Rejoignez-nous

Politique

Bruxelles adopte un projet de mandat pour négocier avec Berne

Publié

,

le

"Nous terminons 2023 avec un élan encourageant" pour la relation bilatérale avec la Suisse, a écrit mercredi le vice-président de la Commission européenne Maros Sefcovic sur X (anciennement Twitter), après l'adoption par Bruxelles de son projet de mandat de négociation avec Berne (archives). (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Après la Suisse, la Commission européenne a également adopté mercredi son projet de mandat pour les négociations avec Berne. Le document, qui n'est pas public, sera transmis aux Etats membres de l'UE qui devront ensuite l'approuver.

Le projet de mandat se base sur la déclaration commune élaborée avec Berne, lors d'un processus de 18 mois, indique mercredi l'exécutif européen dans un communiqué.

Le document contient des éléments institutionnels "permettant à la Suisse de participer au marché intérieur", des adaptations de la libre circulation des personnes, des versements réguliers au titre de la cohésion, la participation à des programmes de l'UE ainsi qu'un accord transitoire permettant aux chercheurs suisses de prendre part à des appels d'offres importants "avant la fin des négociations", poursuit le texte.

"Nous terminons 2023 avec un élan encourageant pour notre relation bilatérale. J'attends avec impatience les prochaines étapes en 2024", a écrit le vice-président de la Commission européenne Maros Sefcovic sur X.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Mobilité

L'horaire CFF 2025 offre davantage de ponctualité en Suisse romande

Publié

le

Depuis l'introduction de Rail 2000 en Suisse romande, les améliorations de l’offre sont venues s'empiler année après année, de sorte que l’horaire actuel ne dispose plus de réserves de temps suffisantes pour assurer une bonne ponctualité, estiment les CFF (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le nouvel horaire CFF, qui entrera en vigueur le 15 décembre, constitue le plus grand changement d’horaire en Suisse romande depuis Rail 2000. Il doit répondre aux attentes de la clientèle en matière de ponctualité tout en assurant la réalisation des nombreux travaux.

L'objectif vise à améliorer l’offre à long terme, ont indiqué mardi à Fribourg les CFF et la Conférence des transports de la Suisse occidentale (CTSO). Même si ponctuellement la desserte se détériore, l'horaire 2025 apportera de nouvelles liaisons directes avec l’ouest lausannois et des améliorations en trafic régional.

L'horaire, qui avait causé la grogne des collectivités publiques il y a un an, offrira des dessertes renforcées sur la Riviera et le Bas-Valais notamment. Entre Bienne et Genève, la clientèle profitera d’une cadence à la demi-heure, moyennant un changement à Renens (VD). Des liaisons directes sont maintenues aux heures de pointe.

Le nouvel horaire a été développé "de concert" entre les CFF et les sept cantons de la CTSO. La mise en consultation s'ouvre dès ce jeudi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

L'Iran rend hommage à son président défunt Ebrahim Raïssi

Publié

le

Des Iraniens et des Iraniennes en deuil s'étaient déjà rassemblés lundi à Téhéran. (© KEYSTONE/AP/Vahid Salemi)

Des dizaines de milliers d'Iraniens en deuil se sont rassemblés mardi matin pour le début des cérémonies de funérailles du président Ebrahim Raïssi à Tabriz, le chef-lieu de la province de l'Azerbaïdjan oriental où il est décédé dans le crash de son hélicoptère.

Une foule immense couvrait la principale place de la ville, brandissant des drapeaux et des portraits du président décédé à 63 ans et des sept autres victimes du crash, selon des images de l'AFP TV. Les huit cercueils recouverts du drapeau iranien ont été conduits sur un camion à travers la foule.

L'Iran a décrété lundi un deuil de cinq jours, et les funérailles du président se poursuivront dans l'après-midi dans la ville sainte de Qom, au sud de Téhéran. Elles continueront mercredi dans la capitale iranienne et jeudi à Machhad (nord-est), où il sera enterré.

