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Economie

Près d'un Suisse sur deux se dit respectueux du climat au quotidien

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Comme ici sur le toit des General Services Industriels, SIG, de la ville de Geneve, l'énergie photovoltaïque a les faveurs des Suisses. C'est celle qui représente le moins de facteurs perturbateurs. (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Près d'un Suisse sur deux déclare vivre de manière très ou plutôt respectueuse du climat, selon un sondage. La principale raison les empêchant d'adopter un tel comportement est le confort. Et c'est dans le domaine de la mobilité qu'ils ont le plus de mal à y renoncer.

Selon le sondage de Sotomo mandaté par le fournisseur d'électricité bernois BKW, 44% des près de 3000 personnes interrogées en Suisse estiment que leur propre vie est très ou plutôt respectueuse du climat et 48% déclarent veiller au respect du climat dans leurs actions et décisions quotidiennes. Jeunes et aînés portent un regard différent sur eux-mêmes.

Les plus âgés estiment souvent qu'ils en font assez en la matière, tandis que les jeunes, qui ont une plus grande prise de conscience des problèmes, ont des attentes plus élevées à leur propre égard. Mais ces derniers ne sont souvent pas en mesure de les respecter, indique BKW (ex-FMB) dans son rapport publié jeudi.

Si près de 51% des personnes interrogées en Suisse disent déjà faire des concessions face au changement climatique dans les domaines des vacances et des voyages, c'est dans la mobilité au quotidien que quelque 40% de ceux qui ont répondu aux enquêteurs de Sotomo avouent avoir de la peine à faire des concessions à leur confort. Il est également plus facile pour les Suisses interrogés de faire des efforts en matière d'alimentation que d'équipements techniques ou d'usage du numérique.

Energie locale

Dans certains domaines comme l'habitat ou le travail, le manque de pouvoir de décision peut également entraver une action respectueuse du climat, constate Sotomo dans les réponses à son sondage. Ainsi les locataires, qui représentent près des deux tiers de la population helvétique, disent avoir les mains liées dans de nombreux domaines.

Une grande partie des personnes interrogées aimeraient que leur propriétaire soit obligé d'agir afin que leur logement ait notamment une plus grande efficacité énergétique. Si 33% mettent pour bémol le fait de n'avoir aucun frais supplémentaire à payer, 47% y sont favorables sans condition.

Quant aux propriétaires, 75% affirment avoir déjà effectué au moins un investissement conséquent pour rendre leur bien immobilier moins énergivore ou plus respectueux du climat, ou prévoient de le faire dans un futur proche. En matière d'énergie, la population paraît unanime sur les objectifs à poursuivre dans un contexte de pénurie, d'autant que beaucoup d'entre eux permettent de faire d'une pierre deux coups, agissant aussi sur le changement climatique via une consommation moindre de CO2.

Ainsi, l'énergie doit être produite localement dans la mesure du possible, à partir de sources renouvelables et avec un impact minimal sur la nature. Les personnes interrogées sur le mix énergétique attendu dans 10 ans pensent dans l’ensemble que les énergies renouvelables en représenteront alors presque la moitié. En revanche, ils souhaitent un net recul de l’énergie du nucléaire.

Impatience

Le sondage de Sotomo met en exergue l'impatience des Suisses devant la transition énergétique. Elle s'avère trop lente pour trois quarts des sondés, et même beaucoup trop lente pour 41% d'entre eux.

Les Romands sont un peu plus impatients que les Alémaniques (82% contre 74%), de même que les universitaires (87%) et les femmes (83% contre 68% pour les hommes). Selon les sensibilités politiques, seuls les électeurs de l'UDC ne se disent pas pressés. Il est même trop rapide pour une majorité d'entre eux (44% contre 40%).

Les mesures concrètes à prendre à cet effet laissent les Suisses interrogés sceptiques. Seul le subventionnement des énergies renouvelables est approuvé par une nette majorité (81%), et dans une moindre mesure l'interdiction de construire des installations d'énergies non renouvelables (64%). L'imposition des sources d'énergies fossiles (50%) et la fermeture des installations d'énergie non renouvelable (45%) n'ont pas les faveurs des personnes interrogées.

Solaire

Parmi les énergies renouvelables, outre l'hydraulique, déjà largement présente, c'est le solaire que les Suisses privilégient. Son potentiel est grand, jusqu'au tiers de la production de l'ensemble du renouvelable, souhaitent les Suisses interrogés. Ceux-ci se disent également favorables à accueillir des installations solaires dans leur voisinage puisqu'en comparaison, elles présentent peu de facteurs perturbateurs, écrit BKW dans son rapport.

Les Suisses interrogées font confiance aux évolutions technologiques. Parmi les multitudes d'offres, l'une des plus souhaitées dans leur commune est l'installation d'éclairages de la voie publique intelligents.

Au terme de cette étude, la société bernoise constate que plus des deux tiers des personnes interrogées ressentent déjà les conséquences du changement climatique dans leur vie quotidienne. Et parmi les conséquences les plus perceptibles, le souhait de vivre dans une région rurale est particulièrement élevé en Suisse. Les sondés accordent en effet une grande importance à une nature préservée, la plupart d'entre eux plaçant les espaces verts et l’accès à la nature en tête de leurs priorités.

Le sondage de Sotomo a aussi été effectué en Allemagne. En Suisse, 2857 personnes (romandes et alémaniques) ont été interrogées entre le 21 juin et le 6 juillet derniers. Pour le présent échantillon global, l’intervalle de confiance à 95% (pour une proportion de 50%) est de +/- 1,8 point de pourcentage.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Une solide année boursière grâce à la tech et en dépit de Trump

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La Bourse suisse a affiché une solide progression en 2025. (archive) (© KEYSTONE/THOMAS DELLEY)

L'année 2025 qui s'achève se présente sous de bons auspices pour la Bourse suisse, qui a affiché une solide progression dans un contexte d'envolée du secteur de la tech et de l'intelligence artificielle (IA), en dépit de la guerre commerciale américaine.

Mardi midi, dernier jour de cotation avant les fêtes de Noël, le SMI affichait une progression de 13,9% depuis début janvier, se payant même le luxe d'atteindre un plus haut annuel à 13'216 points. L'indice vedette de la place zurichoise faisant mieux son homologue français CAC 40 (+9,8%) et dépassait de peu le prestigieux indice Dow Jones (+13,7%) de Wall Street.

La partie était cependant loin d'être gagnée pour le Swiss Market Index, qui rassemble les 20 plus grandes capitalisations de la place zurichoise. Après avoir atteint début mars un plus haut historique à 13'199,05 points, l'indice a brutalement chuté mi-avril à 10'699,66 points sous les coups de boutoir du président américain Donald Trump et de son "Liberation day".

Le SMI s'est néanmoins rapidement repris pour reprendre progressivement le terrain perdu, franchissant à la hausse début décembre la barre des 13'000 points.

La Bourse helvétique a profité du moral positif des investisseurs et de l'entrain des autres places mondiales. Les droits de douane américains ont certes provoqué une onde de choc, mais le marché actions a rapidement rebondi, la plupart des sociétés cotées n'étant pas directement affectées par ces surtaxes de 39%, depuis ramenées à 15%.

Les autres principaux indices de la Bourse suisse SIX ont également bénéficié de l'intérêt des participants, le Swiss Leader Index (SLI) gagnant 11,5% et le Swiss Performance Index (SPI) 17,3%.

Perles et cailloux

Dans le détail, les grandes capitalisations Holcim (+68,5%), Galderma (+62,2%) et Sandoz (+56,1%) affichent à ce jour les meilleures performances, alors que Sonova (-30,1%), Sika (-24,4%) et Partners Group (-19,9%) ont été pénalisés par les investisseurs.

Sur l'indice global SPI, le laboratoire Idorsia sort du lot (+448%), tout comme le leader suisse de la construction Implenia (+142%) et le producteur de composants électroniques Cicor (+106%). Les investisseurs ont par contre boudé le titre du constructeur de métiers à tisser Rieter (-68%).

De nombreux titres ont affiché des résultats médiocres cette année, les investisseurs préférant se concentrer sur les placements dans l'IA et les valeurs technologiques. L'expert de Helvetische Bank, Remo Rosenau, a ainsi évoqué une performance inférieure à la moyenne des titres Nestlé, Sika, Straumann, Partners Group et Givaudan, "alors que la plupart de ces sociétés ont publié des résultats solide, voire bons".

