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Suisse

Un nouveau millionnaire au tirage du Swiss Loto

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Le Swiss Loto a fait un nouveau millionnaire samedi dans le canton de Fribourg (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Swiss Loto a fait un nouveau millionnaire samedi. Un joueur a coché les six bons numéros et empoche 1 million de francs. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher le 3, 12, 14, 28, 30 et 38. Le numéro chance était le 5, le rePLAY le 2 et le Joker le 298042.

C'est le canton de Fribourg qui compte un millionnaire de plus, selon un communiqué de la Loterie Romande. Le bulletin a en effet été validé dans la commune de Guin (Düdingen).

Lors du prochain tirage mercredi prochain, 22,8 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Crédit accordé pour le Centre sécuritaire de la gare de Lausanne

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Le chantier du bâtiment qui abritera le Centre de compétences sécuritaire a démarré sous la gare de Lausanne (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Grand Conseil vaudois a accepté mardi d'octroyer un crédit de 4,1 millions de francs pour la mise en place d'un Centre de compétences sécuritaire (CCS) en gare de Lausanne. Des réticences se sont fait entendre à gauche de l'hémicycle quant au risque de détentions abusives dans ces locaux.

Le futur bâtiment nommé "Les Epinettes" est actuellement en cours de construction au sud-ouest de la gare. Il permettra de regrouper sous un même toit la police cantonale vaudoise (PolCant), la police des transports (STP) et l'Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF), a expliqué le député UDC Fabrice Tanner au nom de la majorité de la commission.

Pour ce faire, deux étages seront partiellement loués aux CFF, propriétaires du site. Prévus pour l'automne 2026, les locaux abriteront des surfaces administratives. Y seront également installées une cellule de rétention équipée d'une couchette et d'un WC ainsi que huit salles de garde à vue, (contre deux cellules et trois locaux de garde à vue actuellement).

Collaboration favorisée

Les locaux actuels n'ont pas évolué depuis des décennies et la Polcant a besoin d'une zone à partir de laquelle elle peut se déployer, tant pour les activités courantes que pour les manifestations, a souligné l'UDC.

Le projet permet de conserver un point d'appui sur place, la grande circulation de personnes et les activités commerciales sur le site demandant un travail policier important. La création d'un espace mutuel entre les différents partenaires sécuritaires est pertinente et elle favorise la collaboration.

Le projet ne risque pas de prendre du retard, malgré celui pris par les travaux de transformation de la gare. Le coût est estimé à 11,5 millions de francs, dont 4,1 millions à la charge du canton, a précisé M. Tanner.

Craintes pour les conditions de détention

Pas convaincue, une minorité des députés a demandé de retravailler le projet. Elle craint notamment que les conditions de détention ne soient pas acceptables pour les personnes interpellées, a relevé Hadrien Buclin (Ensemble à gauche et POP).

Le conseiller d'Etat Vassilis Venizelos s'est engagé à ce que les gardes durent tout au plus quelques heures. Mais la tendance ces dernières années est d'utiliser des locaux de police pour des périodes de détention prolongée, ce en raison de la forte surcharge des établissements de détention, a-t-il rappelé.

Différents mouvements s'en inquiètent. En 2022 déjà, le collectif "Droit de rester" dénonçait un "projet dangereux et inhumain", visant la création d'un "centre de sécurité géant", a-t-il rappelé. Un groupe de membres du collectif "Gare à toi" a d'ailleurs demandé aux députés de refuser ce crédit mardi matin devant le Grand Conseil.

Conception minérale

Sur le plan environnemental, la minorité estime que le bâtiment n'est pas en phase avec les objectifs de réduction de CO2 affichés par les autorités cantonales. Hadrien Buclin a cité entre autres un parking enterré sur quatre étages, des nuisances routières et sonores dans un quartier à forte densité d'habitants, ainsi qu'un nombre important de façades borgnes.

"En matière de végétalisation, on n'a pas appris beaucoup de Plateforme 10", a commenté le Vert Pierre Zwahlen regrettant "une conception entièrement minérale". Laure Jaton (PS) a, elle, émis des réserves sur l'absence d'aménagements extérieurs. La Vert'libérale Graziella Schaller a regretté un projet nébuleux, notamment sur le plan de sa situation géographique.

Favorable au CCS, la droite de l'hémicycle a estimé au contraire qu'il s'agissait d'un regroupement indispensable et que le projet répondait à un "besoin croissant", selon les termes de l'UDC Cédric Weissert.

Pas de détention

"Tout ce qui se fera là-bas se fait déjà, mais de façon regroupée", a précisé la conseillère d'Etat Isabelle Moret. Dans ces locaux, pas de cuisine, ni d'infirmerie. Il n'y aura pas de détention, mais de la garde à vue. La zone carcérale de la police cantonale reste à la Blécherette, a-t-elle assuré.

Au vote, une bonne majorité s'est prononcée en faveur de ce crédit. Le deuxième débat a été refusé mardi et aura lieu ultérieurement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Députés favorables à une stratégie cyclotouristique

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Le Grand Conseil vaudois aimerait poser des bornes pour les cyclistes sur les cols du canton (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les amateurs de vélo devraient pouvoir profiter de bornes ou panneaux le long des routes de montagne dans le canton de Vaud. Le Grand Conseil a accepté mardi un postulat visant à rendre plus attractive l'ascension des cols.