"Des martyrs"

S'exprimant au début de la cérémonie, le ministre de l'Intérieur Ahmad Vahidi a rendu hommage aux victimes, considérées comme des "martyrs". "Le peuple iranien a montré qu'il fera de chaque calamité un escalier pour élever la nation vers de nouvelles gloires", a-t-il déclaré.

"Nous, les membres du gouvernement, qui avons eu l'honneur de servir ce président bien-aimé, ce président travailleur, nous nous engageons auprès de notre cher peuple et de notre leader à suivre le chemin de ces martyrs", a-t-il ajouté.

M. Raïssi, qui présidait l'Iran depuis 2021, est décédé dans l'accident de l'hélicoptère qui l'amenait dimanche vers Tabriz après avoir assisté à l'inauguration conjointe d'un barrage avec son homologue azéri, Ilham Aliyev, à leur frontière commune.

Election le 28 juin

Parmi les huit personnes à bord de l'appareil, figuraient le ministre des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, 60 ans, le gouverneur de la province de l'Azerbaïdjan oriental, un imam et le chef de l'équipe de sécurité du président.

Le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a chargé le vice-président Mohammad Mokhber, 68 ans, d'assumer les fonctions de président par intérim, avant l'élection présidentielle dont la date a été fixée au 28 juin.

Le principal négociateur nucléaire iranien, Ali Bagheri, qui a été adjoint d'Amir-Abdollahian, a été nommé ministre des Affaires étrangères par intérim. De nombreux pays ont présenté leurs condoléances à la République islamique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Nouvelle-Calédonie: Canberra et Auckland organisent des évacuations

Publié

le

L'Australie et la Nouvelle-Zélande envoient des vols pour rapatrier leurs ressortissants bloqués en Nouvelle-Calédonie (© KEYSTONE/AP/Nicolas Job)

Les gouvernements néo-zélandais et australien ont annoncé qu'ils allaient affréter dès mardi des vols pour évacuer leurs ressortissants bloqués en Nouvelle-Calédonie. Des violences ont causé la fermeture depuis une semaine de l'aéroport international de Nouméa.

Le ministre néo-zélandais des Affaires étrangères a indiqué dans la matinée de mardi que son gouvernement avait affrété un vol d'évacuation qui doit partir dans la "prochaine heure".

"Les Néo-Zélandais en Nouvelle-Calédonie ont connu des jours délicats et les rapatrier a été une priorité absolue du gouvernement" depuis la flambée de violences qui frappe l'archipel français du Pacifique sud, a écrit dans un communiqué le chef de la diplomatie Winston Peters.

Ce dernier a précisé que ce premier vol d'évacuation depuis la fermeture de l'aéroport allait permettre de rapatrier "cinquante passagers" qui présentent les besoins les plus "urgents" vers Auckland, dans le nord du pays.

Il s'agit du premier d'une "série de vols proposés afin de commencer à rapatrier les Néo-Zélandais", a souligné la diplomatie de ce pays qui a multiplié ces derniers jours les appels à pouvoir exfiltrer ses ressortissants.

"En coopération avec la France et l'Australie, nous travaillons à (organiser) d'autres vols dans les prochains jours", a encore indiqué le ministère, qui s'est félicité du "soutien" des autorités françaises à Paris et Nouméa.

L'Australie a dans le même temps annoncé avoir reçu l'autorisation de faire décoller "aujourd'hui" (mardi) deux vols pour évacuer ses ressortissants.

Ces deux vols sont "affrétés par le gouvernement australien pour permettre aux touristes australiens et à d'autres de quitter la Nouvelle-Calédonie", a annoncé dans un communiqué la ministre australienne des Affaires étrangères, Penny Wong.

L'aéroport international de La Tontouta, à Nouméa, reste pour l'heure fermé au moins jusqu'à jeudi aux vols commerciaux. Les émeutes qui ont éclaté lundi dernier sur l'archipel ont fait six morts, dont deux gendarmes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Le groupe de médias de Trump a perdu 327 millions de dollars

Publié

le

Le groupe média de Trump affiche une perte au premier trimestre 2024. (© KEYSTONE/AP/Michael M. Santiago)

La société de médias de Donald Trump, Trump Media and Technology Group (TMTG), cotée à Wall Street depuis fin mars, a annoncé lundi avoir perdu plus de 300 millions de dollars au premier trimestre 2024.

