Rejoignez-nous

Economie

La chute de Credit Suisse a dopé les bénéfices du secteur bancaire

Publié

,

le

UBS a inscrit un résultat net de 29,9 milliards de dollars, plus que triplé sur un an malgré les coûts d'intégration de Credit Suisse. (archive) (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Les bénéfices consolidés du secteur bancaire suisse ont atteint un pic historique l'année dernière, à 25,9 milliards de francs. La plus-value réalisée par UBS en reprenant Credit Suisse explique ce niveau exceptionnel, précise jeudi l'Association suisse des banquiers.

Le résultat opérationnel consolidé des banques en Suisse a pris 2,9% sur un an, à 72,3 milliards, note le baromètre bancaire de l'ASB, qui insiste sur la nécessité de considérer ces chiffres "positifs" à l'aune de la reprise de Credit Suisse par UBS.

En 2023, le numéro un bancaire helvétique a inscrit un résultat net de 29,9 milliards de dollars, plus que triplé sur un an malgré les coûts d'intégration de Credit Suisse. Cette performance est directement liée à un gain comptable de quelque 29 milliards, soit l'écart d'acquisition dont a bénéficié UBS après la reprise de son ex-rival.

Malgré un contexte de taux encore favorable l'année dernière, les banques à vocation nationale ont peiné dans leur activité phare de crédit, le résultat des opérations d'intérêts ayant stagné (-0,7%) sur l'ensemble du secteur. Pour les grandes banques, la charge d'intérêt causée par la chute de Credit Suisse a pesé sur la performance.

Le secteur bancaire suisse a généré moins de revenus de commissions l'année dernière, en raison principalement des opérations sur titres, de placement et en relation avec les avoirs à vue, note la faîtière. Ces recettes ont reculé de 6,8% à 21,8 milliards de francs. Les opérations de négoce ont suivi une tendance inverse, leur produit gonflant de 21,3% à 10,9 milliards grâce à la volatilité des marchés financiers.

Les volumes de crédit ont également augmenté. L'ASB a recensé des créances hypothécaires à hauteur de 1179,2 milliards de francs, en hausse de 2,3%. Les banques cantonales se taillent la part du lion, couvrant 39,1% de ce montant, contre 24,9% pour les grandes banques.

Effectifs en légère hausse

La Suisse reste le numéro un mondial de la gestion de fortune transfrontalière, en témoignent des portefeuilles en hausse de 4,8% (hors effets de change) à 2205,7 milliards de francs. La masse sous gestion cumulée de toutes les banques établies dans le pays a crû de 6,9% à 8391,7 milliards, dont 3794,4 milliards provenant de la clientèle domiciliée à l'étranger.

Le recrutement s'est poursuivi l'année dernière au sein du secteur bancaire, à un rythme toutefois modéré. Les effectifs totaux ont atteint 93'299 équivalents plein temps en Suisse, soit 1280 de plus (+1,4%). Le taux de chômage dans le secteur financier s'est établi à 2,3%, au même niveau que celui de l'économie globale, affirme la faîtière.

Un sondage mené auprès des membres a révélé que les effectifs sont restés stables sur les six premiers mois de 2024. Le statu quo devrait également prévaloir au second semestre pour la moitié des établissement interrogés.

La faîtière dévoile également ses prévisions annuelles mises à jour pour le secteur. Les spécialistes sondés par l'ASB s'attendent à un résultat opérationnel stable pour 2024. La marche des affaires devrait toutefois être marquée par le recul des opérations d'intérêts, lié aux baisses de taux décidées par la Banque nationale suisse. Les autres activités devraient compenser "tout ou en partie" cette évolution négative.

Les volumes de crédit sont attendus sous la moyenne des cinq dernières années, en particulier dans le domaine du crédit hypothécaire, plombé par un recul de l'offre sur le marché immobilier, l'inflation réglementaire et la multiplication des recours en matière de construction. Le secteur s'attend par ailleurs à une concurrence accrue dans le domaine des crédits aux entreprise émanant des acteurs non-bancaires.

Pour la gestion de fortune transfrontalière, les volumes sont attendus en progression de 5% sur un an.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Economie

L'argent dépasse les 75 dollars l'once pour la première fois

Publié

le

L'argent a bondi de plus de 150% depuis le début de l'année (archives). (© KEYSTONE/AP/MATTHIAS SCHRADER)

L'argent a dépassé vendredi le seuil symbolique des 75 dollars l'once pour la toute première fois, alors que les métaux précieux et industriels atteignent des sommets inédits en cette fin d'année. Ils sont portés par l'incertitude économique et géopolitique.

L'argent a atteint vendredi un sommet à 75,1515 dollars l'once (31,1 g). L'or a également touché un plus haut à 4531,04 dollars l'once. Depuis janvier, l'or a bondi de près de 70% et l'argent de plus de 150%, des performances annuelles inédites depuis 1979.

