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Gerhard Pfister espère des gains électoraux dans les grands cantons

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Gerhard Pfister a présenté aux médias ses objectifs pour l'année électorale. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Le Centre se présentera pour la première fois aux élections fédérales à l'automne prochain sous son nouveau nom. Le président du parti, Gerhard Pfister, voit un potentiel de croissance avant tout dans les cantons du Plateau.

Lors de l'apéritif des rois du Centre Suisse, vendredi à Berne, M. Pfister a présenté aux médias ses objectifs pour l'année électorale. Il n'a toutefois pas voulu fixer un pourcentage fixe de voix à atteindre pour le parti, né de la fusion du PDC et du PBD.

Si le Centre parvient à mobiliser son électorat de base et à mobiliser de nouveaux électeurs, il s'approchera du résultat arithmétique de la fusion, voire le dépassera, a déclaré Gerhard Pfister. En 2019, le PDC et le PBD avaient réalisé des scores de respectivement 11,4 et 2,4%. En les additionnant, le parti fusionné se rapprocherait du résultat des Verts, mais resterait derrière le PLR et le PS.

Selon M. Pfister, qui brigue lui-même un sixième mandat au National, les semaines précédant les élections seront décisives pour la mobilisation et le succès électoral. Il s'attend à des gains notamment dans les grands cantons du Plateau. Dans ces régions, le nouveau nom a facilité l'accès au parti.

Bonne dynamique

Les récents scrutins législatifs, comme les élections communales zurichoises, ont confirmé le potentiel du Centre, estime son président. Le parti y a gagné de nouveaux électeurs et électrices. Les succès remportés lors des élections au Conseil d'Etat témoignent également de la bonne forme de la formation.

Dans le même temps, il s'agit de ne pas perdre de terrain dans les régions d'origine du PDC, a souligné le président du parti, se disant convaincu d'y parvenir. Le PDC s'est rebaptisé "Le Centre" dans les 26 cantons suisses, mais porte encore un double nom à Obwald et Uri. Aucun mouvement de départ n'a eu lieu dans les cantons d'origine de la formation après ce changement, précise M. Pfister.

Le fait que de nombreux membres actuels du Parlement souhaitent à nouveau se présenter constitue un avantage, a par ailleurs souligné Gerhard Pfister. Mais le Centre doit aussi pouvoir envoyer de nouvelles personnalités à Berne. Grâce à des listes largement diversifiées, cet objectif "suit très bien son cours", a-t-il déclaré dans une interview vidéo accordée à Keystone-ATS.

L'importance d'un centre fort

Les sondages montrent un besoin croissant de renforcer les partis du centre, a poursuivi le Zougois. Selon une enquête de l'institut Sotomo, trois électeurs sur quatre du Centre sont d'accord avec son orientation, soit la deuxième valeur la plus élevée de tous les partis. Seulement 13% considèrent son orientation comme étant trop à gauche et 12% comme trop à droite.

Selon M. Pfister, des solutions équilibrées, comme la réforme de l'AVS, acceptée de justesse dans les urnes en septembre, ou la loi Covid-19, qui a passé deux fois l'épreuve des urnes, n'auraient pas été possibles sans le parti du centre. "Cela montre l'importance de notre parti".

Le parti de jeunes du Centre se développe également avec succès. Son président, Marc Rüdisüli, a exigé, lors de l'apéritif des rois, un nouveau mandat de négociation avec l'Union européenne, encore avant les élections, qui auront lieu dans environ dix mois. Les relations entre Berne et Bruxelles doivent être stabilisées.

En réponse à la question d'un journaliste, M. Pfister a précisé que l'adoption d'un tel mandat de négociation dans les mois à venir est une revendication du parti de jeunes. Mais le parti national est également d'avis que la phase exploratoire doit bien se terminer un jour.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Suisse Romande

Protection de la jeunesse: réformes saluées, mais trop lentes

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Manon Schick, ici à côté du conseiller d'Etat Vassilis Venizelos, a repris en 2020 la tête et la réorganisation de la Direction générale de l'enfance et de la jeunesse (DGEJ), ex-SPJ (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Dix ans après un premier audit, la Cour des comptes vaudoise constate qu'il reste encore quelques failles dans le système étatique de la protection de la jeunesse. Si les réformes au sein de l'ex-SPJ ont permis une meilleure gouvernance et un resserrement du suivi des dossiers des enfants, il reste encore plusieurs améliorations importantes à apporter au sein de la Direction générale de l'enfance et de la jeunesse (DGEJ).

