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Les députés adoptent une loi simplifiant le changement de genre

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Berlin, un jour de la Christopher Street Day, la parade LGBT (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/TILL RIMMELE)

Les députés allemands ont adopté vendredi une loi simplifiant le changement de genre, un vote considéré comme une "étape majeure" en faveur des droits de la communauté LGBTQ+ et la modernisation du pays.

Le texte, un projet phare de la coalition de centre gauche d'Olaf Scholz, suscite néanmoins toujours la controverse, notamment dans les rangs conservateurs qui le jugent trop libéral.

Lors du vote au Bundestag, 374 députés ont voté en faveur de la loi, 251 contre et 11 se sont abstenus.

La loi peut ainsi entrer en vigueur, le Bundesrat, la chambre haute qui rassemble des représentants des régions, n'ayant pas à voter.

Elle remplace une législation datant des années 1980 qui considérait de facto la transidentité comme une maladie psychique, et qui avait été rejetée en parti par la Cour constitutionnelle.

L'Allemagne rejoint le club des pays qui ont adopté le principe de l'autodétermination, comme la Belgique, l'Espagne, l'Irlande, le Luxembourg ou encore le Danemark.

"Nous poursuivons ainsi la modernisation de notre pays. Cela implique de reconnaître les réalités de la vie, et de les rendre possibles par la loi", a réagi le chancelier dans un message sur son compte X.

Temps de réflexion

Désormais il suffira de remplir une déclaration auprès de l'état civil pour changer de prénom et de genre.

Pour les moins de 14 ans, les parents ou tuteurs devront effectuer la démarche, les adolescents de 14 à 18 ans pourront le faire eux-mêmes mais avec l'accord de leurs parents.

Un temps de réflexion est prévu: ce n'est qu'après trois mois que le changement sera validé dans l'état civil.

Une demande éventuelle pour rechanger de genre ne sera possible alors qu'après un an.

"Il était grand temps de remplacer les règles obsolètes et discriminatoires en matière de reconnaissance juridique du genre par une loi conforme aux droits de l'homme", a réagi Claude Beier d'Amnesty International dans un communiqué, la qualifiant "d'étape majeure" pour la communauté transgenre.

Sven Lehmann, le commissaire du gouvernement pour la défense des droits de la communauté, a rappelé "les nombreuses souffrances" infligées par la loi précédente, évoquant entre autres "des stérilisations, des divorces et examens psychiatriques".

"A partir d'aujourd'hui, tout cela est enfin fini", a-t-il dit.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Microsoft et OpenAI avancent sur l'IA malgré les controverses

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Le CEO de OpenAI, Sam Altman. (© KEYSTONE/AP/MARKUS SCHREIBER)

Sam Altman, le patron d'OpenAI, s'est félicité mardi des progrès accomplis dans l'intelligence artificielle (IA) lors de la conférence annuelle de son principal investisseur, Microsoft. Les deux entreprises avancent à très grande vitesse malgré les polémiques.

"J'ai été très surpris par à quel point j'aime le nouveau mode vocal", a confié Sam Altman, tout sourire, à Kevin Scott, le directeur technologique de Microsoft, lors d'une interview surprise sur scène.

Le "mode vocal" de ChatGPT, dévoilé la semaine dernière, vient pourtant de causer une controverse majeure à la start-up star de la Silicon Valley, qui a lancé la révolution de l'IA générative.

Accusé d'avoir copié la voix de Scarlett Johansson pour le tout nouveau mode vocal de l'assistant d'IA, Sam Altman vient en effet de présenter des excuses et d'annoncer la suspension de Sky, la voix en question, générée par l'IA.

Après les annonces flamboyantes de son partenaire OpenAI et de son rival Google, et bien avant celles très attendues d'Apple en juin, ce devait être au tour de Microsoft cette semaine d'étaler ses innovations dans l'IA.