Ces métaux sont considérés comme des valeurs refuges, c'est-à-dire des actifs sûrs à long terme, achetés notamment par les banques centrales ou les particuliers pour assurer leurs arrières en période d'incertitude.

L'or et l'argent surfent ainsi sur le risque géopolitique entre les Etats-Unis et le Venezuela, Washington ayant déployé ces dernières semaines un important dispositif militaire dans les Caraïbes et mis en place un blocus naval contre Caracas qu'ils accusent de financer "le narcoterrorisme".

L'effet Trump

Le dollar et les obligations d'Etat américaines, habituellement valeurs refuges concurrentes des métaux précieux, ont par ailleurs perdu de leur attractivité cette année.

L'incertitude liée à la présidence de Donald Trump aux Etats-Unis a largement contribué à cet affaiblissement, encore renforcé dernièrement par la perspective de nouvelles baisses de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui rendraient le billet vert moins intéressant.

Les investisseurs s'inquiètent aussi de la dette publique des grands pays et d'une bulle dans le secteur de l'intelligence artificielle.

Autant d'incertitudes qui font grimper l'or et l'argent, mais aussi les autres métaux, beaucoup jugeant sage de diversifier leur portefeuille, note John Plassard, analyste chez Cité Gestion Private Bank. "Le métal redevient une assurance plutôt qu'un simple actif spéculatif", explique-t-il à l'AFP.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Economie

Une solide année boursière grâce à la tech et en dépit de Trump

Publié

le

La Bourse suisse a affiché une solide progression en 2025. (archive) (© KEYSTONE/THOMAS DELLEY)

L'année 2025 qui s'achève se présente sous de bons auspices pour la Bourse suisse, qui a affiché une solide progression dans un contexte d'envolée du secteur de la tech et de l'intelligence artificielle (IA), en dépit de la guerre commerciale américaine.

Mardi midi, dernier jour de cotation avant les fêtes de Noël, le SMI affichait une progression de 13,9% depuis début janvier, se payant même le luxe d'atteindre un plus haut annuel à 13'216 points. L'indice vedette de la place zurichoise faisant mieux son homologue français CAC 40 (+9,8%) et dépassait de peu le prestigieux indice Dow Jones (+13,7%) de Wall Street.

La partie était cependant loin d'être gagnée pour le Swiss Market Index, qui rassemble les 20 plus grandes capitalisations de la place zurichoise. Après avoir atteint début mars un plus haut historique à 13'199,05 points, l'indice a brutalement chuté mi-avril à 10'699,66 points sous les coups de boutoir du président américain Donald Trump et de son "Liberation day".

Le SMI s'est néanmoins rapidement repris pour reprendre progressivement le terrain perdu, franchissant à la hausse début décembre la barre des 13'000 points.

La Bourse helvétique a profité du moral positif des investisseurs et de l'entrain des autres places mondiales. Les droits de douane américains ont certes provoqué une onde de choc, mais le marché actions a rapidement rebondi, la plupart des sociétés cotées n'étant pas directement affectées par ces surtaxes de 39%, depuis ramenées à 15%.

Les autres principaux indices de la Bourse suisse SIX ont également bénéficié de l'intérêt des participants, le Swiss Leader Index (SLI) gagnant 11,5% et le Swiss Performance Index (SPI) 17,3%.

Perles et cailloux

Dans le détail, les grandes capitalisations Holcim (+68,5%), Galderma (+62,2%) et Sandoz (+56,1%) affichent à ce jour les meilleures performances, alors que Sonova (-30,1%), Sika (-24,4%) et Partners Group (-19,9%) ont été pénalisés par les investisseurs.

Sur l'indice global SPI, le laboratoire Idorsia sort du lot (+448%), tout comme le leader suisse de la construction Implenia (+142%) et le producteur de composants électroniques Cicor (+106%). Les investisseurs ont par contre boudé le titre du constructeur de métiers à tisser Rieter (-68%).

De nombreux titres ont affiché des résultats médiocres cette année, les investisseurs préférant se concentrer sur les placements dans l'IA et les valeurs technologiques. L'expert de Helvetische Bank, Remo Rosenau, a ainsi évoqué une performance inférieure à la moyenne des titres Nestlé, Sika, Straumann, Partners Group et Givaudan, "alors que la plupart de ces sociétés ont publié des résultats solide, voire bons".