La réorganisation recommandée en 2016 après un audit sévère de la Cour des comptes visait à renforcer la protection de l'enfant, garantir le respect systématique de son intérêt supérieur, mais aussi favoriser son droit à participer et à être entendu dans les décisions qui le concernent. Il s'agissait aussi de mieux démontrer systématiquement le bien-fondé des décisions et d'améliorer la communication avec les parents et autres intervenants.

Deux ans après, le rapport de l'ancien juge fédéral Claude Rouiller avait, lui, pointé du doigt les graves erreurs du Service de la protection de la jeunesse (SPJ) à la suite d'une affaire d'un père abuseur dans le canton. Ses 26 recommandations, dont certaines communes avec la Cour, avaient encore accéléré les réformes.

Depuis septembre 2020, c'est l'ex-directrice d'Amnesty International Suisse Manon Schick qui est à la tête de la rebaptisée DGEJ.

Lenteur critiquée

Dans son audit de suivi, la Cour s'est limitée à l'appréciation des mesures prises pour remédier aux faiblesses identifiées alors. Conclusion majeure: il y a clairement eu des améliorations, mais la DGEJ n'a pas complètement fini son travail de mue.

"Pour moitié des recommandations de l'époque, quelques petites améliorations sont à apporter, pour l'autre moitié des mesures plus importantes sont encore nécessaires", a résumé la magistrate de la Cour Nathalie Jaquerod lors d'une conférence de presse à Lausanne. "Nous regrettons par ailleurs la lenteur et le temps pris pour mettre en oeuvre nos recommandations", a-t-elle ajouté.

La protection de la jeunesse vaudoise, c'est plus de 8000 mineurs suivis chaque année, réparti sur cinq Offices régionaux de protection des mineurs (ORPM) disposant en moyenne de quelque 30 assistants sociaux (ASPM) chacun, eux-mêmes en charge d'une soixantaine de dossiers chacun. Depuis 2019, il y a eu une hausse de 30% des assistants et un doublement des postes d'encadrement.

Le budget de fonctionnement de la DGEJ se monte à 257 millions de francs en 2025, dont 200 millions pour la protection de la jeunesse.

Enfant mieux entendu

Selon la Cour, la DGEJ a renforcé "de manière significative" son processus d'appréciation des nouvelles situations qui lui sont adressées. Elle en rend "plus largement compte" à la justice de paix et aux parents. Au terme de l'appréciation, lorsqu'une action s'avère nécessaire pour l'enfant, des objectifs préliminaires sont désormais "systématiquement formulés", note le rapport d'audit.

"Ces objectifs ne sont néanmoins pas toujours suffisamment spécifiques et devraient être affinés et validés par la hiérarchie après le début de l'action socio-éducative", a expliqué Mme Jaquerod.

Des progrès importants ont aussi été accomplis pour garantir que l'enfant soit entendu sur sa situation de manière adéquate lors de l'appréciation, relève positivement la Cour. "Un effort similaire devrait être fait pour les bilans périodiques ainsi que pour garantir la prise en compte de l'avis de l'enfant sur l'intervention prévue", ajoute-elle néanmoins.

L'implication des parents dans la définition de l'action socio-éducative et le recueil de leur point de vue devraient être mieux documentés dans les différents rapports. "Il n'est par exemple pas toujours clair si les parents adhèrent aux décisions" de protection, précise la magistrate.

ASPM: privilégier le qualitatif

Un autre bémol subsiste: le fait de soumettre les situations à la limite de nécessiter un placement sous la responsabilité de la directrice générale de la DGEJ. La mission n'est pas remplie et la Cour estime que "ce point-charnière justifie une attention particulière". Elle reconnaît toutefois un nombre important de ces "cas limites", ne permettant pas une pleine application de sa recommandation.

S'agissant du nombre d'ASPM, dont "la charge de travail est très lourde", la Cour encourage la DGEJ à privilégier une approche qualitative - orientée sur le risque et la complexité des situations - plutôt qu'une gestion quantitative.