"Nous sommes le leader de l'industrie dans l'IA", a assuré Frank Shaw, directeur de la communication, dans un billet de blog résumant les annonces du groupe informatique.

Le fabricant de Windows a dévoilé lundi les PC "Copilot+", des nouveaux ordinateurs où son interface d'IA Copilot et d'autres outils sont intégrés par défaut pour aider l'utilisateur dans toutes ses tâches, des emails aux réunions professionnelles et aux projets personnels.

Copilot repose sur GPT-4, le modèle d'IA générative d'OpenAI, et va graduellement passer à GPT-4o, le modèle multimodal présenté par la start-up, qui comporte, entre autres, le fameux mode vocal.

Une évolution trop rapide

Et pendant que de nombreux observateurs et élus s'inquiètent de la vitesse ultra rapide à laquelle les géants de la tech déploient leurs nouveaux outils de plus en plus humanisés, les groupes se félicitent d'aller toujours plus loin, et ne manquent jamais de rappeler que "ce n'est que le début".

De GPT-3.5 à GPT-4, "le modèle est devenu plus solide, plus sûr, plus utile, parce qu'il est devenu plus intelligent et parce que nous avons beaucoup travaillé pour ajouter des fonctionnalités de sécurité", a souligné Sam Altman. Et à l'avenir, "les modèles vont devenir encore plus intelligents", a-t-il promis, assurant que "c'est ce qui compte le plus".

La semaine dernière, OpenAI a reconnu avoir dissous son équipe dont la mission était d'encadrer les éventuels dangers à long terme d'une IA trop intelligente. L'annonce avait été marquée par le départ d'un des cofondateurs de l'entreprise, Ilya Sutskever, ainsi que du responsable de l'équipe, Jan Leike.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Plus de la moitié des mangroves menacées d'extinction d'ici 2050

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Des millions de personnes dépendent des écosystèmes de mangroves dans différents pays. (© KEYSTONE/AP/MAHMUD HOSSAIN OPU)

Plus de la moitié des écosystèmes de mangroves sont menacés d'extinction d'ici 2050. Leur maintien peut contribuer à la lutte contre le changement climatique, a affirmé mercredi l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

L'organisation a évalué pour la première ces écosystèmes dans sa liste rouge. Selon elle, près de 20% des mangroves sont en danger ou même en grave danger.

Elles sont exposées à la déforestation, aux activités économiques ou encore à la pollution. Mais la menace la plus importante est liée à la montée du niveau des océans et l'augmentation des tempêtes en raison du changement climatique. Celui-ci pourrait affecter de son côté un tiers de ces écosystèmes.

Cette évaluation va "nous aider à oeuvrer tous pour rétablir les mangroves que nous avons perdues et protéger celles que nous avons encore", affirme la nouvelle directrice générale de l'UICN, Grethel Aguilar. Des millions de personnes dans des communautés vulnérables dans le monde dépendent de celles-ci, ajoute-t-elle également. Elles sont protégées davantage contre certaines situations météorologiques extrêmes.

Sans amélioration d'ici 2050, huit milliards de tonnes de CO2 capturé pourraient être perdues. Le coût pour la société pourrait s'approcher de 340 milliards de dollars. Plus de 16 millions de jours de pêche pourraient également être éliminés. Et 2,1 millions de personnes perdraient leur protection face aux inondations. Le coût attiendra sur cette question environ 33 milliards de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Trump renonce à témoigner à son procès, où les débats s'achèvent

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Donald Trump s'est adressé aux médias mais n'a pas livré sa version des faits à son procès historique pour paiements dissimulés à une actrice de films X. L'examen de l'affaire s'est achevé mardi. (© KEYSTONE/AP/Michael M. Santiago)

L'ancien président des Etats-Unis Donald Trump ne témoignera pas à son procès historique pour paiements dissimulés à une actrice de films X. L'examen de l'affaire s'est achevé mardi sans qu'il ne livre sa version aux jurés.

