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Culture

Lancement du Prix du livre de la Ville de Lausanne 2024

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A vos livres, lectures et votes: le Prix du livre de la Ville de Lausanne 2024, participatif, est lancé (photo symbolique). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les cinq romans en lice pour le Prix du livre de la Ville de Lausanne 2024 sont désormais connus. Au début de l'année prochaine, l'ensemble des lecteurs de Suisse romande pourra voter pour son ouvrage favori. Le verdict de cette 10e édition du concours tombera le 4 mars 2024.

Le coup d'envoi du Prix 2024 a été donné jeudi en début de soirée au Casino de Morges, en préouverture du Livre sur les quais (LSQ) qui ouvre ses portes vendredi pour trois jours. Pour ses dix ans d'existence, l'événement culturel participatif change de nom: intitulé jusqu'ici Prix des lecteurs de la Ville de Lausanne, il devient désormais Prix du livre pour se présenter sous un visage "encore plus inclusif et grand public", indique la Municipalité.

Les organisateurs ont présenté les cinq ouvrages sélectionnés pour cette édition anniversaire. Il s'agit de "Les secrets de nos c½urs silencieux" d'Isabelle Aeschlimann (Les Nouveaux Auteurs), "Noor" d'Etienne Barilier (Phébus), "Le piège de papier" de Kyra Dupont Troubetzkoy (Favre), "Generator" de Rinny Gremaud (Sabine Wespieser) et "La Folie du Pélican" de Jean-François Haas (Bernard Campiche).

Rencontres conviviales à Plateforme 10

Nouveauté cette année, le public pourra rencontrer les auteurs lors de "rencontres conviviales" qui se tiendront les samedis à 11h00 sur le site de Plateforme 10 à Lausanne entre les mois d'octobre 2023 et février 2024. Des clubs de lecture seront également proposés entre septembre et février par les Bibliothèques de la Ville de Lausanne afin d'inciter le plus grand nombre à s'approprier les ouvrages.

Les lecteurs romands pourront voter du 1er janvier au 29 février 2024. Chaque auteur est récompensé par une somme de 5000 francs. La ou le lauréat du Prix recevra, en sus de la valorisation de son livre, une résidence d'écriture d'un mois au Château de Lavigny. La remise du prix aura lieu au Théâtre Vidy-Lausanne le 4 mars prochain et sera retransmise en direct sur La Télé Vaud-Fribourg.

Lancé en 2015 par le Service des bibliothèques & archives de la Ville de Lausanne, en charge de la politique du livre, il a pour mission de valoriser la scène littéraire actuelle de Suisse romande. Il vise aussi à encourager la lecture et la médiation littéraire auprès de tous les publics, rappellent ses organisateurs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Gilles Lellouche dans le grand bain de la compétition cannoise

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Vincent Lacoste, Alain Chabat, Anthony Bajon, Raphael Quenard, Adele Exarchopoulos, Malik Frikah, Karim Leklou, et Audrey Diwan s'apprêtent à monter les marches avant la projection, en compétition officielle à Cannes, de "LAmour Ouf" de Gilles Lellouche. (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Six ans après le succès populaire du "Grand Bain", Gilles Lellouche a reçu un accueil des plus chaleureux pour "L'Amour ouf", en lice pour la Palme d'or.

Le film de l'acteur et réalisateur français qui réunit deux chouchous du public, François Civil et Adèle Exarchopoulos, a été salué pendant plus d'une quinzaine de minutes après sa projection au Palais des Festivals, selon des journalistes de l'AFP sur place.

Un succès pour le Français dont c'est la première fois en compétition, à Cannes. Son film de deux heures quarante-six se déroule dans les années 1980 dans le nord de la France, et raconte l'histoire d'amour entre Jackie et Clotaire qui "grandissent entre les bancs du lycée et les docks du port", selon le synopsis.

"Elle étudie, il traîne. Et puis leurs destins se croisent et c'est l'amour fou. La vie s'efforcera de les séparer mais rien n'y fait, ces deux-là sont comme les deux ventricules du même coeur."

"J'avais envie de faire un film qui soit un tout petit peu dénué de cynisme, qui soit un élan poétique, amoureux...Le temps de l'innocence retrouvé. J'avais un peu envie de ça, de grands mouvements lyriques contrariés par de grands mouvements de violence comme un battement de coeur, la chair et le sang", avait déclaré Gilles Lellouche à l'AFP, avant la montée des marches.

Un couple, deux époques: Jackie et Clotaire sont joués adultes par François Civil et Adèle Exarchopoulos, et plus jeunes par des acteurs en début de carrière, Mallory Wanecque (révélée dans "Les Pires") et Malik Frikah.

