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Il faudrait être fou pour ne pas aller à la Barje!

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Envie de déguster un petit jus fait maison, les pieds dans l’herbe avec vue sur le Léman?

Eh bien suivez-moi rive droite à Genève, juste au-dessus de la Perle du lac, à la Barje des sciences. Un petit coin ombragé avec vue sur le lac, juste à côté du musée d’histoire des sciences. Assis confortablement sur des chaises longues, vous pourrez siroter un jus de gingembre fait maison.

La Barje, c’est une buvette associative qui propose, dans sa roulotte, des cafés le matin, juste avant de filer au bureau. Ou le soir, à l’heure de l’apéritif, une petite bière bien fraîche. La Barje en propose même 4 sortes différentes! A ne pas manquer, le Spritz bien frais et le sirop de sureau.

Pour les petites faims, vous pourrez croquer une empanada, cette sorte de feuilleté à la viande qui vient d’Amérique latine. Ou un petit morceau de cake à l’heure du goûter ou encore une boule de glace. Les enfants sont bienvenus. Un Puissance 4 géant, un mikado XXL sont à disposition des petits pour jouer dans l’herbe.

Quant aux amateurs de danse, ils vont aussi se régaler. Chaque soir, sur la piste en bois qui jouxte le Musée d’histoire des sciences, des cours de tango, de salsa et même de country sont donnés. La Barje des sciences ouvre de 10 h 30 à minuit, de mai à octobre.

L’association gère une autre Barje, celle des Lavandières. Elle se trouve sur le Rhône à côté du bâtiment des forces motrices, le BFM.

Barje des Lavandières

L’endroit est un peu plus festif. Au fil de l’eau, on y déguste une bière ou un verre de vin genevois, sur des tables multicolore et des tabourets bleu ciel. Mais aussi, assis sur les grosses pierres qui bordent le Rhône, histoire de chiller, tranquille, entre amis.

 

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Suisse

L'ONU à Genève s'estime "plus forte" mais attend les coupes

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La directrice générale de l'ONU à Genève Tatiana Valovaya anticipe la suppression de dizaines de postes l'année prochaine au secrétariat de l'organisation à Genève (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'ONU à Genève estime avoir été "plus forte" cette année, malgré les coupes attendues dans le budget 2026. Le nombre de réunions a augmenté par rapport à l'année précédente pour s'établir à près de 8800, a annoncé mardi la directrice générale à la presse.

Malgré les "conditions difficiles", "nous avons obtenu des résultats plutôt tangibles, insiste Tatiana Valovaya. "Nous devenons plus forts", dit-elle. Deux cents réunions supplémentaires ont été facilitées par rapport à l'année précédente.

"Genève reste un site très important pour des rencontres, pour le dialogue multilatéral", insiste la directrice générale. Près d'un million de personnes sont venues cette année au Palais des Nations pour des discussions.

Cette année, les coupes américaines et d'autres pays ont provoqué d'importantes réductions de postes dans les différentes agences onusiennes présentes à Genève. Largement plus de 10'000 emplois ont été biffés aux sièges ou dans les bureaux dans d'autres pays par ces entités.

Dizaines de coupes prévues

Le secrétariat est moins affecté, en attendant les coupes de 18% avec la réforme plus large lancée depuis New York. Mme Valovaya explique que l'élimination de 59 postes pour son administration, son bureau, de même que la bibliothèque et les archives, a été proposée. Sans parler des départs volontaires et pré-retraites.

A ce chiffre s'ajoutent ceux des conférences, de la sécurité et d'autres divisions que la directrice générale ne souhaite pas encore dévoiler parce qu'ils dépendent aussi de New York. Des co-facilitateurs de la réforme sont attendus en janvier à Genève.

Des délocalisations pourraient aussi avoir lieu sur des postes administratifs qui ne prévoient aucun contact avec les Etats membres, selon Mme Valovaya. "Nous sommes absolument sûrs que l'ONU à Genève et la Genève internationale vont continuer à jouer un rôle très important", dit-elle.

