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Abus sexuels: ouverture des archives secrètes pour une enquête

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L'église catholique suisse veut faire la lumière sur les abus sexuels commis en son sein. "Le traitement de ce vécu est avant tout un juste dû aux personnes concernées", a déclaré Mgr Joseph Marie Bonnemain, évêque de Coire. (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

L'Eglise catholique suisse se dote d'un projet pilote pour faire la lumière sur les abus sexuels commis en son sein. Celui-ci démarrera en mai et prévoit l'ouverture des archives secrètes épiscopales. Les victimes ne se disent que partiellement satisfaites.

"Dévoiler les crimes du passé, ce n'est que justice: le traitement de ce vécu est avant tout un juste dû aux personnes concernées", a déclaré lundi à Lausanne devant les médias Mgr Joseph Maria Bonnemain, évêque de Coire et responsable à la Conférence des évêques suisses (CES) de la thématique "Abus sexuels dans le contexte ecclésial".

"Nos communautés ont compté, et comptent toujours, parmi leurs rangs de nombreux auteurs d'abus sexuels", a reconnu l'abbé Peter von Sury, représentant de la Conférence des unions des ordres et des autres communautés de vie consacrée en Suisse (KOVOS). "En tant que membres et responsables de ces communautés ecclésiales, nous avons très souvent gardé le silence (...), dissimulé et minimisé les faits (...) et ignoré les victimes (...). Nous étions obnubilés par notre réputation et par le prestige de l'Eglise", a-t-il ajouté.

C'est la première fois que les trois institutions les plus importantes de l'Eglise catholique romaine de Suisse - la CES, la KOVOS ainsi que la Conférence centrale catholique romaine de Suisse (RKZ) - s'expriment à l'unisson sur les cas d'abus.

Indépendance garantie

Le trio s'est dit convaincu de la nécessité d'une enquête scientifique indépendante sur le passé de l'Eglise catholique suisse. Il a ainsi confié à deux professeures du Département d'histoire de l'Université de Zurich, Monika Dommann et Marietta Meier, le soin de mener à bien un projet pilote.

Les deux historiennes et leur équipe de quatre chercheurs, issus de trois régions linguistiques suisses, auront "un accès libre aux dossiers conservés dans les archives secrètes des diocèses", précisent les mandants. Afin de garantir l'indépendance de ce travail, ces derniers se sont engagés par écrit à n'exercer aucune influence sur son contenu ou sa méthode.

Débroussaillage

Le projet entend "poser les jalons qui permettront d'entreprendre des recherches sur l'histoire de la violence sexuelle exercée par des membres du clergé catholique, des ordres religieux et des employés de l'Eglise en Suisse depuis le milieu du 20e siècle", ont spécifié les historiennes. "L'accent sera mis sur les structures qui ont permis les abus sexuels sur des enfants et des adultes, et qui ont rendu difficiles leur détection et leur sanction."

Dans cette optique, les historiennes annoncent deux objectifs principaux. Il s'agit premièrement de "clarifier quelles sources existent et sont accessibles", notamment en contactant des témoins et des organisations de victimes, et deuxièmement de "proposer des méthodes d'investigation en vue de futurs projets de recherche".

Un comité scientifique indépendant de six personnes, nommé par la Société suisse d'histoire (SSH), conseillera et soutiendra l'équipe de recherche. Ce comité consultatif est présidé par Sandro Guzzi-Heeb, privat-docent à l'Université de Lausanne. "Nous agirons comme un tampon entre le mandant et les chercheurs", a-t-il illustré.

Victimes "irritées"

Les associations de victimes, également représentées parmi les intervenants, ont souligné la nécessité d'intégrer des personnes victimes d'abus dès le projet pilote. "Ce sont malheureusement elles les "expertes"", a déclaré Vreni Peterer, du Groupe d'intérêt des personnes concernées par les abus dans un contexte ecclésial (MikU).

Si ce groupe a salué la création du projet, il s'est dit "irrité" qu'il ne s'agisse pour l'heure que d'une étude pilote. "Nous savons tous qu'une telle étude sert à déterminer si un projet doit réellement être lancé", a relevé Vreni Peterer.