John Plassard, responsable de la stratégie d'investissement à Cité Gestion, se veut également prudent. "Les tensions commerciales et géopolitiques ne sont plus des accidents conjoncturels, mais bien la toile de fond d'un nouvel ordre économique". Pour l'associé de la banque genevoise, "la difficulté n'est plus seulement de prévoir la prochaine décision d'une banque centrale, mais d'anticiper l'imbrication de multiples chocs simultanés" qui provoquent volatilité et dispersion des performances.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Economie

L'or dépasse 4500 dollars l'once pour la première fois

Publié

le

Le prix de l'or a grimpé de plus de 70% depuis le début 2025. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHER NEUNDORF)

L'or a atteint un nouveau record mercredi en dépassant 4500 dollars l'once pour la première fois. Le marché est propulsé par le risque géopolitique entre les Etats-Unis et le Venezuela et des perspectives de baisses de taux de la banque centrale américaine.

Le métal jaune, valeur refuge par excellence, a grimpé jusqu'à 4519,78 dollars les 31,1 grammes, son prix ayant bondi de plus de 70% depuis le début de l'année 2025.

Cette nouvelle hausse s'inscrit dans une appréciation plus générale des cours des métaux: l'argent et le cuivre ont aussi touché de nouveaux sommets mardi, tandis que le platine enregistrait son plus haut depuis mai 2008.

Ces mouvements d'ampleur s'expliquent en partie par l'aggravation des risques géopolitiques entre Washington et Caracas, le président américain Donald Trump ayant affirmé lundi qu'il serait "sage" pour son homologue vénézuélien, Nicolás Maduro, de quitter le pouvoir.

En parallèle, les investisseurs anticipent de nouvelles baisses de taux d'intérêt par la Réserve fédérale américaine (Fed) en 2026, après des données récentes traduisant un affaiblissement du marché du travail américain et un ralentissement de l'inflation aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Economie

Les métaux se hissent à des sommets

Publié

le

Les tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et le Venezuela ont fait flamber les prix des métaux (archives) (© KEYSTONE/VALCAMBI SA/STR)

L'or et l'argent se sont envolés à de nouveaux sommets mardi, poussés notamment par les tensions géopolitiques entre Washington et Caracas.

Après avoir ciblé plusieurs navires, soupçonnés de transporter du pétrole vénézuélien soumis à des sanctions, Donald Trump a affirmé lundi qu'il serait "sage" pour le président vénézuélien Nicolas Maduro de partir, renforçant la pression sur Caracas.

L'or, valeur refuge, a grimpé à un nouveau record, à 4497,74 dollars l'once (31,1 g). C'est aussi le cas de l'argent, à la fois métal précieux et industriel, qui s'est hissé à 69,9929 dollars l'once.

Le cuivre, qui sert à construire des panneaux solaires, des éoliennes, des batteries pour véhicules électriques ou encore des centres de données cruciaux pour l'intelligence artificielle, a lui aussi atteint un prix inédit, montant lundi à 11'996 dollars la tonne.

"Sur le plan industriel, l'argent et surtout le cuivre bénéficient d'un soutien structurel lié à la transition énergétique, à l'électrification et aux besoins colossaux des infrastructures numériques et de l'IA", relève John Plassard, analyste de Cité Gestion Private Bank.

Utilisés dans la fabrication de catalyseurs automobiles, le platine a pour sa part touché mardi un plus haut depuis mai 2008, à 2195,71 dollars l'once, et le palladium a atteint un sommet depuis décembre 2022, à 1849,58 dollars l'once.

"L'anticipation de baisses de taux aux États-Unis en 2026" soutient aussi les métaux précieux, rapporte M. Plassard.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

Economie

Liban: le premier ministre annonce un projet de loi bancaire

Publié

le

Le premier ministre libanais Nawaf Salam a annoncé vendredi un nouveau projet de loi bancaire qui doit sortir le Liban de la crise. (© KEYSTONE/EPA/WAEL HAMZEH)

Le premier ministre libanais a annoncé vendredi soir un projet de loi très attendu et réclamé par la communauté internationale. Le texte répartit les pertes financières entre l'Etat, les banques et les épargnants ruinés par l'effondrement économique de 2019.

"Ce projet de loi constitue une feuille de route pour sortir de la crise", a déclaré Nawaf Salam dans une déclaration aux Libanais diffusée par les chaînes de télévision.

Le projet de loi, l'une des réformes exigées par la communauté internationale afin de débloquer des fonds pour le Liban, doit être examiné à partir de lundi par le gouvernement réformateur, avant d'être soumis au Parlement.

Le projet répartit les pertes entre l'Etat, la Banque du Liban (BdL), les banques commerciales et les épargnants, dont le nombre était estimé à près d'un million avant l'effondrement économique sans précédent de 2019.

Ces derniers, qui n'avaient plus accès à leur compte, pourront récupérer leur argent dans la limite de 100'000 dollars (environ 79'200 francs suisses) sur une période s'étalant sur quatre ans. M. Salam a souligné que 85% des déposants avaient des comptes inférieurs à 100'000 dollars.

