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Retour à la normale après la panne de courant: l'Espagne enquêtera

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Des passagers attendent des informations sur le départ des trains, à la gare de Sants à Barcelone, mardi, alors que le courant revient progressivement dans le pays. (© KEYSTONE/AP/Emilio Morenatti)

Le gouvernement espagnol et la justice madrilène, qui va ouvrir une enquête sur un éventuel cyber-sabotage, vont rechercher les causes de la méga-panne électrique qui a privé lundi toute la péninsule ibérique de courant pendant de nombreuses heures.

Toutes "les mesures nécessaires seront prises pour que cela ne se reproduise pas", a assuré mardi le premier ministre socialiste Pedro Sánchez lors d'une conférence de presse, annonçant la création d'une commission d'enquête chapeautée par le ministère de la Transition écologique.

"Les techniciens du réseau électrique continuent à réaliser une analyse de leur système. Nous attendons de recevoir leurs résultats préliminaires dans les prochaines heures ou prochains jours", a-t-il expliqué.

"Aucune hypothèse ne sera écartée tant que nous ne disposerons pas de ces résultats d'analyse", a-t-il aussi déclaré.

Quasiment au même moment, un juge de l'Audience nationale, la juridiction madrilène en charge des affaires les plus graves, dont celles de terrorisme, a de son côté annoncé l'ouverture d'une enquête sur un éventuel "sabotage informatique".

L'objectif de ces investigations? "Déterminer si la panne de courant survenue hier dans le réseau électrique espagnol qui a affecté tout le pays, pourrait être un acte de cyber-sabotage contre des infrastructures critiques espagnoles et, si tel est le cas, pourrait être qualifiée de délit terroriste", résume un communiqué

"Audit indépendant"

A la mi-journée, la piste de la cyberattaque avait pourtant été écartée à ce stade par le gestionnaire du réseau électrique espagnol (REE).

"Au vu des analyses que nous avons pu réaliser jusqu'à présent, nous pouvons écarter un incident de cybersécurité dans les installations du réseau électrique", a assuré Eduardo Prieto, directeur des opérations du gestionnaire de REE.

Une piste également écartée par le gouvernement portugais: "A ce stade, personne ne peut dire quelle a été l'origine mais il y a déjà assez d'éléments pour dire qu'il n'y a aucun indice d'une manipulation dans le cyberespace", a déclaré le premier ministre portugais Luis Montenegro.

Son exécutif a par ailleurs décidé mardi de "demander à l'Agence européenne pour la coopération des régulateurs de l'énergie la réalisation d'un audit indépendant aux systèmes électriques des pays affectés", mais aussi de créer "une commission technique indépendante" pour évaluer la gestion de la crise du côté portugais, a-t-il annoncé.

L'Union européenne elle-même a assuré qu'elle "tirerait les leçons" de cette panne: "En étroite collaboration" avec les gestionnaires du réseau électrique, Bruxelles examinera "de très près les raisons, le degré de préparation et les leçons à tirer d'un tel incident", a déclaré la porte-parole de la Commission Paula Pinho.

Nucléaire

Si les causes de cet évènement inédit restent donc encore à préciser, REE a évoqué dès lundi soir une "forte oscillation des flux de puissance" sur le réseau électrique "accompagnée d'une perte de production très importante", un phénomène ayant entraîné la déconnexion du système espagnol du réseau européen.

Lors de sa conférence de presse mardi en début d'après-midi, Pedro Sánchez a également pris soin d'assurer que la méga-panne électrique n'était pas liée à un manque d'énergie nucléaire en Espagne, rejetant les critiques émises notamment par le parti d'extrême droite Vox, et relayées aussi par de nombreux utilisateurs sur les réseaux sociaux.

La question du nucléaire est au coeur du débat politique depuis plusieurs mois en Espagne, dont le gouvernement a annoncé la prochaine fermeture de deux de ses sept derniers réacteurs, qui pèsent pour 20% de son mix électrique, contre 40% pour le solaire et l'éolien.

Selon REE, le système électrique espagnol, qui avait été remis en marche à plus de 99% mardi matin, était à la mi-journée pleinement opérationnel, comme le réseau portugais selon l'opérateur REN.

Dans les rues des villes espagnoles, le retour du courant lundi soir a souvent été accompagné d'applaudissements et de cris de joie des habitants.

Il a permis de rétablir le trafic ferroviaire sur plusieurs grands axes, dont Madrid-Séville et Madrid-Barcelone, selon la compagnie nationale Renfe.