Sont également au générique, Elodie Bouchez, Alain Chabat, Benoît Poelvoorde, Vincent Lacoste, Jean-Pascal Zadi et Raphaël Quenard.

"Nouvelle génération"

En sélectionnant "L'Amour ouf", le Festival de Cannes espère s'adresser à un public jeune.

"Ça va faire du bien à la nouvelle génération. Ça faisait longtemps qu'il n'y avait pas eu de film qui prônait autant l'amour chez les jeunes", a déclaré Malik Frikah.

Outre le succès populaire, avec plus de 4,2 millions de spectateurs, du "Grand Bain", où Lellouche racontait l'histoire de cinq hommes cabossés par la vie qui s'adonnent à la natation synchronisée, le réalisateur est surtout connu comme acteur.

Il est l'un des visages les plus familiers du cinéma français, jouant volontiers les gros bras dans des polars ("BAC Nord") comme le bon pote ("Les petits mouchoirs").

A 51 ans, celui qui avait commencé sa carrière par la réalisation de courts-métrages, fait irruption dans la compétition aux côtés de légendes du cinéma, comme Francis Ford Coppola, et d'habitués comme Jacques Audiard.

Mais Cannes fait aussi de la place à de nouvelles voix, comme celle d'une jeune réalisatrice indienne, Payal Kapadia, qui présente également en compétition "All we imagine as light", son premier long-métrage de fiction.

Elle avait obtenu l'Oeil d'or, récompensant à Cannes le meilleur documentaire pour son précédent long-métrage "A night of knowing nothing" en 2021.

Avec ces deux films, la course à la Palme d'or, pour succéder à "Anatomie d'une chute", est dans son avant-dernière ligne droite.

Un film indépendant américain, "Anora" de Sean Baker, est le favori des critiques compilés par le magazine Screen. Mais il reste encore au jury présidé par Greta Gerwig ("Barbie") à découvrir "La plus précieuse des marchandises", un film d'animation de Michel Hazanavicius ("The Artist") sur la Shoah, et "Les graines du figuier sauvage" de l'Iranien Mohammad Rasoulof.

La présentation de ce film est tout un symbole: son réalisateur, poursuivi par le régime des mollahs et qui vient d'être condamné à des années de prison, est arrivé jeudi à Cannes après avoir secrètement quitté l'Iran.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Cinéma & Séries TV

À votre bon cœur, M’sieurs Dames !

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Après Elizabeth Taylor et Sharon Stone, c’est Demi Moore qui a été choisie pour présider cette 30ème édition du prestigieux gala de charité de l’amfAR (photo d'illustration). (Licence CC / ©David Shankbone)

Le prestigieux gala de charité de l’amfAR ouvrira ses portes à 18h00, accueillant les généreux donateurs pour un cocktail. Venez pour les hors-d'œuvre, restez pour la bonne cause !

L’American Foundation for AIDS Research (amfAR) est l'une des organisations les plus influentes dans la lutte contre le sida. Après Elizabeth Taylor et Sharon Stone, c’est Demi Moore qui a été choisie pour présider cette 30ème édition.

Eh oui, les stars se passent le flambeau comme dans un relais olympique, mais ici, c’est la solidarité qui gagne !

Cette année encore, l’Hôtel du Cap-Eden-Roc à Cap d'Antibes sera le théâtre d’une mise aux enchères glamourissime pour récolter des fonds pour la recherche contre le VIH/sida. Le thème du spectacle de ce soir, choisi par la styliste Carine Roitfeld en charge du défilé de mode de l'événement, est : les contes de fées. Alors préparez-vous à une soirée enchantée où même Cendrillon oublierait de regarder l’heure !

Au programme : dès 20h00, dîner, performance live de la légendaire chanteuse Cher et un show exceptionnel par les plus grandes maisons de couture. Versace habillera la fée Clochette (qui troquera sa poudre de perlimpinpin pour du glamour haute couture), la maison Miu Miu revisitera le personnage de Raiponce, Maison Margiela donnera vie à Cendrillon (sans oublier ses célèbres chaussures), LaQuan Smith s'occupera du look du Petit Chaperon Rouge (prête à affronter le Grand Méchant Loup avec style) et Richard Quinn dirigera la transformation d'Alice au Pays des Merveilles (prête à prendre le thé avec un chapelier fou chic et choc).

Le ticket d’entrée est à 25 000 dollars. Oui, vous avez bien lu, 25 000 dollars ! Mais pensez-y comme un investissement dans un monde sans sida et avec beaucoup de champagne. Cet événement a déjà permis de récolter plus de 264 millions de dollars et promet cette année encore d’être fastueux jusqu’à l’aube.

Alors, Mesdames et Messieurs, préparez vos portefeuilles pour une soirée magique, féérique, et surtout, généreuse ! Et rappelez-vous, chaque don compte – même ceux qui viennent avec une touche de strass et de paillettes !