Les grosses fortunes verront le reste de leur argent compensé par des titres adossés à des actifs. "Beaucoup d'entre vous écoutent aujourd'hui, le coeur rempli de colère contre un Etat qui vous a laissés seuls", a reconnu le Premier ministre. "Ce projet de loi n'est peut-être pas parfait, mais c'est une étape réaliste et équitable sur la voie de la restauration des droits, de l'arrêt de l'effondrement", a-t-il ajouté.

Restaurer le secteur

Le Fonds monétaire international (FMI), qui a suivi de près l'élaboration du texte, avait insisté sur la nécessité de "restaurer la viabilité du secteur bancaire et protéger les déposants dans la mesure du possible".

L'Association des banques libanaises (ABL) avait critiqué lundi le projet, estimant qu'il contenait "de graves lacunes" et accablait les banques commerciales.

Selon les estimations du gouvernement, les pertes résultant de la crise financière se sont élevées à environ 70 milliards de dollars, un chiffre qui devrait avoir augmenté au cours des six années pendant lesquelles la crise est restée sans solution.

Banques "en colère"

"Les banques sont en colère parce que la loi ouvre la possibilité qu'elles partagent une partie des pertes", explique l'analyste Sami Zgheib, selon lequel elles auraient préféré que l'Etat assume la responsabilité de ce gouffre financier.

Le texte prévoit une recapitalisation des banques défaillantes.

La dette de l'Etat envers la Bdl sera transformée en obligations.

M. Salam a expliqué que la loi visait également à "redresser le secteur bancaire" qui s'est effondré, laissant libre cours à une économie parallèle basée sur les transactions en liquide qui favorisent les trafics. Depuis leur entrée en fonction il y a près d'un an, le président Joseph Aoun et le Premier ministre se sont engagés à mettre en oeuvre ces réformes et à adopter la législation nécessaire.

En avril, le Parlement avait voté une loi réformant le secret bancaire, la législation précédente étant accusée d'avoir permis une fuite de capitaux lors du déclenchement de la crise. Le projet de loi prévoit que les responsables et grands actionnaires des banques ayant transféré à l'étranger d'importants capitaux à partir de 2019 alors que le reste des Libanais n'avaient pas accès à leurs comptes, doivent restituer ces capitaux dans un délai de trois mois, faute de quoi ils seront soumis à des amendes.

Après son approbation par le gouvernement, la loi pourrait être bloquée au Parlement. "De nombreux députés sont directement exposés en tant que grands déposants ou actionnaires de banques, politiquement alliés aux propriétaires de banques, et peu enclins à adopter une loi qui fâcherait soit les banques, soit les déposants", explique l'analyste.

Au cours des dernières années, des responsables politiques et des députés ont à plusieurs reprises entravé les réformes exigées par la communauté internationale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 15 minutes

Budget 2026: loi spéciale pour reconduire temporairement le budget

Emmanuel Macron a promulgué la loi spéciale qui permet de pallier l'absence d'un budget en bonne et due forme pour...

InternationalIl y a 5 heures

Phnom Penh et Bangkok conviennent d'un cessez-le-feu immédiat

La Thaïlande et le Cambodge sont convenus samedi d'un "cessez-le-feu immédiat" dans leur conflit frontalier,...

InternationalIl y a 5 heures

Un ex-chef de la police brésilienne, en fuite, arrêté au Paraguay

Un ex-chef de la police brésilienne, condamné pour tentative de coup d'Etat au profit de...

InternationalIl y a 6 heures

Super-G de Livigno: Odermatt pour un 51e succès

La Coupe du monde reprend ses droits samedi après la courte pause de Noël. Les...

SuisseIl y a 7 heures

Süssli: la guerre en Ukraine n'a causé aucun électrochoc en Suisse

Le monde politique suisse n'a toujours pas pris la mesure du danger près de quatre...

InternationalIl y a 9 heures

Ukraine: de fortes explosions entendues à Kiev

Plusieurs séries de fortes explosions ont retenti à Kiev dans la nuit de vendredi à...

CultureIl y a 11 heures

"Adieu Teddy": décès à 65 ans d'un membre du groupe The Cure

Le guitariste et claviériste du groupe The Cure, Perry Bamonte, est décédé à l'âge de...

SuisseIl y a 12 heures

La cagnotte de 50,2 millions est tombée à l’Euro Millions

Une personne résidant en Espagne a trouvé la combinaison gagnante du tirage de l’Euro Millions...

InternationalIl y a 17 heures

Gaza: un hôpital annonce une reprise fragile de ses activités

Un hôpital du centre de la bande de Gaza a annoncé vendredi une reprise encore...

Suisse RomandeIl y a 18 heures

Plan Grand froid: Lausanne ouvre 50 lits supplémentaires

Compte tenu des températures annoncées et de la bise, Lausanne va augmenter temporairement sa capacité...