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Les Européens aux côtés de Trump sur l'Ukraine

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Moscou, qui avance sur le terrain, veut négocier en position de force à Budapest et relève qu'"aucun délai précis" n'a été fixé pour les négociations sur l'Ukraine pour l'instant. (© KEYSTONE/EPA/SERGEI SAVOSTYANOV / SPUTNIK / KREMLIN POOL)

Les dirigeants européens ont confirmé mardi leur soutien aux efforts de paix en Ukraine du président américain, sans renoncer à leurs principes. Dans le même temps, un sommet Trump-Poutine à Budapest se préparait.

La Russie a relativisé cependant les chances que cette rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump dans la capitale hongroise intervienne rapidement. "Aucun délai précis" n'a été fixé pour ce sommet, a insisté le Kremlin, évoquant la nécessité d'un "sérieux" travail préparatoire entre Moscou et Washington.

Il n'empêche, la perspective d'une nouvelle réunion entre les présidents américain et russe inquiète les Européens, qui redoutent un accord conclu au détriment de l'Ukraine et de la sécurité de l'Europe toute entière.

Favorables aux efforts de paix de Donald Trump, ils entendent néanmoins rappeler certains des principes qui les guident depuis l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, à commencer par celui de l'intangibilité des frontières en Europe.

"Nous soutenons fermement la position du président Trump selon laquelle les combats doivent cesser immédiatement", ont ainsi plaidé mardi le chef de l'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens, dont ceux de la France, du Royaume-Uni ou de l'Allemagne, tout en considérant que "la ligne de contact actuelle doit servir de base pour les négociations".

Mais, ont-ils aussitôt ajouté, "nous restons attachés au principe selon lequel les frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force".

Pas "par la force"

D'éventuelles concessions territoriales en Ukraine "ne peuvent être négociées" que par son président, a martelé mardi à Ljubljana Emmanuel Macron.

"Nul autre ne saurait le faire et donc c'est à l'Ukraine de décider pour elle-même et son territoire et aux Européens de décider pour eux-mêmes et leur sécurité", a jugé le chef de l'Etat français, dans une allusion au sommet russo-américain de Budapest.

L'idée est de "clairement" rappeler la position des Européens, affichée au moment du déplacement de la plupart de ces dirigeants à Washington, dans la foulée du sommet Trump-Poutine en Alaska du mois d'août, a dit à l'AFP un responsable de l'UE, sous couvert d'anonymat.

Le président américain a déclaré cette semaine qu'il était nécessaire que toute discussion parte de la situation actuelle sur la ligne de front, pour arrêter enfin "les massacres" en Ukraine. "Ils devraient s'arrêter immédiatement sur les lignes de front", a-t-il affirmé à bord d'Air Force One.

Et si les Européens sont d'accord pour partir de là, rien ne doit se faire, notent-ils, sans l'Ukraine et sans eux. Il est donc indispensable, de mettre l'Ukraine dans une position de négociation aussi "forte" que possible.

"Tactiques dilatoires"

"Les tactiques dilatoires de la Russie ont démontré à maintes reprises que l'Ukraine est la seule partie sérieuse à vouloir la paix", écrivent ainsi ces dirigeants. "C'est pourquoi nous sommes convaincus que l'Ukraine doit être dans la position la plus forte possible, avant, pendant et après tout cessez-le-feu", ont-ils ajouté.

Parallèlement, la pression doit être accentuée sur Moscou, qui continue de "choisir la violence et la destruction".

"Nous devons intensifier la pression sur l'économie de la Russie et sur son industrie de défense, jusqu'à ce que Poutine soit prêt à faire la paix", soulignent ainsi ces hauts responsables.

Ce communiqué commun est signé par les dirigeants de l'Ukraine, de l'Union européenne, de la France, du Royaume-Uni, de l'Allemagne, de l'Italie, de la Pologne, du Danemark et de la Finlande.

Ils doivent se retrouver jeudi à Bruxelles, à l'exception du Premier ministre britannique Keir Starmer, pour un sommet européen au cours duquel ils espèrent se mettre d'accord sur un soutien financier pérenne à l'Ukraine.

Une réunion de la "coalition des volontaires", qui rassemble les soutiens de Kiev, est en outre prévue pour vendredi.

"Nous élaborons des mesures pour utiliser pleinement la valeur des actifs souverains immobilisés de la Russie, afin que l'Ukraine dispose des ressources nécessaires", écrivent aussi ces dirigeants.