Vick Capt

Vick Capt est notre envoyée spéciale dans le sud de la France pour la 77ème édition du Festival de Cannes et nous partage les coulisses du plus prestigieux des festivals sur Radio Lac! 

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Culture

Deux créations et un classique au programme d'été du Béjart Ballet

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Giorgio Madia (à gauche) et Valentina Turcu (au centre) entourent le directeur artistique a.i. du Béjart Ballet Lausanne (BBL) Julien Favreau. En arrière-plan, les assistants, Tamas Darai et Adriana Mortelliti et les danseurs Oscar Chacon, Jasmine Cammarota, Federico Matetich et Antoine Le Moal. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Pour son programme d'été au Théâtre de Beaulieu (14-20 juin), le Béjart Ballet Lausanne (BBL) propose "Hamlet" et "Rhapsody in Blue", deux créations en première mondiale. Il y présentera aussi le célèbre "Boléro", le ballet signature de Maurice Béjart.

"J'avais à coeur de présenter ces deux créations et le Boléro dans le studio 4 du BBL, notre espace de travail au quotidien, pour ouvrir la compagnie vers une vraie communication", a déclaré jeudi aux médias Julien Favreau, directeur artistique ad intérim après le licenciement en février dernier de Gil Roman. Il était pour l'occasion entouré des chorégraphes, de leurs assistants et de quatre danseuses et danseurs.

Ancienne du BBL, la Slovène Valentina Turcu signe le ballet "Hamlet", inspiré de la célébrissime pièce de William Shakespeare, portant sur la folie humaine, la passion et "la famille qui vit un enfer". "Ces thèmes nous obsèdent depuis 400 ans déjà, j'ai voulu en faire une version actualisée", explique-t-elle, tout en observant que l'oeuvre "va comme un gant aux danseuses et danseurs du BBL".

"L'art de la danse permet d'atteindre un niveau métaphysique inaccessible au théâtre classique", ajoute la chorégraphe, également active dans le théâtre. Ancienne élève de l'Ecole-atelier Rudra Béjart, elle se réjouit de ce "retour aux sources" et dédie sa création à son "père artistique Maurice Béjart", encore "tellement présent".

Liberté et plaisir de danser

Comme Valentina Turcu, l'Italien Giorgio Madia a également dansé au BBL avant de passer à la chorégraphie. Pour le programme d'été, il a imaginé le ballet "Rhapsody in Blue" sur la musique de George Gershwin. Selon ses termes, il s'agit d'un ballet abstrait, "même si Maurice dirait que ce n'est pas possible, vu qu'il y a des corps sur scène".

"Comme Gershwin, qui a décidé il y a 100 ans qu'il ne voulait pas suivre de règles pour composer son oeuvre, j'ai eu envie de créer une chorégraphie sans règles. Je voulais voir la compagnie danser et se défoncer avec le plaisir de danser", commente-t-il.

Ambiance améliorée

Interrogés sur l'atmosphère au sein du BBL depuis le licenciement de Gil Roman, les danseurs présents font état d'une "très bonne ambiance générale". "Les choses sont plus claires, on se sent mieux, plus soutenus", témoigne Jasmine Cammarota. "On a vécu une forme de choc qui nous menés à plus nous responsabiliser dans notre rôle de danseurs. Pendant les tournées, on se regarde et on se corrige les uns les autres", renchérit Antoine Le Moal.

De son côté, Julien Favreau tire un bilan "plutôt positif" de ses débuts à la direction artistique ad intérim qu'il occupe depuis le 28 février. Les spectacles et les tournées se sont poursuivis avec succès, note-t-il. "Depuis deux mois, je suis sur scène mais aussi beaucoup dans la salle. Quand je fais une correction et que je vois que les danseurs l'appliquent, je suis très touché", sourit-il.

Défi qui tombe à pic

Le Français, danseur depuis 30 ans au sein du BBL, se dit "ravi, enchanté et motivé par ce challenge" qui lui donne envie de s'"investir encore plus". Qui plus est "cette mission tombe à pic" à ce stade de sa carrière. Il ne cache pas sa volonté de poursuivre à la direction artistique. "Je danse encore le Boléro, mais ce sera bientôt mon dernier, il faut laisser la place aux jeunes."

