s’initier au chant. Projet à découvrir ce samedi.

Un “labo musique” voit le jour à la bibliothèque de la Cité à Genève.

Il s’agit d’une nouveauté à retrouver à l’Espace musique.

Ce “labo” s’adresse au plus grand nombre, enfants et adultes. Il permettra d’apprendre à mieux écouter la musique et de proposer des activités de découvertes. Comme s’initier au chant, créer son premier morceau de rap, faire des siestes musicales ou emprunter des instruments. Plus d’excuses donc si vous voulez tester la guitare ou la batterie.

Katia Savi, la responsable de l’espace musique à la bibliothèque de la Cité à Genève:

Katia SaviResponsable de l’espace musique à la bibliothèque de la Cité à Genève

Et pour les siestes, comment dormir avec de la musique? Virginie Rouiller, responsable de la bibliothèque de la Cité:

Virginie RouillerResponsable de la bibliothèque de la Cité à Genève

Ce sera aussi l’occasion pour certains de jeter un œil ou plutôt une oreille à la collection conséquente de CD. Car pour accéder au "Labo", il faut passer devant cette dernière. Car oui les CD sont encore empruntés. Katia Savi: 

Katia SaviResponsable de l’espace musique à la bibliothèque de la Cité à Genève

Pour découvrir le “labo musique”, rendez-vous ce samedi de 10h à 17h avec plusieurs animations prévues.

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International

Canberra retire des décorations d'officiers pour crimes de guerre

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Le ministre de la Défense, Richard Marles, a déclaré jeudi à Canberra que cette décision était nécessaire pour "réparer les erreurs du passé". (© KEYSTONE/AP/Mick Tsikas)

L'Australie a annoncé jeudi retirer leurs décorations aux officiers de son armée dont les unités sont accusées d'avoir été impliquées dans des crimes de guerre et des "conduites illégales" du temps de la coalition internationale en Afghanistan.

Le ministre de la Défense, Richard Marles, a déclaré que cette décision, qui concerne des commandants d'unités ayant exercé leurs fonctions entre 2005 et 2016, était nécessaire pour "réparer les erreurs du passé".

Moins de dix officiers feront l'objet de cette mesure, mais leurs noms ne seront pas divulgués. Une enquête officielle a révélé que sur cette période de onze ans, les forces spéciales australiennes ont "tué illégalement" 39 civils et prisonniers en Afghanistan, notamment en les exécutant sommairement lors de rituels d'initiation.

Le rapport formule 143 recommandations, dont le retrait des médailles. Il suggère, entre autres, qu'une vingtaine de militaires soient renvoyées devant la justice, que les familles des victimes soient indemnisées et que l'armée procède à une série de réformes.

Après les attentats du 11 septembre 2001, plus de 26'000 militaires australiens ont été envoyés en Afghanistan pour combattre aux côtés des forces américaines et alliées contre les Talibans, Al-Qaïda et d'autres groupes islamistes.

Les troupes australiennes se sont officiellement retirées du pays fin 2013.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Sport

Le Vendée? "Un aboutissement" pour Justine Mettraux

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Justine Mettraux se prépare depuis 2 ans pour le Vendée Globe (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Trois marins suisses prendont part au prochain Vendée Globe, dont le départ est prévu le 10 novembre aux Sables-d'Olonne. Parmi eux une femme, l'ambitieuse Justine Mettraux.

La Genevoise se prépare depuis deux ans à une course qui fait rêver tout en inspirant le respect. C'est dans son fief de Lorient qu'elle accueille Keystone-ATS, à deux mois de vivre son premier Vendée Globe, course autour du monde en solitaire, sans escale ni assistance. "Je me sens plutôt bien, glisse-t-elle d'emblée. On sort du chantier estival, on recommence tout juste à naviguer."

"On se rend compte que cela prend du temps de maintenir le niveau de fiabilité du bateau", l'Imoca TeamWork (ex-Charal), racheté à Jémémie Bayou en 2022. "On doit notamment valider les voiles du Vendée. C'est bien de solutionner les petits problèmes maintenant, avant de se concentrer sur la performance", souligne-t-elle.