La cheffe de la politique étrangère européenne, Kaja Kallas, a déclaré lundi qu'il y avait un "large soutien" au sein de l'Union européenne à la proposition de mobiliser ces avoirs russes gelés, afin d'accorder à Kiev un prêt de 140 milliards d'euros.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Shell poursuivi par des survivants d'un typhon aux Philippines

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Shell a fait machine arrière ces dernières années sur certains de ses objectifs climatiques pour se recentrer sur les hydrocarbures, dans l'espoir de doper ses bénéfices (archives). (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

Des survivants du typhon Rai, qui a fait plus de 400 morts en 2021 aux Philippines, ont déposé une plainte à Londres contre le géant britannique des hydrocarbures Shell. Ils l'accusent de n'avoir pas pris ses responsabilités face aux impacts du changement climatique.

Cette plainte constitue "une contribution essentielle au mouvement mondial grandissant visant à remettre en cause l'impunité des compagnies pétrolières", ont indiqué jeudi des ONG, dont Greenpeace, qui soutiennent les plaignants.

La démarche s'inscrit dans la continuité de la reconnaissance en mai par la justice allemande d'une responsabilité mondiale des entreprises productrices d'électricité dans les dommages liés aux émissions de gaz à effet de serre, quel que soit l'endroit où ils se produisent. Les affaires de ce genre se multiplient dans le monde entier.

Il s'agit d'"une étape décisive pour tenir le géant pétrolier Shell responsable des morts, blessures et destructions causées par cette tempête", est-il souligné dans le communiqué des ONG.

"Allégation infondée"

Un porte-parole de Shell a dénoncé "une allégation infondée, qui n'aidera pas à lutter contre le changement climatique, ni à réduire les émissions" de CO2. "Chez Shell, nous réduisons les émissions de nos opérations et aidons nos clients à réduire les leurs", a-t-il ajouté.

Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année. Le typhon Rai avait ravagé des régions très pauvres du pays en décembre 2021, faisant plus de 400 morts et des centaines de milliers de sans-abris.

La plainte, qui s'appuie sur le droit philippin, a été déposée au nom de 103 survivants qui demandent "réparation pour les vies perdues, les blessures subies et les maisons détruites", selon le communiqué.

"Les survivants soutiennent que Shell, responsable de plus de 41 milliards de tonnes d'équivalent CO2, soit plus de 2% des émissions mondiales de combustibles fossiles, ne peut pas invoquer l'ignorance", est-il souligné dans le communiqué des ONG.

L'entreprise a fait machine arrière ces dernières années sur certains de ses objectifs climatiques pour se recentrer sur les hydrocarbures, dans l'espoir de doper ses bénéfices.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'opposante vénézuélienne Machado réapparaît à Oslo

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María Corina Machado est recherchée au Venezuela pour "conspiration, incitation à la haine et terrorisme". (© KEYSTONE/EPA/LISE ASERUD)

L'opposante vénézuélienne María Corina Machado est réapparue jeudi en public à Oslo pour la première fois depuis près d'un an, après avoir manqué la veille la cérémonie de remise de son prix Nobel de la paix pour ses efforts pour la démocratie dans son pays.

Mme Machado est arrivée jeudi dans la nuit au Grand Hotel, où descendent habituellement les lauréats du Nobe. Elle a salué les quelques dizaines de partisans en liesse qui scandaient "libertad" (liberté, en français) dans la rue, selon des journalistes de l'AFP sur place. Elle prévoit de donner une conférence de presse à Oslo en matinée.

La réapparition de l'opposante a lieu en pleine crise entre le Venezuela et les Etats-Unis, qui ont déployé depuis août une imposante flottille en mer des Caraïbes, officiellement pour lutter contre le trafic de drogue, causant 87 morts. Le président vénézuélien Nicolás Maduro accuse Washington de vouloir le renverser pour s'emparer du pétrole de son pays.

Recherchée au Venezuela

María Corina Machado, bête noire de M. Maduro, est critiquée par certains pour la proximité de ses idées avec celles du président américain Donald Trump, auquel elle a dédié son Nobel, et son soutien au déploiement américain.

L'opposante de 58 ans vit dans la clandestinité au Venezuela depuis août 2024, soit quelques jours après la présidentielle à laquelle elle avait été empêchée de participer.