"Après-midi de répit"

Selon les services de secours espagnols, au moins trois personnes pourraient avoir trouvé la mort en lien avec la panne. Ces victimes, découvertes dans une maison de Galice (nord-ouest de l'Espagne), se trouvaient en présence d'un générateur électrique près duquel a été détecté une "haute concentration de monoxyde de carbone", ont-ils précisé.

A Madrid, bars et magasins ont rouvert progressivement leurs portes mardi matin, reprenant une activité normale après avoir dû pour la plupart fermer leurs portes dans la précipitation lundi.

La plupart des écoles ont également accueilli normalement les élèves, même si le système espagnol très décentralisé laisse une grande latitude aux différentes régions pour trancher ces questions.

Déjà, les Espagnols tirent des leçons de cette extinction subite de tout le système électrique.

Avoir chez soi un transistor, des piles, des bougies et du liquide: c'est ce que beaucoup retiennent, comme Valentin Santiago, technicien environnemental de 48 ans, qui ne souhaite "jamais, ô grand jamais" se séparer de sa bonbonne de gaz.

"Ca a été une après-midi de répit, une pause technologie, une déconnexion improvisée. (...) On est prêt pour n'importe quoi depuis la pandémie, tout nous paraît plus simple", estime de son côté Marcos Garcia, un avocat madrilène âgé de 32 ans.

Le retour complet à la normale était attendu avec impatience en Espagne comme au Portugal après une longue journée passée à jongler avec les difficultés, entre métro fermé, bus saturés, trains bloqués et communications extrêmement difficiles.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Sanofi s'offre pour 2,2 milliards de dollars l'américain Dynavax

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Le géant pharmaceutique français Sanofi a annoncé avoir signé un accord pour acquérir l'entreprise américaine Dynavax. (archive) (© KEYSTONE/EPA/MARK R. CRISTINO)

Le géant pharmaceutique français Sanofi a annoncé mercredi avoir signé un accord pour acquérir l'entreprise américaine Dynavax, qui commercialise notamment un vaccin contre l'hépatite B pour adultes.

Selon l'accord, Sanofi lancera une offre publique d'achat en numéraire pour racheter toutes les actions de Dynavax, société cotée aux Etats-Unis, au prix de 15,50 dollars par action, ce qui valorise l'entreprise à environ 2,2 milliards de dollars (1,7 milliard de francs), selon le communiqué de Sanofi.

Dynavax développe notamment un candidat vaccin contre le zona, qui est "actuellement en phase 1/2 de développement clinique", de même que d'autres projets de vaccins, ajoute le laboratoire français.

Son vaccin contre l'hépatite B pour adultes, "Heplisav B", est actuellement commercialisé aux Etats-Unis et se distingue par sa posologie à seulement deux doses sur un mois, "qui permet d'obtenir des taux élevés de séroprotection plus rapidement que les autres vaccins", selon Sanofi.

Ces deux vaccins "ajoutent de nouvelles options à notre portefeuille et soulignent notre engagement à fournir une protection vaccinale tout au long de la vie", se félicite, Thomas Triomphe, vice-président exécutif chez Sanofi, cité dans le communiqué.

"Rejoindre Sanofi apportera l'envergure mondiale et l'expertise nécessaires pour maximiser l'impact de notre portefeuille de vaccins", abonde Ryan Spencer, directeur général de Dynavax, également cité.

L'hépatite B est une infection virale qui s'attaque au foie. Sa forme chronique est responsable de plus de 40% des cas de carcinome hépatocellulaire (cancer primitif du foie), le deuxième cancer le plus mortel dans le monde.

Le zona est la manifestation d'une réactivation du virus de la varicelle, le plus souvent chez les adultes âgés de plus de 50 ans. Après la varicelle, le virus reste en sommeil dans les cellules nerveuses humaines et peut se réactiver plus tard dans la vie, en raison d'un facteur déclenchant tel que le stress ou l'immunodépression.

Habituellement bénigne, cette infection localisée peut entraîner l'apparition de plaques douloureuses.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Caraïbes: les récifs coralliens réduits de moitié depuis 1980

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Un plongeur nage près d’une gigantesque gorgone (éventail de mer). (© KEYSTONE/EPA/SERGEY DOLZHENKO)

La couverture en coraux durs dans les Caraïbes a diminué de 48% entre 1980 et 2024, indique un rapport d'un réseau mondial de surveillance des récifs coralliens diffusé mardi par la préfecture de Guadeloupe.