Enfin, la Cour prend acte avec satisfaction de la volonté exprimée par la DGEJ de finaliser la quasi-totalité des recommandations en s'appuyant sur son projet en cours de refonte de son système d'information (DUNE - Dossier unique de l'enfant), prévu pour 2027.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Russie: la Banque centrale abaisse son taux directeur à 16%

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La Banque centrale de Russie a abaissé son taux directeur de 16,5% à 16% dans un contexte de ralentissement de la croissance, l'économie russe subissant les conséquences de l'offensive en Ukraine et des sanctions occidentales. (archives) (© KEYSTONE/EPA/MAXIM SHIPENKOV)

La Banque centrale de Russie (BCR) a abaissé vendredi son taux directeur de 16,5% à 16% dans un contexte de ralentissement de la croissance, l'économie russe subissant les conséquences de l'offensive en Ukraine et des sanctions occidentales.

"Le 19 décembre 2025, le conseil d'administration de la Banque de Russie a décidé de réduire le taux directeur de 50 points de base, à 16%", a indiqué la BCR dans un communiqué, ajoutant qu'elle "maintiendra des conditions monétaires aussi strictes que nécessaires pour ramener l'inflation à l'objectif" de 4% par an, contre 6,6% enregistré en novembre.

L'explosion des dépenses militaires avec le lancement de l'offensive à grande échelle contre l'Ukraine en février 2022 avait d'abord permis de tirer la croissance, mais cela a aussi fortement stimulé l'inflation, pénalisant la croissance en rendant le coût de l'emprunt prohibitif.

Si l'inflation a enregistré un ralentissement ces derniers mois, la BCR maintient des prévisions de croissance à la baisse, tablant toujours sur une croissance du PIB entre 0,5% et 1% pour 2025.

Objectif d'inflation pas encore atteint

"Nous devons tout faire pour que l'économie russe, la macroéconomie, soit saine et solide, et que l'économie du pays dispose d'un socle vraiment robuste", a déclaré le président russe Vladimir Poutine lors de sa conférence de presse annuelle vendredi.

L'Agence nationale des statistiques russe Rosstat a estimé récemment que l'objectif de 4% d'inflation ne serait atteint qu'en 2027.

Dans ce contexte, le Kremlin cherche à mettre à contribution les citoyens et les entreprises pour résorber un déficit budgétaire qui avoisine les 50 milliards de dollars depuis le début de l'année.

Vladimir Poutine a notamment approuvé l'augmentation de la TVA de 20 à 22% à partir de l'année prochaine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

France: la dette publique atteint un nouveau record en valeur

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La dette publique de la France est désormais juste en dessous du pic atteint au premier trimestre 2021, après les mesures massives de soutien à l'activité économique du pays prises au début de la crise du Covid. (archives) (© KEYSTONE/EPA AFP / POOL/LUDOVIC MARIN / POOL)

La dette publique française a atteint 3482,2 milliards d'euros à la fin du troisième trimestre, un nouveau record à 117,4% du produit intérieur brut (PIB), a annoncé vendredi l'Insee.

La dette a augmenté de 65,9 milliards d'euros entre juillet et septembre, après une hausse de 70,9 milliards au trimestre précédent, ajoute l'Institut national de la statistique.

Au deuxième trimestre, la dette atteignait 115,7% du PIB.

Elle est désormais juste en dessous du pic atteint au premier trimestre 2021, après les mesures massives de soutien à l'activité économique du pays prises au début de la crise du Covid : le ratio était alors monté à 117,8%.

A cette époque néanmoins, elle s'élevait en valeur à 2752,5 milliards d'euros.

Elle est redescendue ensuite jusqu'à 109,8% du PIB au quatrième trimestre 2023 avant de repartir à la hausse, quasiment sans interruption.

En pourcentage de PIB, la dette française est la troisième de l'Union européenne derrière la Grèce et l'Italie.

Ces chiffres sont publiés alors qu'une commission mixte paritaire de députés et de sénateurs réunie vendredi matin a échoué à trouver un compromis sur le projet de budget de l'Etat pour 2026.

