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Suisse

Straumann profite d'une solide demande au troisième partiel

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Les revenus dégagés par Straumann ont dépassé les prévisions du consensus établi par l'agence AWP (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Straumann a profité d'une solide demande 3e trimestre. Les recettes ont enflé de 3,7% à 570,6 millions de francs, malgré la vigueur du franc. Le fournisseur bâlois d'implants et de dispositifs chirurgico-dentaires confirme les objectifs pour l'ensemble de l'année.

La croissance organique a dépassé la barre des 10%, s'établissant à 11,4%. La région Europe, Afrique et Moyen-Orient s'est taillée la part du lion, avec des ventes de 221,7 millions, suivie par l'Amérique du Nord avec 165,2 millions, l'Asie-Pacifique avec 128,2 millions et l'Amérique latine avec 55,5 millions.

Ces chiffres dépassent les prévisions du consensus établi par l'agence AWP. Les recettes étaient en moyenne attendues à 563,9 millions, tandis que la croissance organique était devisée à 10,3%.

Pour l'ensemble de l'année, le groupe a confirmé ses objectifs. La feuille de route mentionne une croissance organique entre 6 et 10% et une rentabilité sous-jacente (marge Ebit de base) de l'ordre de 25%, investissements compris.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Politique

Centre: Gerhard Pfister dénonce l'explosion des coûts de la santé

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Le président du Centre Gerhard Pfister (au centre) a été accueilli à Arbedo Castione par les conseillers nationaux tessinois Fabio Regazzi et Giorgio Fonio. (© KEYSTONE/TI-PRESS/Maria Linda Clericetti)

Le président du Centre Gerhard Pfister a dénoncé samedi l'explosion des coûts de la santé et la "discrimination" qui frappe les couples mariés en matière d'AVS. Il a également pris position sur les défis politiques auxquels la Suisse est actuellement confrontée.

S'exprimant devant les délégués de son parti réunis à Arbedo (TI), le Zougois a estimé que l'initiative du Centre pour un "frein aux coûts" de la santé, soumise en votation le 9 juin, "a de bonnes chances": "La population estime que le système de santé est désormais incapable de se réformer de lui-même", a-t-il dit dans un discours musclé prononcé dans les trois langues nationales.

Il a rappelé que le comparateur en ligne Comparis anticipe une hausse des primes de 6% en moyenne pour cette année, soit bien au-dessus de la moyenne de 3,8% qui avait longtemps prévalu. "Des mesures ciblées permettraient d'économiser jusqu'à six milliards de francs par année et ceci sans perte de qualité", a-t-il relevé.

Le président du Centre a également rappelé que la votation du 9 juin portera aussi sur "l'initiative d'allègement des primes" du PS. "Pour notre parti, l'initiative va trop loin, mais il est clair que les réductions de primes sont importantes pour l'équilibre social, nous soutenons donc le contre-projet indirect du Conseil fédéral", a-t-il dit.

Discrimination à supprimer

Gerhard Pfister s'est aussi prononcé sur la "discrimination" des couples mariés en matière d'AVS, ceux-ci recevant au maximum 150% du montant total alors que les couples non mariés reçoivent deux rentes entières. "Notre initiative veut enfin supprimer cette discrimination".

Le conseiller national zougois a encore évoqué les défis sociaux et politiques "énormes" auxquels la Suisse est actuellement confrontée. Il a assuré que son parti "est prêt à relever ces défis, dans les domaines de la politique de sécurité, de l'immigration, de l'énergie et de nos relations avec l'UE, en proposant des solutions constructives".

Gerhard Pfister a pris la parole après le discours de bienvenue du conseiller national Giorgio Fonio, vice-président de la section tessinoise du Centre. Il a rappelé que l'assemblée des délégués se tient au Tessin, "d'une part sur la proposition des sections du Tessin et des Grisons pour modifier le nom du parti en italien et en romanche et d'autre part parce que le parti tessinois a récemment obtenu d'excellents résultats aux élections communales" d'avril.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

L'UDC lance une initiative "pour la protection des frontières"

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L'UDC a annoncé samedi à Bâle le lancement d'une initiative "pour la protection des frontières" pour mettre fin "aux abus de l'asile". (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

L'UDC lance une initiative "pour la protection des frontières". "En protégeant nos frontières, nous protégeons notre patrie", a déclaré samedi son président Marcel Dettling, en ouverture de l'assemblée extraordinaire du parti à Bâle.

"Nous avons perdu depuis longtemps le contrôle de nos frontières. Nous ne savons plus qui entre dans notre pays", a lancé le conseiller national schwyzois Marcel Dettling. "Les frontières ne sont plus protégées" et "le chaos de l'asile se poursuit sans relâche" et provoque une hausse de la criminalité.

