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Suisse

Les autorités locales ne s'attendaient pas à la présence d'un loup

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Un loup a été écrasé dimanche matin dans le canton d'Obwald. (© Amt für Wald und Landschaft Kanton Obwalden)

Un loup a été écrasé par une voiture dimanche peu avant l'aube à Giswil (OW). Alertés peu après 4 heures, les spécialistes de la faune n'ont pu que constater la mort de l'animal, tandis que le conducteur du véhicule n'a pas été blessé.

Il s'agissait d'un jeune loup, ont indiqué les autorités. Le cadavre a été transporté au centre de médecine des poissons et des animaux sauvages (FIWI) de l’Université de Berne pour y être examiné.

L'origine de l'animal reste inconnue. Obwald n'avait pas eu connaissance dernièrement de la présence de loups dans la région.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

🔴 En direct - Suivez les rassemblements de ce 1er mai

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A Zurich, Daniel Lampart de l'USS prend la parole à l'occasions de ce 1er mai 2024 (© KEYSTONE/Ennio Leanza)

Alors que les Jeunes PLR refusent un 1er mai ferié tandis que le syndicat Syna souhaite un congé national, de nombreux rassemblements sont prévus dans toutes la Suisse à l'occasion de la fête du travail. Radio Lac vous propose de vivre cette journée en direct.

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Politique

La Suisse ne participera pas à Copernicus pour raison financière

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La Suisse ne participera pas au programme de l'UE Copernicus, a décidé le Conseil fédéral. (© KEYSTONE/EPA COPERNICUS SENTINEL/EU/UROPEAN UNION, COPERNICUS EMS)

La Suisse ne participera pas au programme européen Copernicus de surveillance du changement climatique pour les années 2021 à 2027. En cause, la situation tendue des finances fédérales, indique mercredi le Conseil fédéral

Une participation viendrait grever davantage le budget fédéral déjà serré. Une éventuelle adhésion au programme à partir de 2028 sera étudiée dans le courant de la période actuelle.

La participation de la Suisse à Copernicus nécessite de négocier un accord bilatéral avec l’UE. Une grande partie des données resteront en accès libre, comme jusqu’à présent.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Etat de Vaud: un ancien gymnaste nommé chef de service

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Cédric Bovey préside le comité d'organisation de la Fête fédérale de gymnastique Lausanne 2025 (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Cédric Bovey, 40 ans, est le nouveau chef du Service cantonal de l'éducation physique et du sport (SEPS). L'ancien gymnaste succédera le 1er août prochain à Nicolas Imhof, qui a souhaité réorienter sa carrière après avoir passé 20 ans à ce poste.

Cédric Bovey est "particulièrement bien connu dans l'univers du sport vaudois", explique mercredi le Conseil d'Etat dans un communiqué. Il est au bénéfice d'une "importante et vaste expérience", que ce soit au niveau de l'enseignement, du milieu associatif ou encore de l'univers sportif national et international.

Le nouveau chef de service est un ancien gymnaste de haut niveau. Il a été plusieurs fois titré autant aux échelons régional, cantonal ou national. Il enseigne l'éducation physique au gymnase de Burier et préside plusieurs associations dont Sport Vaud et le comité d'organisation de la Fête fédérale de gym Lausanne 2025.

Son expérience s’étend au-delà des frontières nationales. Il officie depuis 15 ans en tant qu’expert en formation pour le compte de la Fédération internationale de gymnastique et de European Gymnastics.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

La fusion entre Montreux et Veytaux sera soumise au peuple

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La commune de Veytaux, où se situe le château de Chillon, est collée à l'est de Montreux dans le district de la Riviera-Pays-d'Enhaut (archives). (© Keystone/MARCEL GILLIERON)

La population des communes vaudoises de Montreux et de Veytaux se prononceront le 22 septembre prochain sur la fusion de leurs deux localités. Les conseils communaux respectifs ont accepté séparément mais simultanément mardi soir la convention de fusion lors d'une séance extraordinaire.

