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La Syrie retire ses troupes à Soueida pour éviter le conflit

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Photo d'archive d'une allocution télévisée du président syrien Ahmad al-Chareh. (© KEYSTONE/EPA/BILAL AL-HAMMOUD)

Le président intérimaire syrien Ahmad al-Chareh, disant vouloir éviter une "guerre ouverte" avec Israël, a retiré jeudi ses troupes de la ville à majorité druze de Soueida, où un photographe de l'AFP a vu au moins 15 corps gisant dans la rue.

Israël avait menacé d'intensifier ses frappes si le pouvoir syrien ne quittait pas cette province du sud de la Syrie. Les habitants de Soueida ont découvert jeudi matin une ville sinistrée. Un correspondant de l'AFP a compté 15 cadavres gisant dans le centre de la ville, sans pouvoir indiquer s'il s'agissait de combattants ou de civils.

Les violences intercommunautaires ont fait plus de 370 morts depuis que des combats ont éclaté dimanche, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Elles viennent ébranler encore plus le pouvoir d'Ahmad al-Chareh qui a renversé, à la tête d'une coalition de groupes rebelles islamistes sunnites, l'ex-président Bachar al-Assad en décembre, dans un pays meurtri par près de 14 ans de guerre civile.

Jeudi matin, les forces gouvernementales s'étaient retirées de toute la province à majorité druze, ont indiqué l'OSDH et des témoins à l'AFP. Des membres des forces gouvernementales ont affirmé qu'ils avaient reçu l'ordre de se retirer peu avant minuit et avaient achevé leur redéploiement à l'aube.

Intérêts syriens

Dans un discours télévisé pendant la nuit, Ahmad al-Chareh avait annoncé le transfert "à des groupes locaux" et des dignitaires religieux druzes de la responsabilité du maintien de la sécurité à Soueida.

"Nous avons donné la priorité à l'intérêt des Syriens plutôt qu'au chaos et à la destruction", a déclaré M. al-Chareh, disant avoir voulu éviter "une guerre ouverte" avec Israël dont il a condamné l'intervention. Quelques heures plus tôt, Israël avait bombardé plusieurs cibles au coeur de Damas.

Une aile d'un bâtiment du quartier général de l'armée syrienne, contigu au ministère de la Défense, a été détruite par ces frappes, qui ont fait trois morts selon les autorités. Israël a également mené d'autres frappes aux abords du palais présidentiel et dans les environs de Damas.

Médiation américaine

Les premiers affrontements avaient éclaté dimanche entre des tribus bédouines sunnites et des combattants druzes, aux relations tendues depuis des décennies.

Le gouvernement syrien est alors intervenu avec l'objectif affiché de rétablir l'ordre et a déployé ses forces mardi à Soueida, jusque là contrôlée par des combattants druzes. Mais l'OSDH, des témoins et des groupes druzes l'ont accusé de combattre les druzes et fait état de nombreuses exactions.

M. Chareh a souligné que "l'intervention efficace de la médiation américaine, arabe et turque, a sauvé la région d'un sort inconnu". Les Etats-Unis, alliés d'Israël et qui affichent leur soutien au nouveau dirigeant syrien malgré son passé jihadiste, avaient annoncé mercredi soir qu'un accord avait été conclu pour rétablir le calme en Syrie.

"Nous nous sommes mis d'accord sur des mesures spécifiques qui permettront de mettre fin à cette situation troublante et terrifiante dès ce soir", a écrit le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio sur le réseau X.

La porte-parole du département d'Etat, Tammy Bruce, avait auparavant appelé le gouvernement syrien à quitter la zone de conflit dans le sud du pays afin d'apaiser les tensions avec Israël.

"Exécutions sommaires"

Selon l'OSDH, parmi les morts dans les violences des derniers jours, 27 civils ont été victimes d'"exécutions sommaires" par les forces gouvernementales. Dans son discours, le président intérimaire a promis de faire "rendre des comptes" aux auteurs d'exactions contre "notre peuple druze, qui est sous la protection et la responsabilité de l'Etat".

Il avait fait la même promesse après le massacre de centaines de membres de la communauté alaouite, dont est issu Bachar al-Assad, début mars sur le littoral syrien. Mais la commission d'enquête sur ces massacres n'a jamais rendu ses conclusions.

La communauté druze de Syrie était, avant la guerre civile, forte de quelque 700.000 personnes, présente principalement à Soueida. Cette minorité ésotérique issue d'une branche de l'islam est aussi implantée au Liban et en Israël.