Selon la préfecture, "plus de 200 scientifiques de 44 pays et territoires", ont compilé les données de "14'000 sites suivis entre 1970 et 2024" pour ce rapport publié début décembre par le Global Coral Reef Monitoring Network.

Il dresse un bilan alarmant quant à la santé des récifs coralliens caribéens, qui représentent "9,7% des récifs coralliens du monde".

Les coraux sont très vulnérables à la hausse des températures de l'eau. Or celles des océans du globe se maintiennent depuis 2023 à des niveaux inédits, sous l'effet du réchauffement climatique.

Conséquence de cette surchauffe et de l'acidification des mers, provoquées par les émissions de gaz à effet de serre de l'humanité, les coraux souffrent de stress thermique. Ils expulsent de ce fait leurs zooxanthelles, des algues vivant en symbiose avec eux qui leur fournissent les nutriments dont ils ont besoin. Privé de ces algues, le corail perd sa couleur et son alimentation et devient alors vulnérable aux maladies et à la mort.

Plusieurs épisodes de mortalité ont conduit à la baisse globale, précise le rapport: en 1998 (-9%), en 2005 (-17,5%) et en 2023 (-16,9%) en raison "d'épisodes de blanchissement induits par le stress thermique, ainsi que de maladies coralliennes",.

Stress thermique

"La température moyenne de la surface de la mer dans les zones récifales des Caraïbes a augmenté de 1,07°C entre 1985 et 2024 sous l'effet du changement climatique, ce qui correspond à un rythme de réchauffement de 0,27°C par décennie", indique la même source.

En 2023, la température de la mer dans la région avait dépassé les 30°C durant plusieurs semaines.

Selon les scientifiques, s'ajoutent à ce réchauffement le "déclin des espèces herbivores" comme les poissons perroquets ou les oursins, ainsi que l'augmentation de la population sur les rivages avec 13 millions de personnes en plus vivant à moins de 20 km des récifs entre 2000 et 2020.

Les auteurs du rapport recommandent d'"intégrer (les récifs) dans les stratégies régionales sur le climat et la biodiversité", de "réduire les pressions locales et les émissions de gaz à effets de serre", mais aussi de "renforcer la gestion des aires marines protégées".

Dans les zones tropicales, les récifs coralliens sont bénéfiques à plusieurs niveaux: ils assurent la ressource pour la pêche côtière et artisanale, favorisent le tourisme mais ont surtout un rôle de protection des côtes contre certains phénomènes de houle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Suisse extrade un espion russe présumé vers l’Allemagne

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Plus de sept mois après son arrestation en Suisse, un espion présumé au profit de la Russie a été présenté à Karlsruhe à la justice fédérale allemande. (© Keystone/DPA/ULI DECK)

Plus de sept mois après son arrestation dans le canton de Thurgovie, un agent russe présumé a été extradé mardi vers l’Allemagne. Le suspect a été présenté à Karlsruhe devant le juge d’instruction de la Cour fédérale allemande de justice.

L’homme a été placé en détention provisoire pour activité présumée d’agent au profit de la Russie, a indiqué le Ministère public allemand, cité par l'agence DPA. Selon ce dernier, l’accusé et deux complices auraient proposé à plusieurs personnes supposément mandatées par la Russie de commettre des attentats incendiaires et à l’explosif contre le transport de marchandises en Allemagne.

Les Ukrainiens devaient, "en se répartissant les tâches, envoyer depuis l’Allemagne à des destinataires en Ukraine des colis contenant des dispositifs explosifs ou incendiaires qui s’enflammeraient pendant le transport".

L’un d’eux aurait déposé fin mars à Cologne deux colis tests contenant notamment des traceurs GPS. D’après l’enquête, l’ordre aurait été donné par l’homme désormais présenté à Karlsruhe. Celui-ci avait été arrêté à la mi-mai dans le canton de Thurgovie à la demande du parquet fédéral allemand.

Pas un cas isolé

Les deux complices, arrêtés également en mai, à Cologne et à Constance, ont déjà comparu devant la justice allemande. Tous deux ont été placés en détention provisoire.