Après plus de quatre semaines de débats, le deuxième et dernier témoin de la défense a terminé son audition, ouvrant la voie aux toutes dernières phases de ce procès aux enjeux considérables pour le candidat des républicains à l'élection présidentielle du 5 novembre.

"Mardi (prochain), vous entendrez les plaidoiries" de la défense et de l'accusation, "et j'espère que vous commencerez à délibérer" le jour suivant, a indiqué le juge Juan Merchan aux jurés.

Le juge confiera alors aux jurés la lourde tâche de décider si Donald Trump s'est rendu coupable, au-delà de tout doute raisonnable, de 34 falsifications comptables liées au paiement de 130'000 dollars à la star de films X Stormy Daniels, pour s'éviter un possible scandale sexuel à la toute fin de la campagne présidentielle de 2016.

Ce paiement était destiné à acheter son silence sur une relation sexuelle que l'actrice, de son vrai nom Stephanie Clifford, affirme avoir eue avec Donald Trump en 2006, alors qu'il était déjà marié avec son épouse Melania. Donald Trump nie cette relation.

A l'unanimité

Pour le déclarer coupable, l'unanimité des jurés sera requise.

"Tout le monde dit qu'il n'y a pas de délit (...) Tous les experts disent qu'il n'y a pas de délit et que je n'ai rien fait de mal", a lancé, à son arrivée au tribunal mardi, l'ancien président des Etats-Unis, le premier de l'histoire à comparaître dans un procès pénal.

Si le septuagénaire était condamné, il pourrait quand même se présenter à la présidentielle.

L'examen de l'affaire s'est terminé avec un témoin de la défense, l'avocat Robert Costello, un vieux briscard des tribunaux qui a remis en cause la veille la version de l'accusateur numéro un, l'ancien homme de confiance de Donald Trump, Michael Cohen.

Mais ce témoin a surtout marqué l'audience lundi en faisant sortir de ses gonds le juge Juan Merchan, d'habitude imperturbable. S'exprimant de manière familière et théâtrale, ne masquant pas son exaspération face aux interventions du magistrat, Robert Costello a été sévèrement réprimandé et rappelé à l'ordre.

Voyant qu'il continuait à le fixer droit dans les yeux, le juge a même fait évacuer la salle quelques minutes, pour s'expliquer avec le témoin.

Risqué

L'accusation a fait citer 19 témoins et fait verser des centaines de documents à la procédure, dont des échanges de SMS, courriels entre les protagonistes, ainsi que les factures et les chèques au centre des accusations.

La défense a cité deux témoins. Donald Trump avait assuré, avant le procès qu'il témoignerait. Il a finalement renoncé, ce que prévoyaient de nombreux observateurs, pour qui il se serait exposé à un contre-interrogatoire sans pitié des procureurs.

Le procès a alterné entre des phases arides et techniques, et des témoignages intenses, comme ceux de Stormy Daniels et de Michael Cohen.

L'actrice a livré son vécu sur sa rencontre avec Donald Trump et sa relation sexuelle avec lui en 2006 un acte consenti selon elle mais où le "rapport de force" avec l'homme d'affaires était "déséquilibré".

Quant à Michael Cohen, il a directement incriminé son ancien patron affirmant qu'il avait approuvé le paiement de 130'000 dollars à Stormy Daniels.

L'ancien avocat avait lui-même pris en charge le paiement à quelques jours du vote en 2016 et a assuré que Donald Trump avait validé son remboursement en 2017.