A la frontière entre Israël et la Syrie, à Majdal Shams, des dizaines de personnes se sont réunies jeudi matin, là où des scènes de chaos avaient eu lieu la veille quand des centaines de druzes ont forcé cette frontière dans les deux sens.

Des jeunes hommes longeaient jeudi ce segment de la frontière en brandissant des drapeaux druzes aux cinq couleurs. Un enfant druze syrien agitait un petit drapeau israélien. Son père, qui n'a pas souhaité donner son nom, a expliqué qu'ils habitent le village voisin de Hader, en Syrie, et ont retrouvé leurs cousins à Majdal Shams, côté israélien. "On n'a pas dormi de la nuit, on n'a fait que parler", dit-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Le Portugal au ralenti pour cause de grève générale

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La grève générale au Portugal est le plus important mouvement social depuis 2013. (© KEYSTONE/AP/Armando Franca)

Transports perturbés, écoles fermées et hôpitaux en services réduits: le Portugal est confronté jeudi à sa première grève générale en 12 ans, un mouvement lancé pour protester contre une réforme du code du travail défendue par le gouvernement de droite.

Les stations du métro de Lisbonne n'ont pas ouvert leurs portes, tandis que les ferries et les trains tournaient au rythme des services minimum décrétés, avec des tableaux d'affichage annonçant des annulations en cascade.

"Je me suis levée à 4 heures pour aller travailler, mais là je suis bloquée car je n'ai toujours pas réussi à prendre le train", a témoigné Nairene de Melo, une employée d'hôtel de 20 ans, à la station du Cais do Sodré, qui relie le centre-ville aux banlieues sud et ouest de la capitale portugaise.

Les commerces, cafés et restaurants, étaient ouverts mais avec moins de clients qu'à l'accoutumée.

"C'est beaucoup plus calme que d'habitude (...) Les gens se sont organisés à l'avance", a raconté Fernanda Marques, 64 ans, employée dans un petit café à la sortie de la gare, en installant les tables en terrasse.

L'ambiance était également plus calme que d'ordinaire dans les aéroports, la compagnie nationale TAP Air Portugal ayant supprimé plus de 200 vols, et la plus importante usine automobile du pays, une unité du groupe Volkswagen située dans la région de Setubal (sud) était paralysée.

"Attaque au monde du travail"

D'après des données compilées par la principale confédération syndicale, la CGTP, de nombreux services de collecte de déchets étaient à l'arrêt, de même que des dizaines d'unités hospitalières assurant des soins non urgents.

L'autre centrale syndicale, l'UGT, a fait état d'un taux de participation de ses adhérents de 80%. La Fédération nationale des médecins a évoqué une adhésion de 90% et le premier syndicat enseignant a affirmé qu'elle était supérieure à 90%, provoquant la fermeture de centaines d'écoles.

"La grande majorité des Portugais est au travail", a toutefois assuré le porte-parole du conseil des ministres, Antonio Leitao Amaro, en ajoutant que le mouvement était comparable à "une grève partielle de certains secteurs de la fonction publique".

Cette grève est le plus important mouvement social depuis 2013, à une époque où le pays ibérique vivait sous perfusion de l'Union européenne et du Fonds monétaire international, qui lui avaient imposé une sévère cure d'austérité budgétaire et la dernière révision en profondeur de la réglementation du travail.

L'actuel gouvernement a présenté en juillet un avant-projet de réforme comprenant plus d'une centaine de mesures visant à "stimuler la croissance économique pour créer plus d'emplois et payer de meilleurs salaires", a fait valoir le Premier ministre Luis Montenegro.

"Corriger un déséquilibre"

L'exécutif souhaite notamment simplifier les procédures de licenciement, allonger la durée des contrats à durée déterminée, offrir plus de flexibilité aux entreprises pour organiser le temps de travail, ou encore élargir les services minimum en cas de grève.

Pour la CGTP, qui organise jeudi une vingtaine de manifestations à travers le pays, cette réforme représente "une des plus grandes attaques faites au monde du travail", a déclaré à l'AFP son secrétaire général Tiago Oliveira.

Le président de la principale confédération patronale, Armindo Monteiro, a quant à lui dénoncé la "position radicale" des syndicats et qualifié cette grève de "prématurée".