Julien Favreau précise que si le BBL ne collabore plus avec Gil Roman, la collaboration avec la Fondation Maurice Béjart, détentrice des droits de l'oeuvre du chorégraphe et présidée par Gil Roman, est "très bonne". Il souligne encore que la mise sur pied des soirées de juin, initiées par l'ancien directeur artistique, est sa façon et celle du BBL de lui "rendre hommage" en tant qu'artiste.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Editeurs entre coopération et défense face aux géants de l'IA

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Le CEO de Ringier Marc Walder a indiqué jeudi à Lucerne que jusqu'à 3,7 milliards de francs du chiffre d'affaires publicitaire généré en Suisse sont siphonnés par les plateformes comme google ou Facebook. (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Le rôle des géants de l'internet a été au centre jeudi des débats au Swiss Media Forum à Lucerne. Le président de TX Group Pietro Supino a exhorté les groupes de presse à protéger leurs contenus de l'exploitation par les plateformes d'intelligence artificielle (IA).

Lors de la traditionnelle "ronde des éléphants", le directeur général de Ringier Marc Walder a estimé que jusqu'à 3,7 milliards de francs du chiffre d'affaire publicitaire généré en Suisse sont siphonnés par les plateformes comme Google ou Facebook.

Cette perte est notamment due au fait que les acteurs médiatiques suisses n'ont pas assez de données sur leurs utilisateurs. Les logins ne sont pas assez stricts en Suisse, a fait valoir Marc Walder.

Il a rappelé qu'une initiative en la matière a permis d'atteindre plus de 3 millions de logins au niveau des grands groupes de presse en Suisse. Il a appelé la SSR à elle aussi introduire une obligation de login. "Cela aiderait les autres médias", a assuré M. Walder.

Le directeur général de la SSR Gilles Marchand a rétorqué que le groupe de service public n'était pas libre de décider seul en la matière, et qu'il devait tenir compte des conditions politiques fixées dans sa concession.

Le patron du groupe NZZ Felix Graf a souligné que les plateformes de la tech étaient "là pour rester", et qu'elles permettaient aussi de faire des choses "cool". Il n'est ainsi pas question selon lui de devenir des adversaires des plateformes. Les attaquer en justice, aux Etats-Unis notamment, serait en outre très coûteux.

Alors que Ringier a décidé de coopérer avec Google et Open AI en matière d'IA, Pietro Supino a lui exhorté ses collègues à protéger les "inventaires" (les archives) de leurs groupes respectifs.

"Faire passer le droit voisin"

Andrea Masüger, le président de l'association des éditeurs alémaniques Schweizer Medien (VSM), a lui aussi évoqué les chances, mais surtout les risques, de l'IA et des réseaux sociaux.

Ces derniers remettent en question le modèle économique des médias traditionnels, a souligné M. Masüger, dont l'organisation fête cette année son 125e anniversaire.

"Nous devons donc faire passer le droit voisin", a lancé le président des éditeurs, dans un nouvel appel du pied à la politique en référence au projet du Conseil fédéral de réclamer des dédommagements aux plateformes pour l'utilisation des contenus des médias.

"Risque d'implosion"

Pietro Supino a abondé dans ce sens. Mais il a aussi souligné l'importance de renforcer l'aide indirecte. Sinon il y a un risque "d'implosion" du paysage de la presse imprimée, a alerté M. Supino.

La politique doit agir, mais aussi la branche elle-même, par exemple en renforçant l'éducation aux médias, a ajouté le président du VSM.

Les dérives constatées actuellement doivent être contrées en développant la compréhension des médias, a poursuivi le président des éditeurs alémaniques. Andrea Masüger a cité la récente initiative nationale "Use The News" (utiliser les nouvelles), lancée par le VSM, la SSR et l'agence Keystone-ATS.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le Grand Prix suisse de musique pour la violoncelliste Sol Gabetta

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La violoncelliste Sol Gabetta - qui joue sur cette photo à la Tonhalle de Zurich en 2022 - reçoit le Grand Prix suisse 2024, décerné par l'Office fédéral de la culture. (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

La violoncelliste alémanique d'origine argentine Sol Gabetta se voit décerner Le Grand Prix suisse de musique 2024, doté de 100'000 francs. Sept autres musiciens, dont la Genevoise Simone Aubert, et trois organisations culturelles sont encore récompensés.

Sol Gabetta est l'une des violoncellistes les plus célèbres et les plus appréciées du moment, écrit jeudi l'Office fédéral de la culture (OFC) dans un communiqué.

Parmi les sept lauréats de Prix suisses de musique figurent le compositeur tessinois de musique chorale Ivo Antognini et la violoniste baroque Leila Schayegh. Dans un autre registre, la multi-instrumentiste genevoise Simone Aubert est la seule Romande primée cette année. Ces prix saluent encore le travail du saxophoniste de jazz Tapiwa Svosve, du groupe Zeal&Ardor et du Bernois Zimoun.

Trois acteurs culturels reçoivent des prix spéciaux musique: le Musée et centre suisse d'instruments de musique électronique (smem) à Fribourg, le Lausanne Underground Film & Music Festival (LUFF) et le label et collectif Somatic Rituals de Bâle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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