"Il n'y a pas encore de gros stress. L'été sert à mettre le bateau au point, on fait des ateliers qui prennent du temps", explique Justine Mettraux, qui a repris l'entraînement fin août en compagnie d'une quinzaine de skippers préparant le Vendée Globe. Elle devra être installée aux Sables-d'Olonne au plus tard le 18 octobre.

"Un aboutissement"

Que représente le Vendée Globe à ses yeux? "C'est un aboutissement. C'est une des plus grandes compétitions dans la course au large en solitaire", répond la Genevoise de 38 ans. "J'ai la chance de me préparer dans de bonnes conditions, avec un bon bateau, de bons partenaires et une super équipe", se réjouit-elle.

"C'est super de pouvoir aborder un premier Vendée en espérant être compétitive", ajoute celle qui avait notamment terminé 4e de la Transat Jacques Vabre, transatlantique en double, au côté de Bertrand Delesne en 2017.

Cette compétitivité a évidemment un prix. "Pour toute la campagne, de 2022 à 2025, il faut compter environ 6 millions d'euros soit 2 millions par an. Les salaires constituent une grande partie: on est une dizaine à travailler sur le bateau. Il y a l'amortissement du bateau, les assurances, le matériel", précise-t-elle.

Quel résultat la satisferait? "Un top 10 serait satisfaisant. Mais c'est dur de tout anticiper, même si on a bien pu se préparer", souffle-t-elle. "Il y a des nouveaux bateaux qu'on ne connaît pas, il y a forcément une grosse concurrence, et il y a évidemment les impondérables", rappelle-t-elle.

"C'est difficile de se projeter pour un Vendée, il y a tellement d'aléas. On sait que tous les marins ne vont pas terminer la course, peut-être que ce sera mon cas. Il faut admettre qu'un abandon peut toujours se produire. On part pour deux mois et demi, pas pour deux semaines comme on en a l'habitude", lâche-t-elle.

Si elle vise le top 10, Justine Mettraux espère aussi remporter le classement helvétique. Oliver Heer étant peu ambitieux, c'est entre elle et Alan Roura (31 ans), 17e du dernier Vendée Globe, que cela se jouera. "La plupart du temps j'ai fini devant lui lorsque nous avons été opposés", rigole-t-elle.

Un travail minutieux

Une épreuve de deux mois et demi nécessite forcément une préparation minutieuse à tous les niveaux. Justine Mettraux travaille beaucoup sur le plan physique, aussi en dehors du bateau. La gestion du sommeil est également importante, même si "je n'a pas fait récemment de travail spécifique sur le sommeil. Mais j'ai amélioré l'ergonomie du bateau pour mieux pouvoir m'y reposer", précise-t-elle.

La Genevoise travaille aussi avec une nutritionniste. "Elle m'aide à mieux me nourrir à terre et aussi à préparer mon ravitaillement afin que j'aie tous les apports nécessaires, qu'il fasse chaud ou froid. Elle m'aide aussi à varier, c'est mieux lorsqu'on passe plus de 80 jours en mer", s'amuse-t-elle.

La préparation mentale est également primordiale pour une épreuve aussi longue dans la durée. "Je travaille avec le même psychologue du sport depuis une douzaine d'années. On a fait récemment un travail plus spécifique: il est venu à Lorient avec l'équipe, pour mieux voir ce dont j'aurais besoin pendant la course."

La navigatrice, qui emporte toujours avec elle un petit oeuf porte-bonheur, est en tout cas extrêmement détendue: "J'essaie de rester relax, j'apprécie que mon équipe le soit. Il y a beaucoup d'engagement physique, il faut être concentré, mais il faut agir dans le calme." Le calme avant la tempête...? Réponse dès le 10 novembre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Alaska Airlines: la pilote a découvert les dégâts à l'atterrissage

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Un Boeing 737 MAX en mode assemblage à Renton, aux Etats-Unis. (© KEYSTONE/AP/Jennifer Buchanan)

Explosion, souffle d'air, atterrissage en urgence: la copilote du Boeing d'Alaska Airlines qui a perdu en janvier une porte en vol a raconté dans une interview diffusée mercredi n'avoir étonnamment découvert le trou béant qu'une fois de retour sur le tarmac.

"Une explosion dans mes oreilles, puis un souffle d'air", s'est souvenue Emily Wiprud dans cet entretien accordé à la chaîne CBS News.