Les autres partis au Parlement "empêchent nos solutions et ne font rien pour remédier au chaos de l'asile, c'est maintenant à la population d'agir", a déclaré Marcel Dettling. C'est pour cette raison que le parti lance l'initiative populaire "stop aux abus en matière d'asile (initiative pour la protection des frontières)".

Migrants "difficilement intégrables"

"Trop de migrants demandeurs d'asile sont issus de cultures qui méprisent les femmes, sont criminels et peu ou pas formés, bref, sont difficilement intégrables", a déclaré le Schwyzois. "Il est plus difficile aujourd'hui pour un Américain hautement qualifié d'entrer en Suisse que pour un Somalien analphabète".

Selon Marcel Dettling, on peut appeler la situation actuelle "la migration irrégulière ou migration d'asile". Il s'agit d'une migration "qui nous est imposée, dont nous ne voulons pas, qui nuit à notre pays, qui perturbe notre cohabitation, met en danger et détruit notre sécurité et coûte des milliards de francs d'impôts".

En 2023, la majorité des 30'000 "soi-disant demandeurs d'asile" sont arrivés en Suisse en 2023 "avec l'aide de bandes criminelles de passeurs". Ces demandeurs d'asile ont "traversé d'innombrables pays tiers sûrs" avant d'arriver en Suisse. Il s'agit "d'un modèle commercial criminel", selon le président de l'UDC.

La catégorie "admis provisoirement" créée dans le domaine de l'asile sert à "dissimuler l'ampleur du problème". Sur 100'000 personnes admises provisoirement, 800 ont vu leur statut levé ces dix dernières années et le Conseil fédéral n'a réussi à en faire sortir du pays que 112, selon Marcel Dettling.

Contrôles systématiques aux frontières

L'UDC a demandé des contrôles systématiques aux frontières, mais le conseiller fédéral Beat Jans a combattu cette proposition. "Il pourrait regarder ce que font ses homologues en Autriche et en Allemagne" qui ont introduit des contrôles aux frontières qui ont porté leurs fruits, a affirmé le président de l'UDC.

L'UDC a voulu remettre à Beat Jans des propositions "pour améliorer la situation actuelle". "M. Jans n'a toutefois pas jugé utile de nous recevoir dans son bureau. Il semble avoir d'autres priorités et préfère rencontrer Nemo pour débattre du troisième sexe plutôt que nous parler de la sécurité du pays", a déclaré le président de l'UDC.

Dans son discours, Marcel Dettling a aussi critiqué "les soi-disant amis des Palestiniens" qui occupent les universités et qui sympathisent avec le Hamas, "une bande de terroristes meurtriers". "Les détracteurs de gauche d'Israël s'allient à des musulmans antisémites".

L'initiative, qui exige la réintroduction des contrôles systématiques aux frontières, sera présentée en détail et discutée dans le dernier point à l'ordre du jour de l'assemblée extraordinaire.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

L'actrice, qui incarne Renuka dans "Shameless", primée à Cannes

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La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider parle avec l'actrice Anasuya Sengupta après la projection du film "Shameless" à Cannes vendredi dernier. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La comédienne Anasuya Sengupta se voit décerner le prix de la meilleure actrice vendredi soir à Cannes dans la catégorie "Un certain regard". Elle incarne Renuka, dans le film suisse "The Shameless" du réalisateur Konstantin Bojanov.

"The Shameless", une coproduction suisse présentée en première mondiale au Festival de Cannes vendredi dernier en présence de la conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider, ne laisse pas indifférent. Renuka, interprétée par la comédienne Anasuya Sengupta, s'échappe d'un bordel de New Delhi après avoir tué un policier.

Elle trouve refuge dans une communauté de prostituées du nord de l'Inde où elle rencontre Devika (Omara Shetty), une jeune fille condamnée à une vie de prostitution dans le cadre du système devadasi, une tradition hindoue désormais interdite, qui "marie" les femmes à une divinité. Un lien fort se tisse entre Renuka et Devika, qui débouche sur un amour interdit.

Un film suisse en hindi

"Officiellement, c'est un film suisse, même s'il est en hindi", a dit M. Bojanov à Keystone-ATS. "The Shameless" est une coproduction de cinq pays: la Suisse, la France, la Bulgarie, Taïwan et l'Inde.

Du côté suisse, majoritaire, il a été coproduit par la société genevoise Akka Films et la RTS. La Suisse a été le premier pays à soutenir et à financer le film, souligne M. Bojanov.

"Le procès du chien" toujours en course

"Le procès du chien" de Laetitia Dosch, l'autre film suisse en lice, repart bredouille vendredi. Mais rien n'est encore joué, car ce premier long métrage de la réalisatrice franco-suisse est éligible samedi pour la Caméra d’Or: cette dernière récompense chaque année le meilleur premier film issu de la Sélection officielle et des deux sections indépendantes que sont la Semaine de la Critique et la Quinzaine des Cinéastes.