Travaux jusqu'à fin 2027

L'année prochaine sera celle où l'ONU à Genève va s'ouvrir davantage encore au public. Le nouveau Portail des Nations, financé par la Fondation pour Genève, doit être inauguré fin février par le secrétaire général Antonio Guterres. Au total, 180'000 visiteurs sont attendus chaque année.

Une autre donation doit permettre un nouveau bâtiment pour les archives, selon Mme Valovaya. L'Assemblée générale de l'ONU a aussi accordé en juin une rallonge de 88 millions de francs, moins que les 118 millions demandés pour faire face à l'inflation.

Les travaux ont pris du retard et l'enveloppe est passée de plus de 830 millions de francs, garantis par des prêts suisses, à plus de 900 millions. Ils doivent se terminer fin 2017. "C'est un délai réaliste", explique la directrice.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Un homme entre clandestinement avec panettones et huile d'olive

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Photo d'illustration (KEYSTONE/Karl Mathis)

Un Italien a été arrêté près de la douane de Brusata (TI) avec plus de 100 kilos d'aliments non déclarés. Cet homme de 51 ans voulait notamment faire entrer 66 panettones en Suisse.

Il est entré en Suisse avec une camionnette via le poste frontière non permanent de Brusata et a été arrêté peu après par une patrouille mobile, annonce mardi l'Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières.

L'Italien transportait 164 litres d'huile, 66 panettones d'un poids total de 81 kilogrammes, cinq kilos de viande fraîche, 28 kilos de mozzarella ainsi qu'une dizaine de miches de pain de focaccia.

L'homme qui exploite un food-trucks au nord du Gothard écope d'une amende de plusieurs centaines de francs et devra dédouaner sa marchandise.

Le laboratoire cantonale va par ailleurs mener une enquête concernant les conditions de transport et le stockage de la marchandise.

Avec Keystone-ATS

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Suisse

Budget: le Parlement débloque 1,5 million pour Tox Info

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Le centre antipoison Tox Info a été appelé 42'000 fois l'année dernière (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le centre antipoison Tox Info, qui rencontre des difficultés, bénéficiera de 1,5 million dans le cadre du budget 2026. Le Conseil des Etats, dans un premier temps réticent, a suivi le National mardi.

Les parlementaires ont, au cours des différents débats, répété à plusieurs reprises l'importance que le centre antipoison revêt pour la population. L'enjeu principal est de maintenir la ligne d'appel pour les empoisonnements, qui concerne des enfants dans beaucoup de cas.

Le centre, qui gère 24h sur 24 les urgences liées aux intoxications, avait en début d'année alerté le gouvernement sur son risque de disparition dès 2026 si des fonds supplémentaires n'étaient pas débloqués. Il exigeait 1,1 million de la part de la Confédération.

Quelques désaccords persistants

Des désaccords persistent toutefois encore entre les deux Chambres sur d'autres aspects du budget. Le Conseil des Etats veut allouer davantage pour la coopération internationale, alors que la tendance est plutôt à la coupe au National.

Il souhaite aussi maintenir les fonds prévus pour les ressources de plusieurs départements tandis que les députés veulent les tailler de moitié. Les sénateurs défendent également le budget pour Suisse Tourisme, jugé pas indispensable par la Chambre du peuple.

Le dossier repart au Conseil national.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

La fenêtre à bébés d'Einsiedeln déménage à l’hôpital de Schwyz

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L'hôpital de Schwyz accueille désormais la fenêtre à bébés qui se trouvait depuis 2001 à Einsiedeln (SZ). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

La première fenêtre à bébés jamais ouverte en Suisse à Einsiedeln (SZ) voici près de 25 ans a déménagé. Le dispositif destiné aux mères en détresse a été transféré dans son intégralité à l’hôpital de Schwyz.

La fenêtre à bébés est disponible dans le chef-lieu à compter de ce mardi, annonce l'hôpital de Schwyz dans un communiqué. Celle disponible jusqu’à récemment à l’hôpital d’Einsiedeln a été fermée et transférée dans l'établissement hospitalier du chef-lieu.

Le dispositif est géré par l’Aide suisse pour la mère et l’enfant (ASME) et l’hôpital, en accord avec l’autorité compétente de protection de l’enfant et de l’adulte. Il reste une solution de secours pour les cas d’extrême détresse afin de permettre aux mères se trouvant "dans une situation sans issue" de remettre anonymement leur enfant en mains sûres.