L'émotion était palpable au sein du public. "A quand une étude précise sur ces abus? Nous attendons depuis plus de 11 ans, s'est insurgé une membre du Groupe de soutien aux personnes abusées dans une relation d'autorité religieuse (SAPEC)? Certaines personnes sont encore dans le silence. D'autres arrivent en fin de vie maintenant et disent sur leur lit de mort ce qui leur est arrivé, c'est scandaleux!"

Le projet pilote débutera le 1er mai. Ses résultats seront publiés à l'automne 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Suisse Romande

Quelque 20% des jeunes Vaudoises et Vaudois ne veulent pas d'enfant

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En dix ans, la proportion de jeunes Vaudoises et Vaudois ne souhaitant pas avoir d'enfant a plus que triplé (image prétexte). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

En dix ans, la proportion des Vaudoises et Vaudois de 20 à 29 ans ne souhaitant pas avoir d'enfant a plus que triplé, passant de 6% en 2013 à 20% en 2023, révèle l'enquête nationale sur les familles et les générations. Celle-ci montre également que les mères vaudoises travaillent plus qu'il y a dix ans, tandis que les tâches domestiques et familiales sont réparties de manière plus égalitaire.

"Le non désir d'enfant a fortement augmenté en dix ans, que ce soit en Suisse ou dans le canton de Vaud", constate Statistique Vaud mardi dans sa publication NUMERUS. Reste que près de la moitié des jeunes Vaudois désire avoir deux enfants, qu'un quart en souhaite trois ou plus, et que 9% se voit plutôt avec un enfant unique.

En 2023, dans le canton de Vaud, les ménages les plus nombreux sont ceux d'une personne (36%), poursuit Statistique Vaud. Les ménages familiaux (couple avec enfant ou famille monoparentale) représentent un tiers des ménages (33%), tandis que les couples sans enfants en constituent un quart. Les ménages avec enfant comptent le plus souvent un (45%) ou deux enfants (42%), tandis que 13% des ménages comptent trois enfants ou plus.

Mères plus actives professionnellement

Les mères sont plus nombreuses à travailler avant la naissance du premier enfant (84% en 2023 contre 71% en 2013). Si, en 2023, elles étaient 72% à occuper un emploi à plein temps avant cet événement, elles n'étaient plus que 34% à reprendre ce même pourcentage après la naissance. Près de la moitié des mères est passée à un pourcentage entre 50% et 89%, et environ une sur cinq à moins de 50%.

Du côté des pères, 94% travaillaient à plein temps avant la naissance de leur premier enfant, et 87% d'entre eux ont conservé ce taux d'occupation après l'heureux événement.

Les ménages avec enfant(s) de moins de 13 ans constituent 44% des ménages familiaux. Dans 75% de ces ménages, les deux parents exercent une activité professionnelle. Le modèle de répartition le plus répandu est celui où l'homme travaille à plein temps (entre 90% et 100%) et la femme entre 50% et 89%. A noter que cette configuration est plus fréquente dans le canton de Vaud (35%) qu'en moyenne suisse (28%). Dans le canton de Vaud, la seconde configuration est celle où les deux parents travaillent à plein temps (20% des ménages).

Tâches domestiques plus égalitaires

Si, en 2023, les Vaudoises étaient plus nombreuses à travailler hors de la maison qu'il y a dix ans, la répartition des tâches domestiques au sein du couple est devenue plus égalitaire dans ce même laps de temps. Quelque 51% des ménages interrogés disent assumer les tâches domestiques de manière conjointe, contre 33% en 2013.

En revanche, bien que 55% des ménages disent que c'est aussi bien le père que la mère qui accompagne l'enfant à la crèche ou à l'école (contre 37% en 2013), c'est majoritairement la mère qui reste à la maison lorsque l'enfant est malade (60% des ménages).

L'enquête sur les familles et les générations est une enquête nationale, réalisée tous les 5 ans par l'Office fédéral de la statistique. La première édition a eu lieu en 2013. Quelque 1700 personnes de 15 à 79 ans vivant en ménage privé ont participé au volet vaudois de l'enquête en 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Fraude fiscale: Netflix perquisitionné à Paris et à Amsterdam

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Netflix, géant américain du streaming vidéo, fait l'objet mardi matin de perquisitions à Paris et Amsterdam. (archive) (© KEYSTONE/AP/RICHARD DREW)

Netflix, géant américain du streaming vidéo, fait l'objet mardi matin de perquisitions à Paris et Amsterdam dans le cadre d'une enquête sur des soupçons de fraude fiscale et de travail dissimulé.

