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Au moins 26 morts dans des frappes ukrainiennes

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Les forces de Kiev ont frappé très fort dans l'est de l'Ukraine (illustration). (© KEYSTONE/AP/EFREM LUKATSKY)

Au moins 26 personnes ont été tuées et des dizaines d'autres blessées vendredi dans plusieurs frappes ukrainiennes sur des zones contrôlées par la Russie dans l'est et le sud de l'Ukraine, ont indiqué les autorités d'occupation.

Une double frappe a notamment visé le village de Sadové, dans la région méridionale de Kherson, partiellement occupé par la Russie.

Selon Vladimir Saldo, à la tête de l'occupation russe de la région, une bombe aérienne a détruit un magasin "avec un nombre important de visiteurs et d'employés" dans ce village, avant qu'un missile HIMARS ne frappe la zone, tuant 22 personnes et en blessant 15 autres.

"Après le premier tir, les habitants des maisons voisines sont sortis en courant pour aider les victimes, mais peu de temps après, un missile HIMARS est arrivé", a indiqué M. Saldo dans les médias russes.

Il a dénoncé un "meurtre ignoble de civils" rendu possible par les livraisons d'armes occidentales à Kiev, et une double frappe destinée à "faire le plus de victimes".

Plus tôt vendredi, quatre personnes ont été tuées et 57 blessées par une frappe de missiles de fabrication américaine ATACMS sur la ville de Lougansk, dans l'est de l'Ukraine, également sous contrôle russe.

Selon le ministère russe des Situations d'urgence, cette frappe ukrainienne a notamment provoqué l'effondrement d'un immeuble d'habitation de plusieurs étages.

"Le nombre total de personnes blessées lors de la frappe de missiles d'aujourd'hui sur Lougansk s'élève à 57. Quatre d'entre elles sont décédées", a précisé sur les réseaux sociaux la ministre locale de la Santé, Natalia Pachtchenko.

Selon le responsable prorusse de la région de Lougansk, Léonid Passetchnik, deux écoles secondaires, trois écoles maternelles et un collège ont également été endommagés.

Le ministère russe de la Défense a quant à lui affirmé que "cinq missiles ATACMS de fabrication américaine" avaient visé "délibérément des quartiers d'habitation de la ville de Lougansk".

Quatre de ces missiles ont été abattus par les systèmes de défense antiaérienne russes, tandis que le cinquième a touché deux immeubles résidentiels, selon cette source.

Prise russe

La Russie a par ailleurs revendiqué vendredi, dans un autre communiqué de son ministère de la Défense, la prise du village de Paraskoviïvka, dans la région de Donetsk, également dans l'est de l'Ukraine.

Paraskoviïvka se trouve à environ 30 kilomètres au sud-ouest de Donetsk, la grande ville aux mains des Russes dans la région éponyme.

Les troupes russes grignotent du terrain depuis des mois dans le Donbass face à une armée ukrainienne en manque d'hommes et de munitions, et ont également lancé le 10 mai une offensive dans la région de Kharkiv (nord-est), s'emparant de plusieurs localités.

Côté ukrainien, une femme de 71 ans a été tuée dans une frappe russe à Nikopol, dans la région de Dnipropetrovsk (centre-est), selon le gouverneur Serguiï Lyssak.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Russie: la Banque centrale abaisse son taux directeur à 16%

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La Banque centrale de Russie a abaissé son taux directeur de 16,5% à 16% dans un contexte de ralentissement de la croissance, l'économie russe subissant les conséquences de l'offensive en Ukraine et des sanctions occidentales. (archives) (© KEYSTONE/EPA/MAXIM SHIPENKOV)

La Banque centrale de Russie (BCR) a abaissé vendredi son taux directeur de 16,5% à 16% dans un contexte de ralentissement de la croissance, l'économie russe subissant les conséquences de l'offensive en Ukraine et des sanctions occidentales.

"Le 19 décembre 2025, le conseil d'administration de la Banque de Russie a décidé de réduire le taux directeur de 50 points de base, à 16%", a indiqué la BCR dans un communiqué, ajoutant qu'elle "maintiendra des conditions monétaires aussi strictes que nécessaires pour ramener l'inflation à l'objectif" de 4% par an, contre 6,6% enregistré en novembre.

L'explosion des dépenses militaires avec le lancement de l'offensive à grande échelle contre l'Ukraine en février 2022 avait d'abord permis de tirer la croissance, mais cela a aussi fortement stimulé l'inflation, pénalisant la croissance en rendant le coût de l'emprunt prohibitif.

Si l'inflation a enregistré un ralentissement ces derniers mois, la BCR maintient des prévisions de croissance à la baisse, tablant toujours sur une croissance du PIB entre 0,5% et 1% pour 2025.

Objectif d'inflation pas encore atteint

"Nous devons tout faire pour que l'économie russe, la macroéconomie, soit saine et solide, et que l'économie du pays dispose d'un socle vraiment robuste", a déclaré le président russe Vladimir Poutine lors de sa conférence de presse annuelle vendredi.

L'Agence nationale des statistiques russe Rosstat a estimé récemment que l'objectif de 4% d'inflation ne serait atteint qu'en 2027.

Dans ce contexte, le Kremlin cherche à mettre à contribution les citoyens et les entreprises pour résorber un déficit budgétaire qui avoisine les 50 milliards de dollars depuis le début de l'année.

Vladimir Poutine a notamment approuvé l'augmentation de la TVA de 20 à 22% à partir de l'année prochaine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

France: la dette publique atteint un nouveau record en valeur

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La dette publique de la France est désormais juste en dessous du pic atteint au premier trimestre 2021, après les mesures massives de soutien à l'activité économique du pays prises au début de la crise du Covid. (archives) (© KEYSTONE/EPA AFP / POOL/LUDOVIC MARIN / POOL)

La dette publique française a atteint 3482,2 milliards d'euros à la fin du troisième trimestre, un nouveau record à 117,4% du produit intérieur brut (PIB), a annoncé vendredi l'Insee.

La dette a augmenté de 65,9 milliards d'euros entre juillet et septembre, après une hausse de 70,9 milliards au trimestre précédent, ajoute l'Institut national de la statistique.

Au deuxième trimestre, la dette atteignait 115,7% du PIB.

Elle est désormais juste en dessous du pic atteint au premier trimestre 2021, après les mesures massives de soutien à l'activité économique du pays prises au début de la crise du Covid : le ratio était alors monté à 117,8%.

A cette époque néanmoins, elle s'élevait en valeur à 2752,5 milliards d'euros.

Elle est redescendue ensuite jusqu'à 109,8% du PIB au quatrième trimestre 2023 avant de repartir à la hausse, quasiment sans interruption.

En pourcentage de PIB, la dette française est la troisième de l'Union européenne derrière la Grèce et l'Italie.

Ces chiffres sont publiés alors qu'une commission mixte paritaire de députés et de sénateurs réunie vendredi matin a échoué à trouver un compromis sur le projet de budget de l'Etat pour 2026.

Le gouvernement présentera donc probablement "une loi spéciale" dans les prochains jours, texte technique permettant de prolonger début 2026 le budget 2025, au moins pour percevoir les impôts, avant de se ré-atteler à la confection d'un budget en bonne et due forme dans les semaines suivantes.

Danger pour la France

Mais cette mesure pèserait encore sur les finances publiques. Selon l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), ce régime exceptionnel, s'il était appliqué sur l'année 2026 toute entière, ferait perdre 6,5 milliards d'euros de recettes à l'État, tout en réduisant les dépenses de trois milliards.

Une loi spéciale aboutirait à un déficit "nettement supérieur à ce qui est souhaitable", a aussi estimé vendredi le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, sur France Inter.

Il dépasserait sans doute 5% du PIB, chiffre "au-delà duquel la France se mettrait en danger", a alerté le gouverneur.

La hausse de la dette au troisième trimestre vient pour 58,1 milliards d'euros de l'État (contre +64,3 milliards au deuxième trimestre). La dette de l'État représente 2.845,7 milliards d'euros au total.

Au troisième trimestre, la dette des "organismes divers d'administration centrale" (Odac) a baissé de 300 millions d'euros (après - 1 milliard au deuxième trimestre) pour atteindre 68,4 milliards d'euros.

La dette des administrations de sécurité sociale a augmenté de 7,6 milliards cet été, après déjà 7,8 milliards au trimestre précédent, pour atteindre 305,2 milliards d'euros.

Enfin celle des administrations publiques locales (APUL) a augmenté de 500 millions d'euros après avoir reculé de 100 millions au deuxième trimestre, à 262,9 milliards d'euros.

Ces chiffres représentent la dette publique brute au sens de Maastricht. L'Insee calcule également la dette nette, qui tient compte des actifs financiers détenus par les administrations publiques.

Au troisième trimestre, celle-ci s'élève à 3232,3 milliards d'euros, soit 109% du PIB après 107,4% au deuxième trimestre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Poutine assure que les troupes russes "avancent sur tout le front"

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Vladimir Poutine donne ce vendredi sa grande conférence de presse annuelle. (© KEYSTONE/AP/Pavel Bednyakov)

Vladimir Poutine s'est félicité vendredi des récents gains territoriaux de son armée en Ukraine. Il a assuré que les forces russes "avancent sur tout le front", alors que d'intenses efforts diplomatiques menés par Washington sont déployés pour mettre fin à la guerre.

"Nos troupes avancent sur toute la ligne de contact (...), l'ennemi recule dans toutes les directions", a déclaré le président russe au début de sa grande conférence de presse annuelle retransmise à la télévision.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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France: prévisions de croissance révisées à la hausse

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La Banque de France a relevé sa prévision de croissance à 0,9% pour 2025 et 1% pour 2026, notamment en raison de chocs sur l'économie française aux effets moindres qu'escompté il y a quelques mois, et malgré un contexte budgétaire incertain. (archives) (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

La Banque de France a relevé vendredi sa prévision de croissance à 0,9% pour 2025 et 1% pour 2026, notamment en raison de chocs sur l'économie française aux effets moindres qu'escompté il y a quelques mois, et malgré un contexte budgétaire incertain.

Dans le sillage de l'Insee, l'institution monétaire a annoncé une prévision de croissance à 0,9% en 2025, après 1,1% en 2024, révisant à la hausse sa projection annuelle.

Elle tablait jusqu'ici sur une progression du PIB français de 0,7% en 2025 et 0,9% en 2026, tandis que le ministère de l'Economie anticipe toujours une croissance à 0,8% en 2025.

Selon la Banque de France, la croissance du PIB progresserait de 1% en 2026. Elle estime que l'inflation devrait s'établir à 0,9% en 2025, après 2,3% en 2024, une prévision sensiblement inférieure à ses estimations il y a un an, et au niveau de l'inflation dans la zone euro qui s'établit, selon la Banque centrale européenne (BCE), à 2,1%.

Jeudi, la BCE a laissé ses taux inchangés pour la quatrième fois d'affilée, malgré une inflation sous contrôle.

Incertitudes

Ces données de la Banque de France sont publiées dans un climat politique et budgétaire national marqué par l'incertitude, alors qu'une réunion cruciale entre sénateurs et députés doit se tenir vendredi pour tenter d'aboutir à un compromis sur le budget.

En cas d'échec, le gouvernement pourrait envisager le vote d'une loi spéciale, ce qui permettrait de reconduire les impôts de 2025 en 2026 (hors mesures exceptionnelles), une solution temporaire avant de tenter de faire adopter un budget l'année prochaine.

C'est dans ce contexte que la Banque de France a présenté ses projections macroéconomiques, renouant avec les prévisions de croissance partagées un an auparavant, en décembre 2024.

Face à de multiples chocs d'incertitudes, et en particulier la menace des droits de douane américains, la Banque de France avait ensuite abaissé sa prévision de croissance au cours de l'année, à 0,6% au mois de juin.

"On revient en fin d'année aux projections d'il y a un an, un peu comme s'il n'y avait pas eu tous les chocs d'incertitude", relève l'économiste en chef de la Banque de France, Olivier Garnier, soulignant leur impact moindre qu'anticipé, mais estimant que les effets pourraient s'avérer "plus durables".

Pendant l'année, l'activité a notamment été tirée par l'aéronautique et des exportations très dynamiques au second semestre, et la demande adressée à la France a été "très sensiblement révisée à la hausse", a détaillé M. Garnier.

En 2026, la croissance serait soutenue par un redressement de la consommation des ménages et de l'investissement privé, estime la Banque de France, qui s'est toutefois gardée de fournir des prévisions chiffrées sur le déficit public, compte tenu de la forte incertitude.

Mais "en l'état actuel de la discussion", le déficit budgétaire "sera au mieux de 5% du PIB", note Olivier Garnier, une situation qui dépendra notamment de l'adoption d'un budget, de l'éventualité d'une loi spéciale, etc.

Le taux d'épargne, qui était stable autour de 14% à 15% depuis les années 1990, est nettement supérieur à ce niveau depuis 2020.

Cette situation tend à se confirmer en 2025, et le taux d'épargne devrait rester très haut, à 18,5% cette année, en légère augmentation après 18,2% en 2024, selon les prévisions de la Banque de France.

Il y a un an, l'institution monétaire anticipait pourtant une baisse du taux d'épargne en 2025, et selon ces nouvelles prévisions vendredi, le taux d'épargne "commencerait à se replier en 2026, sous réserve que le climat d'incertitude politique s'améliore".

Il resterait toutefois supérieur à sa moyenne d'avant crise du Covid-19.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Ukraine: Macron se dit prêt à reparler à Poutine

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Le président français Emmanuel Macron estime que le temps est revenu de renouer le contact avec Vladimir Poutine. (© KEYSTONE/EPA/MIGUEL MEDINA / POOL)

Le président français Emmanuel Macron a estimé vendredi qu'il allait "redevenir utile" pour lui et les Européens de parler à son homologue russe Vladimir Poutine, à l'issue des efforts menés actuellement par les Etats-Unis pour mettre fin à la guerre en Ukraine.

"Je pense qu'il va redevenir utile de parler à Vladimir Poutine", a-t-il dit devant la presse à l'issue d'un sommet à Bruxelles où l'Union européenne a trouvé un accord pour débloquer 90 milliards d'euros pour soutenir Kiev.

"Je constate qu'il y a des gens qui parlent à Vladimir Poutine", a-t-il ajouté, en allusion notamment au président américain Donald Trump qui a renoué le contact, après son retour au pouvoir en janvier aux Etats-Unis, avec le maître du Kremlin.

"Donc je pense que nous, Européens et Ukrainiens, on a intérêt à trouver le cadre pour réengager cette discussion en bonne et due forme. Sinon, on discute entre nous avec des négociateurs qui vont seuls discuter avec les Russes, ce qui n'est pas optimal", a insisté Emmanuel Macron.

Les émissaires de Donald Trump mènent actuellement une série de pourparlers séparés, avec Moscou d'une part, et avec les Ukrainiens et les Européens d'autre part, dans l'espoir d'aboutir à un accord.

"Y a un cycle qui est en cours. Soit une paix robuste, durable, avec les garanties requises peut-être obtenue, formidable, et de toute façon, on se mettra à ce moment-là autour de la table", a suggéré le président français.

Ou alors "il faudra dans les prochaines semaines trouver des voies et moyens aussi pour que les Européens, dans la bonne organisation, réengagent un dialogue complet avec la Russie en toute transparence", a-t-il estimé.

Emmanuel Macron et Vladimir Poutine se sont parlé la dernière fois début juillet, en priorité au sujet des efforts diplomatiques pour encadrer le programme nucléaire iranien. Ils avaient à cette occasion affiché leurs divergences sur l'Ukraine.

Leur précédent appel remontait au 11 septembre 2022 et avait porté sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes et dont la sécurité était alors menacée.

Le président français, qui s'était vu reprocher de continuer à parler à son homologue russe pendant des mois après le début de l'offensive russe en Ukraine, en février 2022, a ensuite cessé tout contact, employant un ton de plus en plus virulent à l'égard de Vladimir Poutine accusé de "mentir" sur ses intentions et sa volonté de paix.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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