Ce 5 janvier 2024, elle copilote un Boeing 737 MAX 9, qui a décollé peu de temps avant de Portland, dans l'Oregon, pour rejoindre la Californie.

"Mon corps a été poussé vers l'avant et il y a eu également une forte détonation", a-t-elle ajouté. "C'était incroyablement bruyant." Capitaine et co-pilote se concentrent alors sur un atterrissage en urgence.

Emily Wiprud l'ignore, mais l'appareil vient de perdre une porte-bouchon, un opercule condamnant une issue de secours redondante. "Je n'ai pas su avant notre atterrissage qu'il y avait un trou dans l'avion", relate-t-elle.

Une fois l'appareil de retour sur la terre ferme, son souci est de vérifier que tout le monde est bien là: "j'ai ouvert la porte du poste de pilotage et j'ai vu des centaines d'yeux calmes et silencieux qui me regardaient".

Le personnel navigant lui apprend alors qu'il y a "des sièges vides et des blessés" parmi les passagers. Mais aucun d'entre eux n'a chuté de l'avion cependant. "Il ne nous a pas fallu très longtemps pour confirmer que nous avions 177 âmes à bord", raconte-t-elle.

Un adolescent qui se trouvait à côté de la porte s'était déplacé vers un autre siège pour ne pas être aspiré, et Emily Wiprud a alors croisé sa mère, qui le cherchait: "son fils n'était plus là. En tant que mère moi-même, je ne peux même pas imaginer ce sentiment".

Avec le pilote, elle recevra jeudi un prix remis par l'Association des pilotes de ligne (Air Line Pilots Association), pour son professionnalisme.

Cet incident, sur un avion tout neuf, a révélé au grand jour des problèmes de qualité du constructeur aéronautique. L'Agence de sécurité des transports (NTSB) a publié début février un rapport préliminaire accablant pour Boeing: quatre boulons prévus pour empêcher que la porte-bouchon ne se déplace étaient manquants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Corée du Nord a tiré un "missile balistique"dans la mer (Séoul)

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Le leader nord-coréen procède régulièrement à des essais d'armement, dans un contexte de tensions avec Séoul. (© KEYSTONE/AP)

La Corée du Nord a tiré jeudi un "missile non-identifié" en direction de la mer, a affirmé l'armée sud-coréenne, précisant analyser l'incident.

Pyongyang a lancé de multiples "missiles balistiques de courte portée (...) vers la mer de l'Est (appellation coréenne de la mer du Japon, ndlr) vers 07H10 (00H10 Heure suisse jeudi)", a indiqué l'état-major interarmées de la Corée du Sud.

Cet organe a précisé analyser l'incident et "partager les informations" avec les autorités américaines et japonaises. Le ministère japonais de la Défense a pour sa part confirmé le lancement d'au moins un missile balistique nord-coréen.

Pyongyang a souvent procédé par le passé à des tirs de missiles autour du 9 septembre, jour de l'anniversaire de la fondation de la République démocratique populaire de Corée en 1948. Elle avait également procédé à son cinquième essai nucléaire un 9 septembre, en 2016.

Lors d'un discours prononcé cette semaine, à l'occasion du 76e anniversaire de la fondation du pays, le dirigeant Kim Jong Un a déclaré que la Corée du Nord entendait renforcer son arsenal nucléaire pour "faire face à tout acte de menace venant de ses Etats rivaux, dotés de l'arme nucléaire".

La Corée du Nord procède régulièrement à des essais d'armement, dans un contexte de tensions avec Séoul. Pyongyang a en outre fait décoller des milliers de ballons d'immondices vers le Sud depuis mai, affirmant agir en représailles à des ballons de matériel de propagande lancés en direction de leur pays par des activistes sud-coréens.

Les relations entre les deux Corées sont au plus bas depuis des années. Le Nord a récemment annoncé le déploiement de 250 lanceurs de missiles balistiques à sa frontière méridionale.

En réponse à ces actions, la Corée du Sud a repris la diffusion de propagande le long de la frontière, totalement suspendu un accord militaire visant à réduire les tensions et repris les exercices de tir à balles réelles sur les îles frontalières et près de la zone démilitarisée qui divise la péninsule coréenne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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