Le groupe a réalisé une perte nette de 327,6 millions de dollars de janvier à mars, contre une perte nette de 210,3 millions à la même période l'an passé, selon un communiqué.

Sur ces trois mois, TMTG, dont le principal actif est le réseau social Truth Social, n'a engrangé que 770'500 dollars de chiffre d'affaires.

Coté à la Bourse de New York depuis le 26 mars, le groupe de médias du candidat républicain à la Maison Blanche est désormais tenu de publier ses résultats trimestriels.

Pour faire son entrée à Wall Street, TMTG avait fusionné avec Digital World Acquisition Corp (DWAC), un véhicule coté, ou SPAC, dont le seul but est de permettre à une société d'accéder plus facilement à la Bourse.

Cela a coûté plus de 6 millions de dollars au groupe de Donald Trump, quadruplant la perte opérationnelle par rapport au 1er trimestre 2023, à 12,1 millions de dollars.

"D'après les données fournies à TMTG, au 29 avril 2024, les actions de la société étaient détenues par plus de 621'000 actionnaires, dont la grande majorité sont des investisseurs particuliers", détaille l'entreprise dans son communiqué.

Le cours de Trump Media and Technology Group s'était effondré de plus de 70% après son introduction en Bourse, avant de rebondir à partir de mi-avril. Cette chute avait amputé de plusieurs milliards de dollars la fortune de Donald Trump, qui contrôle 57,3% des actions de TMTG.

Le directeur général du groupe, Devin Nunes, ancien élu républicain, avait accusé des fonds spéculatifs de manipuler le marché pour faire baisser le cours de son action moyennant un mécanisme illégal. Il a assuré lundi dans le communiqué que TMTG est "bien capitalisée".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Cannes: un biopic explosif sur Trump marque la mi-festival

Publié

le

L'équipe de "The Apprentice" sur le tapis rouge à Cannes. (© KEYSTONE/EPA/Neilson Barnard / POOL)

Amphétamine, calvitie, viol et trahison: "The Apprentice", biopic sans concession de Donald Trump a été présenté lundi en compétition au Festival de Cannes. Il retrace le parcours initiatique de l'entrepreneur immobilier dans les années 1970 et 1980 à New York.

Avec ce long-métrage, le Dano-Iranien Ali Abbasi fait ses premiers pas à Hollywood après des films remarqués sur la Croisette ("Border", prix Un certain regard en 2018, "Les nuits de Mashhad" en 2022).

D'abord dépeint en arriviste un peu naïf, Donald Trump (incarné par Sebastian Stan, connu pour son rôle dans "Captain America") se départit de ses principes à mesure qu'il découvre les ficelles du pouvoir au côté de son mentor, l'avocat Roy Cohn (Jeremy Strong de "Succession"), étroitement associé au maccarthysme et à la mafia new-yorkaise.

"Attaquer, attaquer, attaquer"

"Attaquer, attaquer, attaquer", "ne jamais rien admettre": Trump va s'approprier les maximes de Cohn et profiter de son carnet d'adresses fourni, avant de l'abandonner à son sort, malade du sida.

Le film s'ouvre sur une clause de non-responsabilité indiquant que bon nombre des événements portés à l'écran sont fictifs.

Dans une scène particulièrement forte, Trump viole sa première épouse, Ivana (Maria Bakalova). On le voit également prendre des pilules d'amphétamines ou subir une liposuccion et une chirurgie pour masquer sa perte de cheveux.

"Nous voulions faire une version punk rock d'un film historique, ce qui signifiait que nous devions garder une certaine énergie, un certain esprit, (ne pas) être trop pointilleux sur les détails et sur ce qui est vrai ou faux", a récemment déclaré Abbasi à Vanity Fair.

Ce qui ne manquera pas d'exaspérer le procédurier Trump, qui comparait par ailleurs actuellement à New York pour des paiements dissimulés à une star du X qui affirme avoir eu avec lui une relation sexuelle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture