Rejoignez-nous

International

179 morts dans la pire catastrophe aérienne de la Corée du Sud

Publié

,

le

Deux membres d'équipage ont pu être extraits vivants de la carcasse en feu peu après l'accident. (© KEYSTONE/EPA/HAN MYUNG-GU)

Le crash d'un avion de ligne à son atterrissage en Corée du Sud, après une vraisemblable collision avec des oiseaux, a fait 179 morts dimanche. Seuls deux membres de l'équipage ayant survécu à cette catastrophe aérienne, la pire de l'histoire du pays.

Tous les occupants de ce vol de la compagnie sud-coréenne bon marché Jeju Air ont été tués, sauf ces deux membres de l'équipage, qui ont été hospitalisés à Séoul, selon l'agence de presse Yonhap.

"Quand je me suis réveillé, j'avais déjà été secouru", a déclaré aux médecins un des deux survivants, un steward de 33 ans qui souffre de multiples fractures, cité par la direction de l'hôpital. L'autre membre de l'équipage ayant survécu est une femme de 25 ans blessée à la cheville et à la tête, a rapporté Yonhap.

L'accident s'est produit dimanche matin sur le tarmac de l'aéroport de Muan, ville située à 290 kilomètres au sud de Séoul, lors de l'arrivée de l'appareil en provenance de Bangkok.

Une vidéo du crash diffusée par la chaîne locale MBC a fait le tour du monde: elle montre l'appareil - un Boeing 737-800 entré en service en 2009, selon le site spécialisé Flightradar - en train d'atterrir avec de la fumée s'échappant des moteurs. L'avion heurte un mur en bout de piste et est immédiatement englouti par les flammes.

Passagers éjectés

"Les passagers ont été éjectés de l'avion lors de la collision avec une barrière, ce qui leur a laissé peu de chances de survivre", a déclaré un responsable local des pompiers lors d'une réunion avec les familles des victimes.

"L'avion est presque entièrement détruit et l'identification des personnes décédées s'avère difficile", a-t-il ajouté.

Un photographe de l'AFP a vu de nombreux véhicules des services d'urgence et des dizaines de pompiers s'affairer autour de la carcasse de l'avion intégralement calcinée à l'exception de la queue.

Soixante-cinq personnes identifiées

Dans le terminal, des proches en larmes étaient réunis dans l'attente d'informations, les écrans listant habituellement les départs et arrivées affichant les noms, dates de naissance et nationalités des victimes.

"J'avais un fils à bord de cet avion", a déclaré à l'AFP un homme âgé qui attendait dans le salon de l'aéroport. Une femme de 65 ans dit de son côté que sa "soeur cadette est partie au paradis aujourd'hui".

"Sur les 179 morts, 65 ont été identifiés", ont indiqué les pompiers, précisant que les prélèvements ADN étaient en cours.

Boîtes noires retrouvées

Les deux boîtes noires de l'avion ont été retrouvées. "Les boîtes noires, l'enregistreur vocal du cockpit et l'enregistreur de données de vol, ont maintenant été récupérés", a annoncé le vice-ministre des Transports Joo Jong-wan lors d'un point de presse.

Selon le ministère des Territoires, la tour de contrôle a averti l'équipage du vol d'une collision avec des oiseaux. Le pilote a émis un message d'alerte ("Mayday") avant l'atterrisage d'urgence.

"La cause de l'accident est présumée être une collision avec des oiseaux combinée à des conditions météorologiques défavorables. Cependant, la cause exacte sera annoncée à l'issue d'une enquête", a déclaré lors d'un point de presse Lee Jeong-hyun, chef de la caserne de pompiers de Muan.

Réunion d'urgence du gouvernement

Le chef de l'Etat par intérim nommé vendredi dans un pays secoué par une grave crise politique, Choi Sang-mok, a présidé une réunion d'urgence du gouvernement et s'est rendu dans l'après-midi à Muan.

"Toutes les agences concernées (...) doivent mobiliser toutes les ressources disponibles pour sauver les personnes", a-t-il ordonné dans un communiqué.

Enquêteurs américains

Le constructeur Boeing a présenté ses "sincères excuses" sur les réseaux sociaux et indiqué être en contact avec Jeju Air, se disant "prêt à les soutenir".

A Washington, l'Agence nationale de sécurité des transports (NTSB) a annoncé sur X diriger "une équipe d'enquêteurs américains", incluant Boeing, pour "aider" les autorités coréennes.

Le président américain Joe Biden s'est dit "profondément attristé", assurant dans un communiqué que les Etats-Unis étaient "prêts à fournir toute l'assistance nécessaire".

Le pape François a annoncé, après la prière de l'Angelus, se joindre "par la prière aux survivants et aux morts" de "ce crash aérien dramatique".

Accidents d'avion très rares

Cet accident, qui survient quelques jours après celui d'un avion d'Azerbaijan Airlines au Kazakhstan, où ont péri 38 personnes, est le premier accident mortel de l'histoire de Jeju Air, une des plus grosses compagnies low-cost sud-coréennes, fondée en 2005.

Le 12 août 2007, un Bombardier Q400 de Jeju Air transportant 74 passagers était sorti de la piste par vent fort à l'aéroport de Busan-Gimhae (sud), faisant une dizaine de blessés légers.

Les accidents d'avion sont très rares en Corée du Sud. Le plus meurtrier à avoir eu lieu dans le pays était jusqu'alors le crash sur une colline près de l'aéroport de Busan-Gimhae d'un Boeing 767 d'Air China en provenance de Pékin, qui avait fait 129 morts le 15 avril 2002.

Percuter des oiseaux en vol est la hantise des pilotes, surtout s'agissant d'avions à réaction dont les moteurs peuvent rapidement perdre de la puissance voire s'arrêter complètement après avoir ingéré un volatile.

En 2009, un Airbus A320 de la compagnie US Airways avait effectué un amerrissage forcé dans le fleuve Hudson, à New York, après l'arrêt de ses deux réacteurs qui avaient aspiré des oiseaux. L'accident est connu sous le nom de "Miracle sur l'Hudson", tous les passagers et membres d'équipage s'en étant sortis vivants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Le Portugal au ralenti pour cause de grève générale

Publié

le

La grève générale au Portugal est le plus important mouvement social depuis 2013. (© KEYSTONE/AP/Armando Franca)

Transports perturbés, écoles fermées et hôpitaux en services réduits: le Portugal est confronté jeudi à sa première grève générale en 12 ans, un mouvement lancé pour protester contre une réforme du code du travail défendue par le gouvernement de droite.

Les stations du métro de Lisbonne n'ont pas ouvert leurs portes, tandis que les ferries et les trains tournaient au rythme des services minimum décrétés, avec des tableaux d'affichage annonçant des annulations en cascade.

"Je me suis levée à 4 heures pour aller travailler, mais là je suis bloquée car je n'ai toujours pas réussi à prendre le train", a témoigné Nairene de Melo, une employée d'hôtel de 20 ans, à la station du Cais do Sodré, qui relie le centre-ville aux banlieues sud et ouest de la capitale portugaise.

Les commerces, cafés et restaurants, étaient ouverts mais avec moins de clients qu'à l'accoutumée.

"C'est beaucoup plus calme que d'habitude (...) Les gens se sont organisés à l'avance", a raconté Fernanda Marques, 64 ans, employée dans un petit café à la sortie de la gare, en installant les tables en terrasse.

L'ambiance était également plus calme que d'ordinaire dans les aéroports, la compagnie nationale TAP Air Portugal ayant supprimé plus de 200 vols, et la plus importante usine automobile du pays, une unité du groupe Volkswagen située dans la région de Setubal (sud) était paralysée.

"Attaque au monde du travail"

D'après des données compilées par la principale confédération syndicale, la CGTP, de nombreux services de collecte de déchets étaient à l'arrêt, de même que des dizaines d'unités hospitalières assurant des soins non urgents.

L'autre centrale syndicale, l'UGT, a fait état d'un taux de participation de ses adhérents de 80%. La Fédération nationale des médecins a évoqué une adhésion de 90% et le premier syndicat enseignant a affirmé qu'elle était supérieure à 90%, provoquant la fermeture de centaines d'écoles.

"La grande majorité des Portugais est au travail", a toutefois assuré le porte-parole du conseil des ministres, Antonio Leitao Amaro, en ajoutant que le mouvement était comparable à "une grève partielle de certains secteurs de la fonction publique".

Cette grève est le plus important mouvement social depuis 2013, à une époque où le pays ibérique vivait sous perfusion de l'Union européenne et du Fonds monétaire international, qui lui avaient imposé une sévère cure d'austérité budgétaire et la dernière révision en profondeur de la réglementation du travail.

L'actuel gouvernement a présenté en juillet un avant-projet de réforme comprenant plus d'une centaine de mesures visant à "stimuler la croissance économique pour créer plus d'emplois et payer de meilleurs salaires", a fait valoir le Premier ministre Luis Montenegro.

"Corriger un déséquilibre"

L'exécutif souhaite notamment simplifier les procédures de licenciement, allonger la durée des contrats à durée déterminée, offrir plus de flexibilité aux entreprises pour organiser le temps de travail, ou encore élargir les services minimum en cas de grève.

Pour la CGTP, qui organise jeudi une vingtaine de manifestations à travers le pays, cette réforme représente "une des plus grandes attaques faites au monde du travail", a déclaré à l'AFP son secrétaire général Tiago Oliveira.

Le président de la principale confédération patronale, Armindo Monteiro, a quant à lui dénoncé la "position radicale" des syndicats et qualifié cette grève de "prématurée".

L'avant-projet du gouvernement est "une base de discussion" qui vient "corriger un déséquilibre" provoqué par l'adoption en 2023, par le précédent gouvernement de gauche, d'une série d'amendements au code du travail plus favorables aux salariés, a-t-il commenté auprès de l'AFP.

Bien que le gouvernement ne dispose pas de majorité absolue au Parlement, il devrait pouvoir adopter cette série de mesures avec le soutien des libéraux et, surtout, de l'extrême droite, devenue la deuxième force politique du pays à l'issue des législatives de mai dernier.

Alors que le Portugal affiche une croissance économique autour de 2% et un taux de chômage historiquement bas (environ 6%), M. Montenegro a fait valoir que le pays devait profiter de cette conjoncture favorable pour mener cette réforme.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

La Russie dit avoir abattu dans la nuit 287 drones ukrainiens

Publié

le

32 drones interceptés se dirigeaient vers Moscou, selon la Russie (archives). (© KEYSTONE/EPA/MAXYM MARUSENKO)

La Russie a indiqué jeudi avoir abattu dans la nuit 287 drones ukrainiens. Il s'agit de l'une des attaques les plus massives de l'armée ukrainienne en bientôt quatre ans d'offensive russe.

Sur les drones "interceptés et abattus" par la défense antiaérienne russe, 32 se dirigeaient vers Moscou, a précisé le ministère russe de la défense dans un communiqué sur le réseau social Telegram.

En raison des attaques de drones visant la capitale russe, rarement prise pour cible, des restrictions temporaires ont été mises en place dans les quatre aéroports moscovites - Cheremetievo, Domodedovo, Vnoukovo et Joukovski -, selon l'agence fédérale du transport aérien Rosaviatsia. Des dizaines de vols y ont été annulés, reportés ou redirigés vers d'autres aéroports, selon les agences de presse russes.

Cette annonce intervient alors l'Ukraine a remis mercredi aux Etats-Unis sa version mise à jour du plan pour mettre fin à la guerre avec la Russie, selon de hauts responsables ukrainiens.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Combats Cambodge-Thaïlande: pas de répit avant l'appel de Trump

Publié

le

La reprise des combats entre le Cambodge et la Thaïlande en début de semaine a fait au moins 15 morts. (© KEYSTONE/AP/Sakchai Lalit)

Les combats frontaliers entre la Thaïlande et le Cambodge faisaient toujours rage jeudi avant un appel attendu du président américain Donald Trump aux dirigeants des deux pays pour leur demander de cesser les hostilités. Les affrontements ont fait au moins 19 morts.

Le ministère thaïlandais de la défense a annoncé un nouveau bilan de neuf soldats tués au total, qui s'ajoutent aux dix victimes civiles, dont un enfant, rapportées par les autorités cambodgiennes.