L'avant-projet du gouvernement est "une base de discussion" qui vient "corriger un déséquilibre" provoqué par l'adoption en 2023, par le précédent gouvernement de gauche, d'une série d'amendements au code du travail plus favorables aux salariés, a-t-il commenté auprès de l'AFP.

Bien que le gouvernement ne dispose pas de majorité absolue au Parlement, il devrait pouvoir adopter cette série de mesures avec le soutien des libéraux et, surtout, de l'extrême droite, devenue la deuxième force politique du pays à l'issue des législatives de mai dernier.

Alors que le Portugal affiche une croissance économique autour de 2% et un taux de chômage historiquement bas (environ 6%), M. Montenegro a fait valoir que le pays devait profiter de cette conjoncture favorable pour mener cette réforme.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Russie dit avoir abattu dans la nuit 287 drones ukrainiens

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32 drones interceptés se dirigeaient vers Moscou, selon la Russie (archives). (© KEYSTONE/EPA/MAXYM MARUSENKO)

La Russie a indiqué jeudi avoir abattu dans la nuit 287 drones ukrainiens. Il s'agit de l'une des attaques les plus massives de l'armée ukrainienne en bientôt quatre ans d'offensive russe.

Sur les drones "interceptés et abattus" par la défense antiaérienne russe, 32 se dirigeaient vers Moscou, a précisé le ministère russe de la défense dans un communiqué sur le réseau social Telegram.

En raison des attaques de drones visant la capitale russe, rarement prise pour cible, des restrictions temporaires ont été mises en place dans les quatre aéroports moscovites - Cheremetievo, Domodedovo, Vnoukovo et Joukovski -, selon l'agence fédérale du transport aérien Rosaviatsia. Des dizaines de vols y ont été annulés, reportés ou redirigés vers d'autres aéroports, selon les agences de presse russes.

Cette annonce intervient alors l'Ukraine a remis mercredi aux Etats-Unis sa version mise à jour du plan pour mettre fin à la guerre avec la Russie, selon de hauts responsables ukrainiens.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Combats Cambodge-Thaïlande: pas de répit avant l'appel de Trump

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La reprise des combats entre le Cambodge et la Thaïlande en début de semaine a fait au moins 15 morts. (© KEYSTONE/AP/Sakchai Lalit)

Les combats frontaliers entre la Thaïlande et le Cambodge faisaient toujours rage jeudi avant un appel attendu du président américain Donald Trump aux dirigeants des deux pays pour leur demander de cesser les hostilités. Les affrontements ont fait au moins 19 morts.

Le ministère thaïlandais de la défense a annoncé un nouveau bilan de neuf soldats tués au total, qui s'ajoutent aux dix victimes civiles, dont un enfant, rapportées par les autorités cambodgiennes.

Plus d'un demi-million de personnes ont été contraintes depuis le début de la semaine de fuir les régions proches de la frontière, où des tirs d'artillerie résonnaient en matinée autour des temples khmers contestés.

Les deux voisins d'Asie du Sud-Est, qui se disputent de longue date des morceaux de territoire et s'accusent mutuellement de la reprise des affrontements, ne montraient aucun signe d'apaisement alors que Donald Trump a promis de jouer à nouveau les médiateurs.

Le président américain doit s'entretenir dans la journée avec le premier ministre thaïlandais Anutin Charnvirakul et son homologue cambodgien Hun Manet pour les convaincre de faire taire leurs armes. "J'ai trouvé qu'ils étaient deux grands dirigeants, deux personnes géniales et j'ai déjà réglé cela une fois", a-t-il rappelé mercredi.

"Nous devons expliquer"

Donald Trump était intervenu aux côtés de la Chine et de la Malaisie - pays assurant la présidence tournante de l'association des nations d'Asie du Sud-Est (ASEAN) - lorsqu'un premier conflit ouvert avait éclaté en juillet, faisant 43 morts en cinq jours.

Le milliardaire, qui n'a jamais fait mystère de son envie de recevoir un jour le prix Nobel de la paix, avait également cosigné le 26 octobre un accord de cessez-le-feu avec les dirigeants thaïlandais et cambodgien.

Mais Bangkok l'a suspendu quelques semaines plus tard après l'explosion d'une mine terrestre ayant blessé plusieurs de ses soldats et ne semble aujourd'hui pas encore ouvert à une trêve.