Des dépenses maquillées selon l'accusation en "frais juridiques" dans les comptes de son groupe d'entreprises Trump Organization, d'où les poursuites pour falsifications comptables.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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"Ni meneur, ni monstre", un prince allemand dément avoir comploté

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Le procès des meneurs présumés d'un réseau complotiste insolite, qui voulait renverser par les armes le gouvernement allemand, s'est ouvert mardi sous haute surveillance policière à Francfort. (© KEYSTONE/AP/Michael Probst)

Le prince Henri XIII Reuss, descendant d'une lignée d'aristocrates de l'est de l'Allemagne, nie avoir été le meneur d'un groupe de complotistes présumés qui comparaissent depuis mardi pour avoir fomenté un renversement par les armes du gouvernement.

Ce procès, sans précédent dans l'histoire allemande récente qui se tient sous haute sécurité à Francfort, est le deuxième concernant cette affaire impliquant au total 26 suspects, et dont la révélation fin 2022 avait stupéfié le pays.

Un troisième groupe d'accusés sera jugé à partir du 18 juin à Munich.

Parmi les neuf personnes - six hommes et trois femmes- sur le banc des accusés mardi figurent les cerveaux présumés du groupe nourri aux idéologies complotistes et d'extrême droite.

Ils projetaient d'envahir la Chambre des députés à Berlin - le Bundestag - pour y arrêter les élus et faire tomber le gouvernement, selon le parquet fédéral.

Détenue depuis le coup de filet de décembre 2022, la juge et ancienne députée du parti d'extrême droite AfD, Birgit Malsack-Winkemann, s'est présentée au tribunal vêtue d'une doudoune noire.

Derrière elle, Henri XIII, dit Prince Reuss, accusé d'être le principal instigateur de la tentative de coup d'Etat, portait un blazer sombre et affichait un air détendu.

Les défenseurs de ce dernier ont rejeté les faits qui lui sont reprochés de même que le portrait des médias qui ont présenté leur client "comme le grand monstre".

"Mais nous allons rectifier cela. Il n'est pas un leader, ni un meneur. Et il n'est pas non plus membre d'un groupe terroriste. C'est tout", a déclaré son avocat Roman von Alvensleben en marge du procès qui a commencé avec retard en raison de plusieurs requêtes de la défense.

Pas "des fous inoffensifs"

Les suspects sont jugés pour "participation à un groupe terroriste" qui s'était "fixé pour objectif d'éliminer par la force l'ordre étatique" et pour "préparation d'un acte de haute trahison".

Il s'agit de la principale procédure contre ce réseau dont le démantèlement avait mis en lumière les ressorts de la menace conspirationniste et antisystème en Allemagne.

Ce ne sont pas des "fous inoffensifs, mais plutôt de dangereux suspects terroristes", qui préparaient "un coup d'Etat violent", animés "par la haine de notre démocratie", a jugé la ministre de l'Intérieur Nancy Faeser dans un communiqué mardi.

Selon l'acte d'accusation, le groupuscule prévoyait d'installer provisoirement à la tête du pays l'aristocrate et homme d'affaires de 72 ans.

Un ex-lieutenant colonel de l'armée allemande, Rüdiger von Pescatore, 70 ans, commandant d'un bataillon de parachutistes dans les années 1990, figure également parmi les accusés, aux côtés d'un ex-colonel de l'armée, d'un ancien soldat des forces spéciales KSK et d'un ex-policier.

Tous sont notamment influencés par l'idéologie des "Reichsbürger" (citoyens du Reich, ndlr), une mouvance hétéroclite qui nie à la République fédérale d'Allemagne toute légitimité.

Selon le parquet, les accusés affirment que l'Allemagne est dominée par une "secte conspiratrice d'élites pédophiles".

Une idéologie rappelant aussi la mouvance complotiste QAnon venue des Etats-Unis.

Ingérence de Moscou?

Selon le parquet, la Russe Vitalia B., compagne de M. Reuss et poursuivie de son côté par la justice pour avoir soutenu le groupe, l'aurait "mis en contact (...) avec le consulat général de Russie à Leipzig et l'y a accompagné en juin 2022".

Il cherchait à s'assurer le soutien des autorités russes, même si au moment du démantèlement de la cellule, le Kremlin avait - comme à son habitude - démenti toute ingérence.