Plus d'un demi-million de personnes ont été contraintes depuis le début de la semaine de fuir les régions proches de la frontière, où des tirs d'artillerie résonnaient en matinée autour des temples khmers contestés.

Les deux voisins d'Asie du Sud-Est, qui se disputent de longue date des morceaux de territoire et s'accusent mutuellement de la reprise des affrontements, ne montraient aucun signe d'apaisement alors que Donald Trump a promis de jouer à nouveau les médiateurs.

Le président américain doit s'entretenir dans la journée avec le premier ministre thaïlandais Anutin Charnvirakul et son homologue cambodgien Hun Manet pour les convaincre de faire taire leurs armes. "J'ai trouvé qu'ils étaient deux grands dirigeants, deux personnes géniales et j'ai déjà réglé cela une fois", a-t-il rappelé mercredi.

"Nous devons expliquer"

Donald Trump était intervenu aux côtés de la Chine et de la Malaisie - pays assurant la présidence tournante de l'association des nations d'Asie du Sud-Est (ASEAN) - lorsqu'un premier conflit ouvert avait éclaté en juillet, faisant 43 morts en cinq jours.

Le milliardaire, qui n'a jamais fait mystère de son envie de recevoir un jour le prix Nobel de la paix, avait également cosigné le 26 octobre un accord de cessez-le-feu avec les dirigeants thaïlandais et cambodgien.

Mais Bangkok l'a suspendu quelques semaines plus tard après l'explosion d'une mine terrestre ayant blessé plusieurs de ses soldats et ne semble aujourd'hui pas encore ouvert à une trêve.

"Il [Donald Trump] souhaite sincèrement voir la paix, mais nous devons expliquer quels sont les problèmes et pourquoi la situation a évolué ainsi", a dit le premier ministre thaïlandais Anutin Charnvirakul.

"Entre dirigeants, il ne s'agit pas seulement de passer un coup de téléphone. Il y aura un rendez-vous prévu et des sujets précis à aborder", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Shell poursuivi par des survivants d'un typhon aux Philippines

Publié

le

Shell a fait machine arrière ces dernières années sur certains de ses objectifs climatiques pour se recentrer sur les hydrocarbures, dans l'espoir de doper ses bénéfices (archives). (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

Des survivants du typhon Rai, qui a fait plus de 400 morts en 2021 aux Philippines, ont déposé une plainte à Londres contre le géant britannique des hydrocarbures Shell. Ils l'accusent de n'avoir pas pris ses responsabilités face aux impacts du changement climatique.

Cette plainte constitue "une contribution essentielle au mouvement mondial grandissant visant à remettre en cause l'impunité des compagnies pétrolières", ont indiqué jeudi des ONG, dont Greenpeace, qui soutiennent les plaignants.

La démarche s'inscrit dans la continuité de la reconnaissance en mai par la justice allemande d'une responsabilité mondiale des entreprises productrices d'électricité dans les dommages liés aux émissions de gaz à effet de serre, quel que soit l'endroit où ils se produisent. Les affaires de ce genre se multiplient dans le monde entier.

Il s'agit d'"une étape décisive pour tenir le géant pétrolier Shell responsable des morts, blessures et destructions causées par cette tempête", est-il souligné dans le communiqué des ONG.

"Allégation infondée"

Un porte-parole de Shell a dénoncé "une allégation infondée, qui n'aidera pas à lutter contre le changement climatique, ni à réduire les émissions" de CO2. "Chez Shell, nous réduisons les émissions de nos opérations et aidons nos clients à réduire les leurs", a-t-il ajouté.

Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année. Le typhon Rai avait ravagé des régions très pauvres du pays en décembre 2021, faisant plus de 400 morts et des centaines de milliers de sans-abris.

La plainte, qui s'appuie sur le droit philippin, a été déposée au nom de 103 survivants qui demandent "réparation pour les vies perdues, les blessures subies et les maisons détruites", selon le communiqué.