Mercredi, c'est sa fille Ana Corina qui a reçu en son nom le prix et a lu pour elle un discours de remerciements. Le comité Nobel a évoqué "un voyage en situation de danger extrême" pour justifier l'absence de la lauréate, avant de confirmer son arrivée dans la nuit de mercredi à jeudi.

La précédente apparition publique de Mme Machado remontait au 9 janvier lors d'une manifestation à Caracas. On ignore comment l'opposante a réussi à quitter le Venezuela, où la justice la recherche pour "conspiration, incitation à la haine et terrorisme", et comment elle compte faire pour éventuellement y retourner.

"Elle risque d'être arrêtée si elle rentre, même si les autorités ont fait preuve de plus de retenue avec elle qu'avec beaucoup d'autres parce qu'une arrestation aurait une portée symbolique très forte", a expliqué Benedicte Bull, spécialiste de l'Amérique latine de l'université d'Oslo.

Elle rentrera "très bientôt [...] Elle veut vivre dans un Venezuela libre et elle n'abandonnera jamais cet objectif", a assuré sa fille, Ana Corina Sosa Machado.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Amnesty International accuse le Hamas de crimes contre l'humanité

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Le Hamas palestinien a commis des crimes de guerre répétés depuis son attaque en Israël en octobre 2023, selon Amnesty International (archives). (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

Amnesty International a accusé jeudi pour la première fois le Hamas et d'autres groupes palestiniens de crimes contre l'humanité lors de l'attaque du 7 octobre 2023 en Israël et par la suite. L'ONG avait déjà reconnu des crimes de guerre commis le 7 octobre.

"Des groupes armés palestiniens ont commis des violations du droit international humanitaire, des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité lors de leurs attaques dans le sud d'Israël ayant commencé le 7 octobre 2023", écrit l'organisation de défense des droits fondamentaux dans un nouveau rapport de plus de 170 pages.

Amnesty juge que le massacre de civils le 7 octobre relève du "crime contre l'humanité d'extermination" et recense comme autres crimes contre l'humanité commis par des groupes palestiniens l'emprisonnement, la torture, la disparition forcée, le viol et "d'autres formes de violences sexuelles".

Ces groupes, en premier lieu le Hamas, "ont continué de commettre des violations et des crimes relevant du droit international", après le 7 octobre, notamment des crimes contre l'humanité, en "détenant et maltraitant des otages ainsi qu'en retenant des corps enlevés", ajoute Amnesty.

"La détention d'otages s'inscrivait dans un plan explicitement formulé par la direction du Hamas et d'autres groupes armés palestiniens", écrit-elle.

Hamas "principalement responsable"

L'ONG avait déjà conclu que le Hamas et d'autres groupes avaient commis des crimes de guerre lors de l'attaque du 7 octobre en Israël, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza.

Cette attaque a entraîné la mort de 1221 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP. Ce jour-là, 251 personnes avaient été prises en otage, dont 44 déjà mortes.

Sur les 207 otages emmenés vivants, 41 sont morts ou ont été tués en captivité. A ce jour, tous les captifs sont rentrés, à l'exception d'un Israélien, dont la dépouille se trouve encore dans Gaza.

Pour les violences sexuelles commises le 7 octobre, l'ONG a précisé qu'elle n'avait pu interroger qu'une seule personne parmi les survivants et n'était, par conséquent, pas en mesure de déterminer leur ampleur ou étendue.

Le rapport conclut que le Hamas, notamment sa branche armée, les Brigades Ezzedine Al-Qassam, était "principalement responsable" des crimes commis, imputant aussi une responsabilité, mais moindre, au Jihad islamique palestinien, aux Brigades des martyrs d'Al-Aqsa et à des "civils palestiniens non affiliés".

"Génocide" d'Israël

Amnesty, qui accuse Israël de commettre un génocide à Gaza, a estimé à la fin novembre que celui-ci "se poursuit sans relâche malgré le cessez-le-feu" fragile en vigueur depuis le 10 octobre. Israël rejette avec force les accusations de génocide le visant, qu'il qualifie de "mensongères" et "antisémites".

Les crimes de guerre qualifient des violations graves du droit international commises à l'encontre de civils ou de combattants à l'occasion d'un conflit armé.

Selon le statut de Rome ayant institué la Cour pénale internationale (CPI), les crimes contre l'humanité qualifient des actes commis "dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique lancée contre toute population civile et en connaissance de cette attaque".