Le siège de Netflix pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique se trouve à Amsterdam.

Le Parquet national financier (PNF) a ouvert une enquête préliminaire en novembre 2022 pour blanchiment de fraude fiscale aggravée et travail dissimulé en bande organisée visant Netflix France, déjà ciblé par un contrôle fiscal portant sur les exercices 2019, 2020 et 2021.

"Des perquisitions sont conduites ce jour dans divers lieux, notamment au siège des sociétés Netflix en France" et "sont réalisées par les enquêteurs de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), en présence de membres du PNF", a indiqué une source judiciaire à l'AFP, confirmant partiellement une information de Marianne.

"Des opérations de perquisition sont conduites simultanément au siège des sociétés Netflix à Amsterdam par des magistrats et enquêteurs néerlandais, accompagnés par des magistrats et enquêteurs français", a annoncé cette source.

"Une action de coopération pénale entre les autorités françaises et néerlandaises est conduite depuis de nombreux mois dans le cadre de cette procédure et a fait l'objet d'une coordination par Eurojust", a-t-on encore souligné.

"Nous nous conformons aux règles fiscales de tous les pays dans lesquels nous opérons à travers le monde", avait indiqué à l'été 2023 un porte-parole de Netflix au moment de la révélation de l'information sur le contrôle fiscal en France.

Jusqu'en 2021, le groupe arrivé en France en 2014 "minimisait son imposition en déclarant aux Pays-Bas son chiffre d'affaires réalisé en France", ses clients contractant avec une société néerlandaise, écrivait la Lettre A, qui avait révélé l'information du contrôle fiscal.

"Entre 2019 et 2020, Netflix Services France", qui revendiquait déjà 7 millions d'abonnés dans l'Hexagone, a ainsi versé "seulement 981'000 euros d'impôts sur les bénéfices".

Après l'abandon de ce montage financier en 2021, le chiffre d'affaires déclaré en France par Netflix avait bondi de 47,1 millions d'euros en 2020 à 1,2 milliard d'euros".

En se penchant sur l'exercice 2021, "les agents du fisc entendent vérifier si (...) Netflix n'a pas continué à minimiser de façon abusive ses bénéfices", expliquait la Lettre A, selon qui la marge opérationnelle de la filiale française paraissait très faible comparée à celle de la maison-mère américaine.

Avec plus de 282 millions d'abonnés fin septembre dans le monde, Netflix a réalisé 9,82 milliards de dollars de chiffre d'affaires au troisième trimestre 2024, pour un bénéfice net de 2,4 milliards de dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Genève

La patinoire des Vernets à nouveau raccordée au réseau électrique

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La patinoire des Vernets le 29 octobre 2024 lors du match contre les ZSC Lions (photo prétexte). [KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi]

La patinoire des Vernets à nouveau autonome en électricité. Après un dysfonctionnement sur l’alimentation générale de la patinoire qui avait amené au report d’un match du GSHC à la fin octobre, les deux génératrices branchées dans l'urgence ne sont plus utilisées. La facture s'élève aux environs de 20'000 francs. 

Le 21 octobre dernier, la nouvelle n'est pas passée inaperçue à Genève: les Vernets sont privés d’électricité suite à une chute d’objet sur un câble à très haute tension. Parmi les conséquences: le match du GSHC contre Langnau a dû être reporté à une date ultérieure (encore inconnue). Pour le bon déroulement des deux matchs prévus dans la semaine, deux grosses génératrices pesant près de 5 tonnes ont alors été appelées en urgence.

Depuis lundi, ces génératrices ont été débranchées et retirées car un système provisoire est en place, reliant les Vernets au réseau SIG. L’alimentation définitive sera installée dans un délai de 6 mois. Une opération dépendante des expertises en cours et des décisions des assurances, confirme le Département l'aménagement, des constructions et de la mobilité de la Ville.

Quant au coût de la location des génératrices, il se situe entre 20'000 et 25'000 francs au total. Un montant qui comprend la location, le transport ainsi que le mazout nécessaire au bon fonctionnement de ces génératrice qui consomment tout de même plus de 86 litres par heure.