"Les survivants soutiennent que Shell, responsable de plus de 41 milliards de tonnes d'équivalent CO2, soit plus de 2% des émissions mondiales de combustibles fossiles, ne peut pas invoquer l'ignorance", est-il souligné dans le communiqué des ONG.

L'entreprise a fait machine arrière ces dernières années sur certains de ses objectifs climatiques pour se recentrer sur les hydrocarbures, dans l'espoir de doper ses bénéfices.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Machado promet de faire tout son possible pour rentrer au Venezuela

Publié

le

L'opposante vénézuéienne Maria Corina Machado a visité le parlement norvégien en compagnie du président de l'Assemblée, Masud Gharahkhani (à gauche). (© KEYSTONE/EPA/OLE BERG-RUSTEN / POOL)

L'opposante vénézuélienne Maria Corina Machado, qui vit cachée dans son pays, "fera tout (son) possible" pour rentrer au Venezuela malgré les risques d'y être arrêtée, a-t-elle déclaré jeudi depuis Oslo. Elle n'a pas donné plus de détails.

"Je suis venue pour recevoir le prix (Nobel de la paix) au nom du peuple vénézuélien et je le ramènerai au Venezuela au moment adéquat", a déclaré à la presse l'opposante de 58 ans en visitant le Parlement norvégien au lendemain de la cérémonie de remise de son Nobel de la paix.

"Je ne dirai pas quand ni comment cela se fera, mais je ferai tout (mon) possible pour pouvoir rentrer et aussi mettre fin à cette tyrannie très bientôt", a-t-elle dit. Elle a également assuré qu'il fallait "finir le travail" pour établir la démocratie dans son pays.

L'opposante vénézuélienne, qui a quitté son pays dans des conditions encore mystérieuses pour aller recevoir son prix à Oslo, a affirmé jeudi qu'être dans l'opposition dans son pays était "très dangereux".

"Tous ceux qui vivent au Venezuela et qui disent la vérité risquent leur vie", a dit Mme Machado. Marquer son opposition au pouvoir du président Nicolas Maduro "est très dangereux", a ajouté l'opposante de 58 ans, qui tiendra une conférence de presse à 12h30, selon l'Institut Nobel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

GenèveIl y a 49 minutes

Mika Henauer sera à Genève-Servette la saison prochaine

Genève-Servette renforce son effectif en vue de la saison de National League 2026/27 avec l'engagement de Mika Henauer. Le défenseur...

InternationalIl y a 54 minutes

Le Portugal au ralenti pour cause de grève générale

Transports perturbés, écoles fermées et hôpitaux en services réduits: le Portugal est confronté jeudi à...

CultureIl y a 1 heure

Vaud: un nouveau prestataire pour publier la FAO

Le Conseil d'Etat vaudois a attribué au consortium Impact Médias, basé à Nyon, la gestion...

Suisse RomandeIl y a 2 heures

Election complémentaire Vaud - Agathe Raboud Sidorenko prône une "gauche plus combative"

La candidate de la gauche radicale à l'élection complémentaire au Conseil d'Etat vaudois du 8...

SuisseIl y a 3 heures

Les pétards devraient être interdits en Suisse

Le Conseil national veut interdire les pétards en Suisse. Il a adopté jeudi un contre-projet...

CultureIl y a 3 heures

Le premier film en anglais de Petra Volpe sélectionné à Sundance

Le premier film en anglais de la réalisatrice suisse Petra Volpe, "Frank & Louis" est...

SuisseIl y a 3 heures

Le Parlement veut davantage lutter contre la pédopornographie

La loi doit être plus stricte pour lutter efficacement contre la pédopornographie. Après le National,...

Suisse RomandeIl y a 4 heures

Bavois (VD): 59 kilos de haschich découverts dans un camping-car

Quatre sacs de sport contenant un total de 59 kilos de haschich ont été découverts...

GenèveIl y a 4 heures

Nuit du sport genevois 2025: Ecoutez les réactions des vainqueurs

La traditionnelle cérémonie de la Nuit du sport genevois a célébré, jeudi soir, les performances...

EconomieIl y a 5 heures

La BNS remanie ses prévisions de croissance et d'inflation

La BNS affine jeudi sa prévision de croissance pour l'année qui s'achève à 1,5%, dans...