Ces derniers mois, les services de renseignements allemands ont mis en garde à plusieurs reprises contre des actes de sabotage et d’espionnage russes. En 2024 notamment, un colis de fret aérien a pris feu alors qu’il se trouvait encore au sol dans un centre logistique de Leipzig. Le colis contenait un engin incendiaire qui s’est déclenché et a provoqué l’incendie d’un conteneur de fret.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / dpa

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Appels à évacuer à Los Angeles face au risque d'inondations

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Un énorme couloir de pluies dit "rivière atmosphérique", transportant de la vapeur d'eau emmagasinée dans les tropiques, doit traverser le sud de la Californie jusqu'à la fin de semaine. (© KEYSTONE/AP/Noah Berger)

Les autorités de Los Angeles ont ordonné l'évacuation de centaines de personnes en raison du risque de dangereuses inondations posé par les pluies torrentielles attendues sur la Californie mercredi. Jusqu'à 30 cm de précipitations sont attendus par endroits.

Un énorme couloir de pluies dit "rivière atmosphérique", transportant de la vapeur d'eau emmagasinée dans les tropiques, doit traverser le sud de la Californie jusqu'à la fin de semaine, apportant fortes pluies, neige et vent.

"C'est une tempête de Noël très dangereuse", ont alerté les services météorologiques (NWS). "Entre mercredi soir et vendredi, de nombreuses régions seront probablement touchées par d'importantes inondations, des éboulements et des coulées de boue, en particulier dans les zones montagneuses et les routes traversant des canyons", a détaillé mardi le météorologue du NWS Ariel Cohen.

Vent et coupures de courant

Face à ces risques, la police de Los Angeles a annoncé que plus de 200 foyers avaient été placés sous ordres d'évacuation et que de vastes zones de la ville californienne étaient elles sous préavis d'évacuation.

Les célèbres quartiers huppés de Pacific Palisades et de Malibu, qui ont été ravagés par de puissants incendies il y près d'un an, font l'objet d'une vigilance renforcée, les importantes précipitations attendues faisant craindre des glissements de terrain.

De fortes rafales de vent sont également attendues, faisant craindre des coupures de courant et le blocage de routes si des arbres venaient à tomber sur la chaussée.

Plus de 30 centimètres de neige sont déjà tombés cette semaine dans les montagnes de la Sierra Nevada. Dans ce contexte, les autorités météorologiques ont exhorté les personnes voyageant pour les fêtes à faire preuve d'une "extrême prudence".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les frais de 100'000 dollars sur des visas américains validés

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Donald Trump a annoncé des frais élevés pour ce type de visa afin de donner la priorité aux travailleurs américains (archives). (© KEYSTONE/EPA POOL/SHAWN THEW / POOL)

Une juge fédérale a autorisé mardi le gouvernement américain à appliquer des frais de 100'000 dollars pour des visas de travail très utilisés dans le domaine technologique. Il s'agit d'un coup dur pour ce secteur.

Le président américain Donald Trump avait annoncé en septembre cette mesure portant sur les visas H-1B, qui permettent à des travailleurs étrangers aux qualifications précises (scientifiques, ingénieurs et programmateurs informatiques entre autres) de venir travailler aux Etats-Unis.

Le milliardaire républicain affichait depuis son premier mandat sa volonté de les limiter afin de donner la priorité aux travailleurs américains. La mesure avait provoqué une levée de boucliers dans le secteur qui y a largement recours, notamment dans la technologie, mais aussi auprès de pays fortement concernés, comme l'Inde.

La chambre de commerce des Etats-Unis avait saisi la justice avec l'association des universités américaines (AAU), estimant notamment que cette décision n'était pas du ressort de Donald Trump. Elles avaient souligné que les détenteurs de ces visas contribuaient "énormément à la productivité, à la prospérité et à l'innovation américaines".

75% pour des Indiens

Dans sa décision, consultée par l'AFP, la juge fédérale a relevé que "le congrès a accordé au président de larges pouvoirs statutaires afin de traiter, de la manière qu'il juge appropriée, un problème qu'il estime relever de la sécurité économique et nationale". La décision "et sa mise en oeuvre sont légales et résistent donc aux recours des plaignants", a-t-elle conclu.

Le visa H-1B a été créé pour permettre aux employeurs de parrainer des travailleurs étrangers très spécialisés et dont les qualifications sont peu répandues aux Etats-Unis. Il est initialement accordé pour une durée de trois ans, pouvant être prolongée jusqu'à six ans.

Les États-Unis délivrent 85'000 visas H-1B par an selon un système de loterie. Les trois quarts des bénéficiaires viennent d'Inde.

La décision de Donald Trump a également été attaquée en octobre, dans une procédure différente, par une coalition d'hôpitaux, d'écoles et de syndicats qui dénoncent l'impossibilité de recruter des médecins et des enseignants étrangers à ce prix.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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