Les deux génératrices installées sur le parking à l'arrière des Vernets, le soir du match entre le GSHC et le LHC le 23 octobre dernier. [Sébastien Telley / Radio Lac]

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Economie

Les députés débattent sur les limites d'âge à la BCV

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L'organisation de la Banque cantonale vaudoise (BCV) a été discutée au Grand Conseil, notamment la question des limites d'âge au Conseil d'administration et à la Direction (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

L'organisation de la Banque cantonale vaudoise (BCV) est actuellement débattue au Grand Conseil. Alors que le Conseil d'Etat défend la suppression de toute limite d'âge au sein de l'établissement, les parlementaires ont décidé mardi en premier débat de fixer une petite cautèle pour les membres de la direction générale.

Dans sa modification de la loi, le gouvernement veut supprimer la limite d'âge fixée à 70 ans pour les membres du Conseil d'administration (CA) et de réduire le nombre de maximum de mandats de quatre (seize ans au total) à trois (douze ans au total).

"La suppression de l'âge limite pour le CA facilitera les renouvellements, permettra davantage de flexibilité et des départs étagés. Cela permettra aussi de conserver plus longuement au sein du CA certaines compétences qui se font rares sur le marché", argumente le Conseil d'Etat.

S'agissant de la direction générale, il propose, pour la limite d'âge de ses membres qui est actuellement de 65 ans, de renvoyer aux règles applicables au personnel de la banque autorisant les collaborateurs, avec l'accord de l'employeur, à travailler jusqu'à 68 ans.

"Actuellement, les membres de la direction générale doivent quitter la BCV dans l'année de leurs 65 ans, tandis que les autres collaborateurs peuvent, avec l'accord de l'employeur, travailler jusqu'à 68 ans. La proposition vise à harmoniser l'âge de départ des membres de la direction générale en renvoyant aux règles applicables pour le personnel de la banque", justifie le gouvernement.

Deux amendements

La commission du Grand Conseil chargée d'étudier ces changements a préféré une solution médiane pour le CA: "Le président et les membres du CA sont nommés pour quatre ans. Ils sont rééligibles jusqu'à la limite de 70 ans révolus; toutefois la durée totale de leur mandat ne peut excéder douze ans".

Largement accepté en commission, cet amendement n'avait pas passé la rampe la semaine passée dans l'hémicycle, le groupe PLR n'ayant pas suivi ses représentants au sein de ladite commission. Il avait été refusé par 70 voix, contre 53 oui et sept abstentions. C'est donc la version du Conseil d'Etat qui a été ainsi maintenue.

Les députés ont repris ce premier débat, inachevé la semaine dernière, mardi. Ils devaient cette fois se prononcer sur la modification concernant la direction générale.

Ils ont accepté par 74 oui, 57 non et cinq abstentions l'amendement de la commission qui fixe une petite cautèle. Il stipule que "le président et les membres de la direction générale sont tenus de se démettre de leur fonction à l'âge prévu de 65 ans. Une dérogation est possible jusqu'à 68 ans, sur décision des organes compétents".

Deuxième débat nécessaire

Cette nouvelle formulation autorise le départ des membres de la direction générale à 68 ans, mais évite le renvoi au règlement de la BCV, car il peut être modifié par l'institution elle-même, sans contrôle démocratique. Ce que critiquaient certains commissaires.

Un deuxième débat immédiat a été refusé mardi et aura donc lieu, sans doute, la semaine prochaine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Sánchez annonce un premier plan d'aide de 10,6 milliards d'euros

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Plan d'aide de 10 milliards pour les zones sinistrées par les inondations autour de Valence. (© KEYSTONE/EPA/MANUEL BRUQUE)

Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a annoncé mardi un premier plan d'urgence de 10,6 milliards d'euros (10 mrds de frs) pour venir en aide aux habitants et entreprises affectés par les inondations historiques et meurtrières qui ont ravagé le sud-est du pays.

"L'investissement total de toutes ces premières mesures" va dépasser les "10,6 milliards d'euros", a déclaré le dirigeant socialiste en dévoilant une série d'aides pour les sinistrés, mais aussi pour les collectivités locales concernées. "C'est un bon premier pas, un pas agile", a-t-il insisté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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