En mai 2024, la CPI avait lancé des mandats d'arrêt contre Ismaïl Haniyeh, alors chef du Hamas, Mohammed Deif, alors chef des Brigades Al-Qassam, et Yahya Sinouar, alors chef du Hamas à Gaza et largement considéré comme le cerveau des massacres du 7 octobre.

La CPI a annulé ces mandats d'arrêt après leur mort plus tard cette année-là dans des attaques israéliennes.

La CPI a également émis en novembre 2024 un mandat d'arrêt, toujours en vigueur, contre le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, et son ancien ministre de la défense, Yoav Gallant, pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité commis durant la guerre à Gaza.

Plus de 70'369 Palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza dans la campagne militaire israélienne de représailles au 7 octobre, selon le ministère de la santé local, placé sous l'autorité du Hamas.

Le ministère, dont les chiffres sont jugés fiables par l'ONU, ne précise pas le nombre de combattants tués, mais, selon ses données, plus de la moitié des morts sont des mineurs et des femmes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Pour Musk, DOGE a eu un "peu de succès", mais il ne le referait pas

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Elon Musk regrette d'avoir "brûlé" ses voitures Tesla avec la DOGE (archives). (© KEYSTONE/AP/EVAN VUCCI)

Le milliardaire Elon Musk, patron du constructeur automobile Tesla, de l'entreprise spatiale SpaceX ou encore du réseau social X, a indiqué qu'il ne participerait plus à la commission pour l'efficacité gouvernementale (DOGE). Il dit qu'il ne s'impliquera plus.

A la question "le referiez-vous?", posée lors du programme conservateur The Katie Miller Podcast, l'homme le plus riche au monde a répondu: "Non, je ne pense pas".

"Je pense qu'au lieu de faire DOGE, j'aurais tout simplement [...] travaillé à mes entreprises", a-t-il expliqué au sujet de cette commission ad hoc dédiée à la réduction des dépenses fédérales. "Et ils n'auraient pas brûlé les voitures", a-t-il relevé.

Conséquence de son rôle au sein du gouvernement du président américain Donald Trump, les ventes de Tesla ont plongé dans le monde, des boutiques ont été la cible de manifestations et de dégradations, des véhicules en circulation ont été endommagés et des stations de recharge incendiées et des appels au boycott s'élevaient.

Bien loin des 2000 milliards

M. Musk a néanmoins estimé que DOGE avait eu "un peu de succès". "Nous avons mis un terme à beaucoup de financements qui n'avaient tout simplement aucun sens, qui étaient entièrement du gaspillage", a-t-il défendu.

Cette commission, lancée dès l'investiture du président Donald Trump en janvier, avait pour objectif de tailler dans les dépenses publiques et d'alléger la bureaucratie.

Elon Musk avait évoqué pendant la campagne présidentielle, à laquelle il a beaucoup participé, quelque 2000 milliards de dollars de coupes, avant d'abaisser ses anticipations à 1000 milliards. Au final, les montants sont beaucoup moins élevés selon le compteur de la commission elle-même: 214 milliards de dollars, à la dernière mise à jour le 4 octobre.

Mais un site indépendant, le "DOGE Tracker", arrivait à un total de seulement 12 milliards de dollars en mai, lorsque Elon Musk a quitté la commission sur fond de tensions acrimonieuses avec le président américain et de problèmes pour Tesla.

Pour effectuer ces économies, l'administration a multiplié les incitations au départ et les licenciements de fonctionnaires, réduit drastiquement ou supprimé des agences publiques et fait des coupes massives dans l'aide internationale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Fed baisse ses taux, deux responsables voulaient un statu quo

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Pour la troisième fois d'affilée, la Fed a décidé de baisser ses taux d'intérêt. Une décision qui divise au sein de l'institution (archives). (© KEYSTONE/EPA/JUSTIN LANE)

La banque centrale des Etats-Unis (Fed) a abaissé mercredi ses taux d'intérêt pour la troisième fois d'affilée. Une décision largement attendue par les marchés financiers mais marquée par une division grandissante.

Les taux directeurs américains sont réduits d'un quart de point de pourcentage, pour être ramenés dans une fourchette comprise entre 3,50% et 3,75%, annonce l'institution dans un communiqué.

Elle précise que trois des douze votants étaient contre: deux ne voulaient pas de baisse du tout et un voulait une détente plus forte, d'un demi-point.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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