Pour l'auteure de ce postulat, l'ancienne députée et désormais conseillère nationale Jessica Jaccoud (PS), le Conseil d'Etat devrait élaborer une stratégie "touristico-sportive". Celle-ci permettrait d'encourager la pratique du vélo et stimulerait le tourisme quatre saisons.

Certains cols vaudois sont déjà équipés de tels balisages. Mais l'idée du postulat consiste à développer "une stratégie globale", afin d'assurer une uniformité sur les différentes routes des Préalpes et du Jura, le risque étant que chaque région propose son propre concept.

Bornes ou panneaux informatifs

Dans son texte, Jessica Jaccoud cite des exemples français, italiens ou andorrans où, au pied du col, une borne est placée pour indiquer le nombre de kilomètres jusqu'au sommet, l'altitude, le dénivelé ou encore le pourcentage moyen. D'autres panneaux sont installés au cours de la montée et au sommet.

"Ces balisages sont très appréciés des cyclotouristes, tant ils permettent de calibrer l'effort et de mesurer le chemin qu'il reste à parcourir", souligne le postulat. Le texte relève aussi que les cyclistes se prennent souvent en photo à côté de ces panneaux et les partagent sur les réseaux sociaux. "C'est donc un moyen de promotion touristique très performant", affirme Mme Jaccoud.

Hormis quelques abstentions et un refus, le postulat a été largement soutenu mardi par les députés. Il revient désormais au Conseil d'Etat d'y apporter une réponse.

Itinéraires VTT

Toujours au chapitre vélo, une motion a été présentée mardi devant le Grand Conseil pour demander une simplification administrative pour la création de parcours dédiés aux VTT et VTT à assistance électrique (VAE). L'auteur du texte, Sébastien Cala (PS), a relevé que la réalisation de tels itinéraires était actuellement "trop complexe", avec notamment des "difficultés de coordination" entre les différents services de l'Etat et l'absence d'une entité qui faciliterait les démarches pour les porteurs de projet.

De plus, une procédure CAMAC (via la centrale des autorisations en matière de construction) est désormais nécessaire alors que, "dans un passé récent", un simple accord des propriétaires suffisait, a-t-il ajouté dans sa motion.

Au vu du "fort développement" du VTT et du VAE, mais aussi de ses avantages en matière de santé publique ou de tourisme quatre saisons, M. Cala demande au Conseil d'Etat d'élaborer une stratégie VTT-VAE. Celle-ci devrait "fixer des axes de développement prioritaires, clarifier et simplifier les procédures d'autorisation".

Sa motion a été signée par une petite trentaine de députés, de gauche comme de droite. Elle a été renvoyée mardi en commission, qui sera chargée de l'étudier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Lausanne: un homme auteur d'une dizaine de vols arrêté et incarcéré

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La police lausannoise a mis la main dimanche sur un homme auteur d'une dizaine de vols dans des restaurants et commerces de la capitale vaudoise (photo symbolique). (© Keystone/GABRIEL MONNET)

La police lausannoise a mis la main sur un homme auteur d'une dizaine de vols dans des commerces et restaurants de la capitale vaudoise. Ressortissant français de 40 ans, domicilié en France, il a été arrêté dimanche à l'aube à Lausanne après s'être introduit par effraction dans un restaurant du centre-ville. Il a été incarcéré.

La police a été alertée dimanche peu avant 04h00 par un témoin qu'une personne venait de briser la vitre d'un restaurant du centre-ville et avait pénétré à l'intérieur de celui-ci, a-t-elle indiqué mardi dans un communiqué. Rapidement sur place, plusieurs patrouilles de la police municipale ont interpellé l'individu et l'ont conduit à l'Hôtel de police.

Lors de l'enquête menée par la Police judiciaire de Lausanne sous la conduite du Ministère public, le Français a reconnu être l'auteur d'une dizaine de vols par effraction réalisés depuis le début du mois d'avril dans différents commerces et restaurants lausannois ainsi que des vols par introduction clandestine dans des maisons.

Les investigations se poursuivent afin de déterminer s'il a commis d'autres infractions. L'homme a été incarcéré, précise la police lausannoise.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Mobilité

Gare de Morges: mise à l’enquête du bâtiment "Sablon Gare"

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CFF Immobilier met à l'enquête le dernier bâtiment du quartier des Halles qui remplacera l'actuelle gare de Morges (VD). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les CFF mettent à l'enquête le bâtiment "Sablon Gare" à Morges (VD) du 18 mai au 16 juin 2024. Il s'agit du dernier immeuble du quartier des Halles, qui a transformé ces dernières années les anciennes friches ferroviaires en un nouveau morceau de ville. Il remplacera l'actuel bâtiment de la gare.