Sans oublier que Kodi, le griffon croisé, qui joue dans "Le procès du chien", a reçu vendredi la Palm Dog. Ce prix récompense le chien avec le plus de mordant vu dans les films au Festival de Cannes.

Dix-huit films sélectionnés

Dix-huit films concouraient dans cette catégorie "Un certain regard" vendredi soir à Cannes, en marge de la Palme d’or, son prix le plus prestigieux, qui sera remis samedi soir. Les vainqueurs sont "Black Dog" du réalisateur chinois Guan Hu, qui remporte Prix "Un Certain Regard" et "L'histoire de Souleymane" du réalisateur français Boris Lojkine, avec le prix du jury.

Quant à "Les Damnés" (Italie, Etats-Unis, Belgique) de Roberto Minervini et à "On Becoming a Guinea Fowl" (Zambie, Royaume-Uni, Irlande) de Rungano Nyoni, ils gagnent ex aequo le prix du meilleur réalisateur.

Cette compétition parallèle a révélé de nombreux talents. Une étape qui mène parfois vers le haut du tapis rouge, à l’image du Suédois Ruben Östlund qui a remporté la Palme pour "Triangle of Sadness" en 2022, huit ans après sa victoire dans la catégorie "Un certain regard". .

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions

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La loterie transnationale Euro Millions est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions vendredi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 9, 12, 18, 22 et 50 ainsi que les étoiles 1 et 3.

Lors du prochain tirage mardi, 48 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.

https://jeux.loro.ch/games/euromillions

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Le personnel de Vetropack se met en grève à St-Prex

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Les salariés de Vetropack se sont mis en grève vendredi à St-Prex. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'usine de Vetropack à St-Prex (VD) est en grève. Le personnel exige que la direction réponde à ses revendications sur le plan social.

Depuis l'annonce mi-mai de la fermeture de la verrerie, les employés, épaulés par les syndicats Unia et Syna, demandent que "de véritables négociations" soient menées au sujet du plan social.

Ils exigent aussi le gel des licenciements - environ 180 postes doivent être supprimés -, tant que ce plan social n'aura pas été négocié et signé. Ils réclament finalement le maintien d'emplois industriels à St-Prex en cas de reprise par une autre entreprise.

Estimant que la direction ne répond pas à ces trois revendications, les employés se sont réunis en assemblée et ont décidé de se mettre en grève vendredi en fin de matinée. Le mouvement est suivi par "une grosse majorité" des salariés, relève Nicole Vassalli, responsable du secteur industrie Unia Vaud, contactée par Keystone-ATS.

Elle précise que l'usine n'est pas totalement à l'arrêt, notamment son four, afin de ne pas endommager les installations. En revanche, plus aucune bouteille ne sort du site. Et cela se poursuivra tant que la direction n'entrera pas en matière sur les revendications du personnel, affirme Mme Vassalli.

Elle souligne que si Vetropack a bel et bien prévu un plan social, celui-ci est "totalement insuffisant et indigne". Parmi les autres griefs, la syndicaliste déplore que la direction refuse "toute consultation du personnel au cours de la procédure". Elle ajoute qu'une nouvelle réunion avec la direction pourrait avoir lieu lundi. "Nous voulons de vraies négociations, pas de simples discussions", affirme-t-elle.

Appel à reprendre le dialogue

La direction de Vetropack a réagi vendredi après-midi en "exhortant" les représentants des salariés et les syndicats à reprendre le dialogue "de manière responsable".

Selon le patron du groupe Johann Reiter, cité dans un communiqué, la direction a "réaffirmé" sa volonté de discuter du plan social en préparation. "Nous ne comprenons donc pas pourquoi les syndicats soutiennent maintenant unilatéralement une grève qui retardera considérablement la finalisation du plan social", ajoute-t-il.

Selon Vetropack, cette grève touche aussi bien la production que l'entrepôt de St-Prex. L'entreprise relève toutefois qu'elle n'a pas encore de conséquences sur l'approvisionnement des clients, "du moins dans les jours à venir." Si le mouvement devait perdurer, Vetropack explique qu'il cherchera "une solution" pour assurer l'approvisionnement des clients à partir d'autres usines du groupe.

Premiers licenciement imminents

Concernant les suppressions de postes, les premières lettres de licenciement doivent partir "dans les jours à venir", a aussi annoncé Vetropack. Environ la moitié des contrats de travail seront résiliés dans de cette première phase jusqu'au 31 août. Les autres postes seront supprimés progressivement jusqu'en 2026.

"Le démontage des machines et des installations après l'arrêt de la production nécessitera un certain temps, ce qui nous permettra d'employer certains employés plus longtemps", explique le groupe.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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