Le réseau s'était donné les moyens de ses ambitions, avec "environ 500'000 euros" à disposition, ainsi qu'un "arsenal d'environ 380 armes à feu, de près de 350 armes blanches ainsi que 500 autres armes et au moins 148'000 munitions", selon les enquêteurs.

"Il était clair pour les membres (du groupuscule, ndlr) que la prise de pouvoir en préparation impliquerait la mort de personnes", ont-ils estimé.

Les autorités allemandes ont classé ces dernières années la violence d'extrême droite au premier rang des menaces contre l'ordre public, avant le risque jihadiste.

Plusieurs réseaux ont été démantelés depuis deux ans, dont l'un planifiait l'enlèvement du ministre de la Santé, à l'origine des mesures de restriction anti-Covid.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'économie britannique rebondit "plus vite que prévu", selon le FMI

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Selon des données britanniques officielles publiées début mai, le pays a connu une progression du PIB de 0,6% sur les trois premiers mois de l'année. (archive) (© KEYSTONE/AP/KIRSTY WIGGLESWORTH)

Le Fonds monétaire international (FMI) a amélioré mardi ses prévisions pour l'économie britannique, qui rebondit "plus vite que prévu", mais l'institution alerte sur des "choix difficiles" à l'horizon pour stabiliser la dette publique.

"Avec une reprise de la croissance plus rapide que prévu, l'économie britannique se dirige vers un atterrissage en douceur, après une légère récession technique en 2023", a indiqué le FMI dans un rapport.

Le produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni est désormais attendu en progression de 0,7% pour l'ensemble de 2024, en amélioration par rapport à une hausse estimée de 0,5% dans ses projections publiées en avril.

Selon des données britanniques officielles publiées début mai, le pays a connu une progression du PIB de 0,6% sur les trois premiers mois de l'année.

Après avoir atteint un pic à plus de 11% fin 2022, l'inflation au Royaume-Uni "a diminué plus rapidement que prévu l'année dernière et devrait revenir durablement début 2025" à l'objectif de 2% visé par la Banque d'Angleterre, a poursuivi le FMI.

L'institution prévoit que le PIB progressera de 1,5% en 2025, à mesure que la réduction de l'inflation soutiendra le pouvoir d'achat et que les conditions financières s'assoupliront.

A quelques mois d'élections nationales pour lesquelles son parti est donné largement perdant face à l'opposition travailliste, le ministre des Finances conservateur Jeremy Hunt a salué mardi un rapport qui "montre clairement (...) que l'économie britannique a franchi un cap".

Pour autant, "des choix difficiles devront être faits à moyen terme pour stabiliser la dette publique, compte tenu des pressions importantes sur les services publics et des besoins d'investissement critiques", a prévenu le FMI.

Le fonds a notamment suggéré d'accroître les recettes fiscales tout en faisant preuve de mesure sur les dépenses et en améliorant l'efficacité des services publiques.

M. Hunt, qui a diminué ces derniers mois les cotisations sociales à deux reprises, a au contraire promis vendredi des baisses d'impôts si les conservateurs restent au pouvoir lors de la prochaine législature.

Le FMI a "déconseillé" mardi "toute réduction d'impôts supplémentaire, à moins qu'elle ne favorise de manière crédible la croissance et soit correctement compensée par des mesures soignées de réduction du déficit".

L'institution internationale appelle à "des réformes structurelles ambitieuses", alors que les perspectives à long terme du Royaume-Uni restent pénalisées par une "faible productivité au travail et des niveaux d'inactivité légèrement plus élevés que prévu en raison de maladies de longue durée".

Les autorités britanniques doivent aussi "maintenir le cap en matière de politique climatique", selon le FMI, qui souligne que les politiques et les dépenses actuellement prévues seront insuffisantes pour atteindre les objectifs du pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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