John Plassard, responsable de la stratégie d'investissement à Cité Gestion, se veut également prudent. "Les tensions commerciales et géopolitiques ne sont plus des accidents conjoncturels, mais bien la toile de fond d'un nouvel ordre économique". Pour l'associé de la banque genevoise, "la difficulté n'est plus seulement de prévoir la prochaine décision d'une banque centrale, mais d'anticiper l'imbrication de multiples chocs simultanés" qui provoquent volatilité et dispersion des performances.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

L'or dépasse 4500 dollars l'once pour la première fois

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Le prix de l'or a grimpé de plus de 70% depuis le début 2025. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHER NEUNDORF)

L'or a atteint un nouveau record mercredi en dépassant 4500 dollars l'once pour la première fois. Le marché est propulsé par le risque géopolitique entre les Etats-Unis et le Venezuela et des perspectives de baisses de taux de la banque centrale américaine.

Le métal jaune, valeur refuge par excellence, a grimpé jusqu'à 4519,78 dollars les 31,1 grammes, son prix ayant bondi de plus de 70% depuis le début de l'année 2025.

Cette nouvelle hausse s'inscrit dans une appréciation plus générale des cours des métaux: l'argent et le cuivre ont aussi touché de nouveaux sommets mardi, tandis que le platine enregistrait son plus haut depuis mai 2008.

Ces mouvements d'ampleur s'expliquent en partie par l'aggravation des risques géopolitiques entre Washington et Caracas, le président américain Donald Trump ayant affirmé lundi qu'il serait "sage" pour son homologue vénézuélien, Nicolás Maduro, de quitter le pouvoir.

En parallèle, les investisseurs anticipent de nouvelles baisses de taux d'intérêt par la Réserve fédérale américaine (Fed) en 2026, après des données récentes traduisant un affaiblissement du marché du travail américain et un ralentissement de l'inflation aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

Les métaux se hissent à des sommets

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Les tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et le Venezuela ont fait flamber les prix des métaux (archives) (© KEYSTONE/VALCAMBI SA/STR)

L'or et l'argent se sont envolés à de nouveaux sommets mardi, poussés notamment par les tensions géopolitiques entre Washington et Caracas.

Après avoir ciblé plusieurs navires, soupçonnés de transporter du pétrole vénézuélien soumis à des sanctions, Donald Trump a affirmé lundi qu'il serait "sage" pour le président vénézuélien Nicolas Maduro de partir, renforçant la pression sur Caracas.

L'or, valeur refuge, a grimpé à un nouveau record, à 4497,74 dollars l'once (31,1 g). C'est aussi le cas de l'argent, à la fois métal précieux et industriel, qui s'est hissé à 69,9929 dollars l'once.

Le cuivre, qui sert à construire des panneaux solaires, des éoliennes, des batteries pour véhicules électriques ou encore des centres de données cruciaux pour l'intelligence artificielle, a lui aussi atteint un prix inédit, montant lundi à 11'996 dollars la tonne.

"Sur le plan industriel, l'argent et surtout le cuivre bénéficient d'un soutien structurel lié à la transition énergétique, à l'électrification et aux besoins colossaux des infrastructures numériques et de l'IA", relève John Plassard, analyste de Cité Gestion Private Bank.

Utilisés dans la fabrication de catalyseurs automobiles, le platine a pour sa part touché mardi un plus haut depuis mai 2008, à 2195,71 dollars l'once, et le palladium a atteint un sommet depuis décembre 2022, à 1849,58 dollars l'once.

"L'anticipation de baisses de taux aux États-Unis en 2026" soutient aussi les métaux précieux, rapporte M. Plassard.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

Liban: le premier ministre annonce un projet de loi bancaire

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Le premier ministre libanais Nawaf Salam a annoncé vendredi un nouveau projet de loi bancaire qui doit sortir le Liban de la crise. (© KEYSTONE/EPA/WAEL HAMZEH)

Le premier ministre libanais a annoncé vendredi soir un projet de loi très attendu et réclamé par la communauté internationale. Le texte répartit les pertes financières entre l'Etat, les banques et les épargnants ruinés par l'effondrement économique de 2019.

"Ce projet de loi constitue une feuille de route pour sortir de la crise", a déclaré Nawaf Salam dans une déclaration aux Libanais diffusée par les chaînes de télévision.

Le projet de loi, l'une des réformes exigées par la communauté internationale afin de débloquer des fonds pour le Liban, doit être examiné à partir de lundi par le gouvernement réformateur, avant d'être soumis au Parlement.