"Il [Donald Trump] souhaite sincèrement voir la paix, mais nous devons expliquer quels sont les problèmes et pourquoi la situation a évolué ainsi", a dit le premier ministre thaïlandais Anutin Charnvirakul.

"Entre dirigeants, il ne s'agit pas seulement de passer un coup de téléphone. Il y aura un rendez-vous prévu et des sujets précis à aborder", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Shell poursuivi par des survivants d'un typhon aux Philippines

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Shell a fait machine arrière ces dernières années sur certains de ses objectifs climatiques pour se recentrer sur les hydrocarbures, dans l'espoir de doper ses bénéfices (archives). (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

Des survivants du typhon Rai, qui a fait plus de 400 morts en 2021 aux Philippines, ont déposé une plainte à Londres contre le géant britannique des hydrocarbures Shell. Ils l'accusent de n'avoir pas pris ses responsabilités face aux impacts du changement climatique.

Cette plainte constitue "une contribution essentielle au mouvement mondial grandissant visant à remettre en cause l'impunité des compagnies pétrolières", ont indiqué jeudi des ONG, dont Greenpeace, qui soutiennent les plaignants.

La démarche s'inscrit dans la continuité de la reconnaissance en mai par la justice allemande d'une responsabilité mondiale des entreprises productrices d'électricité dans les dommages liés aux émissions de gaz à effet de serre, quel que soit l'endroit où ils se produisent. Les affaires de ce genre se multiplient dans le monde entier.

Il s'agit d'"une étape décisive pour tenir le géant pétrolier Shell responsable des morts, blessures et destructions causées par cette tempête", est-il souligné dans le communiqué des ONG.

"Allégation infondée"

Un porte-parole de Shell a dénoncé "une allégation infondée, qui n'aidera pas à lutter contre le changement climatique, ni à réduire les émissions" de CO2. "Chez Shell, nous réduisons les émissions de nos opérations et aidons nos clients à réduire les leurs", a-t-il ajouté.

Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année. Le typhon Rai avait ravagé des régions très pauvres du pays en décembre 2021, faisant plus de 400 morts et des centaines de milliers de sans-abris.

La plainte, qui s'appuie sur le droit philippin, a été déposée au nom de 103 survivants qui demandent "réparation pour les vies perdues, les blessures subies et les maisons détruites", selon le communiqué.

"Les survivants soutiennent que Shell, responsable de plus de 41 milliards de tonnes d'équivalent CO2, soit plus de 2% des émissions mondiales de combustibles fossiles, ne peut pas invoquer l'ignorance", est-il souligné dans le communiqué des ONG.

L'entreprise a fait machine arrière ces dernières années sur certains de ses objectifs climatiques pour se recentrer sur les hydrocarbures, dans l'espoir de doper ses bénéfices.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Machado promet de faire tout son possible pour rentrer au Venezuela

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L'opposante vénézuéienne Maria Corina Machado a visité le parlement norvégien en compagnie du président de l'Assemblée, Masud Gharahkhani (à gauche). (© KEYSTONE/EPA/OLE BERG-RUSTEN / POOL)

L'opposante vénézuélienne Maria Corina Machado, qui vit cachée dans son pays, "fera tout (son) possible" pour rentrer au Venezuela malgré les risques d'y être arrêtée, a-t-elle déclaré jeudi depuis Oslo. Elle n'a pas donné plus de détails.

"Je suis venue pour recevoir le prix (Nobel de la paix) au nom du peuple vénézuélien et je le ramènerai au Venezuela au moment adéquat", a déclaré à la presse l'opposante de 58 ans en visitant le Parlement norvégien au lendemain de la cérémonie de remise de son Nobel de la paix.

"Je ne dirai pas quand ni comment cela se fera, mais je ferai tout (mon) possible pour pouvoir rentrer et aussi mettre fin à cette tyrannie très bientôt", a-t-elle dit. Elle a également assuré qu'il fallait "finir le travail" pour établir la démocratie dans son pays.

L'opposante vénézuélienne, qui a quitté son pays dans des conditions encore mystérieuses pour aller recevoir son prix à Oslo, a affirmé jeudi qu'être dans l'opposition dans son pays était "très dangereux".

"Tous ceux qui vivent au Venezuela et qui disent la vérité risquent leur vie", a dit Mme Machado. Marquer son opposition au pouvoir du président Nicolas Maduro "est très dangereux", a ajouté l'opposante de 58 ans, qui tiendra une conférence de presse à 12h30, selon l'Institut Nobel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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