31 enfants déposés

Depuis le lancement de la première fenêtre à bébés à Einsiedeln le 9 mai 2001, le nombre d'enfants retrouvés morts en Suisse a nettement baissé, souligne l'ASME sur son site Internet. Aucun cas n'est signalé depuis 2022, contre 9 cas encore pour la période 1997-2001.

Outre le canton de Schwyz, ce service d’aide existe à Bâle, Bellinzone, Berne, Davos (GR), Olten (SO), Sion et Zollikerberg (ZH). Au total, 31 bébés ont été déposés dans une fenêtre, selon les chiffres de la fondation. Le dernier cas remonte au mois d'août 2025, à l’hôpital cantonal d’Olten.

Dans six cas, l'enfant a été repris plus tard par ses parents, et dans sept autres cas, la mère ou les parents se sont fait connaître. La mère et le père de l’enfant ont le droit de réclamer le retour de l’enfant jusqu’au moment où le processus d’adoption officielle se termine.

A l'abri des regards

À l’hôpital de Schwyz, la fenêtre à bébés, installée à proximité du service des urgences, est aménagée de façon à pouvoir déposer l'enfant en toute discrétion, à l’abri des regards. Les mères peuvent placer le nouveau-né dans un petit lit préchauffé et trouveront dans la fenêtre une lettre à leur attention, expliquent les responsables.

Une alarme se déclenche à la maternité de l'établissement au bout de trois minutes. C'est ensuite la sage-femme de service qui prendra en charge l’enfant, afin de lui donner les soins nécessaires. Quelques jours plus tard, l’enfant sera placé auprès de parents d’accueil, puis de parents adoptifs. L’adoption peut avoir lieu au plus tôt un an après la remise de l’enfant dans une fenêtre à bébés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le Planning familial des HUG souffle ses 60 bougies

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Credit KEYSTONE Source KEYSTONE Byline CHRISTIAN BEUTLER

Cela fait 60 ans qu’on y parle sexualité, contraception ou grossesse. L'Unité de santé sexuelle et planning familial des HUG célèbre six décennies d'existence cette année. Le lieu permet d’offrir des consultations gratuites et confidentielles en matière de sexualité.

Créé en 1965, le planning familial était le premier centre de santé sexuelle non médicalisé de Suisse. Angela Walder-Lamas y est Conseillère en santé sexuelle. Elle rappelle dans quel contexte l’unité a été créé.

Angela Walder-LamasConseillère en santé sexuelle au planning familial

"Au départ, le but était de lutter contre l'avortement. On pensait qu'il  allait y avoir beaucoup de couples mariés ou du moins fiancés qui allaient venir pouvoir se renseigner sur la contraception. Et finalement, la cible n'était pas tellement là où on pensait qu'elle allait être."

Si sa mission à l’époque était de réduire le nombre d’avortements, l’unité a su s'adapter aux changements de la société. Que cherchent les personnes qui consultent aujourd’hui?
La réponse de la Docteure Sara Arserver, Médecin Responsable de l'Unité de santé sexuelle et planning familial aux HUG.

la Docteure Sara Arsever Médecin responsable de l'Unité de santé sexuelle et planning familial aux HUG

"Les rendez-vous tournent beaucoup autour de la santé reproductive quand même. Et lors des entretiens c'est vraiment toute la santé sexuelle qui ressort."

Aujourd’hui le droit à l'avortement est menacé notamment aux Etats-Unis, où il est même devenu interdit dans certains Etats. Ces menaces sont-elles aussi d'actualité chez nous?

La Dre Sara ArseverMédecin responsable de l'Unité de santé sexuelle et planning familial aux HUG

Avec 5 avortements pour 1'000 femmes par année, la Suisse se classe en tête des pays avec le taux d’avortements le plus bas, en comparaison internationale. Alors que notre système ne facilite pas l’accès à la contraception, selon la Docteure Sara Arsever.

Docteure Sara ArseverMédecin responsable de l'Unité de santé sexuelle et planning familial aux HUG

 

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