Le nouvel édifice proposera cinq surfaces commerciales au rez-de-chaussée, des surfaces de bureaux divisibles du premier au quatrième étage ainsi que 58 nouveaux logements, allant du 1,5 aux 5,5 pièces du cinquième au onzième étage. Il aura une hauteur inférieure à ce que permet le Plan partiel d'affectation du quartier, soulignent les CFF mardi dans un communiqué.

La construction remplacera l'ancien bâtiment voyageurs, qui ne revêt pas d'importance historique majeure et qui n'est plus adapté aux exigences et aux développements futurs de la gare. Un nouveau hall de gare, plus spacieux, sera également construit. Il permettra un accès direct au quai 1 et au futur passage inférieur traversant qui sera réalisé dans le cadre de la modernisation de la gare.

Les CFF espèrent pouvoir commencer les travaux en 2026 pour une mise en service en 2029. CFF Immobilier investira 61 millions dans ce nouveau bâtiment. Le chantier n'aura pas d'impact sur le trafic ferroviaire.

Pour mémoire, le nouveau quartier des Halles a été mis en service entre 2020 et 2021 à côté de la gare. Il accueille 250 logements, près de 600 emplois, des commerces, des activités parapubliques, des logements protégés, une école, une crèche et un P+R de 300 places.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Mobilité

Fin des animations et aménagements provisoires repris par les CFF

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La Ville de Lausanne ne prévoit plus d'animations sur le site jusqu'à la reprise des travaux sur la place de la gare (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Ville de Lausanne ne prévoit plus d'animations sur la place de la gare jusqu'à la reprise du chantier prévu cet automne. Une étude montre d'ailleurs que les animations ne sont de loin pas prioritaires pour les usagers de la gare. Les aménagements provisoires, qui devraient rester en place jusqu'à fin août 2024, ont été entièrement payés par les CFF.

Le rapport externe commandité par la Municipalité pour évaluer l'action de la Ville quant aux aménagements provisoires et les animations sur la place de la gare depuis décembre 2022, sur fond de retard du chantier, a été présenté mardi devant les médias par Natacha Litzistorf, municipale lausannoise en charge du logement, de l'environnement et de l'architecture.

L'étude a été effectuée auprès de 429 personnes en 2023, sous la forme de micros-trottoirs, d'observations du site et d'entretiens individuels avec cinq acteurs économiques présents autour de la place. Dans l'ensemble, les aménagements provisoires (90%) et les animations (68%) ont été jugés nécessaires et plutôt satisfaisants, dans le contexte de l'attente de la reprise des travaux.

Toutefois, seuls 29% des personnes interrogées disent avoir profité de ces aménagements. "Honorable", estime Mme Litzistorf, compte tenu de la courte période évaluée (neuf mois) et que c'était la première fois de son histoire que la place de la gare était à 75% piétonne.

La fonctionnalité prime sur les loisirs

L'évaluation montre en revanche que pour la future et définitive place de la gare, celle-ci doit avant tout être un espace fonctionnel entre les différents modes de transports (76%), un lieu d'attente, de repos ou de pique-nique (29%), et moins un site pour des animations (10%).

Le constat est donc clair pour la Ville, la fonctionnalité prime sur les loisirs. "Patinoire, pétanque ou autres petites animations, ça n'a pas pris. Il n'y a pas une monstre attente de la population pour des animations dans cette zone", a affirmé Mme Litzistorf. La Ville ne sera donc "plus incitative" pour animer la place, mais reste ouverte à d'éventuelles propositions d'acteurs culturels, sportifs ou commerciaux d'ici cet automne, a ajouté la municipale.

Facture déjà payée par les CFF

L'ensemble des animations mises sur pied par la Ville aura coûté environ 200'000 francs, selon Mme Litzistorf, entièrement à la charge de la commune. En revanche, le coût des aménagements et de leur exploitation a été facturé aux CFF pour un montant total de 585'000 francs, "déjà payés", a indiqué la municipale écologiste.

L'étude a aussi évalué l'accessibilité à la place de la gare. C'est le métro qui donne le plus de satisfaction (9,2 sur 10), puis à pied (8,3/10) et à vélo (7,2/10). Elle est jugée un peu moins bonne en bus (7,2/10), à moto (6,1/10), en taxi (6/10) et carrément mauvaise en voiture (4/10).

Si la place est jugée à 89% comme fonctionnelle par les sondés, les principaux reproches concernent les arrêts de bus actuellement trop éloignés, l'accès et le stationnement en voitures trop difficiles et des taxis pas assez proches. Un point d'attention doit aussi être accordé à la propreté des lieux et au sentiment de sécurité, selon les réponses fournies.

Le végétal séduit à fond

Natacha Litzistorf a insisté sur le fait que les arrêts de bus seront de retour sur la place définitive. Elle a précisé qu'une attention particulière sera en outre apportée aux places dépose-minute pour personnes valides ou à mobilité réduite (PMR) ainsi qu'aux emplacements de livraisons et arrêts taxis, notamment pendant la période de travaux.

Enfin, alors qu'il n'y a jamais eu autant de végétal et d'ombre qu'avec ces aménagements provisoires, les personnes sondées en demandent encore plus, ce qui sera le cas avec la place de la gare définitive, a rappelé Mme Litzistorf.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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