La convention de fusion devait absolument être adoptée par les conseils communaux des deux communes simultanément et sans amendement. Un refus par l'un des organes délibérants aurait mis formellement fin au processus de fusion avec effet immédiat. Cela n'a pas été le cas. La convention a été largement acceptée, ont indiqué mercredi les deux Municipalités dans un communiqué.

Le corps électoral des deux communes sera ainsi appelé à se prononcer dans le cadre d'un référendum obligatoire, dont la date est fixée au 22 septembre 2024, ont-elles annoncé dans la foulée. Si les populations respectives acceptent la convention de fusion dans les urnes, la mise en ½uvre de celle-ci aura lieu d'ici au changement de législature, en juillet 2026.

L'étude d'une convention de fusion avait été plébiscitée en 2018 par les citoyens veytausiens, à la suite d'une initiative populaire. Soutenues par leurs législatifs et accompagnées de leurs administrations et de mandataires externes, les deux Municipalités ont ensuite travaillé ensemble à l'élaboration d'une convention de fusion "aussi équilibrée et respectueuse que possible des deux communes, de leur population et de leurs autorités".

La convention, "cohérente et pragmatique, contient des éléments symboliques forts, notamment de nouvelles armoiries, sans pour autant remettre en question ce qui fonctionne bien, tels que les nombreux partenariats déjà existants, à la fois entre les deux communes et, au-delà, entre les communes du district et/ou de la région", soulignent encore les deux Municipalités.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

La Confédération fautive dans la cyberattaque sur Xplain

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Xplain, fedpol et l'Office fédéral de la douane ont violé la loi sur la protection des données (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Les enquêtes sur la cyberattaque contre l'entreprise Xplain l'an dernier ont relevé des erreurs commises par les offices fédéraux de la police et des douanes. L'entreprise est également fautive. Le Conseil fédéral annonce mercredi des mesures.

A la suite d'une attaque au rançongiciel contre l'entreprise bernoise Xplain en mai 2023, une grande quantité de données personnelles de l’administration fédérale, parmi lesquelles des données sensibles, ont été publiées sur le "darknet". Ces données avaient été stockées sur un serveur de Xplain.

Dans les trois enquêtes lancées à la suite de l'attaque survenue, le Préposé fédéral à la protection des données (PFPDT) a constaté des violations de la loi.

Les mesures nécessaires en matière de protection des données n'ont ainsi pas été prises lors de la transmission des données personnelles de la Confédération par les offices fédéraux de la police (fedpol) ainsi que de la douane (OFDF) à Xplain. Ces données ont ensuite été conservées par Xplain en violation de la protection des données, et en partie en violation des obligations contractuelles, précise le PFPDT dans un communiqué.

Depuis que cette fuite de données a été rendue publique, le Conseil fédéral a pris ou fait prendre de nombreuses mesures afin de faire la lumière sur cet incident et d’en tirer des enseignements, écrit le gouvernement dans un communiqué distinct.

Il a notamment ordonné une enquête administrative externe. Un rapport a été établi et adopté mercredi. Outre les mesures urgentes prises suite à l'attaque, le Conseil fédéral préconise toute une série d'autres mesures.

Système de sécurité

Les unités administratives de la Confédération seront notamment tenues de mettre en place et d'exploiter un système de management de la sécurité de l'information (SMSI) d'ici à la fin de 2026 au plus tard. Le SMSI permet à la direction de gérer l'ensemble des processus de sécurité, tels que l'inventaire des informations et des moyens informatiques, l’évaluation des risques, la sécurité lors de la collaboration avec des tiers, la formation, la gestion des incidents ou la planification des audits.

Les services fédéraux concernés "n'ont pas suffisamment rempli leurs devoirs de choisir avec soin leur fournisseur, ainsi que de l'instruire adéquatement et de le surveiller. Ils n'ont pas rempli leurs devoirs sous l'angle de la protection des données et ne l'ont rempli que partiellement sous l'angle de la sécurité de l'information", conclut le Conseil fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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