Le gouvernement présentera donc probablement "une loi spéciale" dans les prochains jours, texte technique permettant de prolonger début 2026 le budget 2025, au moins pour percevoir les impôts, avant de se ré-atteler à la confection d'un budget en bonne et due forme dans les semaines suivantes.

Danger pour la France

Mais cette mesure pèserait encore sur les finances publiques. Selon l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), ce régime exceptionnel, s'il était appliqué sur l'année 2026 toute entière, ferait perdre 6,5 milliards d'euros de recettes à l'État, tout en réduisant les dépenses de trois milliards.

Une loi spéciale aboutirait à un déficit "nettement supérieur à ce qui est souhaitable", a aussi estimé vendredi le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, sur France Inter.

Il dépasserait sans doute 5% du PIB, chiffre "au-delà duquel la France se mettrait en danger", a alerté le gouverneur.

La hausse de la dette au troisième trimestre vient pour 58,1 milliards d'euros de l'État (contre +64,3 milliards au deuxième trimestre). La dette de l'État représente 2.845,7 milliards d'euros au total.

Au troisième trimestre, la dette des "organismes divers d'administration centrale" (Odac) a baissé de 300 millions d'euros (après - 1 milliard au deuxième trimestre) pour atteindre 68,4 milliards d'euros.

La dette des administrations de sécurité sociale a augmenté de 7,6 milliards cet été, après déjà 7,8 milliards au trimestre précédent, pour atteindre 305,2 milliards d'euros.

Enfin celle des administrations publiques locales (APUL) a augmenté de 500 millions d'euros après avoir reculé de 100 millions au deuxième trimestre, à 262,9 milliards d'euros.

Ces chiffres représentent la dette publique brute au sens de Maastricht. L'Insee calcule également la dette nette, qui tient compte des actifs financiers détenus par les administrations publiques.

Au troisième trimestre, celle-ci s'élève à 3232,3 milliards d'euros, soit 109% du PIB après 107,4% au deuxième trimestre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

La condamnation de l'ancien secrétaire de la FIFA est définitive

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L'ancien secrétaire général de la FIFA Jérôme Valcke avait été condamné en juin 2022 à 11 mois de prison avec sursis pour corruption passive et faux dans les titres (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les sentences prononcées dans l'affaire des droits médias de la FIFA sont définitives. Le Tribunal fédéral confirme en particulier la condamnation de l'ancien secrétaire général Jérôme Valcke pour corruption passive et faux dans les titres.

Dans un arrêt publié vendredi, le Tribunal fédéral rejette les recours déposés par Jérôme Valcke et un homme d'affaires grec contre leur condamnation par la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral. En juin 2022, cette instance avait prononcé une peine de 11 mois de prison et une sanction pécuniaire, toutes deux avec sursis, contre le premier pour corruption passive et faux dans les titres.

Le deuxième accusé avait écopé de 10 mois de prison avec sursis pour corruption active. Enfin, le président du Paris Saint-Germain (PSG) Nasser Al-Khelaifi, qui comparaissait en qualité de directeur d'un groupe de médias, avait été acquitté du grief de gestion déloyale aggravée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Internement d'un assassin schizophrène à Bâle

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Avant d'assassiner une retraitée de 75 ans en août 2024, l'homme schizophrène de 33 ans avait déjà tué deux personnes dans le même quartier en 2014 (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

La justice bâloise a décidé d'interner un homme schizophrène qui a assassiné une retraitée en août 2024. L'accusé, âgé de 33 ans, est jugé irresponsable de ses actes en raison de sa maladie. Il avait déjà tué deux personnes dans le même quartier à Bâle en 2014.

Dans son jugement rendu vendredi, la Cour pénale de Bâle-Ville a estimé que le crime commis au couteau l'an dernier dans un immeuble à Bâle relevait du chef d'accusation d'assassinat. Elle a toutefois déclaré le prévenu irresponsable de ses actes, car il a agi sous l'effet de sa schizophrénie paranoïde.

Les juges ont prononcé l'internement simple du trentenaire, comme l'avait exigé mercredi le procureur lors du procès. La défense avait demandé qu'il soit uniquement replacé dans le secteur fermé d'une clinique pour y suivre une thérapie stationnaire.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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