Le projet répartit les pertes entre l'Etat, la Banque du Liban (BdL), les banques commerciales et les épargnants, dont le nombre était estimé à près d'un million avant l'effondrement économique sans précédent de 2019.

Ces derniers, qui n'avaient plus accès à leur compte, pourront récupérer leur argent dans la limite de 100'000 dollars (environ 79'200 francs suisses) sur une période s'étalant sur quatre ans. M. Salam a souligné que 85% des déposants avaient des comptes inférieurs à 100'000 dollars.

Les grosses fortunes verront le reste de leur argent compensé par des titres adossés à des actifs. "Beaucoup d'entre vous écoutent aujourd'hui, le coeur rempli de colère contre un Etat qui vous a laissés seuls", a reconnu le Premier ministre. "Ce projet de loi n'est peut-être pas parfait, mais c'est une étape réaliste et équitable sur la voie de la restauration des droits, de l'arrêt de l'effondrement", a-t-il ajouté.

Restaurer le secteur

Le Fonds monétaire international (FMI), qui a suivi de près l'élaboration du texte, avait insisté sur la nécessité de "restaurer la viabilité du secteur bancaire et protéger les déposants dans la mesure du possible".

L'Association des banques libanaises (ABL) avait critiqué lundi le projet, estimant qu'il contenait "de graves lacunes" et accablait les banques commerciales.

Selon les estimations du gouvernement, les pertes résultant de la crise financière se sont élevées à environ 70 milliards de dollars, un chiffre qui devrait avoir augmenté au cours des six années pendant lesquelles la crise est restée sans solution.

Banques "en colère"

"Les banques sont en colère parce que la loi ouvre la possibilité qu'elles partagent une partie des pertes", explique l'analyste Sami Zgheib, selon lequel elles auraient préféré que l'Etat assume la responsabilité de ce gouffre financier.

Le texte prévoit une recapitalisation des banques défaillantes.

La dette de l'Etat envers la Bdl sera transformée en obligations.

M. Salam a expliqué que la loi visait également à "redresser le secteur bancaire" qui s'est effondré, laissant libre cours à une économie parallèle basée sur les transactions en liquide qui favorisent les trafics. Depuis leur entrée en fonction il y a près d'un an, le président Joseph Aoun et le Premier ministre se sont engagés à mettre en oeuvre ces réformes et à adopter la législation nécessaire.

En avril, le Parlement avait voté une loi réformant le secret bancaire, la législation précédente étant accusée d'avoir permis une fuite de capitaux lors du déclenchement de la crise. Le projet de loi prévoit que les responsables et grands actionnaires des banques ayant transféré à l'étranger d'importants capitaux à partir de 2019 alors que le reste des Libanais n'avaient pas accès à leurs comptes, doivent restituer ces capitaux dans un délai de trois mois, faute de quoi ils seront soumis à des amendes.

Après son approbation par le gouvernement, la loi pourrait être bloquée au Parlement. "De nombreux députés sont directement exposés en tant que grands déposants ou actionnaires de banques, politiquement alliés aux propriétaires de banques, et peu enclins à adopter une loi qui fâcherait soit les banques, soit les déposants", explique l'analyste.

Au cours des dernières années, des responsables politiques et des députés ont à plusieurs reprises entravé les réformes exigées par la communauté internationale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

La Poste doit continuer de distribuer les zones isolées

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La Poste doit continuer de distribuer toutes les zones de Suisse, même les plus isolées (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La Poste doit continuer de distribuer le courrier dans les zones isolées. Le Conseil fédéral est revenu vendredi sur sa réforme qui prévoyait de supprimer le service aux habitations isolées afin de financer le service universel.

"Le Conseil fédéral renonce à revenir sur la notion de zone. La Poste devra donc continuer à distribuer les envois dans toutes les maisons habitées à l'année", indique-t-il dans un communiqué.

Le gouvernement prévoyait, dans une révision de l'ordonnance sur la Poste, de supprimer l'obligation de distribuer dans les habitations isolées, même occupées à l'année. Il avait fixé un minimum de cinq maisons habitées à l'année sur une surface d'un hectare pour que le courrier soit distribué.

La mesure de cette révision, qui doit permettre au géant jaune d'économiser jusqu'à 45 millions de francs par année à partir de 2026, avait suscité de vives réactions en particulier dans les zones périphériques.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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